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Amours culottés

Chapitre 2

Inceste
Amours culottés – II
Line passa une journée tiraillée entre ce que lui dictait la morale et les délires suggérés par son cerveau et son envie de foutre. La morale lui imposait d’avoir une discussion sérieuse et sévère avec Brice, ainsi que dans parler à Gabriel dès son retour d’Allemagne le lendemain soir. Cependant, elle redoutait la réaction de son mari dont les colères, extrêmement rares, étaient aussi extraordinairement effrayantes. L’autre option, celle qui lui paraissait en fin de compte plus raisonnable était de ne rien dire et ne rien empêcher. Brice continuerait de se masturber dans ses caleçons et, sans doute, dans ses culottes et, en contrepartie, elle continuerait à profiter secrètement de sa bonne liqueur. Mais les méandres de ses pensées libidineuses la conduisaient aussi vers d’autres solutions beaucoup moins raisonnables et, surtout, beaucoup plus condamnables. Elle chassa bien vite ses idées inconcevables, mais elles n’eurent de cesse de ressurgir. Même en allant faire du shoping pour se détendre, elles ne la quittèrent pas et en sortant d’un magasin avec une nouvelle petite culotte très sexy, elle réalisa qu’elle l’avait achetée pour Brice. « Elle plaira quand même à Gabriel, se dit elle pour se rassurer. Je la mettrai demain soir… » En rentrant chez elle, sa décision était prise : elle ne dirait rien à son mari !
Brice rentra assez vite de la faculté de médecine et embrassa sa mère qui lisait dans le salon un magazine féminin. Elle était encore habillée dans une tenue de ville, avec une jupe tailleur assez courte, des bas sombres et un chemisier noir très échancré sur la poitrine.
— Ça va Maman ? Tu as passé une bonne journée ?— Oui et non, répondit-elle très honnêtement. Je me suis sentie un peu seule et je me suis faites du souci pour toi, mais heureusement, tu es là, maintenant.— Oui, et tu n’as aucune raison de t’inquiéter pour moi, je me sens en pleine forme ! En plus, on a encore une soirée pour nous, rien que toi et moi ! Tu veux que je fasse à manger ?— Houlà ! Non, je préfère m’en charger, mais si tu veux m’aider, tu peux.
Line avait préféré ne pas relever l’allusion à l’absence de Gabriel, mais elle ne put s’empêcher d’en rougir et d’en mouiller sa culotte. Elle annonça qu’elle allait passer une tenue plus décontractée et se réfugia dans sa chambre pour se changer. Elle retira son chemisier, son soutien-gorge, ses chaussures et sa jupe, puis elle s’allongea sur son lit. Elle avait la chatte en feu et regrettait que Gabriel ne soit pas là pour éteindre l’incendie, mais ce n’était pas son mari qui occupait son esprit. Elle passa une main entre ses cuisses et poussa le tissu de sa culotte dans les replis de sa vulve détrempée.
« Oooh… Mon petit Poussin aime les culottes de Maman… Alors Maman va t’en préparer une, exprès pour toi… Oooh oui, tu vois Maman est aussi vilaine que toi… Mmm… Qu’est-ce que tu fais avec mes culottes, petit cochon ? Tu les sens ? Tu les lèches ? Ou tu ne fais que te masturber dedans ?… Mmm… Maman aussi joue avec tes caleçons sales… Oh, mon Poussin… Si tu savais comme j’aime ton jus… Aaah… Si je te la donnai moi-même, celle-ci… Tu ferais quoi ? Aaah… Tu montrerais à Maman… Oh oui… J’aimerais tant te regarder… Voir à quoi ressemble ton zizi, maintenant… Aaah… Oui, ton gros zizi… Je voudrais te voir te branler… Jouer avec ma culotte sale et te branler… Aaah… Maman est très vilaine, Poussin… On… Aah… On va échanger nos culottes, se faire l’amour avec… Aaaah ! Aah oui, Brice, mon tout petit… Si tu savais comme je t’aime… »
Line resta allongée, rouge de honte, mais heureuse et apaisée. Elle se redressa, retira ses bas et sa culotte et enfila son legging le plus serré et le plus fin. Il était blanc, très légèrement transparent, et elle ne le portait généralement que comme des collants, en hiver, avec une culotte en dessous et une jupe par dessus. Elle constata qu’il la moulait bien et se dit qu’elle aurait pu, tout aussi bien, ne rien mettre du tout. Pour le haut, elle choisit un débardeur assez large qui donnerait peut-être l’occasion à Brice de voir un bout de sein.
« Ça ne va pas, je suis partie pour l’allumer, pensa-t-elle en se voyant dans la glace. Le but du jeu c’est juste de l’exciter un peu pour qu’il me donne un beau caleçon plein de foutre frais… Il va falloir établir des règles… Je ne veux pas que ça dérape… C’est ça ! Une règle simple… Pas de contact sexuel ! Je ne touche pas sa queue et il ne touche pas ma chatte ! Oh, mon Dieu, mais qu’est-ce que je suis en train de faire ? J’avais dit que je faisais juste comme si de rien n’était… Faut que je me change ! Je ne peux pas faire ça… Brice se branle dans une de mes culottes et moi, je suis prête à me jeter sur lui comme une chienne en chaleur ! Ça ne va vraiment pas ma pauvre fille ! Je me change au moins de t-shirt et j’en mets un long… Et rien de plus qu’hier ! On ne dit rien, il ne se passe rien et Gabriel n’en saura rien ! »
Line emprunta finalement un t-shirt de son mari qui lui couvrait les fesses comme une mini jupe et elle trouva cette tenue beaucoup plus raisonnable. Elle porta sa culotte dans la salle de bain et s’en retourna vers la chambre de son fils pour voir ce qu’il faisait. Sa porte était ouverte, ce qui signifiait qu’il ne se livrait à aucune activité intime et elle lui demanda ce qu’il souhaitait manger. La soirée se passa comme la précédente et elle se fit violence pour ne pas lui donner elle-même sa culotte sale, mais elle fut ravie de voir qu’elle avait disparue et été remplacée par un caleçon bien garni.
Le retour de Gabriel, le lendemain soir imposa à Brice une plus grande retenue. Sa mère l’avait prévenu, quand il était rentré de la faculté que son père tolérait de moins en moins de le voir bander comme un cochon en la regardant.
— Ton père et moi, nous avons un léger désaccord sur la question, il trouve que tu me regardes beaucoup et se demande si ce n’est pas pour ça que tu bandes et te masturbe tout le temps. En fait, ça le gêne alors que moi, j’estime que c’est simplement de ton âge et je m’en moque un peu. C’est pour ça que je ne te dis rien et que tu peux partir dans ta chambre en me disant que tu vas te branler ou m’expliquer que ton caleçon est trop plein en allant en prendre un sec dans le panier à linge. Ce qu’on s’est permis durant deux jours n’est plus possible, alors il faut que tu trouves un moyen pour être un peu décent quand il est là. Tu comprends ?— Oui… Je vais essayer.
— Oh ! Et, quand tu prends une de mes culottes dans le linge sale, soit discret parce que ça, tu peux être sûr que ça le rendrait dingue de rage.— Parce que tu t’en es aperçu ?— Quand je retrouve du sperme dans le fond d’une culotte, que ton père soit là ou pas, ça ne peut venir que de toi, Poussin. Mais ne t’inquiète pas, je continuerai à faire comme si je ne savais rien. Ça te va ?— Euh… Oui… Répondit Brice désemparé avant de se mettre à pleurer.
Toute sa honte ressurgissait et il s’incriminait, se traitait de malade. Il avoua à sa mère la nature de ses fantasmes et son incapacité à résister à ses obsessions incestueuses. Il était visiblement malheureux et elle le prit dans ses bras.
— Ça va aller, mon Poussin, ce n’est pas bien méchant tant que ça ne va pas plus loin… J’imagine que beaucoup de garçons ont, au moins une fois dans leur vie, été amoureux de leur mère, et puis, ça peut aussi se faire dans l’autre sens. Ça ne se maitrise pas. Tout ce que je te souhaite, c’est de rencontrer un jour une fille qui te convienne… C’est tout.— Pardon, Maman, je sais que je n’ai pas le droit d’avoir ces pensées…— On a le droit d’avoir toutes les pensées que l’on veut, Poussin. C’est leur réalisation qui peut parfois poser problème. Va te doucher, ça te fera du bien et profite que ton père ne soit pas encore là pour bien te vider les couilles ; ça t’aidera peut-être à tenir le coup ce soir.
Brice était sidéré de voir que sa mère avait découvert qu’il s’était masturbé dans sa culotte sans en être fâchée. Elle semblait même excuser ses fantasmes malsains et il se sentit un peu mal à l’aise en suivant ses conseils. Par ailleurs, il comprenait que si son père devenait soupçonneux, il était préférable qu’il se calme vraiment ou, tout du moins, qu’il évite d’exhiber de façon trop évidente ses érections. Son humeur devint maussade et il choisit de se réfugier dans son travail comme à chaque fois que quelque chose n’allait pas.
Pendant les jours qui suivirent, il évita soigneusement de regarder sa mère plus que nécessaire, et sortit de chez lui le samedi et le dimanche. Son père, sans l’exprimer s’en trouva satisfait et un peu moins soupçonneux.  Néanmoins, ses fantasmes érotiques et incestueux ne le quittèrent pas pour autant ; au contraire, il attendait avec impatience les déplacements réguliers de son père au siège à Berlin, qui selon les circonstances pouvaient durer jusqu’à cinq jours et quatre nuits, et ponctuels dans des laboratoires de recherche ou des unités de production un peu partout en France et en Europe.
Gabriel s’absentait donc assez souvent et ne rentrait plus avant vingt heures chez lui. Il travaillait comme un acharné et se faisait progressivement à ses nouvelles responsabilités. Chaque soir, il était lessivé, se couchait tôt et se forçait presque pour faire l’amour à Line. Leurs relations sexuelles s’appauvrissaient de jour en jour, il en avait conscience et s’en voulait. Il profitait de ses samedi soirs pour essayer de se rattraper, mais ses prouesses et toute sa tendresse d’un jour ne suffisaient pas pour compenser ses mauvaises prestations et sa mauvaise compagnie de toute la semaine précédente.
— Je m’en veux parfois d’avoir tout fait pour avoir ce poste, je rentre crevé tous les soirs, je deviens nul, presque irascible et je me sens incapable de te rendre encore heureuse…— Ne dramatise pas tout, Gabriel ; tu me rends heureuse autant que tu le peux, mais tu travailles beaucoup et tu es fatigué.  Personne ne t’a dit que le CA exigerait une refonte totale du service qualité, mais je suis certaine que d’ici un an tout ira mieux… Et puis, il faut me laisser le temps de m’y faire aussi. C’est une situation nouvelle pour tous les deux.— Tu as raison… Mais j’ai peur que tu m’en veuilles.— Gabriel, un jour dans ta vie tu as fait un sacrifice pour moi sans te poser de question sur l’avenir, par amour… Si notre couple avait capoté, tu n’aurais pas pu faire marche arrière et reconstruire une famille ailleurs. Alors, aujourd’hui, je peux bien accepter que tu sois moins disponible et attendre. Un jour, peu de temps avant la naissance de Brice, tu m’as dit que tu voulais bien vivre tranquillement quelques années, mais finir ta carrière avec le meilleur salaire possible. Ton souhait se réalise et personne n’a dit que ce serait facile. Tu es directeur de l’unité de production locale, directeur du secteur qualité pour l’Europe et la France et membre de droit du conseil d’administration. Tu mènes une vie de dingue, fatigante et pleine de responsabilités, mais c’est ce que tu voulais. Je t’ai soutenue et encouragée, alors maintenant, je te dois bien de m’adapter.— Tu es la meilleure épouse du monde… mais je me disais que si refilais à Rémi la direction de l’usine d’ici, nous pourrions aller vivre à Berlin et ce serait plus simple.— Alors là ! Gabriel, il n’en est pas question. Abandonne l’usine si tu veux, mais on n’ira pas à Berlin. Je ne te dis pas ça pour moi, mais pour Brice ! Sans lui, je te suivrais n’importe où, même en enfer, mais Brice fait ses études. Il est plus fragile que tu ne le penses et serait désemparé s’il se trouvait loin de nous ! Il a deux ans d’avance, Gabriel, il est sérieux, travailleur mais, par certains côtés, il est encore très jeune. Par contre, Monsieur Martin, je te connais bien ! Si tu m’as sorti ça comme ça, c’est que c’est déjà fait ; je me trompe ?— Non, le CA se rend bien compte que ce n’est pas tenable, ma place est au siège, pas ici ; je n’ai pas vraiment le choix… Et je savais que tu ne pourrais pas accepter de venir avec moi à Berlin.— Bien sûr, que je le peux ! Mais pas maintenant ! Aujourd’hui, Brice ne peut pas vivre seul en résidence étudiante où ailleurs. Ça reviendrait à lui faire sacrifier ses études et ses ambitions, mais il va grandir, mûrir et dans deux ou trois ans, qui sait, il pourra se débrouiller et je pourrai plaquer mon travail pour te rejoindre. Si tu dois vivre là-bas, tu prendras sans doute un appartement, non ? Alors on viendra te voir le week-end et pendant les vacances. Tu pourras nous payer l’avion sans problème…— Oui, mais ce n’est ça pas la question… Si je pars habiter à Berlin, tu vas rester seule ?— Oh non, je ne serais pas seule. Je continuerai à m’occuper de Brice comme je l’ai toujours fait depuis 18 ans, mais bon, va au fond de ta pensée, je sens que ça devient intéressant.— Et bien… tu… tu pourrais être tentée et je n’ai pas envie de te perdre.— Alors, petit « a », c’est toi qui seras seul et pas moi, petit « b » c’est toi qui vivras dans une grande ville pleine de tentations et, petit « c », moi non plus, je n’ai pas envie de te perdre. Je pourrais rajouter en petit « d » : tant que Brice sera sous ce toit, il te ressemble tellement, que je pourrais survivre en attendant de te retrouver.— Évidemment, vu comme il bande pour toi, Ça ne devrait pas être trop difficile.— Quoi ?! Gabriel tu es abjecte ! Je suis sa mère… Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? OK ! Je le laisse tranquille avec ça et ça ne te plait pas, mais pour qu’il se passe quelque chose, il faudrait qu’on soit deux à en avoir envie et, merci ! Mais jusqu’à aujourd’hui, en matière d’homme et de bite, je suis servie. En plus, vu comme tu me fais l’amour pendant la semaine, tu ne ferais rien que ce ne serait pas pire, au contraire ! Le petit coup du samedi serait simplement bien venu. Je n’arrive pas à croire que tu puisses être jaloux de ton fils… Parce que c’est bien ça, n’est-ce pas ? Tu es jaloux.— Brice bande pour toi, c’est une évidence, et il ne fait aucun doute qu’il est très bien membré…— Pourquoi ? T’es allé voir ? Et ça changerait quoi ? Il a une grosse bite et je vais me jeter dessus ? Que se soit mon fils où non ? Qu’est-ce que tu me fais Gabriel ? Tu ne vas pas me dire que tu es complexé, en plus ?! Je n’ai jamais vu la bite de Brice, mais la tienne, je la connais. Ça fait plus de vingt ans qu’elle me satisfait pleinement et elle n’est pas petite. Elle est… Elle est… Elle est normale.— Si, elle est un peu en dessous de la moyenne, je le sais, et lui, en plus, il a du sperme… Du vrai, du fertile et, je ne sais pas pourquoi, mais, depuis quelques mois, c’est devenu important pour toi. Tu regrettes que je n’en aie plus.— Bon ! Admettons ! Admettons que je sois une femme frustrée, doublée d’une mère indigne et dénuée de morale. Oh oui, j’oubliais, avide de sperme aussi… Tu sais, de bon foutre bien blanc, bien épais et un peu salé… Et mariée à un homme stérile. Alors, qu’est ce que je peux bien faire ? Moi, pauvre femme perdue en manque de sperme… Oh, génial ! Mon fils se branle ! Il pourri ses caleçon de foutre. Tu te rends compte Gabriel ? C’est sûr et certain que c’est pour sa Maman…— Arrête, tu n’es pas drôle… — C’est toi qui n’es pas drôle avec ta jalousie mal placée et ton petit complexe à la noix. Tu ne crois pas que si je voulais du foutre, j’aurais d’autres solutions plus simples que de coucher avec mon fils ? Des collègues qui m’ont courue après, il y en a eu quelques-uns et il y en a encore. Mais bon, j’aime mon mari et je les ai toujours envoyés balader ; je dois être vraiment bizarre ! Par contre, avec Brice, ça sera forcément différent ; dès que tu te seras installé en Allemagne, je vais lui sauter dessus ; c’est tellement naturel…— OK, t’as raison ; c’est moi qui ai des idées tordues. Je ne sais pas pourquoi je n’arrête pas de penser que c’est ce que vous faites quand je ne suis pas là. Je vous imagine en train de faire l’amour… Je t’imagine en train de le sucer…— Oh… Et tu ne t’es jamais dit que c’était absurde ? Tu te fais ces films tous le temps ou seulement quand tu dois partir quelques jours ?— Quand je suis en déplacement surtout…— Tu n’as rien à craindre, Gabriel, mon Amour… Lui dit Line en le prenant dans ses bras. Je t’aime, tu peux en être sûr. Arrête de te faire du mal avec ce genre d’idées…— C’est pire que ça… Ça… Ça m’excite.— Tu n’es pas en train de m’expliquer que tu te branles en m’imaginant dans les bras de Brice quand même ?— Si…— T’es un grand malade… Dit elle en se retournant vers son chevet. Et c’est prévu pour quand ton déménagement ? Ça va venir vite, j’imagine… Tu comptes prévenir Brice ou c’est à moi de m’en charger ?— Dans un mois… Je… j’aurais un appartement de fonction avec deux chambres, une pour Brice et une pour nous. Je lui dirais demain…— J’espère bien, répondit Line en se mettant à pleurer.
Line fit la tête à Gabriel toute la journée du dimanche et il comprenait pourquoi, mais il fut surpris de constater que son fils aussi était très mécontent de cette séparation forcée. Il avait pensé que, comme Brice fantasmait sur sa mère, il jubilerait en apprenant qu’il aurait le champ libre.  Sa réaction le fit douter de ses convictions perverses.
Brice avait très mal accepté la nouvelle car, bien qu’amoureux de sa mère, il tenait énormément à son père et au couple harmonieux de ses parents. Gabriel lui avait pourtant expliqué qu’ils viendraient en week-end et se retrouveraient lors des vacances, ça ne consolait pas le garçon qui en perdit toute libido.
Brice mit une semaine à encaisser la nouvelle, une autre pour comprendre que son père n’avait pas le choix et les deux dernières pour lui pardonner. Line avait beaucoup œuvré pour faire passer la pilule, à force de discussions et de câlins, et il avait fini par entendre que ses parents ne se séparaient ni vraiment, ni définitivement.
— Un jour, tu devras sans doute partir aussi, tu sais ? Quand tu rentreras en internat, dans trois ans, ce ne sera pas ici.— Non, bien sûr, j’aimerais être à Paris…— À se moment là, je ne resterai pas toute seule dans ce trou et je retournerai vivre auprès de ton père, à Berlin. En attendant, on se verra comme on peut, autant que l’on peut. Ça ne sera pas facile, mais on n’a pas vraiment le choix et de lui en vouloir n’arrange rien.
La dernière semaine, Brice se montra très tendre avec son père et retrouva le goût de vivre. Sa libido se réveilla et les petites culottes de Line disparurent chaque soir de la panière à linge. Ses rêves incestueux avaient ressurgi aussi forts qu’avant et il réalisa que ce qui était exceptionnel allait devenir son quotidien. Il pourrait, tous les jours, comme lors du dernier voyage de son père, raconter à sa mère, ce à quoi il pense en se masturbant, aller prendre une de ses culottes sales sans le cacher, se laisser porter par ses fantasmes et venir lui montrer, après comme il avait bien juté dedans. Line le traiterait de petit cochon en le félicitant d’éjaculer autant et remmènerait elle-même le sous-vêtement souillé au sale en prétendant aller lécher son foutre. Brice n’y croyait pas et pensait que c’était une sorte de blague ou de jeu qu’elle avait inventé cette fois là, mais ça l’excitait. Il pourrait peut-être, aussi, comme il l’avait fait une fois, se masturber au travers de son pyjama en regardant un film avec elle dans le canapé. Son cerveau bouillonnait en pensant à tous ces plaisirs interdits auxquels il se livrerait une fois seul avec sa mère.
Line s’efforçait de ne pas trop penser à ce que deviendrait sa vie de femme célibataire excitée par un fils viril. Comme Gabriel avait pris trois jours pour préparer ses affaires, elle en avait fait autant et se donnait à lui sans limite pour chasser ses fantasmes. Son mari n’avait plus jamais fait d’allusion à son complexe de petite bite et ne se montrait plus jaloux de son fils, mais elle se demandait s’il l’imaginait encore dans les bras de Brice. Elle n’osa, bien évidemment pas lui poser la question, mais elle pensa avoir sa réponse quand Gabriel dit en revoir à son fils le samedi matin.
— Je te confie ta Maman, mon Garçon. Prends soin d’elle ; elle va avoir besoin de ta compagnie.— Tu peux compter sur moi, Papa… Répondit Brice surpris par cette injonction. Mais on te rejoint vendredi prochain  et j’ai hâte de découvrir notre appartement berlinois.— Il te plaira, c’est sûr.
Gabriel serra fort sa femme dans ses bras, ils versèrent tous deux une petite larme, s’embrassèrent avec passion. Brice s’écarta pour leur laisser un peu d’intimité ; il était aussi ému qu’eux et n’entendit pas ce qu’ils se chuchotèrent.
— Cochon, tu penses encore que je vais coucher avec Brice…— Je ne le pense pas, je l’espère… Même si c’est aussi inconcevable qu’immoral.— Tu es un grand malade, mais je t’aime, mon Amour… Allez ! Fous le camp, maintenant ; tu vas louper ton train et ton avion.
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