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Amours culottés

Chapitre 3

Inceste
Amours culottés – III

Line regarda Gabriel s’en aller vers son taxi qui attendait devant la grille et elle essuya une larme quand il disparut au bout de la rue.
— Ça va, Maman ? Demanda Brice en la prenant dans ses bras.— Oui, mon Poussin, ça va… C’est juste que ça va me faire bizarre au début, je crois, et c’est la première fois qu’il part un samedi ; la semaine va être longue.— Je vais rester avec toi tout le temps ; tu ne seras pas toute seule.— C’est vrai ? Heureusement que tu es là ! Tu veux qu’on fasse un truc tous les deux ? Qu’on aille au cinéma ou voir une expo ?— Non, sauf si toi, tu en as envie… Moi j’aime bien trainer à la maison le week-end. Et si t’as besoin d’un coup de main pour le ménage ou autre, je veux bien t’aider.— Et bien, on va refaire nos lits et je laverai les draps.
Brice aida sa mère pour refaire son lit puis celui de ses parents et porta les draps jusqu’à la machine. Sur le haut du panier à linge trainait une culotte sale qui attira son regard. Line, qui arrivait derrière sourit en le voyant loucher sur le petit bout de tissu imprégné de ses secrétions vulvaires.
— Vas y, prend là, lui dit sa mère en s’accroupissant devant la machine pour y fourrer les draps. Tu en meurs d’envie et ton père est parti. Tu peux même te branler ici, si tu veux.— Oooh… Maman. Non, je… Balbutia Brice en prenant la culotte pour la porter à son nez. Mmm… Maman… Que j’aime ton odeur… Mmm… Oh oui, Maman, qu’elle est bonne ta chatte… Mmm… Oui, je lèche ta chatte, Maman…
Line restait immobile et le regardait faire, il avait fermé les yeux et se construisait à haute voix des images incestueuses qu’il décrivait avec des mots crus. Elle sentait sa chatte se liquéfier et mouiller sa culotte. Brice défit la braguette de son jean qu’il baissa sous ses fesses avec son caleçon, et libéra son sexe tendu. Sa mère poussa un cri de surprise qui lui rappela sa présence et il se tourna vers elle en empoignant sa verge. Line se retint pour ne pas franchir le petit mètre qui les séparait, mais elle glissa une main sous sa jupe. Son fils se masturbait en la regardant dans les yeux avec sa culotte sale sous le nez. Brice s’agitait de plus en plus, disait qu’il la baisait et subitement il plaça le tanga en dentelle devant son gland, reprit sa masturbation frénétique et éjacula dans un râle puissant. Line compta au moins cinq giclées, en serrant les dents de plaisir ; elle venait de jouir, elle aussi, dans une culotte que son fils aurait plus tard.
— Mmm… C’était une grosse giclée pour Maman, ça. Tu me montres.— Tiens, regarde tout ce que j’ai mis. Répondit Brice en lui donnant sa culotte.—Petit cochon, tu avais vraiment les couilles très pleines ; cette culotte est bonne à laver, maintenant.
Brice n’en crut pas ses yeux, sa mère approchait le tissu imbibé de sperme de sa bouche et se mit à le lécher et le sucer avec avidité.
— Ton foutre est délicieux, mon Poussin. Je ne peux pas m’en passer et, plus il est frais, meilleur il est.— Je ne le crois pas, tu le fais vraiment… Je croyais que tu blaguais, l’autre fois.— Non, je ne blaguais pas ; je suis dingue de ton sperme… J’aime quand tu te branles pour moi, j’aime quand tu salis tes caleçons, ton pyjama ou que tu jouis dans mes culottes. D’ailleurs, je n’en mets jamais une au sale sans m’être masturbée par au-dessus sans l’enlever pour bien la mouiller pour toi. Voilà, tu sais tout… Tu vas retirer tes habits et mettre ton pyjama puisqu’on va rester ici ; je vais les mettre dans la machine.
Brice se déshabilla devant sa mère qui en profita pour bien détailler son anatomie. Il était aussi bien bâti que son père et il lui ressemblait beaucoup, mais il était moins velu, avait de plus jolies fesses et, surtout, il était beaucoup mieux équipé. Sa verge était presque deux fois plus longue et épaisse que celle de Gabriel, et ses couilles étaient bien lourdes. Elle prit les habits qu’il lui donnait et, avant qu’il ne parte, elle commença à se dévêtir aussi.
— Moi aussi, je vais enfiler une tenue plus appropriée… Tu voudras m’aider à la choisir ?— Euh, si tu veux… répondit-il troublé. Tu es belle…— Merci, mais je suis un peu vieille…— Oh non, Maman, tu n’es pas vieille, ta peau est lisse, tes seins se tiennent bien et tes fesses aussi. Tu es très belle…— Et ma chatte ? Tu la trouves comment ? C’est pour ton père que j’ai enlevé les poils ; ça le gênait pour me lécher.— Ta chatte ?… Elle est plus belle que dans mes rêves et… Quand tu l’écartes comme ça, on dirait une fleur.— Mmm… mon petit poète ! Toi aussi tu es très beau, bien musclé avec de jolies fesses et, surtout, un bon gros zizi appétissant. Viens tu vas me dire si ce que je voulais mettre sur moi te plait.
Brice n’en revenait pas, ils étaient nus l’un devant l’autre et s’exhibaient leurs corps. Line avait en tête de mettre son legging blanc très serré et légèrement transparent avec le petit débardeur gris aussi large que court qu’elle avait failli mettre lors du premier voyage de son mari. Il lui couvrait les seins mais pas le nombril et sa poitrine était visible par tous les côtés.
— Alors ? Ça te plait ?— Tu… tu es encore plus sexy… Je voudrais te voir comme ça tous les jours…— Oh, mon Poussin, voilà ton zizi qui grossit encore… Va mettre ton pyjama, je vais te chercher la culotte que je viens d’enlever.— Tu ne l’as pas mise à laver ?— Non, je te la gardais pour plus tard, mais j’en mettrais une autre cet après-midi pour que tu en aies une ce soir.
Brice fila dans sa chambre pour enfiler son pyjama et sortit aussitôt sa verge par l’ouverture du pantalon. Line le rejoignit et s’assit sur la chaise de son bureau en le regardant se donner du plaisir avec sa culotte dans un scénario semblable à celui verbalisé dans la salle de bain un peu plus tôt. Elle glissa une main dans son legging et enfonça deux doigts dans sa chatte humide. Son autre main glissa sous son débardeur pour attraper ses seins et elle accompagna le délire incestueux de Brice par ses propres gémissements.
— Mon Poussin, c’est vraiment très mal, ce qu’on fait… Donne moi cette culotte, donne moi ton foutre.— Tiens, Maman, c’est tout pour toi…— Mmm… Merci, Poussin… Tu éjacules vraiment beaucoup, j’adore ça ! Tiens, je vais m’en mettre un peu sur le ventre et les seins… Mmm… Quel délice…— Maman ? Ce qu’on vient de faire, c’est un peu comme si on avait vraiment fait l’amour ensemble, non ?— Oui, c’est très mal. Une mère et son fils ne devraient pas faire ce genre de choses ensemble. Tu ne devrais pas penser à moi comme tu le fais et réciproquement. Mais, disons que, tant que ça ne va pas plus loin, l’honneur est sauf… Du moins, je l’espère.— On va faire attention, Maman.— C’est gentil, Chéri, mais je crois qu’on fera surtout ce qu’on pourra… Puisqu’on a commencé comme ça, dorénavant, tu pourras te masturber devant moi ou à côté de moi autant que tu veux, à condition que je puisse récupérer ton foutre à chaque fois, d’accord ?— Au pire, je peux prendre un caleçon propre et l’utiliser pour ça tout le week-end, mais c’est ton odeur qui va me manquer.— On verra, Poussin, on trouvera des solutions pour te faire plaisir. De toute façon, vu ce que je viens de faire, mon legging serait bon à mettre au sale, mais je vais le garder encore et je mettrais une culotte cet après-midi. T’as du travail ou tu veux m’aider à faire le déjeuner ?— Je vais bosser un peu, si tu n’as pas besoin de moi, mais si tu te sens seule, tu m’appelles…— Je ne suis pas seule puisque t’es là.
Line se sentait joyeuse, son mari avait raison, elle allait sans aucun doute coucher avec son fils. Elle savait que c’était inéluctable, mais elle souhaitait retarder l’échéance au maximum et maintenir ce statu quo quelques jours. Elle regarda ce qu’elle avait dans son frigo et décida de faire revenir des courgettes à la poêle. Elle les sortit du bac à légume et sourit en repensant à la queue de Brice. Elle en prit une qu’elle frotta contre sa vulve protégée par le tissu de son legging et quand elle la retira, elle constata qu’elle était mouillée. « De bonnes courgettes bio à la mouille de Maman, voilà une recette qui lui plaira. » Pensa Line excitée. Elle baissa son legging et recommença à frotter le légume dans sa fente détrempée. Elle le trouva terriblement froid, mais elle mouillait tellement qu’elle parvint à enfoncer la courgette dans son vagin inondé. Elle fit aller et venir le légume qui se réchauffait lentement, mais elle n’attendit pas d’atteindre son plaisir pour en prendre une nouvelle et recommencer. Elle en prépara quatre à sa sauce et remonta son legging avant de les couper en rondelles.
Brice fut très amusé par la recette de sa mère et regretta intérieurement de ne pas l’avoir vu enfoncer les légumes dans sa chatte. En tout cas, l’effet fut radical et à la bouchée suivante, il se mit à bander.  Aussitôt, il sortit sa verge par sa braguette et reprit une bouchée en se masturbant doucement de la main gauche.
— Je vois que tu aimes les courgettes à la mouille… C’est bien, mon Poussin, branle-toi bien. Tu veux venir plus près de moi ?— Aaah… Oui… Je voudrais être tout près… Aaah… Je voudrais être en toi… Comme ces courgettes.— Viens, mon Bébé, viens près de Maman.
Brice se retrouva debout à côté de sa mère qui l’attira en le prenant par la hanche. Elle le regardait dans les yeux, le visage tout près de sa bite qu’il branlait de plus en plus énergiquement.
— Tu n’as rien pour récupérer ton foutre… Tu vas jouir sur mon assiette, d’accord ?— Aaah ! Ah oui, Maman ! Je te donne mon foutre ! Tiens ! Aaah ! Encore ! Aaah oui ! Aaah… Aah, Maman… J’ai tellement envie de toi… Je veux te faire l’amour et te donner tout le foutre que tu veux. Je t’aime… Je t’aime tellement…— Moi aussi, mon Poussin, je t’aime et moi aussi, j’aimerai te sentir en moi un jour, mais j’ai besoin de temps. Je ne veux pas que ce soit précipité et surtout pas juste après le départ de ton père.— On se protègera, je mettrait des capotes…— Poussin, n’insiste pas et oublie les capotes ; je n’ai pas eu de règles depuis plus d’un an. La ménopause intervient généralement entre 45 et 55 ans et chez moi, elle a débuté l’année de mes quarante ans. Mais si un jour, tu mets ton gros zizi en moi, j’aimerai mieux que tu éjacules en dehors, sur mon ventre, mes seins ou dans ma bouche.— Je le ferai, Maman, j’ai tellement envie…— Ça va, Poussin, j’ai compris, mais là, on va finir de manger et ça ne se fera pas aujourd’hui. N’insiste pus !— Pardon, Maman… Je suis désolé.
Brice s’en voulut de vouloir précipiter les choses et, pour se changer les idées, il retourna travailler deux heures, après le déjeuner. Il se calma et retourna auprès de sa mère dans le salon. Elle était allongée nonchalamment sur le canapé et parlait au téléphone avec Gabriel, tout en regardant, sans le son, une série à la télé.
— Non, on n’est pas sorti, Brice a du travail de toute façon, et moi je n’ai pas la tête à ça— …— Non ! Hi hi ! Gabriel tu es vraiment infernal ! Ce n’est pas parce que tu passes la porte que ça devient la fête du slip ! Houps, Brice est là. Viens, Poussin, c’est ton père.— Il est bien arrivé ?— Oui et bien installé apparemment.— Dis lui que je l’embrasse…— Tu as entendu ? Ton père aussi t’embrasse très fort… Et… Et compte sur toi pour prendre soin de moi… — …— Ah non. Ça, je ne lui dirais pas ! Gardes tes fantasmes pour toi ; en plus, tu ne sais même pas comment tu réagirais si ça arrivait.— …— Gabriel, t’es un cochon et tu devrais avoir honte de me mettre des trucs comme ça dans la tête. Tu fais ce que je crois, là ?— …— Cochon ! Oui, je le ferai…— …— Bien sûr, partout… — …— Oui, dans mon cul aussi… Ça te plairait dans mon cul ?
Gabriel se masturbait dans son appartement berlinois, fraichement repeint et meublé pour lui ; il se sentait seul et ses délires de cocuage incestueux par un fils bien mieux membré que lui l’avaient repris dès son arrivée dans la capitale allemande. Line n’avait pas raccroché et répondait à ses questions salaces, tirées de ses fantasmes obscènes, avec beaucoup de douceur. Il gémit, râla de plaisir et se tut.
— Ça va mieux ?— …— Moi aussi, je t’embrasse de tout mon cœur, mon Amour, et ne te fais quand même pas trop de films.— Papa s’est branlé ? Demanda Brice intrigué par la fin de conversation de sa mère.— Oui et ton père ne m’aide pas beaucoup pour résister à mes démons… Vien me faire un câlin, Poussin.
Brice s’allongea contre sa mère sur le canapé et la prit dans ses bras. Machinalement il porta une main sur sa poitrine qui passa sous le débardeur. Il frémit en sentant le sein de sa mère sous sa paume, voulut la retirer, mais elle lui demanda de la laisser. Line sentit la verge de son fils se dresser contre sa cuisse. Elle tourna la tête vers celle de Brice et leurs lèvres se touchèrent.
— Pas de pénétration, d’accord ? Juste on s’embrasse et on se touche, mais on garde nos vêtements. Demanda Line tremblante.— Si tu veux, Maman, on va se découvrir doucement.
Ils échangèrent un nouveau baiser, leurs langues se trouvèrent. Les mains de Brice passèrent dans le dos de sa mère et descendirent sur ses fesses protégées par le legging. Celles de Line prirent le même chemin mais, plus coquines, elles se glissèrent sous l’élastique de son pantalon pour masser directement les siennes. Line écarta une cuisse pour sentir la virilité de son fils contre sa vulve trempée et se mit à remuer du bassin. Brice passa ses mains à l’intérieur de son legging et ses doigts partirent à la découverte du sillon. Aidé par les mouvements de bassin de sa mère, il poussa son majeur jusqu’à l’anus.
— Tu peux… Lui souffla Line au creux de l’oreille. J’aime bien ça…
Brice appuya plus fermement et son doigt pénétra dans le trou du cul de Line qui l’embrassa avec fougue. Elle se frottait la vulve avec plus de force en exerçant une pression plus forte. Brice retira ses mains et modifia sa position pour passer au dessus d’elle, entre ses cuisses. Il l’embrassa, souleva le bas de son débardeur pour dégager sa poitrine et embrasser ses tétons, les lécher et les mordiller. Il embrassa ensuite son ventre, puis ses lèvres se posèrent sur le legging, au niveau du pubis et enfin de sa vulve trempée qu’il embrassa et lécha par dessus le tissu. Line gémit de plaisir et appuya sur sa tête pour l’enfoncer au mieux dans ses chairs intimes. Brice était de plus en plus excité, il sortit sa verge par sa braguette et attrapa les cuisses de sa mère pour basculer légèrement son bassin. Il approcha sa verge de l’entrecuisse et l’appuya sur toute sa longueur contre la vulve moulée par le legging. Il se mit à remuer et se masturber ainsi contre le sexe de Line qui s’attrapait les seins en se mordant les dents. Les mouvements de son fils lui massaient le vestibule et excitaient son clitoris. Elle se mit à gémir plus fort, Brice accéléra et ses grosses couilles lui tapèrent les fesses vigoureusement. Elle voyait son gland se décalotter et dépasser largement au dessus de son pubis. Elle glissa une main dans son legging pour se toucher le clitoris et l’écraser sur la verge puissante qui se branlait contre elle. Elle poussa un cri et se tordit de plaisir. Brice lâcha ses jambes et empoigna sa bite pour se masturber rageusement et il éjacula abondamment sur son ventre. Line récupéra sa semence avec ses doigts et la porta à sa bouche. Brice se recoucha contre elle et, une fois qu’elle eut avalé, ils s’embrassèrent.
— Mmm… Mon petit Poussin viril. J’ai cru que tu allais déchirer mon legging pour me pénétrer.— Tu avais dit « pas de pénétration », mais j’ai quand même eu envie de le déchirer pour te lécher.— Grand fou ! Et moi qui voulais qu’on prenne notre temps… À se rythme, je serai ta femme avant demain matin. Ton père sera content.— Pourquoi tu dis ça ?— Ton père était persuadé que tu te branlais pour moi, ce qui est vrai, et il pensait aussi que j’avais envie de coucher avec toi…— Ce qui est vrai aussi, non ?— Oui, c’est vrai… Sauf que je lui ai dit que je ne ferai jamais ça. En fait, il est terriblement jaloux de toi et complexé par sa bite.— Qu’est-ce qu’elle a sa bite ?— Elle est petite et, quand il éjacule, c’est juste quelques gouttes de liquide séminal. Du coup, il s’est mis dans la tête que je ne pourrais pas résister à une grosse bite qui éjacule de bonnes doses de sperme. Il y a pensé à chacun de ses déplacements ; ça l’a d’abord énervé, mais, maintenant, visiblement, ça l’excite et il se branle en nous imaginant ensemble.— Je ne peux pas le croire… Tu es sérieuse ? C’est comme si on avait sa bénédiction, alors !— Je suis contente que ça te réjouisse, mais moi, ça ne m’amuse pas. Je ne voulais pas lui donner satisfaction trop vite. Et j’ai un peu peur de sa réaction… Fantasmer sur notre relation incestueuse, c’est une chose, mais savoir qu’elle est effective peut quand même lui faire un choc.— Tu vas lui en parler ce soir si vous vous rappelez ?— Bien sûr qu’on va se rappeler, mais je ne sais pas si je vais être capable de lui dire ce qu’on vient de faire et je ne parlerais pas de ce que l’on n’a pas encore fait.
Line remit le son de la télé et ils restèrent allongés l’un contre l’autre en se caressant distraitement et en s’embrassant. Plus tard, ils se préparèrent à manger tous les deux en se taquinant un peu et dinèrent rapidement. Sans oser se le dire, ils avaient tous deux envie de se retrouver dans un même lit, mais ils en avaient un peu peur également, alors ils décidèrent de se mettre un dvd et Gabriel rappela juste à ce moment-là.
— Allo, Chéri ?… Non, on est sagement installés dans le canapé et on allait regarder un film… Si, on a quand même quitté le canapé pour diner, mais c’est vrai qu’on y a passé beaucoup de temps…  Oui, d’une certaine façon, on a fait l’amour…Houla ! Hi hi !… Que je te raconte tout ?
Line entreprit un récit assez détaillé de leur ébat érotique de l’après-midi en donnant aussi des précisions sur l’anatomie de Brice. Gabriel exprimait une joie sincère et se disait soulagé par cette bonne nouvelle.
— Mais où est passé mon mari jaloux ? Je couche pratiquement avec Brice, il éjacule sur mon ventre et, toi, tu jubiles. Ceci dit c’est un peu de ta faute… Si tu veux. Tiens, Brice, ton père veut te parler.— Allo Papa ?… Très bien et toi ?… Ben ça me fait un peu bizarre de parler de ça avec toi, parce que c’est Maman et que ce n’est pas très bien d’être amoureux de sa mère, mais je voulais te dire un truc. Je ne veux pas me mettre entre vous ou te la prendre et j’espère que, quand on sera tous les trois, vous profiterez pleinement de vous deux et resterez les parents amoureux que j’ai toujours connus. Je vous aime tous les deux et je ne voudrais pas être responsable de problèmes entre vous… Promis, je t’écrirai… Je te donnerai tous les détails… ma queue ? Non, je ne l’ai jamais mesurée… 13 centimètres, c’est vrai que ça ne fait pas très grand, mais une grosse, ce n’est pas forcément mieux, tu sais. Stéphanie m’a quitté à cause de ça, en fait, et aussi parce que je n’arrêtais pas de vouloir niquer… Oui, c’est probablement maladif… Non, par contre, je ne suis jamais sec… Ha ha ! Ça risque de devenir un vrai cercle vicieux… D’accord, Papa… Moi aussi je t’embrasse très fort. Tiens Maman, Papa.— Allo ?… Oui, moi aussi, mon Amour, de tout mon cœur. À demain, je t’embrasse très fort.— C’est étonnant de voir à quel point il est content ! Je n’aurais jamais cru que ce soit possible. Il te confie à moi et me demande de devenir ses yeux, ses mains et sa bite. Je lui ai promis de lui écrire tous les jours pour lui raconter en détail nos ébats.— Ça va lui donner matière à bander un peu plus qu’un simple coup de fil. Il tenait absolument à ce qu’on se laisse aller à une relation incestueuse, mais je n’ai toujours pas compris pourquoi.— ben, il ne m’en a pas vraiment parlé ; il m’a juste félicité et dit que j’étais le seul homme sur terre à pouvoir prendre sa place quand vous êtes séparés. Autrement, il voudrait qu’on mesure ma bite pour qu’il puisse se la représenter mieux.— Ton père est complètement cinglé… Et ça se fait comment ?— D’abord, il faut bander, et ensuite prendre une règle ou un mètre de bricolage et un mètre de couturière pour le tour.— Tu veux qu’on le fasse maintenant ? Ça m’intrigue ; je ne savais même pas qu’il avait mesuré la sienne.— Il a dit que sa bite mesure 13 cm de long et 10 cm de circonférence.— Et bien, déshabille-toi,  on va mesurer ça ; j’ai une règle de trente centimètre et un mètre de couturière. Je vais chercher ça. Tu peux démarrer le film, si tu veux… de toute façon, on a toute la nuit et tout le week-end pour rester au lit.
Brice démarra le film et retira son pyjama. Il avait la bite au garde à vous et fut heureux de voir sa mère revenir nue également. Elle avait amené tous les instruments de mesure nécessaire ainsi qu’un papier et un crayon pour noter. Line s’agenouilla entre les cuisses de son fils, posa son matériel sur le canapé et prit en main sa belle verge.
— Pour avoir une mesure correcte, il faut que tu bandes bien, expliqua Line avant de prendre en bouche le sexe de Brice.— Oooh… Maman… Oh oui…— Tu aimes quand Maman suce ta grosse bite, mon Poussin ?— Oh oui, c’est trop bon. Oooh… Oh putain ! Pardon !… Aaah…— Je ne l’avais pas pris pour moi, Poussin, et ça ne me gêne pas ; une mère qui taille une pipe à son fils doit bien être un peu putain, quelque part… Mais je préfère Salope… Mmm… Quelle bite… Mmm… Trop bonne…— Oooh… Tu m’excites, Maman… J’ai l’impression que ma bite va exploser… Aaah… Je n’ai jamais été aussi dur.— C’est vrai qu’elle est vraiment bien gonflée… Mmm… Et ce gros gland… On devrait prendre une photo pour ton père, comme ça il pourrait s’en faire une image concrète. Mmm… Il faut que j’arrête de te sucer sinon, tout sera à recommencer.— Commence par la circonférence… Là, je dois être au max.— Si tu veux… En plus t’es un peu renflé au milieu… presque 13 centimètres, 12,6 pour être précise. Si j’avais eu un pied à coulisse, j’aurais mesuré ta largeur…— Divisé par pi, ça fait environ 4 centimètres. Tu veux bien me sucer encore un peu ? S’il-te-plait, Maman ?— C’est si gentiment demandé. Mmm…— Oooh… C’est trop bon… Oh oui…— Mmm… Je vais mesurer ta longueur, maintenant.  Hou, ça c’est une bonne grosse bite bien dure… Tiens la règle comme ça ; je vais utiliser le crayon pour faire une équerre au bout de ton gland… 22,7 centimètres ; à trois millimètres près, ta bite faisait exactement 10 centimètres que celle de ton père.— Il n’a peut-être pas été aussi précis… Ooooh…— Mmm… Tu veux bien prendre mon téléphone et faire une photo pendant que je te suce ? Je voudrais l’envoyer en SMS à ton père avec tes mensurations.— Oooh… Oh oui, Maman, suce moi comme ça… Aaah… C’est trop bon…
Line suçait son fils en douceur, toute sa longue verge ne rentrait pas dans sa bouche et sa mâchoire était distendue ; mais elle le regardait avec de la joie dans les yeux. Brice attrapa le téléphone, prit un cliché et envoya l’image à son père avec en commentaire « longueur 22,7 et circonférence 12,6 ». Il signa par son prénom en précisant que sa mère le suçait encore.
Line mit fin à sa fellation après l’envoi du message, la bite de Brice était dure comme du bois et elle avait envie d’en profiter. Elle grimpa sur son fils en l’embrassant avec passion et s’empala ensuite sur son obus monstrueux. Elle procéda avec lenteur le regard plongé dans celui de Brice rempli de bonheur et d’incrédulité.
— Oooooh… Maman…— Chut, Poussin… Hou… Ça y est… Mmmm… Petit coquin, tu es tout entier dans Maman… Aaaah, ah oui, Poussin… Laisse faire Maman…
Line montait et rabaissait son bassin, faisant elle-même coulisser la verge puissante de Brice dans son vagin. Cela faisait 20 ans qu’elle se satisfaisait de la bite de Gabriel, qu’elle n’avait jamais considérée comme petite, et elle sentait bien la différence. Elle se sentait remplie, écartelée, mais en agissant doucement, elle laissait à son corps le temps de s’adapter à ces nouvelles dimensions. Brice avait posé ses mains sur ses fesses qu’il caressait en accompagnant ses mouvements. Ils s’embrassèrent encore, les doigts du garçon se promenaient dans le sillon entre les deux globes charnus, mais, arrivés près du but, ils se faisaient hésitants. Line se mit à bouger avec un peu plus d’amplitude ; un majeur rentra en contact avec sa rosette et en caressa la fine peau plissée. Elle était de plus en plus excité et dans l’attente. Brice s’enhardit enfin et sa mère poussa un gémissement de satisfaction en sentant le doigt la pénétrer. Leur accouplement devint plus rapide et sauvage ; ils étaient maintenant totalement allongés sur le canapé, Brice dessous et Line le chevauchant. C’était lui qui menait, maintenant, la danse, actionnant son pilon à grands coups de reins. Elle en criait d’extase entre deux baisers fougueux et clamait sa jouissance. Brice sentit son tour arriver et l’annonça en se rappelant qu’elle voulait qu’il jouisse sur elle.
— Aaaah ! Vas y ! Jouis ! Jouis dans Maman, Bébé !— Ah oui ! Aaah ! Je viens, Maman !
Line sentit la verge de Brice se caller au plus profond de son être, la sentit grossir encore au passage de son foutre et la sentit expulser puissamment son flot de semence contre les parois de sa matrice.
— Oh mon Bébé, mon Poussin, mon tout petit… Dit Line le regard mouillé de joie et d’émotion.— Je t’aime, Maman… Si tu savais comme je t’aime.— Je sais, Poussin, moi aussi je t’aime… Beaucoup trop. Lui répondit-elle en se serrant à lui.— Pourquoi tu dis ça ?— Parce que je suis ta mère et que c’est totalement immoral et déraisonnable… Je suis une vilaine maman.— Au Diable, la morale et la raison ! Tu es la maman la plus douce et la plus belle de tout l’Univers ; on s’aime et c’est tout ce qui importe.— Oui, mon Poussin d’amour, c’est tout ce qui importe… Hi hi ! Je crois qu’on a loupé la moitié du film ; en tout cas, moi, je n’ai absolument rien suivi.— Moi non plus, je n’ai rien suivi. On ferait mieux de l’arrêter. Je suis tellement bien, allongé tout contre toi…— Et dans notre lit ? On ne serait pas mieux ?— Notre lit ? Mmm… Oui, on y sera bien mieux
Brice prit ainsi la place abandonnée par son père le matin même et ils s’enlacèrent à nouveau en s’embrassant et se caressant avec tendresse. Le garçon ne cessait de complimenter sa mère pour sa douceur et sa beauté et elle vantait sa jeunesse, sa force et sa virilité. A force de se cajoler, Brice se remit à bander pour la plus grande joie de Line qui avait encore envie de jouer avec sa jolie bite.
— Petit coquin, tu n’es jamais fatigué alors… Tu vas voir ce que Maman va te faire.— Oooh… Oh oui, Maman… Tu suces trop bien.— Mmm… Merci, je vais te sucer et te branler dans ma bouche… Mmm… Jusqu’à ce que tu me donnes ton bon lait.— Aaah… Ah oui… Aaah, c’est trop bon…
Line suçait avec détermination en prenant en bouche le plus qu’elle pouvait et elle masturbait d’une main la base de la verge épaisse en caressant et massant de l’autre la belle paire de couilles de Brice.
— Aah oui, Maman ! Continue comme ça… Dit Brice en posant ses mains sur la tête de Line. Bouffe bien ma queue… Ah oui, Salope… Tu vas y arriver, Maman !— Mmf !— Aah ! Ah oui, Putain !… Aah !… Vas y !… Bouffe mon jus !… Ah oui, encore !… Aah ! Avale ça, Salope… Aaaah… Aah oui, c’est trop bon, Maman… Houlà… Excuse moi, c’est sorti tout seul…— Oh non, j’ai bien œuvré pour ça.— Je parlais des insultes… Pardon, Maman, j’ai honte.— Ce n’est rien, Poussin, et puis, ce ne sont pas des insultes puisque c’est la vérité. Une maman qui suce son bébé pour se gaver de sa bonne purée crémeuse, est forcément une salope ou une putain. Je suis ta Maman-Salope, mon Poussin, ou ta Maman-Putain, comme tu préfères.— Tu es ma Maman, c’est tout, ma Maman que j’aime et que j’adore, qui vient seulement de me vider les couilles…— Et toi tu es mon Poussin d’Amour…
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