Merci à REDFLAG, l’inspirateur de ce récit. Il se branlera même en le lisant ! Mes parents, bien que libertaires, étaient très stricts sur les notions de franchise et d’honnêteté. À la suite d’un mensonge, j’ai eu droit à une bonne raclée. Mon père m’a enlevé le pantalon et le slip, il m’a posé sur ses genoux pour que je reçoive la dégelée ! J’avais 16 ans, donc j’avais passé l’âge. Il a commencé à me tabasser les fesses. Il me faisait mal et pourtant, j’ai bandé. Je bandais tant et si bien qu’il s’en est aperçu, ainsi que ma mère. C’est ma mère qui lui a demandé de cesser. Quand il m’a redressé, je bandais toujours. Je ne savais que faire, j’avais honte. Ma mère, pour me consoler, m’a pris dans ses bras. Elle m’a embrassé au bord des lèvres, puis carrément sur la bouche. Sa langue est venue dans ma bouche : je bandais de plus en plus. Elle a pris ma queue dans sa main et devant mon père qui du coup, sortait aussi sa bite m’a branlé lentement, pas comme je me faisais. Je voyais mon père se branler devant moi. La jupe de ma mère remontait bien-sûr, sans vraiment le vouloir, j’arrivais à lui caresser l’intérieur des cuisses. Elle s’est dépêchée de me faire jouir, m’a gardé près d’elle et a demandé à mon père de venir la lui mettre. Elle s’est mise debout, accoudée à la chaise, penchée en avant. Je pouvais tout voir quand mon père est venu derrière elle, il lui a demandé si elle le voulait devant ou derrière. Elle s’est légèrement tournée pour lui demander de l’enculer en me présentant son abricot pour que je la lèche ! C’est ainsi que j’ai commencé les amours familiales. Il nous arrivait souvent de baiser tous les trois, sauf quand mon père était absent, j’avais la permission de la baiser ou l’enculer. J’aimais et j’aime toujours la sodomiser : son anus semble fait pour ma pine. En plus, quand elle jouit, elle me fait jouir. Un jour excité par je ne sais quoi, quand j’avais 18 ans, j’ai eu droit à une récompense. Ma mère m’a offert à mon père pour la remplacer : elle lui donnait mon cul. J’avais peur de cette première fois. Pourtant malgré la grosseur de sa bite, il a su me donner du plaisir. Nous sommes allés nous coucher. Il m’a mis en levrette, m’a fait bander en me prenant la queue dans sa main pour me branler. Il branlait bien le salaud, il a craché sur ma pastille, en présence de ma mère qui surveillait pour qu’il ne me fasse pas mal. Il a d’abord enfoncé un doigt qu’il a fait tourner pour élargir l’anus. Je me suis conduit comme si je devais aller à selles. C’est juste à ce moment, quand j’étais bien ouvert, qu’il m’a enculé. La vache de plaisir : je ne connaissais pas cette façon de baiser. Depuis, je ne sais m’en passer, même maintenant que je suis marié à une salope. Je ne sais combien de fois je me suis laisser enculé. J’ai regretté que ce soit si vite fini quand il a déchargé dans mes entrailles. Le rôle de ma mère était simple, elle s’occupait de ma bite: elle me branlait. J’avais compris le plaisir qu’elle avait quand je l’enculais ou qu’elle le demandait.Un peu plus tard, j’ai surpris ma sœur dans son bain. Malgré la mousse je voyais son jeune corps nu, je voyais surtout les remous qu’elle faisait en se branlant. Elle avait les jambes sur les bords de la baignoire. Je venais pour la laver à ma façon. J’avais bien le savon dans ma main. C’est d’ailleurs tout ce que je portais, j’étais nu et je bandais.Elle a accepté mon aide. J’ai caressé sa poitrine sans qu’elle arrête ses caresses sur son clitoris. Elle a quand même tourné la tête pour me prendre dans sa bouche. Elle m’a sucé comme je ne l’avais jamais été. Ma mère n’aime pas tellement sucer une bite, ni mes copines, alors la bouche de ma sœur devenait précieuse. Elle a joui avant moi. Elle m’a caressé les couilles et mit un doigt dans le cul. Elle l’a enfoncé profondément à me faite jouir dans sa bouche. Elle n’a rien rejeté, elle s’est léché les lèvres comme si elle avait goûté un délice. La suite bientôt
