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Angel'seven. I. Angela.

Chapitre 4

Divers
Il la poussa dans un escalier qui descendait et qui ressemblait à l’escalier d’un donjon, et détonnait à l’intérieur de cet édifice moderne. Angela ne fut même pas étonnée car plus rien ne la surprenait vraiment - elle avait compris de quels prodiges était capable cet ange.Il la fit descendre, et cette descente dura une bonne dizaine de minutes, un temps qui lui parut interminable, d’autant qu’il avait toujours son index fiché au plus profond de son sexe et son autre main qui lui enserrait la nuque ; le plus désagréable était cette main puissante qui lui broyait le cou, car si le doigt tout au fond d’elle l’obligeait à marcher sur la pointe des pieds, il ne lui provoquait aucune douleur ; il avait même tendance à réveiller en elle une sensation trouble et sourde, accompagnée de la honte de trouver ça agréable.
L’escalier déboucha sur une salle nue dont les limites n’étaient pas visibles, perdues dans l’obscurité ; la lumière qui éclairait l’espace était rouge, violette et verte.
Transportée par les bras d’une force herculéenne elle se retrouva bientôt plaquée sur une sorte de planche sur laquelle ne reposait que son ventre.Son cou fut attaché par une corde qui laissait passer tout juste assez d’air dans sa gorge pour respirer, ses poignets et ses chevilles furent enserrés dans des anneaux de métal qui s’étaient refermés en un clic, une fine sangle de cuir étrangla sa taille, la plaquant à la planche.
La planche monta, comme suspendue dans les airs. Et là, elle vit l’ange, devant lui. Son corps était terriblement musclé, avec une peau à la teinte indéfinissable (brune, grise, noire ?) et luisante. Mis à part ça, et les bruits de sabot qu’il faisait en marchant, il était beau comme un culturiste, un culturiste géant.
Et puis elle vit au bas de son ventre quelque chose qui provoqua en elle une soudaine frayeur : un phallus raide, arqué, noueux et large, terminé par une tête ronde, rouge vif, grosse comme une balle de golf. La créature bandait et c’était impressionnant.
Elle le vit faire le tour d’elle. Puis elle sentit des doigts crochus et puissants attraper ses poignées d’amour et se refermer comme des serres sur sa chair ; elle sentit son sexe s’ouvrir, écarté par une chose volumineuse et glacée, qui, s’enfonça en elle, lentement mais d’un seul tenant.Elle ne ressentit aucune douleur, l’intromission s’était faite toute seule, comme si le membre était gluant.Puis ce qui était d’abord glacé se mit à changer de température, et elle sentit une chaleur l’irradier et l’envahir, monter de son vagin jusque dans son ventre et ses fesses.
L‘être se mit à la pilonner et une émotion étrange l’envahit, une émotion terriblement violente qu’elle n’avait jamais ressentie quand elle faisait l’amour avec son mari : c’était comme quelque chose qui lui vidait la poitrine, des vagues croissantes de plaisir, des ondes de jouissance comme autant de chocs puissants qui semblaient naître en elle et l’anéantissaient à chacun d’eux. Elle poussait des cris de stupeur et d’effroi, perdant le contrôle de façon rythmique.
Quand, au bout ce qui lui sembla un bon quart d’heure, il se retira, elle ressentit comme une sensation de vide, de manque.
La prenant par les cheveux il lui souleva la tête de force : elle se retrouva devant cette chose, gluante et veinée, ressemblant à une racine maléfique, mais qui palpitait et battait comme si elle était vivante. Et cette boule, mon Dieu ! Grosse comme une balle de squash et luisante, et pulsatile comme un cœur.Elle eut juste le temps d’apercevoir en dessous des bourses aussi grosses que des couilles de taureau, elle emboucha contre sa volonté cette chose qui fit des va-et-vient rapides entre ses lèvres, emplissant toute sa cavité buccale, butant à chaque coup contre ses amygdales, tandis qu’il la maintenait par ses cheveux blonds.La chose se retira enfin, après un temps qui lui parut infini, et elle la vit se dilater comme un tuyau d’arrosage qui va éclater ; puis elle reçut en plein visage des jets de foutre épais, une vingtaine de jets au moins, et sa figure fut totalement recouverte de cette crème gluante.
La planche se leva encore dans les airs, et elle se retrouva à plus de deux mètres du sol.
Quand la semence qui s’écoulait de son visage et finissait en petites flaques sur le sol fut tombée de ses yeux et qu’elle put les ouvrir, elle vit la créature tendre ses mains immenses et anguleuses et lui attraper ses seins qui pendaient comme des obus.Il se mit à les malaxer, tout d’abord, les presser extrêmement fort comme s’il voulait en faire sortir quelque chose, lui arrachant des cris ; puis il se mit littéralement à la traire, en tirant sur ces mamelles l’une après l’autre, sans relâcher la pression sur ces masses de chair.Elle poussait des cris aigus, qui déchiraient l’air ; lui riait de son rire tonitruant et venu d’outre-tombe.Elle vit des gouttes blanc rosâtre tomber du bout de ses mamelons de femme mûre.
« - Tu as pris du plaisir, petite salope ?! Ne dis pas le contraire, je l’ai senti. Et bien tout se paye ! Et tu es ma chose. Voilà ta ration. Et voilà pour t’apprendre à jouir comme une vulgaire petite traînée, toi que le pays tout entier révère.Voilà qui va te rappeler à tes devoirs, femelle lubrique ! Garce perverse, vipère vicieuse comme celles de ton engeance ! Tu me rappelles Eve… »
Là-dessus, armé d’un chat à neuf queues, il se mit à lui cingler les seins, lui tirant des cris déchirants et stridents ; les mamelles se balançaient comme des battants de cloche. Le diabolique tortionnaire portait ses coups avec une précision d’horloger ; la peau laiteuse se couvrit de stries rouges.
Quand il eut terminé sa flagellation méthodique, elle redescendit à hauteur du sol. Il lui montra une tige métallique terminée par une boule en acier, d’une taille à peine plus petite que le gland qui avait visité sa bouche et sa chatte quelques instants avant.Elle sentit qu’il lui écartait les fesses et quelque chose de rond et de froid pesa sur son anus. Elle eut le souffle coupé : il avait forcé son petit anneau culier et lui avait rentré la boule en entier.Elle sentit ensuite que l’autre extrémité de la tige était attachée à la corde qui lui enserrait le cou.Des cordes furent passées autour de ses seins meurtris, puis tout autour de son corps. En un instant, par on ne sait quel prodige, elle se retrouva saucissonnée comme une charcuterie francfortoise.
Le monstre se tenait devant elle, la planche était maintenant inclinée à 45°, si bien qu’elle n’avait pas besoin de contorsionner son cou pour le voir.Il rit à nouveau d’un rire démoniaque, et devant ses yeux éberlués, il se dédoubla !Deux colosses au même teint anthracite, à la même musculature saillante, aux pieds ongulés, quasiment identiques, se mouvaient indépendamment devant elle.Et surtout, constata-t-elle avec effroi, ils étaient dotés du même appendice phallique, dressé et tendu, comme elle en n’avait jamais vu !
L’une des créatures força sa bouche de sa monstrueuse queue, tandis que la seconde d’après, le deuxième monstre enfilait sa chatte d’une seule poussée. Elle sentit celle-là encore plus que la première fois, à cause de la boule métallique qui lui dilatait l’anus, et appuyait sur la mince paroi de son vagin.
Elle se sentait empalée de toutes parts et gagnée par une chaleur qui s’irradiait en elle, à partir de ses trois orifices.
Pendant combien de temps fut-elle besognée ainsi, elle n’aurait pas su le dire ensuite. Toujours est-il que ces longues minutes lui parurent une éternité, car l’énorme phallus emplissait entièrement sa bouche, coulissant entre sa langue et son palais et elle ne pouvait respirer que par le nez. L’autre, par contre, bousculait avec vigueur le fond de son vagin, butait contre son utérus, et cet ébranlement rythmique lui procurait malgré elle des sensations incroyables, provoquant toutes les trente secondes des spasmes qui prenaient tout son ventre.
Les deux énormes queues finirent par se retirer en même temps et l’ange put voir que ses yeux coulaient ; mais il savait bien que ça n’était pas à cause de l’énorme membre qui avait buté tout au fond de sa gorge, sur ses amygdales et son voile du palais, mais que ces larmes avaient jailli sous l’effet de l’extraordinaire sensation qui avait explosé dans son ventre à un rythme régulier.Il la regarda en souriant, essuya ses larmes du bout des doigts, mais ne fit aucune remarque.
Soudain en un quadruple clic elle sentit que les anneaux de métal qui emprisonnaient chevilles et poignets s’ouvrirent, mais loin de retrouver la liberté, elle sentit qu’une main puissante l’attrapait par ses cheveux blonds mi longs et la faisait descendre du chevalet, tout ceci sans brutalité et sans douleur, car elle était comme flottant dans l’air.
Elle fut moins surprise cette fois lorsqu’elle vit « l’ange » se dédoubler à nouveau. Le premier s’allongea sur le sol, sur le dos, le braquemart toujours dressé et elle se vit descendre lentement jusqu’à lui, et s’empaler la chatte sur lui.Elle sentit qu’on sortait la boule de métal de son trou du cul, ce qui lui provoqua au passage une sensation terrible.Mais immédiatement elle sentit deux grandes mains s’emparer de ses fesses et commencer à les malaxer puissamment, les pincer fortement, et l’énorme queue coulisser et faire des va-et-vient dans son sillon fessier, se frottant avec insistance, au passage, contre son œillet encore dilaté.
Soudain elle fut estomaquée, sentant le second gland forcer l’entrée étroite de son cul : ses yeux s’écarquillèrent comme des soucoupes, sa bouche s’ouvrit mais aucun son n’en sortit ; par contre, le troisième « ange » en profita pour y enfiler son énorme phallus, l’empêchant définitivement de parler.Le deuxième vit progressait péniblement dans son fondement, centimètre par centimètre, et empalée par ses trois orifices, elle se voyait dans sa tête comme un papillon épinglé sur un tableau de liège.
Des mains noueuses malaxaient ses seins mous, d’autres lui trituraient, lui travaillaient les fesses comme de la pâte à modeler, d’autres maintenaient sa tête par les cheveux tandis qu’on lui besognait sa bouche.
Avec honte et humiliation, une humiliation suprême, un désespoir profond, elle ne put s’empêcher de jouir, subissant des salves d’orgasmes se succédant à répétitions, son corps tremblant de spasmes convulsifs qui l’auraient secouée comme une électrocutée, si elle n’avait pas été maintenue fermement par toutes ces mains, plaquée qu’elle était sur le corps athlétique de « l’ange » du dessous, prise en sandwich par celui qui lui défonçait le cul, la bouche garnie et occupée entièrement par la queue du troisième.
Ses larmes coulaient désormais en abondance mais c’était sous l’effet de l’extase intense de ses jouissances, du lait perlait de ses mamelons sous l’effet de la traite violente de ses seins malmenés, la sueur coulait sur tout son corps dodu.
A un moment donné ouvrant grands les yeux sur la lumière rouge tamisée qui baignait la scène de son supplice, elle vit plusieurs nouveaux exemplaires de « l’ange », en particulier deux autres queues aussi larges et aussi dressées que les premières, et ses mains inoccupées se trouvèrent attirées par elles.La tête vide, et sans vouloir s’avouer cette excitation, elle mit sur le compte d’un maléfice son double geste : elle saisit en effet un phallus humide de chaque main et se mit à les branler lentement, rythmiquement, et avec l’application experte qu’aurait montrée une professionnelle du port de Hambourg.
Des grognements sourds de bête en rut emplirent la pièce voûtée ; soudain une main l’attrapant par les cheveux lui tira la tête en arrière, et la queue monstrueuse sortant de sa bouche se retrouva à dix centimètres de son visage, et l’éclaboussa comme un geyser, d’un jet suivi d’une vingtaine d’autres (lui démontrant bien, s’il le fallait encore, la nature surnaturelle de l’être à qui elle avait à faire) ; la semence épaisse semblait rouge comme du sang, et gouttait au fur et à mesure qu’elle éclaboussait et entartrait son visage comme un masque.Puis ce fut le tour de l’une des queues qu’elle branlait d’asperger sa gorge et sa poitrine, puis à l’autre. Enfin, alors qu’elle ne sentait plus son fondement à force d’avoir été emboutie rythmiquement par les deux membres – ou à force d’avoir joui comme une mitraillette sous leurs assauts cadencés, elle les sentit gonfler encore et dilater d’avantage ses orifices : elle poussa un cri de frayeur comme de surprise, et reçut un double lavement vaginal et rectal ; son ventre gargouilla, son vagin fut comme arrosé d’un jet à forte pression et se mit à déborder, la semence gluante lui coula le long des cuisses.
La petite femme ronde, partouzée diaboliquement et sans relâche pendant des heures, en demeurait pantelante, les jambes molles, sans aucune force, presque incapable de se mouvoir. Elle se retrouva finalement soulevée de terre comme un fétu de paille, portée sous les bras par des bras puissants.Une voix grave, envoutante, qu’elle connaissait bien lui parla tout près d’elle, comme sur le ton de la confidence :
« - Vous m’avez surpris, petite Madame. Je n’aurais pas cru qu’il y avait en vous autant de ressources, je n’aurais pas pensé que vous y étiez si douée pour la lubricité… en somme, je n’imaginais pas qu’il y avait en vous une telle salope ! »
Ces mots auraient pu la précipiter dans un désespoir profond s’ils n’avaient été dits avec une grande douceur, non sans ironie, mais avec une pointe d’admiration.
« - Je pense que vous avez simplement joui en une nuit autant que vous auriez dû le faire pendant toutes ces années où votre activité politique vous a trop occupée et trop fatiguée pour que vous puissiez vous consacrer à ce que toute femme, normalement constituée, se consacre avec un ou plusieurs maris, un ou plusieurs amants.En somme je vous ai aidée à rattraper le temps perdu.Votre orgueil de femme fière et arriviste, avide de pouvoir, aurait pu vous perdre totalement, mais en quelque sorte, je vous ai sauvée, et empêchée de passer à côté de quelque chose qui aurait pu vous manquer dans quelques années.Je vous ai fait connaître quelque chose que vous n’aviez jamais connu, n’est-ce pas ? »
Elle le regarda, l’air las, mais avec une sorte de terreur dans les yeux.
« - N’est-ce pas ?! » répéta-t-il tonitruant, l’ayant saisi par la chatte, sa main s’étant refermée sur son mont de Vénus rebondi. « Avouez que vous avez joui comme jamais ! — Oui, oui… j’ai joui… Ah j’ai joui… J’ai honte » ajouta-t-elle en baissant la tête.— Il ne faut pas, petite Madame. Vous êtes faite de chair, et la chair est faible. Mais là n’est pas votre plus grande faiblesse… »
Un silence, puis elle rétorqua :
« - Je crois que j’ai compris la leçon.— En effet, c’est bien possible.— Que voulez-vous… ? Que voulez-vous DESORMAIS ?— Oh vous savez, si un de ces soirs, la chair vous travaillait… n’hésitez pas à m’appeler. Je n’hésiterai pas à venir à votre secours… moi, et mes clones…— …— Oui, je sais. Vous êtes bien peu en proie au désir. (Quoique… l’appétit vient en mangeant…)— Que voulez-vous… ? » répéta-t-elle.« - Rassurez-vous, je n’en veux pas à votre âme. (Quoique… Enfin, pour ce qui est de votre âme, je ne suis pas seul à décider… et hélas, ça n’est pas gagné… mais passons » dit-il avec un air de mépris, balayant de la main un adversaire invisible.« Je veux surtout rester près de vous, pour vous guider. Pour être sûr que vous ne vous égariez pas. Que vous ne fassiez pas les mauvais choix politiques.Les Grecs, par exemple, ces dépravés, ont eu ce qu’ils méritaient. Il est fini le temps des prodigalités, des délices de Capoue, des lendemains qui chantent, de l’oisiveté gracieuse… Tout se paie, et vous le savez bien… !— Euh oui…— N’oubliez pas que si vous me déceviez, vous savez de quoi je suis capable. Imaginez dans la presse à scandale une photo de vous en plein exercice, exercice comme celui de tout à l’heure !Je resterai là dans l’ombre, pour guider votre main. Quand vous douterez je serai là, vous encourageant avec mon sourire. Continuez mon œuvre, et je saurai vous montrer ma reconnaissance. »
Là-dessus il disparut.L’instant d’après, comme par enchantement, elle se retrouva sous la douche, dans SA douche, à côté de sa chambre, l’eau ruisselant sur elle, son corps déjà propre ; l’eau était chaude, c’était bon. Plus aucune trace sur elle de stupre, pas d’odeur louche ; son entrecuisse semblait déjà apaisée, son petit trou, entre ses fesses, déjà refermé et indolore.Elle savait désormais de quelles prodiges « l’ange » était capable, de ce qu’il pouvait faire ou défaire.
Elle se rinça, se sécha, s’enveloppa de son peignoir de bain, chaud et moelleux. Elle rentra dans la pénombre de sa chambre, son mari dormait. Il était 4 heures du matin.Elle se recoucha, sourit. Elle avait de grandes choses à accomplir.

FIN DE LA PREMIERE PARTIE
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