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angelique et sa mere

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle David, j’ai 18 ans, je suis lycéen en terminale. J’ai depuis environ trois mois une relation avec une fille très charmante qui répond au doux prénom de Angélique. Elle est magnifique, avec sa jolie chevelure blonde qui lui descend jusqu’au milieu du dos, son visage qui complète son prénom et son sourire qui damnerai les saints les plus pieux. Elle mesure 1 mètre 70, pèse 55 kg, un corps de rêve, des jambes douces à souhait qui ouvrent sur un Eden épilé et une croupe à la cambrure parfaite. Ses seins sont ni trop petit, sans être trop volumineux (90B), une petite forme de poire qui tend le téton vers le ciel en signe de quémande de caresses et de baisers. Notre rencontre fut des plus banales, une soirée d’anniversaire, des amis et amies, de l’alcool, et de la musique. La recette parfaite pour créer les couples. Le début de notre relation me sembla très lent, elle n’avait pas connu beaucoup de garçons, ses gestes étaient inappliqués et même presque tremblotants par moment. Mais une belle chaleur l’emplissait tout de même, le temps allait lui apprendre l’art du plaisir.Les premières relations physiques se sont déroulées sur un rythme de quinquagénaire aigri. Au fur et à mesure j’ai commencé par allongé la durée des préliminaires par des attouchements de plus en plus précis et appuyés, puis par un essai de cunnilingus qui s’est avéré très libérateur. Elle a joui sous les mouvements de ma langue, plus fort que depuis le début de notre relation. Elle voulait mon sexe, mais je le lui refusait pour le moment, pour pousser au maximum son plaisir. L’attente est un très puissant aphrodisiaque, son corps se tortillait au son de ses gémissants, allant crescendo, elle me suppliait de remplacer ma langue, par une chose plus dure et plus longue. Toujours pas, elle agrippa ses mains dans mes cheveux en tendant son bassin vers mon visage, j’entrais ma langue au plus profond que je le pouvais. Elle poussa un long et profond soupir avant de se laisser retomber sur le lit. Elle était superbe, ce sourire qui clamait son plaisir, son premier orgasme la remplissait d’une joie que je ne pouvais imaginer. Je l’embrassai tendrement, elle me regarda avec une regard de braise et me rendit mon baiser. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.Au petit matin, je me réveillai au contact d’une main qui me caressait le torse. J’ouvris les yeux— bonjour mon ange.— tu m’as comblée hier soir.— je recommence quand tu veux.— je t’aime.Tout en le disant elle m’embrassa doucement tout en faisant descendre sa main vers mon pubis. Ma vigueur était déjà en éveil mais se raidit lorsque sa main douce l’enserra. Sa main commence à descendre doucement la peau de mon sexe, mon gland se retrouva libéré de toute entrave. Le va et vient commença à faible cadence mais avec une dextérité qui s’améliorait. Ses baisers reprirent sur le haut de mon torse, elle descendit le drap, reprit mon sexe pour y administrer un rythme plus soutenu. Sa langue s’attarda un instant au niveau de mon nombril, avant de reprendre sa descente. Je savourai ce réveil, fermant les yeux, j’attendais le contact de sa bouche. Elle redressa mon sexe à la verticale, je sentis un premier baiser au niveau de la base, puis remontant en suivant le frein. Elle redescendit pour donner un petit coup de langue sur mes testicules. J’adorais le traitement, sa langue remonta, fit le tour et alla jouer avec le haut de mon gland. -humÀ ce moment, elle reprit mon membre en main tout en remontant vers la tête de lit. Ses baisers remontèrent dans mon cou:-désolé je ne peux pas faire mieux.-ok. Je lui prit le visage et l’embrassai. A mon tour de jouer avec son corps. Elle appuya sur ma tête pour que la mienne se retrouve au niveau de son entrejambe, déjà très humide. Je repris donc mes activités buccales. Le traitement fit effet rapidement, je remontai le long de son corps pour permettre à mon sexe de se retrouver au contact du sien. Il n’y eut pas à pousser, pour que son vagin engloutisse mon dard. Le va et vient se fit en allant crescendo pour nous laisser allongés, ivres de plaisir.

À partir de là, nos rapports se sont améliorer , en tous points, nos regards étaient beaucoup plus complices, nous nous aimions vraiment. Nous avons décroché notre Baccalauréat, elle gagne sa place à l’université pour une carrière de professeur d’histoire, géographie. Pour ma part, j’ai passé les tests d’entrée chez les sapeurs-pompiers, avec brio. Nous allions pouvoir faire ce qui nous plaisait. Je décidai donc de fêter les événements.
Le soir venu, je l’invitai dans un restaurant chic de la ville. Nous nous étions habillés pour la circonstance, j’étais vêtu d’un costume noir, des plus classique, elle portait une robe longue de couleur bordeaux, qui moulait ses formes gracieuses. La robe lui recouvrait les épaules, mais laissait le dos nu jusqu’au dessus des hanches, elle ne portait pas de soutien-gorge, seule une petite ficelle nouée striait son dos, et fermait la robe. Nous dînâmes dans une ambiance des plus romantiques, en parlant de notre avenir, de nos projets. Au moment du dessert je sentis le contact, doux de son pied, recouvert par ses bas, sur ma cuisse. Le serveur nous proposait les différentes façon de terminer notre repas, le pied chéri harcelait la bosse de mon pantalon, je ne l’écoutait qu’à peine mais, je savais quel fruit je voulais croquer. Nous fîmes un choix, le serveur repartit. Mais l’appétit était différent. Nous rentrâmes chez ses parents. Arrivés dans le garage de la maison familiale elle me poussa contre le mur, me prit la bouche, me retira ma veste et ma cravate, son bassin faisait pression sur mon membre qui bandait à m’en faire mal. Tout en s’enlaçant nous avancions jusqu’au salon, je défis le nœud unique de la robe, abaissa le tissu sur les épaules, pour délivrer ses seins que je commença à titiller. Dans le salon, nous restâmes debout, je pressai la bosse de mon pantalon contre son postérieur tout en malaxant son opulente poitrine. Elle remonta sa robe jusqu’à sa taille et se pencha sur le plan de travail de la cuisine. La vue qui m’était donné de regarder était superbe, et je ne pus m’empêcher de répondre à cette invite. Je sortis mon sexe de sa prison de toile, et tirai son string assorti à la robe sur sa cuisse. J’entrai dans ce fourreau de douceur et de chaleur, avec bonheur. Ses muscles vaginaux exerçaient des pressions, puis se relâchaient pour mon grand plaisir. J’entrepris de commencer le va et vient de façon assez rapide, car la passion nous poussait, à brûler les étapes. Nos sens s’enflammaient, quand nous entendîmes du bruit dans la chambre des parents. Ils fallut se rhabiller à la hâte et faire comme si il ne s’était rien passé, mais la mère d’angélique sortit de sa chambre en comprenant qu’elle venait de couper cours à un moment d’intimité rapproché. Cela la fit sourire, elle était la digne génitrice de sa fille. La même chevelure blonde, le même visage et des formes qui ont gardées de la fermeté, au fil des années et des deux accouchements. Elle était très désirable dans une nuisette bleue, qui ne lui couvrait que quelques centimètres de cuisse, et ne cachait que le strict nécessaire.-bonsoir les jeunes.-bonsoir madame Delatour.-oh! appelles moi Cécile, David.Elle alla vers la cuisine pour boire un verre d’eau, son déhanché était ensorcelant.-d’accord Cécile. J’espère que l’on ne vous as pas réveillés.
-non, rassurez vous. Comment s’est passé votre soirée au restaurant?-très bien maman, merci.-David, veux tu rester dormir ici ce soir? Je n’aime pas que tu rentres à chaque fois au beau milieu de la nuit. -oui, m…-tu pourrais avoir un accident.-merci maman.-merci Cécile.-bonne nuit les amoureux.Nous montâmes dans la chambre d’Angélique pour finir ce que nous avions commencé, non sans rire de l’apparition de sa mère.
Le matin, nous descendîmes pour prendre le petit déjeuner, les parents étaient déjà levés.-bonjour les enfants.Angélique fit la bise à son père.-bonjour Monsieur.-tu peux m’appeler Jean, enfin.-bonjour Jean.-vous avez bien dormi, tous les deux?-oui papa.-ta mère et moi, nous allons nous balader aujourd’hui. On va sûrement aller faire du shopping et se baigner dans une petite crique.-ok, nous, nous ne savons pas encore.-bonjour les amoureux.-bonjour Cécile.-bonjour maman.-Cécile embrassa Jean rapidement et alla dans la salle de bain.
Le petit déjeuner pris, et après avoir saluer les parents qui s’en allaient, nous décidâmes de mettre à profit quelque heures à la recherche du petit appartement que l’on souhaitait. Après quatre agences immobilières, nous nous arrêtâmes pour manger dans un petit restaurant avant de faire à nouveau trois agences supplémentaires. Nous avions fait un tri qui nous donnait trois choix intéressants, à négocier.
Nous rentrâmes, las. On s’affala tout de suite dans le canapé. Après une poignée de minutes, elle se releva pour se mettre sur moi.-toi, tu as une petite idée en tête.-devine…-je ne suis pas sur de bien voir.Sa main descendit jusqu’à mon entrejambe.-et là…-là, je vois tout de suite mieux.Elle émit un petit rire tout en me débarrassant de mon pantalon et de mon caleçon.Elle se redressa et ouvrit son chemisier pour laisser apparaître sa poitrine nue, et profita pour retirer son petit string. Elle me fit m’allonger en se plaçant au dessus de moi, en 69. Je recevais donc à ma portée un fruit, à moitié ouvert, qui ne demandait qu’à se laisser épanouir par de douces caresses, ce que j’entreprit aussitôt. De son coté elle couvrait mon pieu de baisers et de coups de langues, qui devenaient de plus en plus experts. Son fruit était désormais ouvert et accueillant, elle se releva, en me faisant asseoir. Elle s’empala, alors, sur mon sexe bandé, la pénétration se fit sans que l’on ait à pousser. Nos sexes étaient comme fais l’un pour l’autre, mon pénis emplissait à merveille les contours de sa grotte intime. Le plaisir chauffait notre bas-ventre. Les va et vient se faisaient de façon fluide, rien n’entravait la montée du plaisir grondant. Les gémissements avaient couverts le bruit de la voiture des parents qui rentraient. Angélique avait accéléré le rythme, et me chevauchait maintenant avec vivacité, pendant que Cécile ouvrait la porte du salon, nous surprenant en plein ébat. Le temps que Angélique comprenne que sa mère venait d’entrer, cette dernière avait eut le temps d’admirer l’habilité de sa fille ainsi que l’objet de son plaisir.-eh ben! Vous n’arrêtez pas tous les deux, dit-elle sur un ton léger.Nous nous rhabillâmes, gênés, mais très excités.-tu manges avec nous ce soir, David, on va se faire un petit barbecue.-volontiers.-vous savez ce que je pense?-non, répondîmes en chœur.-que vous devriez monter pour finir ce que vous avez commencer, avant que Jean ne vous voit ainsi débraillés.-merci maman.-merci Cécile.Elle nous adressa un petit clin d’œil et nous regarda monter les escaliers.Nous fîmes voler nos vêtements et nous reprîmes où nous nous étions arrêtés. L’orgasme fut rapide et violent. -ta mère a l’air très à l’aise avec la sexualité?-oui, avec mon père, ils sont, ce que l’on peut dire, chauds. Ils font l’amour très souvent. Je les entends parfois.-c’est beau pour un couple qui a vécu autant d’années ensemble.-oui, c’est vrai.Nous prîmes une douche avant de descendre dans les jardin.Il était encore trop tôt pour préparer le barbecue, on s’offrit donc un bain de soleil, bientôt rejoins par Cécile qui arborait un maillot deux pièces noir. Le tableau qui s’offrait à moi était magnifique, ma fiancée et sa mère, aussi séduisante l’une que l’autre, à moitié nue devant moi. Cécile s’installa dans une chaise longue, alors que Angélique et moi étions allongé au sol.Un instant plus tard, Cécile se redressa:-David, cela ne te dérange pas que j’enlève le haut.Ce qu’elle fit en le disant.-maman! Dis Angélique indignée-il n’y a vraiment pas de mal, répondis-jeElle m’excitait de plus en plus, malgré moi. Je chuchotai à l’oreille de ma bien aimée:-pourquoi ne fais tu pas pareil? Il n’y a pas de honte.Elle me regarda, puis elle réalisa mon fantasme.Je bandais comme un fou, Angélique l’avait remarqué mais Cécile aussi. Elle souriait. Elle s’allongea pour se détendre au maximum, j’en profitai pour titiller le téton de ma chérie. Elle me regarda avec un regard qui veut dire « tu ne peux pas. Pas ici. ». Je lui souris en m’abaissant pour pouvoir taquiner ce même tétons, elle se détendit. Je relevai la tête pour voir si Cécile ne voyait rien, je vis immédiatement qu’elle avait replier ses jambes, ce qui m’offrait une vue imprenable sur son entrejambe, à moitié caché par son bas de maillot. Je me risquai à passer ma main dans la culotte de ma tendre, et remarquai sans surprise que la situation l’excitait. Je commençai alors à lui caresser le clitoris doucement, elle ferma les yeux et se laissa aller. Pour ma part, je gardais un œil sur sa mère par, soi-disant, prudence. Angélique passa une main dans mon caleçon et entreprit de me masturber, avec lenteur pour éviter le bruit. Pourtant de tous petits sons durent se faire entendre car je vis se dessiner un sourire sur les lèvres de Cécile. Cela m’enflamma, j’entrai un doigt dans le con juteux que j’avais à ma portée, mon doigt entra dans un glissement, qui fit un petit clapotis. Le sourire de Cécile s’agrandit. Je contractais ma verge très fort dans la main qui l’enserrait. C’est alors que je vis Cécile se pincer le téton entre deux doigts, je faisais aller et venir mon doigt. Cécile ouvrit un œil, son regard plongea dans le mien, puis elle regarda la scène, ma main dans la culotte de sa fille, qui branlait ma verge avidement gonflée. Cécile s’attarda un peu plus sur ce dernier détail, avant de recroiser mon regard. Angélique, alors se redressa pour vérifier que sa mère n’assistait pas à la scène, sans pour autant lâcher mon sexe. Cécile feignit le sommeil. J’embrassai Angélique, avant de lui butiner ses deux tétons. Je savais que Cécile nous regardait. J’entrai un deuxième doigt dans la grotte intime de ma belle, tout en me relevant pour voir que maintenant Cécile avait enfoui une main au creux de ses jambes, qui étaient toujours relevées. Je la vis faire rentrer un de ses doigts à l’intérieur de son abricot doré. Je n’en pouvait plus, il fallait que je décharge. J’en souffla mot à ma compagne:-je reviens tout de suite.-ok.Je l’embrassai et elle mit son tee shirt sur ses yeux. Je me mis debout, le sexe dépassant du haut de mon caleçon, je m’avance vers la porte vitrée donnant sur le salon. Mais la main de Cécile se pose sur mon bas ventre, pour que je m’arrête, je lui fait signe d’attendre. J’ouvris la porte vitrée, puis pris un poste que j’allumai et qui diffusait une musique calme tout à fait adéquat. Je revins vers Cécile, qui me sourit et mit sa main sur mon caleçon, puis le baisse pour qu’apparaisse ma verge fièrement érigée. Sa main passa sur mes fesses, elle m’approcha, me donna un coup de langue à l’extrémité de mon gland. Sa main enserra mon membre et le branla. Sa bouche, enfin, enveloppa mon sexe. Je regardai maintenant Angélique dans l’espoir qu’elle ne nous surprenne pas. La bouche de sa mère était chaude et accueillante, elle était experte pour la fellation. Elle faisait aller et venir sa bouche le long de ma verge, puis remit sa main sur mes fesses et imprima des mouvements de mon bassin. Je pris le relais en faisant entrer et sortir ma tige de chair dans sa bouche si douce. Elle me poussa en avant et ma bite entra jusqu’à la garde. Je n’y croyait pas. Je crus décharger immédiatement, mais m’en retint. Je repris mes va et vient, tout en enfonçant de temps en temps mon sexe au fond de sa gorge. Mais cette manœuvre est trop audible et je vois Angélique sourire, a-t-elle compris? Je me permis de profiter de l’aubaine en caressant un peu le corps offert. Ses seins, plus lourds mais bien fermes, son sexe épilé entièrement, et très humide. J’y insérai un doigt que je fis aller et venir, sans pour autant arrêter mes mouvements de bassin. J’allais jouir, mon sexe avait ses premiers soubresauts mais Cécile me retint dans sa bouche. J’acceptai cette merveilleuse invite et éjaculai de longs et épais jets de sperme au fond de cette gorge. Cécile avala tout et me nettoya le sexe. J’allai tout de même au cabinet.
À mon retour Jean était revenu, il avait été soigner leurs chevaux à quelques kilomètres de là. Il était l’heure de faire le barbecue. Le repas se passa dans une ambiance conviviale avec toutefois, certains regards complices. Je remerciai Cécile et Jean pour cette généreuse invitation et me retirai. Angélique me raccompagna jusqu’au portail, m’embrassa et me souhaita bonne nuit. J’en fis de même.
La nuit était glaciale, pourtant j’ouvris ma vitre pour me rafraîchir. Toute cette journée fut riche en émotions, je me remémorai les passages les plus excitants, en repensant surtout à Cécile, qui m’avait vraiment surpris, tout en roulant doucement sur les routes sinueuses de la campagne bretonne. Le trajet parut ne pas avoir eut lieu, j’arrivai chez moi en un battement de cilsPour fêter l’accord de location d’un appartement que nous avions visité , j’allais attendre Angélique à la sortie de l’université. Je vis sortir une troupe d’étudiants, pressés de rentrer chez eux, parmi quelques ravissantes étudiantes. Je vis ma tendre et sortis pour l’accueillir, elle quitta ses amies et me sauta dans les bras. Nous discutâmes des journées respectives, avant d’aller dîner au restaurant. Elle proposa d’aller au cinéma, ce que nous fîmes volontiers. Le film était de bonne qualité, du fait, nous sommes restés sage durant la séance, et même après l’avoir raccompagnée chez ses parents, nous nous contentâmes d’une tendre étreinte parfumée de mots doux.
Nous nous étions donnés rendez-vous pour le lendemain, aux écuries familiales. le complexe était composé de cinq box, un pour chaque cheval, et d’un cercle d’entraînement d’une dizaine de mètres de diamètre. Angélique arriva, rayonnante dans un pantalon très moulant, une veste de cowboy, ainsi que les bottes et le chapeau. Nous sellâmes nos montures et partîmes pour une belle ballade. La journée était ensoleillée, avec une chaleur presque lourde, malgré ce mois de novembre naissant. Nous empruntâmes des chemins au cœur de forêts somptueuses, puis au bord de la mer où nous fîmes la course jusqu’à un arbre, plus que centenaire, qui était notre halte. Nous venions souvent ici, c’était comme notre endroit privilégié, nous avions une vue imprenable sur la mer, tout en étant toujours en pleine forêt. Le coin était reculé et n’était visité que par de rares randonneurs. Nous laissâmes nos chevaux près du ruisseau qui coulait près de là, dans le but de pouvoir s’allonger et profiter de la vue. Le silence nous envahissait ainsi que l’immensité du décor, le repos complet que nous savourions, était très bénéfique. Au bout de vingt minutes, je me relevai et m’étirai comme après une longue nuit. Angélique m’imita avant de me plaquer contre l’arbre, sa bouche chercha la mienne, puis sa langue. Je sentais sa poitrine se soulever et rabaisser, son cœur battait à la chamade. Elle me déshabilla entièrement, et s’agenouilla devant moi. Je reçu le premier coup de langue sur mes testicules, ma peau s’électrisa, la peau de mes testicules se resserra, je bandais très dur.-tu aimes?-j’adore mon amour…Je la regardai œuvrer, sa langue parcourait maintenant mon sexe sur toute sa surface, elle me regarda, en plaquant ma verge sur mon ventre. Elle lécha mon membre sur toute sa longueur, tout en le laissant revenir en position initiale. Elle recroisa mon regard, avant de reposer son regard sur ma colonne de chair qui palpitait juste devant sa bouche. Elle s’approcha, lécha le dessus de mon gland, et posa sa bouche dessus. Elle fit rentrer doucement mon gland dans sa bouche, pour le ressortir rapidement. Je croyais qu’elle n’allait pas pouvoir faire plus mais elle reprit mon sexe en bouche, alla un peu plus profond, puis revint. Elle commença à imprimé un petit rythme, tout en avalant un peu plus à chaque fois. Je savourai sa première fellation avec béatitude. J’ouvris les yeux pour constater qu’elle engloutissait les trois quarts de ma hampe. Je la pris par les aisselles pour la faire se relever et l’embrassai.-je t’aime.Elle me gratifia d’un sourire enchanteur. Je lui ôta ses vêtements, devenus inutiles, et la fit s’allonger sur moi. Notre premier « vrai 69 ». Par bonheur elle remis ma tige dans le fourreau de sa bouche, et me suça avec plus d’avidité. Je m’occupai immédiatement d’ouvrir sa conque humide, qui ne tarda pas ouvrir ses pétales, imprégnées de cyprine. Elle se remit dans mon sens, pour s’empaler sur mon sexe bien lubrifié. Les pénétrations se faisaient de plus en plus parfaitement, elle était déchaînée, et me chevauchait avec ardeur, nos sexes s’unissait avec volupté. Son rythme ralentit, je me relevai et me plaçai derrière elle. Sa croupe était cambrée au maximum, et son fruit juteux appelait de la compagnie. Je tendis mon bas ventre et mon sexe retrouva sa place au fond de ce douillet cocon.-plus vite chéri…Je m’activai à la contenter, en allant en venant rapidement et profondément, elle criait en réponses à mes coups de boutoirs. Je m’activai une dernière fois avant de ressortir de sa grotte baveuse. Et là elle fit ce que je n’attendais pas du tout, elle saisit mon sexe tendu à l’extrême, et le prit en bouche pour les derniers va et vient. Les premiers soubresauts arrivant, elle me masturba à hauteur de sa bouche qu’elle gardait ouverte, je déchargeai violemment sur son visage et dans sa bouche. Elle avala!!! Sans avoir l’air dégoûtée, elle nettoya même ma verge à l’aide de son nouvel engin de plaisir.Nous nous affalâmes enfin dans l’herbe, ivres d’allégresse.
Nous ramenâmes les chevaux aux box, les soignant avant de rentrer nous reposer. Nous mangeâmes rapidement, en l’absence des époux Delatour, partis pour une soirée en amoureux, avant d’aller profiter d’une douche et d’une bonne nuit de sommeil.
Vers deux heure du matin, je me réveillai avec l’envie de boire un verre d’eau. Je descendis dans la cuisine, mais en passant dans le salon, des bruits me firent m’arrêter, des gémissements, plutôt. Cela provenait de la chambre des Delatour, Cécile gémissait tandis que j’entendais Jean susurrer des mots doux et stimulants à l’oreille de son épouse. Aux sons de la voix de Cécile, je compris que leur jouissance était proche, je me hâtais de rejoindre la cuisine, sans faire de bruit. Dans le noir, je restais un instant immobile guettant le moindre bruit, puis décidai enfin de me servir le verre d’eau que j’étais venu chercher. La porte de la chambre s’ouvrit, je me tétanisai sur place, on traversait le salon. Au dessus du plan de travail, je vis s’approcher Cécile entièrement nue! Mes yeux, habitués à l’obscurité, ne loupèrent pas les détails de ce corps svelte et mon anatomie s’éveilla, malgré moi. Elle s’arrêta sur place bloquée par la surprise.-bonsoir David.-bonso….-excuses moi pour ma tenue ça ne te gène pas trop?-non, pas du tout. Elle vint auprès de moi se servir elle aussi un verre d’eau, sans montrer le moindre malaise, mais non sans remarquer ma vigueur, que retenait à peine mon caleçon. Elle s’assied devant moi, les jambes croisée.-c’était bien votre après-midi à cheval?-très apaisant. Et vous le restaurant était sympa?-très bien, mais je crois que tu as entendu que le dessert était bien meilleur.-effectivement. Je ne voul…-ce n’est pas grave, il n’y a aucune honte à avoir. Je vous entend aussi avec Angélique.-c’est vrai?-oui, tu as même l’air de bien t’y prendre avec elle et je t’en remercie.Je n’en croyais pas mes yeux et mes oreilles, mon sexe me faisait mal. Pour augmenter mon calvaire, elle décroisa les jambes sans que je puisse rien ignorer.-je fais de mon mieux.-je n’en doute pas.En se disant elle palpa la bosse qui déformait mon caleçon.-tu…tu es sur de ce que tu fais? Et Jean?-Jean serait de toutes façons d’accord, mais il dort. Et toi tu ne penses pas à Angélique?-si bien sur, enfin, vous…tu me troubles Cécile.Elle s’activait maintenant à polir mon engin sur toute sa longueur.-Angélique est-elle au courant pour notre petite aventure du week-end dernier? Elle s’agenouilla et engouffra ma bite dans l’antre accueillant de sa bouche-non, répondis-je alors, dans un râle.-et Jean?-oui bien sur, me répondit-elle, on se confie tout.-ah bon!-ne t’inquiète pas pour Jean, il n’est pas jaloux. Il est même très amusé de ce jeu, mais il pense que Angélique devrait savoir.-il n’a pas tort, mais c’est dur à expliquer.Elle reprit son activité buccale, ce qui fit le silence, je me sentais aspiré au fond de sa bouche, elle alternait les rythmes et jouait de sa langue. Je planait littéralement. je la fis se relever pour découvrir avec enthousiasme son corps nymphe. J’essaya de découvrir à l’aide de mes baisers chaque centimètre inconnu de sa peau, chaque parcelle de son corps, au son du doux ronronnement qu’elle émettait. -j’ai envie de toi David….Elle me prit la main et alla vers le canapé, où elle s’installa à genou, m’offrant son postérieur fendu, en guise d’invite. Je me plaça derrière elle et enfonça mon pieu au fond de sa grotte déjà lubrifiée, son sexe était plus élargi, que celui d’Angélique, mais avait la même puissance musculaire autour de mon sexe, ses pressions me faisait chavirer. Je me mis en quête de son plaisir, cherchant sa cadence, qui une fois trouvée, fit merveille. J’avais peur que ces gémissements alertent la maison, mais je ne pouvais mettre un terme à mes coups de boutoirs qui augmentaient son plaisir de façon, crescendo. Elle me fit m’asseoir et vint s’empaler à nouveau sur ma verge. Je profitait de son corps, ses seins montaient et descendaient à portée de ma langue. Elle me suçota l’oreille et murmura:-as tu déjà sodomiser une fille?-non, dis-je, ébahi.-ça te dis?Tout en le disant, elle avait sorti mon sexe du sien pour l’approcher de son anus.-et comment…Elle descendit son bassin, et je sentis une pression plus forte que dans son vagin, mais à mesure que mon sexe emplissait, je compris que Jean m’avait grandement facilité le passage. Elle stoppa lorsqu’elle fut arrivée à la garde, mon sexe battait à la chamade, au fond de son anus. Elle entreprit un rapide va et vient avant de se lever pour se repositionner en levrette. Je sodomisais ma future belle mère dans son propre salon, et avec la fille et le mari dans la maison. Au comble du désir, j’investis son anus pour y imprimer un rythme qu’elle voulait soutenu, je me déchaînai dans son postérieur. Elle se cambra à l’excès pour me susurrer:-tu me fais jouir, David, viens en moi….Je ne pus me retenir plus longtemps et déchargeai au plus profond de son anus.
Nous nous embrassâmes tendrement et complices, avant de retrouver nos chambres respectives pour terminer la nuit. Je m’endormis immédiatement.
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