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Anna, ma belle fille

Chapitre 1

Hétéro
Depuis deux ans je vivais avec Carole qui était venue s’installer chez moi avec sa fille Anna.Avant ça j’avais vécu un bout de temps seul à la suite d’un divorce compliqué, enchainant quelques aventures, sans sentiment, avec même des regrets.Quand je l’ai rencontrée, Carole m’a tout de suite plu, petit bout de femme de quarante-sept ans (j’en avais autant), cheveux chatains, menue, toujours habillée en tailleur grace à son travail de conseillère dans une grande société. Rapidement, après que Carole m’ait présenté sa fille, nous avons décidé qu’elles viendraient vivre chez moi. Leur installation s’est très bien passée, même avec Anna, alors que je craignais qu’une jeune femme puisse éprouver quelques ressentiments à l’égard du nouvel homme qui partageait la vie de sa mère, dans une maison qui n’était pas la sienne. Anna avait dix-neuf ans, ravissante, un petit mètre soixante, pour tout juste cinquante kilos, brune des cheveux lisses et soyeux avec un regard profond et sombre. Elle était toujours amicale quoiqu’un peu secrète, étudiante appliquée en fac de sciences elle sortait boire un verre de temps à autre avec des amies, j’avais entendu une fois parler d’un garçon mais sans en savoir plus. Toutefois, alors que la cohabitation se passait à merveille à tous points de vue, Carole était vraiment  une femme très gentille et douce, niveau sexe, on ne peut pas dire que j’étais comblé, entre ses absences régulières dûes à sont boulot qui l’obligaient à partir parfois plusieurs jours et son manque d’innovation et d’appétit sexuel, je n’étais pas satisfait de cette partie de notre vie de couple, hormis de rares pénétrations vaginales, c’était le néant. Nous en avions souvent parlé, elle me disait qu’elle comprenait, qu’elle ferait des efforts, mais plus ca allait plus les rapports, déjà bien calmes étaient espacés dans le temps et à cette période, il y avait six mois que nous n’avions pas eu de relation sexuelle. Pourtant je n’envisageais pas de séparation, j’avais vécu seul pendant deux ans et c’était trop dur de revivre cette période.
Un jour, au petit déjeuner, j’ai été moi même surpris, sans m’en rendre vraiment compte j’avais les yeux posés sur Anna, je buvais mon café en regardant ses tétons pointer sous son debardeur blanc, sans le bruit de cuillère de Carole qui remuait son café, qui sait combien de temps je serais resté planté dans mes pensées à mater les seins de ma belle fille. Anna s’est ensuite levée pour aller se préparer pour les cours, elle ne portait qu’un shorty noir en plus de son débardeur et alors qu’elle s’éloignait, j’ai commencé à regarder ses fesses... et quelle fesses, fines, mais aussi légèrement galbées, quel beau petit cul, il doit être très... Je ne finissais même pas ma pensée, c’en était trop. Je fonçais prendre une douche froide, il fallait en plus de me préparer pour ma journée de travail, chasser les images que j’avais dans la tête et il m’a fallut quinze bonnes minutes sous l’eau froide pour me calmer un peu. Heureusement la journée de travail fut suffisament remplie pour que mes pensées ne soit plus dirigées vers ses paires de seins et de fesses.
Le soir je rentrais vers dix-huit heures trente avec une légère appréhension, Carole et Anna étaient déjà là, mais je n’eu même pas envie de lorgner sur le postérieur de ma belle fille, j’étais rassuré, j’avais simplement du avoir un petit moment d’égarement. Nous avons dîné tous les trois, nous nous sommes racontés nos journées, puis après avoir regardé la télé un moment, Carole et moi sommes montés dans la chambre. Une fois encore malgré une tentative pour provoquer un moment coquin, Carole préféra se plonger dans un roman, je fis de même à contrecoeur et les lumières s’éteignirent vers vingt-deux heures, mais alors que Carole s’endormit rapidement, moi je ne trouvais pas le sommeil, plutôt que de tourner pendant des heures au risque de réveiller ma compagne, je me levais pour aller boire un verre d’eau et me mettre devant la télé qui finirait bien par m’endormir.Anna était assise, adossée sur le canapé les pieds posés contre le rebord de la table basse, légèrement vetue comme souvent, elle regardait une émission et je venais m’asseoir non loin d’elle, sans m’être à nouveau surpris à la reluquer quelque peu.-"Tu n’as pas cours demain?-Si mais pas avant dix-heures, je t’ai pas empêché de dormir avec la télé au moins?-Non ne t’en fait pas"  c’est pas avec la télé que tu m’as empêché de dormir, pensais-je.Je regardais l’émission depuis moins de cinq minutes quand mon regard a commencé à se détourner de la télé,  je tournais la tête discrètement vers Anna et la regardait, mon regard parcourait son visage, son corps, pour finir par se poser sur ses pieds, de très beaux pieds, petits et fins, des orteils magnifiquement alignés les uns contre les autres. Je commençais à me sentir un peu mal à l’aise, je sentais une érection gonfler mon pyjama, je me tournais légèrement pour essayer de la masquer, mais surtout pour qu’elle ne la remarque pas.
Reprends toi t’es en train de bander en matant ses pieds.
Cette fois mes pensées devenaient carrément cochonnes, mon érection toujours présente... javais envie d’elle. Je ne saurais pas dire combien de temps j’ai hésité, est-ce que je me suis jeté sur elle? est-ce que j’ai attendu? Toujours est-il que j’ai posé ma main sur son genou et l’ai doucement effleuré
-"Ta peau est douce"
Comme elle ne répondait pas mais ne m’arrêtais pas non plus, je continuais ma caresse, je la cherchais du regard, qu’elle finit par me rendre, je cherchais dans ses yeux un refus, mais je n’en vis pas, toujours en la regardant j’approchais ma bouche de sa cuisse et y déposait un baiser. Une nouvelle fois sans signe contraire, je caressais l’intérieur de sa cuisse qui s’écartait légèrement, un nouveau baiser plus haut encore sur la cuisse pendant que ma main remontait lentement jusqu’a entrer en contact avec le tissu de son shorty, nos regards entrèrent de nouveau en contact, alors que je passais mon index sur sa fente à travers le morceau de coton. mes baisers descendirent cette fois le long de sa jambe, j’étais à genou entre la table basse et le canapé, je commencais à lui embrasser le pied que je tenais en main, puis je lui léchais en descendant jusqu’aux orteils.
Elle ne dit rien, j’ai même l’impression qu’elle apprécie.
Je m’asseyais sur la table basse pour continuer  de lécher son pied, la plante plus exactement, j’allais du talon jusqu’a ses orteils, je recommencais plusieurs fois puis finis par carrément sucer ces derniers, un par un, je m’appliquais à les sucer en la regardant, comme pour lui faire passer un message. Le moins qu’on puisse dire c’est que le message est bien passé, au bout de quelques instants elle s est approchée, cette fois c’est elle qui s’est agenouillée entre le canapé et la table basse, elle a posé ses doigts sur la bosse du pyjama, je ne tenais plus, j ai fait descendre le bas de pyjama et lui ai devoilé mon sexe, elle l’a regardé quelques secondes puis à posé ses doigts autour et m’a très lentement décalotté, elle tenait dans sa main mes seize centimètres dressés, ainsi que mon gland violet gonflé d’excitation. elle fit doucement monter et descendre sa main avant d’approcher son visage.
Ho oui elle va me s...
J’étais transpercé par le plaisir, Carole ne m’avait jamais offert de fellation et Anna était devant moi, sa bouche sur mon sexe, en train de le sucer... et elle sucait très bien. Je sentais sa bouche aller et venir sur ma tige, mes muscles se raidissaient de plaisir je me penchais en arrière, appuyé sur la table pendant qu’elle était en train de me faire la première pipe depuis des années. Sa bouche était tellement agréable et accueillante, je caressais sa superbe chevelure pendant qu’elle me donnait un plaisir immense.
"Anna je vais..."
Anna releva la tête, pile au bon moment, j’éjaculais une belle  quantité de sperme qui souilla son tee-shirt au niveau des seins, elle en reçu même un filet sur la joue et un sur le menton, alors le reste s’écoula sur mon pyjama. j’approchais ma main de son visage, je passais mon pouce sur sa joue, puis son menton pour lui ôter les traces de liquide gluant. Pris dans l’excitation j’approchais mon pouce vers ses lèvres qu’elle lécha immédiatement, le nettoyant du peu de semence qui le recouvrait, décidémment elle m’excitait encore plus. j’ai pris en mains le bas de son tee-shirt maculé de sperme je l’ai soulevé et elle a levé les bras pour que je lui enlève, puis je l’ai faite se relever et une fois debout devant moi j’ai commencé à faire glisser son shorty le long de ses cuisses, jusqu’à lui retirer complètement. Elle était complètement nue. Qu’est-ce qu’elle était belle, son corps si finement ciselé, une jolie peau mate je regardais ses petits seins ronds, puis son entre-cuisses, entièrement lisse, en plus d’être belle elle était bandante. Je la fis asseoir sur le canapé, puis la fis brusquement basculer en arrière en relevant ses cuisses.Elle était là, devant moi, les cuisses écartées et son petit abricot offert, je crois que c’est à ce moment là que j’ai compris qu’elle en avait tout autant envie que moi. J’ai approché ma bouche et lui ai à mon tour fait plaisir avec, je léchais sa petite moule étroite et lisse, ses belles lèvres vaginales s’écartaient au passage de ma langue qui lui arrachait de petits rales de plaisir, je léchais avec grand plaisir, son vagin humide et chaud, son parfum enivrant faisaient redurcir mon pénis peu à peu. Je lui glissais mon index tout en léchant et sucant son petit clitoris ce qui la faisait se cambrer de plaisir. Je bandais bien dur à présent, je croyais rêver, j’allais lui mettre mon sexe dans le sien...
Je vais lui fourrer la chatte... c’est Anna, ma belle fille et je vais lui foutre ma bite dans la chatte.Je serais peut-être même le premier à la baiser.
Je me redressais, et présentait mon gland devant son entrée, puis je le fis entrer peu à peu, il disparu entre ses lèvres, puis centimètre par centimètre mon sexe entier. Bon déjà je n’étais pas le premier... Je commencais une série de va et vient en accélérant à chaque fois, la belle commençait à gémir, mon sexe coulissait, écartait ses parois vaginales
mmmmm qu’elle est serrée
Je la limais, les sons graves de mes gémissements étaient couverts par les siens plus aigus, je la voyais se mordre les levres pour s’arrêter de gémir, elle aussi avait surement peur que sa mère se réveille et plus ça allait, plus j’y pensais aussi.
Et si Carole se réveille... elle entend peut-être les bruits depuis la chambre. Si elle nous surprend pendant que je la prends, ce serait une catastrophe.
L’idée était effrayante, mais je dois dire aussi terriblement excitante, je continuais à donner de longs et amples coups de reins dans la vagin de sa fille et je ne regrettais pas vu le plaisir procuré, visiblement Anna non plus ne regrettait pas, elle était en train de gémir, je regardais les mouvements de ses petits seins ballotés à chaque coup de rein, je voyais son visage se crisper de plaisir, je remontais un peu ses jambes et accélérait encore le rythme, mon sexe entrant et ressortant du sien, elle gémissait encore plus et je la vis ouvrir les yeux, écarquillés en me fixant, elle attrapa un coussin pour mordre dedans, il ne suffit pas pour étouffer son cri orgasmique. Sentant l’éjaculation proche et étant sans capote, je retirais mon sexe, une nouvelle fois juste à temps et finit par lui éjaculer sur le ventreElle s’est relevée peu après, j’ai fait de même, elle a ramassé ses habits, elle a essuyé son ventre avec son shorty , m’a fait un bisou sur la joue et est remontée nue, dans sa chambre sans un mot, je la regardais partir sans un mot non plus.
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