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Anna, ma soumise

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Bonjour, Le récit qui suit est réel puisqu’il relate les faits d’une soirée avec ma soumise.
Nous sommes un couple de 20 ans, ma très chère soumise est une métisse d’environ 1m65 pour 70 kg avec un magnifique 95 E, nous allons l’appeler Anna.
Tout commence en fin de soirée, lorsque nous rentrons seuls un peu éméchés d’une fête arrosée entre amis. Anna est en jupe, conformément à ma demande plus tôt dans la journée. Cet élément est parfait pour notre fin de soirée et je dois avouer que contempler ses belles jambes me plaît, et me provoque une pointe d’excitation.Une fois arrivés dans l’entrée de sa résidence universitaire je lui conseille de regarder son courrier, ‘‘On ne sait jamais’’. Avec sa candeur naturelle, elle s’exécute. Son visage devient plus sérieux lorsque qu’elle y découvre une lettre vierge scellée dont elle connait déjà la signification. Il s’agit d’ordres manuscrits ratifiés par son maître. Je lui propose de tenir ses clés d’appartement pour qu’elle puisse ouvrir cette fameuse lettre plus aisément. Une fois le contenu épistolaire lu, son regard se dirige immédiatement vers ses clés au creux de ma main. J’aperçois un pincement de lèvres : parfait, nous pouvons commencer.Je ferme sa boite aux lettres et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Au contact immédiat de mon doigt avec le bouton pour appeler la cage en métal, Anna enlève son string. Je tends ma seule main de libre pour récupérer le précieux sésame. Une fois dans l’ascenseur, elle soulève sa jupe et commence à se caresser. C’est avec un léger sourire que je la regarde dans les yeux, satisfait qu’Anna, ma soumise, effectue le 1er ordre de la lettre avec autant d’entrain. Je remarque du bout de mes doigts que son string est légèrement humide, cela me rend fou, mais je ne laisse transparaitre aucune émotion. En sortant de l’ascenseur, je lui tends la main pour prendre son sac, qui va la gêner dans l’exécution du deuxième ordre. Elle s’en soustrait et sors dans le couloir. Tout en marchant dans ce couloir de résidence universitaire comptant une quinzaine de portes, elle enlève son haut. Une fois arrivée au seuil de sa porte, elle enlève son soutien-gorge. Sa respiration se fait plus forte, mais j’admire ce corps d’ébène mis à ma disposition et plus particulièrement sa forte poitrine, surplombée par d’épais tétons saillants. Mon sang commence à bouillir d’excitation et mon jean se fait étroit, je me décide enfin à lui ouvrir la porte de son appartement pour qu’elle exécute le 3e et dernier ordre de la lettre nocturne. Elle entre immédiatement et se dirige vers le lit, je la suit et ferme la porte.C’est ainsi que je la retrouve totalement nue, jambes écartées sur le bord de son lit comme indiqué. Anna s’offre entièrement à moi. Une récompense s’impose, pour avoir suivi les ordres à la lettre en tant que parfaite petite soumise. Je me positionne à genoux, à côté du lit, face à ma créature languissante. Ma langue parcours l’intérieur de ses cuisses, en direction de son autel du bonheur. Sa réaction ne se fait pas attendre, son désir est croissant et ses jambes commencent à se refermer doucement contre sa volonté. Ma langue atteint sa vulve. Elle est chaude et dégouline de son jus divin : notre petit jeu préliminaire l’a mise dans tous ses états. Cela me plaît beaucoup ! Je lui donne de grands coups de langues pour ne pas perdre la moindre goutte de son nectar, puis remonte vers son clitoris à un rythme plus soutenu. Anna ne peut plus étouffer ses cris, son sexe ruisselle d’avantage, ses cuisses sont collées à ma tête et se referment encore progressivement. Ca y est, j’explose.Pris d’une pulsion, je me lève, l’attrape par le dos et les épaules et la positionne à ma précédente place : à genoux devant le lit. Je prends dans la table de nuit un rouleau de ruban de bondage (je n’ai pas la patience d’utiliser des cordes dans cet état d’excitation avancé). J’attache les poignets de ma soumise au cadre en fer forgé du lit et lui en applique également sur les tétons. Je me déshabille en un éclair car je suis vraiment à l’étroit dans ce jean. Anna ne tourne le dos, nue, à genoux, bras écartés et entravés…. Elle anticipe la suite et se cambre. J’accepte l’invitation et me place derrière elle. Mon sexe est extrêmement dur et bouillant. Je le fais glisser le long des lèvres humides d’Anna, à la limite de la pénétration. J’humidifie également mon pouce que je viens placer à l’entrée de son anus, et y exerce une légère pression. De ma main droite, je délivre de petites fessées.Dans un ultime soupir, la voix haletante, elle lâche :« - S’il te plaît, prends-moi ! »« - Vous en perdez votre politesse petite soumise. »« - Pitié Maître, je la veux….. »« - C’est mieux, mais vous pouvez vous améliorer. »« Pitié Maître, baisez votre salope ! Elle n’attend que ça ! »C’est exactement ce que j’attendais ! J’arrête immédiatement de m’occuper de son anus, et de ma main de nouveau libre, lui attrape les cheveux et lui plaque la tête contre la couette en face d’elle. Dans un même mouvement, je m’enfonce directement au plus profond d’elle. Elle pousse un cri entre la surprise et le bonheur, malgré la présence abondante de cyprine, elle est serrée, ce qui est très agréable pour nous deux. Je continue ce va-et-vient brutal sans la ménager, et recommence à jouer avec son anus avec mon pouce humidifié. Cette fois-ci, je rentre la première phalange et je bouge mon pouce sur le même rythme, mais avec beaucoup plus de douceur, le but étant juste de stimuler une zone érogène. Je continue également de donner des fessées à Anna, mais cette fois plus fortes et du revers de la main le tout en l’insultant copieusement de petite salope soumise, à tel point que ses fesses deviennent rapidement rouges.Sa respiration est haletante, sa poitrine gonfle, et elle étouffe ses cris dans la couette. Son intimité se fait plus étroite et vient une série de contractions frénétiques…..ce contact avec mon membre est jouissif au possible. J’en profite donc pour faire durer son orgasme en la pilonnant avec la même ardeur. Cependant je me retire pour ne pas la blesser avant un éventuel 2eme tour. Moi-même au bord de la jouissance, je viens m’assoir sur le lit, en face de cette petite soumise encore attachée avec le ruban de bondage. Elle se redresse, je dirige mon sexe encore imprégné de son jus vers sa bouche. Elle le gobe immédiatement ! Elle me regarde droit dans les yeux et entame une fellation rapide en aspirant mon gland et avec une parfaite utilisation de sa langue. Digne d’une vraie petite salope.Sa bouche est chaude et humide, je ne tiens pas longtemps. Tous mes muscles se contractent et je jouis abondamment dans sa bouche. Elle avale tous les jets uns par uns sans détourner son regard du mien.Je me retire et l’embrasse avec fougue, nos langues s’entremêlent avec ardeur dans un baiser concluant un rapport bestial. Elle a déjà tout avalé mais j’ai un léger goût de mon sperme sur ma langue, qui n’est pas désagréable, bien au contraire.Ses petits yeux brillent d’une lueur de satisfaction et elle arbore un large sourire. « - Merci Maître »C’est MA soumise, tant qu’elle répondra à mes désirs, je ferais absolument tout pour la combler.

C’est ainsi que se clôture mon premier récit, j’espère qu’il vous a plu, et je vous invite à me faire part de vos impressions ;)Dans le cas où cette histoire éveillerais des envies, je tiens à rappeler que votre partenaire doit être totalement(e) consentant(e) et que le/la dominant(e) est garant(e) du bien-être du/de la soumis(e).
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