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Anne est offerte aux serveurs de l'hotel sur demande de son amri

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Un peu plus de 21h, à l’adresse donnée par Maxime. Belle petite maison bourgeoise, blanche, au centre de VICHY.Au passage cette ville gagne à être connue, malgré son passé.
Le petit pavillon est situé dans un groupe d’immeubles avec gardien.(Important pour plus tard)
Je sonne. Maxime ouvre. C’est chez lui. « Bonsoir Anne, tu es très  belle, plus que ce matin, j’espère que tu es très en forme.. »Allusion non voilée à mes prouesses avec lui.
Une robe simple, mi travail, mi sortie, bleu foncé, le haut à boutons va jusqu’au nombril. Le bas, fendu devant assez haut. Portée « en mode travail », rien à dire.Si je la veux mode sexy, je dégrafe les boutons, je relève le bas sur les cuisses bien au-dessus du genou, il y a une sorte de revers à pression...
Dénudée en dessous, ni slip, ni string, seins à l’air, effrontément prête !
Maxime me guide vers une grande pièce, grand salon, le feu crépite dans la cheminée. Quatre hommes sont là. Assis, fauteuils et canapés cossus. Lumière douce indirecte, petites lampes.Je suis confondue. Ils m’attendent !! Me regardent trottiner.
« Voici notre petite princesse parisienne.. ! Anne vient VOUS rendre visite ».
« Anne, voici René, notre sage. Impatient de te VOIR, Il ne me croit pas. Jean et André, non plus.«J’suis pas un menteur »  « Faut les convaincre !! » « Anne. Dis-leur ! ».
Je m’arme de culot :« OUI Messieurs, OUI, c’est VRAI,  je viens ici pour votre plaisir à tous, je viens toute nue pour vous, à l’écoute de vos caprices, vos envies.J’ai PROMIS et J’ADORE ça !».
La satisfaction est incontestable, les visages des 3 inconnus s’allument.
Albert se redresse, tout fier.
TOUS se demandent comment ça se peut ?? Comment elle va  faire ?
Maxime me présente une coupe de champagne, des biscuits. J’avale vite. Me prend par l’épaule, « m’expose » à René (Le plus vieux 72 ans).
«Montre-toi bien vite...! Ma douce...»
Face à René, quasiment sur lui, je déboutonne le haut de ma robe, fais jaillir ma poitrine, les pointes arrogantes dressées. M’inclinant vers lui, respectueuse, j’implore ses mains, les pose sur mes seins, sans un mot. Incité, il palpe à fond, estime, puis effleure  des paumes de mains, s’agite, pince les bouts.Il bande déjà, consistant,  JE LE VOIS...
« Maxime, Ça c’est du grand choix ! Pas sauvage, la gazelle. Tu me gâtes ce soir ! » « C’est elle qui va te gâter, tu verras. Elle est exceptionnelle ». (J’ai oublié, René, malgré son nom est Nord-africain d’origine, basané, regard perçant TRÉS amoral)
« On peut patrouiller en bas, ma salope ?? »Sans attendre, joignant le geste, René cavalcade sa main entre mes cuisses directement. Il investit  l’endroit avec assurance. Réjoui.
« Cochonne ! Nom de dieu !!!!!! Elle a pas de culotte mes amis, RIEN  !!!« Le minou est bouillant, trempé, elle mouille. Oh là là, Maxime, Albert. Quel cadeau !!! »
(Celui-là n’a pas touché une femme depuis 10 ans ? Mais il se souvient.A mon avis va se révéler  coriace...)
« Écoute charmante petite, mets-toi vite à poil, je veux tout voir, toucher, tout connaître de toi »« Oh comme c’est bon une jeunesse pareille. Avenante en plus !!! »
Il est tout impatient, se sent plus, il a très vite saisi mon vœu, mon ambition, tout le parti à soutirer pour eux et lui...
Je vais au milieu de la pièce, moquette épaisse recouverte de tapis, dans la lumière tamisée, les reflets du feu de cheminée.Ma robe chute doucement, lentement, lascivement, sensuellement, pour faire languir.
Complètement nue, juste mon collier, talons mi hauts. Très à l’aise. Mon état  favori. Ma vraie nature. ..Vers eux, bien de face, jambes écartées, bras grands ouverts en signe d’accueil !! JE M’OFFRE entière...
Je fais un petit tour, pour bien tout arborer ...C’est bien le cas. Une vitrine !
« Je suis à vous, Messieurs !! »
Les regards trouent ma chatte, mes seins, mes fesses. Maxime, Albert n’ont pas menti.Que la fête commence. Je suis enflammée....
Autant René est un peu sec, assez grand et mince. Les deux autres Jean et André sont du même modèle, auvergnats bon teint. Petits, ronds Rustauds, forts, gros bras, poilus.
Sont tous en chemise manches courtes, ouvertes sur les torses, les pantalons se gonflent, les ceintures se défont, les braguettes s’ouvrent.
Placée au centre de ce cercle d’hommes électrisés, à moins d’un mètre : « Maxime donne-moi un coussin...» « Laissez-moi faire, Messieurs ! Je vais être une salope serviable.Pas d’inquiétude. VOUS allez TOUS jouir, je vais chérir vos belles couilles, montrez-moi vos bites, que je les respire ! Les hume » « Je ne veux pas vous décevoir, je mesure mon œuvre à venir ! »
Ce langage plaît, réjouit, rassure, les yeux sont luisants...Allongée sur le dos, au sol, face à ces vieux boucs, la tête sur le coussin, mes cuisses ouvertes en grand, je relève les fesses en avant. (Avec un autre oreiller dessous).Vue plongeante sur ma chatte écartelée, trempée, mon cul entr’ouvert, je me caresse, je fixe chaque bite longuement, comme ma « préférée ». (Un grand truc à moi)
Je suce mes doigts en signe d’appétit.
« Branlez-vous pour moi, je sucerai la plus rapide en premier. J’adore la bite» La tension monte. Ils s’astiquent avec frénésie pour être l’élu... je raffole. Ils bandent tous, pour moi.
Ce soir j’ai décidé de bien me laisser tripatouiller,  refaire du « corps à corps », m’abandonner au plus près.
Finalement, je me lève, toujours tranquillement, je me « pose » à califourchon sur René, assise sur lui, mes seins sur sa bouche, je me brique à son visage. 
Il lâche la branlette de son engin, ses mains remuent mon cul, par derrière m’enfonce les doigts dans la chatte, caresse mon trou de balle, l’agace.
Les autres sont  au spectacle !! Le cinéma à domicile.Admirent mes fesses rebondies, ouvertes, soumises. UN OUTRAGE !
« Vingt dieux ! Quelle salope de garce !! Tu me plais, toi, c’est trop bon !! »
Ça, c’est Juste pour le garder en état d’ébullition .Je le quitte, m’installe assise entre  Jean et André, sur le canapé, le dos vers eux, une jambe de chaque côté posée sur leurs grosses cuisses.
Ma chatte baille, béante, je la dégage bien, ma mouille coule. Petit détail lorsque j’ouvre, mes petites lèvres sont de couleur rose très pale, l’effet est stimulant comparé à mon corps en permanence bronzé.
(Ndlr : il faut lire d’autres de mes exploits pour comprendre).
Surélevée, j’accroche mes bras autour de leurs têtes, main droite, main gauche je les ramène pour me sucer, lécher ou téter chacun un sein. Prisonniers.
Complètement déployée comme ça, le but c’est la VISION que je propose :« Albert viens vite me lécher la chatte, je veux ta langue, cochon, viens lécher Anne, suce-moi bien, fais-moi jouir !! »
Albert connaît le chemin, il se fait pas prier. Tordue de plaisir, son gros nez s’abandonne en moi, mieux qu’un doigt. Il renifle !!
La langue parcourt tout, chatte, trou de balle. Je m’agite copieusement.Cramponnée, suspendue aux 2 autres.Ils profitent de ma chair « peau contre peau ». Ma grande envie ce soir.
Mes bras quittent les cous de taureaux, je branle chacun, main gauche, main droite toujours,  je masse les bites, les fait durcir à mort.
André ne tient pas, il explose dans ma main, lâche tout, je m’essuie sur son pantalon ! Tant pis pour lui.
Jean avec sa grosse bite, très grosse, sera le favori plus tard. Il sait.
Il prend mes mains : « Vas-y petite, vas-y, je veux jouir. Serre bien » « Quelle bonne petite Maxime ! Sérieux ? Elle va me sucer ? »
« Elle va TOUS nous sucer Jean, TOUS ! » « C’est une parfaite salope, une vraie de vrai, t’en fais pas » «Te dis. En plus elle te boit !! »
L’autre est malade d’entendre ça, moi je suis contente. J’ai rempli ma mission votée le matin. Jean explose aussi, gicle fort, s’arrose tout seul ! 
Première étape accomplie.
Je me lève, les regarde tous, avec complicité, affection, remplie de promesses....«Je reviens mes hommes, je reviens !! ». « Je vais me laver les mains »De retour, portable en main, je mitraille très vite, ils sont tous pris la queue à l’air ...On ne sait jamais.... !
Je m’assoie à nouveau sur René, dos collé à lui, face aux autres. Il remue mes seins à 2 mains, je me renverse plaquée à lui, souple.
Je fais signe à André :« Venez André, Vous aussi, venez entre mes cuisses, léchez moi la chatte, j’ai envie »
Là, une idée folle, de perverse, pour les exciter !! Je téléphone à mon mari !!
« Chéri ? Bonsoir amour, devine où je suis ?? » (Il le sait, bien sûr) «Tu vas être content de moi »
« Je suis toute nue au milieu de 5 vieux lubriques,  j’en ai branlé 2, assise sur ce cochon, j’en ai un qui me lèche »
« Mais ils en veulent plus ! Tu voudrais bien ?? Je mets l’ampli, mon amour»
« Bien sûr ma chérie, livre-toi toute entière à ces messieurs, sois câline, chatte, chienne, docile, suce, branle, sèche les, laisse-toi bien faire ! »
« Je ne vous vois pas les amis, Anne me racontera. Je l’ai formée à obéir. Je vous la prête, elle est à vous, à votre disposition, sans violence, avec précautions, douceur »
Vous verrez, là elle fait tout ce qu’on lui demande !!»« Anne qui a la plus grosse bite ?? »
« C’est Monsieur JEAN, elle est magnifique, grosse, longue, tu sais, bien épaisse comme j’aime ! Elles sont toutes bonnes à sucer tu sais mon chéri. Tu es content ? »
« OUI ma puce, alors ce sera JEAN le chef, il faut TOUJOURS un chef avec toi ! »« JEAN, servez-vous le premier. Offrez là à vos amis comme il vous plaira, elle doit obéir à toutes vos demandes, ne vous retenez pas.Donnez-lui les consignes, plus vous serez exigeant, plus elle sera meilleure, si besoin d’une fessée, vous avez mon plein accord !!
« Gardez là aussi longtemps que vos couilles soient vides, je reporte ses RV de demain matin. Elle est à vous ! Belle nuit ! ».
Alain sait que ces salopards n’ont pas d’occasions, je lui ai dit.Il n’interdit même pas de me baiser, ne dit rien la dessus, ni n’impose de préservatifs.
ÇA PROMET ! Je raccroche...Les choses sont limpides, le mari d’accord autorise tout.
Quand Alain parlait, au gré des autorisations, Maxime, Albert, André, Jean ont retirés les pantalons, slips, chaussettes. Ils sont chemise ouverte ou  « tricot de corps, manches courtes » C’est chou, super excitant.
Que des poilus, des gros ventres, des bites tendues, des couilles rondes ou pendantes, des fesses et cuisses assez étonnantes...Je mouille de plus en plus, plus qu’échauffée.Je vais me régaler, donner du plaisir.
Ils sont comme des corbeaux sur une proie...
Jean n’attend pas, pose sa grosse queue sur mes lèvres, je suis encore assise sur René.
« Suce salope, il a dit que je dois commander, bouffe-moi !! Petite maline»
J’engloutis la bite à fonds, en une fois, remplis ma gorge, agrippée à ses fesses.
Je le tire à moi, bouffe, mange, croque, en léchant en dessous à petits coups de langue, Je viens sucer le gland, j’avale à nouveau  la bite entière jusqu’aux poils du ventre, la garde bien serrée. « HUMMM ! Elle est bonne votre bite Jean, je l’aime ! C’est bon. Donnez  votre sirop »
Excité à mort, il décharge tout,  je siphonne, continue à sucer, rien ne coule ailleurs.
Il râle, grogne : « Vingt dieux ! C’est formidable ! Bois salope, bois, continue ! »« Mais Putain ! Elle est sublime cette petite garce»
Encore assise sur René qui torture mes seins, avec rage, je serre sa bite entre mes fesses. Il fouille ma chatte, me branle, enfonce 3 doigts. J’aide l’exploration.
Le bandant, c’est que les 3 autres sont tout près, visages à quelques cm de ma bouche avalant la queue de Jean. Ils admirent ma méthodeLa technique. Remplis d’espoir.... M’Encouragent.
« Allez Anne suce René, il n’a pas joui encore. Gâte-le ! Mets-toi à genoux, avance ton cul, écarte-toi, tends toi bien, ton mari l’as dit, on peut tout demander »
« OUI ! Ce que vous voulez Jean. TOUT. Chacun d’une façon différente, je sais tout faire, que pour vous plaire... »
A quatre pattes devant René, je lui lèche les cuisses, comme un petit animal, doucement. Tendrement, je monte vers les couilles, le dessous, à grands coups de langue, lampe gentiment, je lèche la bite de bas en haut, suce le gland, aspire, revient sur les couilles.
J’avale d’un coup, facile, 15cm au plus, elle tient évidemment dans ma bouche. Gloutonne, je montre mon grand plaisir,  je souris à tous !!
Je parcours sa poitrine velue, ses seins, suce les bouts, lèche le cou, redescend. ET Là, avec frénésie je le pompe sans arrêter une seconde.
IL JOUIT !! Crache, gicle. JE BOIS encore, encore rien dehors, je lave la queue, avec la langue, le nettoie bien.
« C’est bon René ? Ça vous plaît ? Vous voulez encore ?? »
« T’es vraiment une vraie garce, ton mari a du bol ! Je me garde pour t’enculer ! Tu as un cul superbe !»
« OUI René, si vous voulez, j’aimerai. Pour ce soir mon cul est pour vous, souple »
Un peu de champagne, je me rince la gorge pour satisfaire les 3 autres André, Maxime, Albert.
Albert et Maxime, on eut déjà pas mal le matin, je vais me surpasser pour André.  Là je veux l’initiative. No limite.
 « Jean vous voulez bien que je dirige ? Je vais vous montrer mon talent, comment je suis dépravée. Après, vous pourrez mieux me commander, mesurer mon dévouement, ma générosité, OUI ?? »
 «Vas-y ! Cochonne, fais voir ça !! »
Bien imaginer la scène :
— à gauche René reste assis dans son fauteuil. — Jean debout à moitié à poil la queue encore raide, derrière moi. — Maxime et Albert à droite assis dans fauteuils, la bite à la main, se branlent pour rester en forme. Le canapé au milieu.  Je me place debout, devant André. Toute nue. Très près.Face à lui debout aussi.
Ultra provocante je passe ma langue sur mes lèvres, admire son corps de brute, des pieds à la tête, mon regard sur sa bite exprime une immense gourmandise, convoitise.
Il bande, un cerf, queue épaisse, large, ronde, le gland circoncis, les couilles ovales, encore pleines.
J’expose aux autres que je le désire, TRES FORT, comme une sucrerie. La tension est au maximum !! Ils retiennent leurs souffles.
Leur nana entre en action. !! NUE, poitrine, chatte offerte, elle colle ANDRE, l’enlace, se frotte sur lui, serre fort, l’embrasse dans le cou, petits coups de langue, léchouille, sent la bite durcie, dressée. Se tortille, ouvre le cul avec ses mains, pour eux !

« Laisse-toi  faire André,  tu vas jouir comme jamais !! Bordel » dit l’un des hommes.
Finement,  je longe sa poitrine, lèche, tête ses seins. Je lèche le ventre, les bras, il frissonne, je descends encore, me penche en avant courbée, sans m’agenouiller, cul cambré, saisis la bite en bouche, la gobe, l’aspire, descends encore, maintenant à genoux lave à satiété ses couilles, par dessous, le haut des cuisses.
PUIS les fesses, je lui mets un doigt dans le cul, le titille, masse son cul, enfouis mon visage,  je descends encore, en position de levrette, cul ouvert, provocatrice, lèche les mollets, les pieds.
J’agis en esclave docile, il ne tient plus.... !!!!!!!!!!!. « C’est bon André ? Vous aimez ? »
« Continue salope, continue. Tais-toi, fais-moi jouir !! » « OUI André, je me tais. Je veux sentir couler le foutre. Je veux te goûter, j’ai soif !! »
René (de la suite des idées) vient derrière moi...Ca y est, il me baise ! Trempe sa queue dans ma chatte extra lubrifiée, s’enfonce facilement. Va, sans ménagement.
« OUI René, OUI, baise-moi, fort ! Viens gicler au fonds. Éclate-moi !Suis à toi. Quelle bonne queue, encore ! Salaud ! Plus fort. Bien au fond. Reste ! »
Mes fesses serrées compressent la bite.Je jouis des saccades, je fonds. Je reprends la bite d’André, pompe, récolte le sperme à pleine bouche,  je continue. Je bois en suçant et l’assèche ! (Comme dit mon mari !)
La queue se ramollit, je nettoie la sève débordante, affectueusement, tendrement, docilement, respect...!!!!!!!!!!
Derrière, René a tout délesté ! Grave.Il barbotte, baigne, sa bite en moi bien au chaud, mains encore agrippées à mes hanches.
On dirait que son rêve ne le quitte pas !Il est bien là....Je le garde. Enfin, à regret, Il finit par sortir.
Pour le moment je suis bien contente de cette soirée puisque j’ai rempli ma mission, pour Maxime et Albert, pour mon mari.
Un repos bienvenu, une petite collation à poil. Je serais étonnée qu’on en reste là ??    Et vous ?
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