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Anne-Pierre et Olivier

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Les Bourseillers avaient roulé quelques heures à bord de leur voiture neuve, ils avaient encore leur véhicule d’étudiant : une Diane bleue, et la Polo noire les emmenait maintenant au-delà de quelques frontières. Ils abordaient bientôt une grande ville où tout était différent qu’en France, plus fantaisiste, typé ou folklorique, et ceux depuis la dernière douane symbolique franchie. Il faisait très beau, et même très chaud. La matinée venait de débuter, ainsi que le festival de la ville immense. Les Bourseiller avaient l’obligation de se garer assez loin du lieu de rendez-vous d’avec leurs amis. Ils durent donc marcher, comme deux touristes ordinaires, l’appareil photo d’Olivier ne dissonant donc pas.
Lui, le grand brun aux cheveux courts, portait une chemise noire et un pantalon blanc, chaussé de tennis de la couleur du haut. Anne-Pierre portait une robe assez courte avec de grosses fleurs au couleurs dignes d’un tableau d’Andy Warhol. Elle était perchée sur des hauts talons noirs et tous les deux avaient des lunettes de soleil sur le nez.
Ils trouvèrent enfin la place où il étaient censés parvenir. Là, un groupe de trois femmes et de cinq hommes les attendaient. Une quadragénaire joviale, brune bouclée, assez ronde, T-shirt blanc, jupe beige, appelée Chantal, sera la main d’Anne-Pierre, puis d’Olivier. Une jeune blonde, chevelure mi-courte, haut moulant à poix colorés, mini-jupe cuir, de taille un peu petite, nommée Mireille, fit de même. Enfin, pour les dames, une brune sculpturale, tailleur noir, jupe courte, âge moyen, Claire présenta son copain et un ami. Le premier, Paul, était un blond en brosse, polo rouge et jean, le second, Gabriel, un brun trapu en chemisette blanche et short bleu-marine. La petite Mireille était venue seule mais connaissait très bien un certain Marc, un grand brun assez séduisant, chemise rayée rose et bleue, et un peu moins Claude, chemise en jean et pantacourt blanc. Chantal était venue banalement avec son mari Jacques, un poivre-et-sel dégarni en polo vert et pantalon beige.
Tous avaient vu ces femmes nues, Anne-Pierre aussi, qui fut troublée à l’idée qu’elles existaient, maintenant, devant elle, et qu’elle même se trouve face avec ses voyeurs. C’était désormais le genre d’obstacle franchissable qu’elle aimait passer. Tous les hommes avaient un appareil pour capturer les futurs souvenir. Paul, le blond en brosse, et Claude, châtain, cheveux assez longs, un des mateurs de Mireille, avaient une caméra. Les autres avaient de simples appareils photo, dont le doyen Jacques qui était le mieux équipé, un reflex numérique de professionnel.
Ce groupe de français se mit à marcher en travers de la place et remontait bientôt une grande avenue. Les hommes photographiaient des passants intéressant, ce qui fit qu’on les remarqua et que des participants au festival vinrent près d’eux, principalement des femmes, se montrer. Toutes et tous était plus ou moins maquillés ou excentriques. Une jeune-femme, plus ou moins accompagnée, jupe très courte et haut de bikini arc-en-ciel, vint près des objectifs. Elle était très fine, courtes couettes et joues dessinées de pointes rouges. Elle écarta les deux tringles qui couvraient ses deux petits seins. Les touristes français flattèrent la jeune-femme puis demandèrent à leurs copines ou épouses de poser à ses côtés. Elle montrait toujours sa poitrine. Les badauds passaient et regardaient, filmant ou photographiant pour peu d’entre eux, la jeune exhibitionniste puis les françaises un peu intimidées. La fille à couettes, peu farouche, enlaçait les femmes, puis tentait d’embrasser l’une puis l’autre, seules la blonde Mireille et la brune Claire se laissaient faire. La première acceptait les caresses impudiques de la jeune excentrique. La quadragénaire Chantal et la réservée Anne-Pierre avaient esquivé poliment, comme si c’était un jeu naturellement.
Les français continuèrent marche et prise de vue, Mireille n’avait pas lâché la femme d’Olivier, pour la taquiner au départ, pour la rassurer ensuite. Des promeneurs qui déboulaient en sens contraire photographiaient le couple féminin qui se laissait faire surtout la petite blonde, mais Anne-Pierre également, qui se laissa embrasser sur la bouche par la première sous l’objectif de quelques touristes. Chantal remonta son T-shirt blanc et montra ses seins lourds à des cinéastes en herbe, et Claire, celle en tailleur noir, embrassa sensuellement ses deux cavaliers. Mireille, avec sa mini-jupe en cuir et son haut moulant coloré, montra le dos d’Anne-Pierre et descendit lentement le zip devant les voyeurs, plus ou moins équipés, qui se bousculaient.
La petite blonde emmena Anne-Pierre dans une impasse déserte. Une foule d’hommes et quelques femmes, dont les proches, les suivirent. Arrivés au bout, un silence se fit. Olivier regardait sa femme puis se reculait, appareil en main. Mireille, la petite et jeune blonde aux cheveux mi-longs dégagea les épaules d’Anne-Pierre, cachée derrière ses lunettes noires, de la robe colorée à outrance. Le col arrivait aux aisselles et la blonde, sensuelle, dévisageait les voyeurs et leurs yeux de verre. Anne-Pierre se croyait invisible derrière les siens qui, donc, ne la protégerait pas uniquement du soleil. Ses seins fermes apparurent dans la ville, ou plutôt dans une petite impasse de celle-ci. Mireille les pressa en regardant un à un chaque curieux et curieuse, égarés du festival.
Olivier s’enquérait auprès de son épouse mais n’osait pas s’intercaler entre elle et les nerveux mateurs. Il devinait à peu près son état d’esprit mais il lui fallait en avoir le cœur net, il enleva les lunettes noires de sa femme qui lui parut volontairement déconnectée et décontractée. Il reprit sa distance de photographe, donc, et s’adonna à son activité en tant que tel. Chantal et Clair, derrière et sur le côté, probablement sur les dizaines de prises de vue de tout une troupe d’inconnus, souriaient, rhabillée pour l’une et assagie pour l’autre, coincées avec quelques uns de leurs hommes et d’autres touristes.
Mireille abaissait encore la robe d’Anne-Pierre qui se retrouva nue et abandonnée jusqu’aux hanches. On entendait des encouragements qui retournait la petite blonde avec ses yeux. Ses mains pesaient sur le tissu roulé. Peu a peu, tous virent un petit bout de coton noir cachant le sexe de la lyonnaise et Mireille laissa tomber la robe colorée au pieds chaussés de hauts-talons noirs. La déshabilleuse laissa son œuvre en plan et se recula. Les appareils photo et les caméras s’emballèrent, sous le regard passif et désintéressé d’Anne Pierre. Ce dernier s’envola naturellement en l’air ; il devait bien avoir une fenêtre ici ou là, sinon, plus loin.
Le corps de la blonde capiteuse tomba un peu en avant, attirée, déséquilibré par le port en arrière de la tête et, faillissant se prendre dans sa robe, Anne-Pierre fit un pas ostensible pour s’en dégager. Mireille ramassa le tissu, un peu poussiéreux mais très vif de couleurs, mais ne s’éloigna pas. La petite blonde s’accroupit et attrapa une cheville de la femme nue. Elle la déchaussa, de même pour l’autre pied. Dans l’opération, Anne-Pierre avait effectué une vingtaine de centimètres et avait toujours tendance à regarder la forme bleutée qui séparait les immeubles de l’impasse et ceux de l’avenue.
La petite blonde, moulée dans son haut à poix et sa mini-jupe en cuir, enserrait les hanches, toujours accroupie, de sa femme-objet. Tout en guettant la moindre expression des photographes et cinéaste, ainsi que des passants et passantes, qui n’osaient pas tous rester, Mireille descendit ses doigts le long des courbes d’Anne-Pierre. Ses ongles, qui réveillèrent à peine l’attention de la blonde nue, agrippèrent la culotte noire. Les grondements et murmurent de l’assistance enflèrent, et le tissu de satin s’abaissait. Quelques longues secondes passèrent quand le satin noir conquit le haut des cuisses d’Anne-Pierre qui laissait afficher son petit triangle duveteux au regards d’une grande majorité d’hommes inconnus qui continuaient de saisir des souvenirs de la lyonnaise.
Mireille accompagnait le bout de satin jusqu’aux chevilles pour la mise en scène, mais Anne-Pierre ne se serait rendu-compte de rien si sa culotte était tombée d’un coup à ses pieds. La petite blonde tira sur le dernier vêtement de sa femme-objet pour la faire paraître définitivement nue. La blonde capiteuse s’avança instinctivement et les voyeurs durent prendre du recul. Les gravillons du goudron lui piquaient le dessous des pieds et la chaussée rafraîchissait, dans l’ombre, puis chauffait, dans la lumière, la surface de contacte. Olivier prenait des vues de son épouse se faisant, elle, prendre l’image par une foule d’œils de verre.
Il devait bien y avoir d’autres fenêtres, d’autres immeubles ; Anne-Pierre marchait. Le monstre à mandibules se dispersa dans la grande avenue et une haie d’honneur se dessina devant la blonde nue. Elle allait continuer la remontée amorcée ce matin. Avec d’autres touristes, d’autres badauds, dans le sens inverse de l’autre moitié des habitants, Anne-Pierre Bourseiller se promenait. Elle était parmi une foule beaucoup plus variée et stupéfiée, mais de festival : gaie et bariolée. Elle faisait comme si elle ne voyait rien mais elle imaginait le moindre regard d’un salon ou d’une cuisine donnant sur la rue la trouver, complètement nue. Sans cesse, la blonde nue se faisait de nouveau amis, hommes, femmes et couples.

Les français rejoignirent une autre place et Anne-Pierre y tournait en rond, créant autour d’elle un cercle désert. Claire, Chantal et Mireille la rattrapèrent, empêchée par des troupes curieuses et amusées par certains individus. Olivier et les autres copains ou époux photographiaient ici et là. Les françaises entrèrent dans le cercle ensoleillé de la place où se montrait, indifférente, Anne-Pierre. Des femmes furent poussées vers l’intérieur de la zone. Soit elles avaient un haut de bikini ou quelque chose de transparent ou de court, en plus d’un short ou d’une mini-jupe. Certaines cédèrent à montrer leurs seins ou leur string. Ceci encourageait d’autres à la faire d’elles-mêmes, ainsi que quelques hommes à faire l’idiot, plus ou moins face à Anne-Pierre.
La doyenne des françaises, Chantal, s’approcha de la blonde pulpeuse nue et ôtant son T-shirt. Elle se colla à elle, se laissant photographier, ses lourds seins à l’air. Anne- Pierre prit conscience de sa nudité, imaginant les regards les plus lointains et les plus improbables, ce qui l’amusait. Mireille allait à la rencontre du plus pittoresque amuseur du cercle lumineux en se caressant les cuisses jusqu’à remonter sa mini-jupe en cuir et montrer son string noir. L’homme faisait le pitre dans sa langue et s’allongeait sur les pavés. La petite blonde écartait son string et lui montrait son sexe, et il n’était pas le seul à le voir.
Clair invita deux hommes plus sages à venir vers Anne-Pierre, ne sachant pas trop pourquoi, et dézippa et déboutonna les braguette où, discrètement, glissa sa main, puis celle de la blonde nue. Les deux femmes, alternativement, touchèrent un sexe puis l’autre, en plein centre de la grande ville et d’un cercle de festivaliers émoustillés. Bientôt, la brune en tailleur et la blonde exhibitionniste branlèrent les deux inconnus, qui étaient peut être venus avec leurs épouses ou amies. Des photographes et cameraman autour de Mireille ou Chantal qui, plus ou moins ensemble, provoquaient la foule en se caressant, mutuellement ou pas, d’autres touristes ou non. Avec l’amusement des couples dévergondés, le cercle se déformait et se déplaçait autour de la place de l’immense ville.
S’était retrouvé à la vue de tout le monde, un homme à la barbichette grise qui exhibait une amie aux cheveux rouge et au maquillage très chargé noir. Elle portait une combinaison Latex brillante et moulante et une cordelette blanche la ficelait très serrée, les bras dans le dos. Les nœuds étaient sophistiqués et cela suscitait au moins de la curiosité. De plus en plus, le couple partageait le cercle relativement désertique avec la française totalement nue.
L’homme à la barbichette aurait pu se heurter à la blonde mais Chantal, et ses gros seins au soleil, se glissa entre les deux. L’homme fut un peu surpris et intimidé, ce qui amusait les femmes, y compris parmi les spectatrices. La brune bouclée enfonça le clou en montrant la blonde capiteuse nue comme un ver. Celle-ci vint vers la femme aux cheveux rouge, qu’elle trouva très belle, et l’embrassa sur la bouche. Elle avait mis ses bras dans son dos pour donner le change, mais sans doute que l’idée que la soumise lui était dédiée également l’avait attirée.
Un muret arrondi était apparu dans le cercle des voyeurs du festival et Anne-Pierre s’assit sur le bord. Mireille était de retour, jupe en cuir remontée, sans son string. Anne-Pierre, sur son muret, avait toujours ses mains dans son dos. Mireille et Chantal encouragèrent quelque chose qu’elles n’avaient peut être pas compris. L’homme à la barbichette, l’air d’un cow-boy, enroula, noua, la cordelette autour des bras, des poignets, jusqu’à ne faire qu’une manche serrée, suspendue par le cou, très haut.
La petite blonde nommée Mireille vint écarter les cuisses de la lyonnaise et la lécha. Les lèvres relâchées de la blonde s’écartèrent et la langue creusait son sillon dans la fente de la blonde nue et ligotée, et ce sous les yeux des badauds stupéfiés. Anne-Pierre bousculait en arrière, son dos sentant la fraîcheur des plantes. Chantal, l’aînée, la poitrine fière et gonflée, vint mettre sa bouche au même endroit que la petite blonde et y enfonça sa langue, puis caressa vigoureusement avec ses deux, ce qui fit tomber l’exhibitionniste dans les plantations.
La brune, d’une quarantaine d’années, écarta les cuisses bien ouvertes tandis que la cadette à la jupe en cuir questionna maladroitement le cow-boy et sa femme pour que celle-ci, saucissonnée également, vienne se mettre à genoux et lécher la plantureuse française.
Mireille sembla comprendre que c’était une première pour la femme aux cheveux rouge et à la combinaison moulante noire. Claire, celle en tailleur noir, était partie faire un aller et retour. Olivier retrouva péniblement sa femme qui le vit à gauche, près d’elle. La brune apportait un type qui n’éprouvait, semble t-il, aucune peine à se laisser promener le sexe à l’air.
Les Bourseiller se regardaient, puis l’époux photographia sa femme, pendant que l’inconnu se précipita pour extirper un préservatif de son sachet, sous les yeux des français qui se reculait pour offrir ce spectacle au plus grand nombre. Le petit tunnel de latex se déroula autour du membre tendu, qui se présenta dans la fente de la lyonnaise offerte. L’inconnu à la chemise blanche poussa, chose qui devait arriver, le plus banal des habitants de cette ville pouvait être là et observer sans que quelque chose ne lui soit reprocher. Le sang d’Anne Pierre se mit à bouillir et ne pouvait rien faire contre, sauf un regard vers Olivier, qui prenait des vues. Aurait-il pu faire quelque chose contre ? N’était-ce pas cela que recherchait Anne-Pierre en cet instant ? L’inconnu de passage s’était retrouvé dans le ventre d’une femme nue en pleine ville, et allait et venait. La blonde respirait fort et vite, rompant sa pudeur déjà largement entamée par son sexe béant et son visage rouge d’un sourire torturé qui la trahissait. La lyonnaise gémissait et miaulait, regardant les deux yeux d’Olivier qui se priaient mutuellement à la fois de continuer et de laisser faire, des non déguisés en oui.
Des hommes, parfois accompagnés, s’autorisaient à se déboutonner, à venir dans le trou d’Anne-Pierre laissé par le précédent. La blonde, ficelée et couchée au milieu de la foule, ne pouvait plus s’arrêter et c’était exactement ce que Olivier lisait dans les yeux de son épouse alors qu’elle mimait le contraire. Cela allait de plus en plus vite et avec de plus en plus d’indifférence.
Claire, puis Mireille, invitèrent un ou deux hommes qui n’avait plus le temps de jouir dans le ventre de la pulpeuse blonde, puis de ne même plus pouvoir y entrer, à se faire branler au dessus du visage de la femme-objet. quatre préservatif furent usés, deux finalement n’avaient pas réellement servis et deux autres bites s’étaient vidées sur le visage d’Anne-Pierre, dont le sperme dans l’œil ou la bouche l’avait distraite de son inhibition.
Le dernier à venir dans le ventre de l’épouse d’Olivier Bourseiller n’avait même pas regarder sa femme, et celui qui avait joui sur le nez de celle--ci s’était lui-même installé dans les plantes et s’était branlé quelques secondes. Le public ne savait pas si c’était bien ou mal, Anne-Pierre non plus, mais dans ces moments-là, rares, on se demande si c’est pour ces raisons-là qu’on le fait. Les hommes qui avaient profité de la blonde nue et ligotée encombraient le cercle très serré, même celles et ceux qui ne voulaient pas voir ont vu, souvent, et donc les Bourseillers avaient la possibilité de partir rapidement.
Il fallait bien une fin, fut-elle par épuisement. Les français, ainsi que de parfaits inconnus, des femmes souvent, semble t-il, envieuses, encadrèrent Anne-Pierre et son mari qui la tenait par l’épaule cachée dans les cordelettes. Il se fit un petit cercle, bien plus rapide, d’intimes qui se déplaçait jusqu’à un rocher d’un petit espace vert, en contre-bas. Quelle eut du sperme plein la figure durant la course et à la vue de quelque innocents festivaliers ne l’incommodait plus, et se demande si c’est vraiment cela sa préoccupation.
-Tu en as assez pour aujourd’hui...-Oui-Je ne sais pas comment on va couper tout cela...-Ce n’est pas grave... Je veux qu’on rentreComme ils ne sont pas des habitués de la ville, Anne-Pierre devra repasser par la grande avenue, principalement, avant d’atteindre la Polo.
Revenus près de Lyon, les Bourseiller visionnèrent les photos. C’était terrifiant avec le recul. Ils reçurent des clichés des amis. Mireille a fait de l’exhibition intégrale en fin de journée, Chantal s’était trouvés deux routiers en guise de partenaire sur le chemin du retour. Claire taillait des pipes à des festivaliers avant de se faire prendre en photo, plus à l’écart, en train de faire pipi debout, ostensiblement. Les Bourseiller inventèrent des excuses avant de, finalement, au bout de quelques semaines, partager les photos des exploits, de la blonde et pulpeuse Anne-Pierre. Elle se demandait si elle appréciait d’être le phénomène de la communauté.
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