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Anne-Sophie

Chapitre 1

Hétéro
"Allez, on va passer Nouvel-An au chalet !". Paul nous l’avait promis, Paul l’a fait. Le 30 décembre, les premiers montent à la montagne. Les suivants arrivent le 31. En tout, six couples et deux célibataires de type masculin, Laurent et moi. Un Réveillon du tonnerre, une soirée et une nuit inoubliable, passée de bars en bars dans la station. Quelques-uns finissent dans de mauvais états et nous devons notamment porter une des filles jusqu’au chalet.
Le lendemain, la vie est au ralenti durant une bonne partie de la journée, mais le soir, après souper, nous sommes plusieurs à descendre au village boire un verre et je remarque alors cette jolie brune aux yeux noisettes, au visage si doux et fin. Je m’assieds à sa table, désertée par les deux filles qui l’accompagnent. Anne-Sophie, 20 ans, dégage beaucoup de charme, de sex-appeal. Il ne nous faut que quelques minutes pour nous embrasser. Jamais je n’ai "emballé" aussi vite. Nous passons la soirée ensemble, c’est une fille… "étrange". Anne-Sophie a une voix fluette, douce. Elle semble très timide malgré cette rapide entrée en matière. Ses yeux sont très expressifs, pouvant être d’une douceur incroyable à un moment et très durs quelques minutes plus tard. Cela me déstabilise un peu. Son être tout entier semble souffler le chaud et le froid. Et elle a cette façon assez particulière d’embrasser, en enfonçant profondément sa langue dans ma bouche.
Nous en restons aux baisers dans le pub puis je la raccompagne à l’appartement qu’elle loue avec ses amies qui sont rentrées depuis longtemps. Elle ne veut pas que j’y entre. Nous nous embrassons et je suis très surpris qu’elle s’agenouille spontanément pour me sucer quelques secondes sur le pas de la porte. Elle promet de me rappeler. Sans trop y croire, je la quitte et rentre à mon tour au chalet de Paul.
Deux jours plus tard pourtant, Anne-Sophie m’appelle et nous entamons alors une correspondance téléphonique régulière car elle habite à près de 100km de chez moi et surtout, j’apprends qu’elle est en couple. Nos appels durent souvent plusieurs heures durant lesquelles Anne-Sophie s’ouvre un peu, me raconte un peu, se dévoile un peu. Je me rends compte qu’elle n’est pas bien dans sa peau et son mec semble assez néfaste pour elle.
Il s’agit de son premier copain et elle sort avec lui depuis plus de trois ans. Anne-Sophie semble être son objet sexuel. Elle ne me parle jamais d’amour, de douceur ou de tendresse entre eux. Ce qu’elle décrit, ce sont des rapports avec de seuls fellations comme préliminaires, elle ne peut pas vraiment refuser quand il a envie d’elle, il la baise vite et apparemment mal, en ne pensant qu’à lui et jamais à elle. Elle est visiblement habituée à ce rythme et à le faire de cette manière, machiste et misogyne. Assez fragile psychologiquement, extrêmement influençable, Anne-Sophie s’est pliée aux volontés de ce mec, trouvant apparemment auprès d’autres (comme moi), la tendresse, la douceur dont elle a besoin.
Un soir (une nuit…), nous passons plus de 5h au bout du fil. Anne-Sophie me raconte son enfance, son côté garçon manqué, mais surtout, les coups de sa mère, alcoolique. Elle avait enduré cela jusqu’à l’âge de 14 ans avant de fuguer. Les autorités ne l’avaient retrouvées que cinq jours plus tard, à plus de 300km de chez elle. Je regrette qu’elle n’habite pas plus près, j’ai envie de lui faire voir autre chose de la vie et de l’amour. Elle me dit que ça va, qu’elle va bien ainsi, qu’elle l’aime. Ça me rend fou.
En mars, je parviens à décider Anne-Sophie de venir chez moi, profitant de l’absence de son mec, parti en week-end avec des amis. Elle arrive par le train du matin, en pantalon de tailleur noir avec un chemisier violet et des escarpins noirs également. Nous échangeons un baiser timide à son arrivée. Il faut dire que ce n’est que la seconde fois que nous nous voyons et malgré nos téléphones, cela nous fait un peu bizarre de nous voir "en vrai", de nous embrasser. Je l’emmène en ville nous flânons main dans la main puis nous montons dans la vieille ville. Là-haut, elle s’assied sur un plot de béton pour se reposer de la montée. J’en profite pour m’approcher d’elle et l’embrasse passionnément. Sa bouche est ourlée et ses lèvres douces. Debout, je la caresse de partout, elle est divine. Elle n’hésite pas longtemps à me caresser l’entrejambe, l’air intéressée. Nous reprenons la voiture aller manger au restaurant. Mes parents ne doivent partir qu’autour de 15h.
Après le déjeuner, nous nous baladons le long de la rivière. Nous nous asseyons sur un banc au soleil et là, j’ouvre son chemisier pour la peloter. Elle gémit et me dit que je l’excite. Bien chauds tous les deux, nous rentrons chez moi. Il est environ 16h et nous allons rester enfermés dans la chambre jusqu’au dimanche après-midi. A peine si nous allons manger…
Dès notre arrivée, je la déshabille avec envie sur le lit. Elle porte un très joli ensemble de lingerie noir. Elle a de très jolies jambes, fines et bien dessinées. Pour une fille si menue, elle a une très belle poitrine : ses seins sont gros et lourds, c’est un véritable plaisir de les caresser. Et pour couronner le tout, elle a un cul à tomber, rond et bien ferme. Je lui retire son string et lui lèche ardemment le minou. Elle me dit qu’elle adore ça, elle gémit beaucoup et écarte ses jambes au maximum.
— Viens, viens en moi, je veux te sentir, prends-moi !Je suis un peu surpris de l’entendre parler ainsi, car, je l’ai dit, Anne-Sophie est très timide et réservée, elle parle peu et là, pendant que nous faisons l’amour, elle se lâche et est assez directe. Avec ce qu’elle m’avait dit au téléphone, je m’attendais à ce qu’elle soit passive, voir soumise, mais pas à ça. Et je n’avais encore rien entendu... Ne me faisant cependant pas prier, je m’introduis en elle et la pénètre tout en douceur, je vais et viens lentement : — Vas-y, prends-moi plus fort, plus vite, je veux sentir ta bite tout au fond !Intrigué et malgré tout excité par ses mots, je la pilonne alors comme un dingue et jouis rapidement en elle. Elle semble se contenter de cela alors qu’il est clair qu’elle n’a pas eu d’orgasme.
C’est une attitude qu’elle aura tout le week-end, comme une double personnalité. Quand nous serons couchés à discuter, elle restera soit blottie contre moi, soit elle voudra que je la serre dans mes bras. A l’inverse, pendant que nous ferons l’amour, elle aura systématiquement ce comportement d’"actrice de porno" (qui devait visiblement être l’idéal féminin de son mec), surprenant et sympa au début, mais fatigant à la longue. Une autre preuve de sa "soumission" étant qu’elle préfèrera toujours être dessous durant l’acte, se montrant mal à l’aise, empruntée et même gênée, à califourchon sur moi.
Nous ferons l’amour une dizaine de fois durant la soirée, la nuit et le lendemain. Anne-Sophie suce fort bien. Après trois ébats où elle n’avait pas pris son pied, je la lèche avec application et douceur, bien décidé à la faire jouir. Elle aime, elle adore même, ça se voit, ça se sent, mais elle me demande de venir en elle, ce que je refuse. Je veux l’emmener à l’orgasme avec ma langue. Elle résiste à un tel point qu’elle me repousse, referme ses jambes. J’insiste pour qu’elle me laisse poursuivre, je ne veux que son plaisir. Elle cède finalement, les larmes aux yeux. Je n’insiste pas.
Je trouve la situation surréaliste et comme à son habitude lorsqu’elle est contrariée, Anne-Sophie se referme sur elle, impossible de la faire parler. Aussi, je ne vais pas cracher dans la soupe : après avoir vainement tenté à plusieurs reprises d’avoir une relation sexuelle normale, partagée, dans une communion des corps et des sens, j’ai laissé tomber et n’ai fait que la baiser. Parfois, je me croyais vraiment dans un film de cul où seule la "performance" compte. Quelques exemples :— Vers 21h, je reviens de la salle de bains et découvre Anne-Sophie nue, assise sur mon bureau, en train de se caresser, les jambes grandes ouvertes. En me regardant par-dessous, droit dans les yeux, elle me dit : "Baise-moi !". J’ai descendu mon caleçon et l’ai enfilée.— 23h : je la pilonne déjà comme un malade, elle me lance : "Vas-y ! Plus fort ! Fais-moi mal ! Défonces-moi !"— Dimanche, 11h : Anne-Sophie se met à quatre pattes sur le lit, se cambre incroyablement, me regarde par-dessus son épaule en m’offrant son cul comme jamais : "Prends-moi comme une chienne !"
Finalement, j’ai joui : dans et sur sa chatte, sur ses fesses, sur son ventre, mais par-dessus tout, elle a adoré que je sperme sur ses seins. Elle disait aimer la chaleur du sperme à cet endroit et appréciait de l’étaler sur toute sa poitrine. Par contre, son petit trou, on n’y touche pas. A peine ai-je commencé à le frôler d’un doigt qu’elle m’a dit non. Dommage...
Le dimanche, vers 15h30, je l’emmène à la gare. Nous nous quittons à regret et assez émus. Elle me dit qu’elle espère me revoir bientôt. Je lui dis que ça risque d’être compliqué tant qu’elle restera avec son mec.
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