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Anne soumise est offerte par son mari au promoteur, ses ouvriers, elle s'offre

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
LE CONTRAT ET SES CONSEQUENCES première partie
Georges, le promoteur nous convoque Alain et moi, le Vendredi soir, pour le lendemain matin. Sans délai. Toute la nuit j’y pense …je sais ce qu’il va dire, je me conditionne aux conséquences du contrat. Vers 11h, on arrive à son bureau, le samedi, personne.
Comme je devine vite ce qui va se passer, j’ai mis une robe très décolletée, ouverte devant, courte, rien du tout en dessous, des bas qui tiennent seuls.La robe s’arrête juste à la limite des bas, en dessous des fesses c’est dire...si elle est courte. Un manteau léger ¾ pour cacher le tout, dehors.
Visage très fermé, dur, grosse colère. Par contre s’il me regarde il a un reflet sadique gourmand dans l’œil, ça se voit. !!
« Prenez place » « Salut Alain, ça va ? Tu te doutes pourquoi vous êtes là ? » « Je vous ai foutu la paix, plusieurs mois mais ON EST qu’à 50% bordel !!! » « DONC c’est simple, VIRÉS !! OU application de la clause, en la TRIPLANT !! Je ne supporte pas cette situation !! » « Alain je te demande même pas de répondre !! Anne ? Tu décides quoi ?»
Je ne réfléchis pas.« On applique le contrat Georges, ce que vous voulez, je suis à vous, tout de suite »
« Bien ma salope, perds pas de temps, mets-toi à poil, viens me sucer… !»Je fais sauter ma robe d’un geste vif. Nue en talons et bas je me pose à genoux devant lui, ouvre son pantalon, glisse la fermeture éclair, fais jaillir sa queue, l’enfourne avidement, je sais qu’il souhaite ça tout de suite  !! Je liche et suçote, je pompe, aspire, comme d’habitude, je veux l’attendrir.

« Ma petite perverse, tu ne vas pas t’en tirer comme ça, avale tout, allez !! Jusqu’aux couilles, bouffe ma bite, c’est agréable ton retour, tu vas bien me siffler, je t’ai réservé un bon millésime, une grosse gorgée. Bordel paire de fesses !! Courbe-toi ! » JE FAIS.
D’un coup, fixant fort mon visage à deux mains, il se répand, coule, décharge, éclate, il lâche tout son sperme au fond de ma gorge, longs jaillissements, l’un après l’autre, 5 ou 6. « Déguste ma cuvée, salope, la première du week end. Dis-moi que tu aimes... !!! »
« OUI, Georges, OUI, votre queue est bonne, votre jus, tant que vous voudrez…Je vous boirai toute la semaine »Il jubile, il me retrouve…Je dois être comme ça, si je peux l’apaiser.
TOUT CELA SOUS L’ŒIL DE MON MARI. IL ACQUIESCE !! Pas mécontent !
« Promène-toi à poil, ma chérie, je me remets tout ça bien dans l’œil, avant de t’offrir !» (Oh là là, ça augure !!). JE FAIS. Je « patrouille » la pièce en bonne soldate.
Je pirouette autour de lui, offre mes seins, mon cul, il promène ses mains sur moi, farfouille, je fuis, m’échappe, je me redonne… !! Je joue, pour sa détente ... Il aime.
« BON, va t’asseoir sur le canapé, les cuisses grandes ouvertes, écarte bien ta chatte, montre-la-moi. Reste comme ça, sans bouger. Surtout Écoute bien !! » JE FAIS.« Alain, je te tiens au courant, juste pour la forme » « Je la prends 3 fin de semaine d’affilée, du Samedi midi au Dimanche soir, elle va être la récompense, la prime, de mon groupe d’ouvriers blacks et le chef de chantier. Après, la même chose, pour les arabes, turcs, autres polonais »« Je n’ai pas de fric à leur donner, je veux quelle se livre A FOND !! »
«Après, j’ai une transaction délicate, l’achat du terrain de paysans au fond de la Seine et Marne. Le père, les 2 fils, 61 et 62, plus l’avocat homme de confiance qui gère l’opération, il doit friser les 70, comme moi. »« Pour accepter mon offre, je me suis engagé à leur « prêter» Anne. C’est une vraie clause de rupture, l’avis de l’avocat est vital donc : « PAS DE CHOIX, JE L’AI DECIDE»
« Ca va lui plaire, elle qui aime les anciens, en plus ils sont vraiment rudes, pas gâtés question finesse et civilité, plus habitués aux culs des vaches et truies qu’aux femmes. Tu me suis ? » « Il s’agit de 2 millions d’euros, il me faut la plus grande virtuose salope suceuse, buveuse de jute ! Pour moi C’est TA femme ! »
« Écoute, Georges je n’ai pas d’issue, tu as sans doute raison elle sera excellente, comme toujours ! Elle aime ça, si pour toi c’est la solution : j’adhère !»
QUOI dire, pour Alain, le vicieux promoteur est fortifié, Il nous garde notre contrat.
C’est A MOI DE FAIRE MAINTENANT !!!!
« Bon Alain, OK, on boit un verre et tu pars. Elle sera ramenée demain soir… ! »« Viens ma poule, pendant que je bois avec ton mari, suçote mes couilles, doucement.Je te dirai quand tu pourras finir de déguster…» JE FAIS….
Mon mari est parti. J’ai évidemment tout bu encore, léché.
Et, Georges me pose nue allongée sur le dos, sur son bureau, face à lui.
Il est assis normalement sur son fauteuil, donc je tourne le dos à la porte. J’ai la tête renversée, je ne le vois pas, mes cuisses grandes ouvertes, ma chatte transpirante, large, dégouline...
« Reste comme ça, je veux voir ta moule de près, jeune cochonne, bouge pas.J’amène ta surprise… ».
QUELLE SURPRISE !! J’entends la porte, des pas….
Dans cette position, entièrement PROPOSÉE, sans que je voie bien, défile devant moi une douzaine de noirs, tous âges, toutes tailles. Ils s’arrêtent chacun, pour évaluer mon sexe, me toucher les seins, le ventre, les cuisses, me palpent, pétrissent ou pincent. L’un deux fait le tour du bureau lèche ma minette, grand coup de sa langue épaisse !!! JE FREMIS ! Je COMPRENDS ce qui m’attend. J’entends des rires de liesse, de jubilation, d’espoir, des grognements rauques …
« VOILA ma salope de petite bourge, ta punition, ton devoir, tu vas bouffer des queues bien noires, en prendre plein ton petit fion, des deux côtés, boire de la bonne liqueur de café »
« DE TA PART JE NE VEUX AUCUNE RESISTANCE, AUCUN REFUS »
« Ah oui. J’ai même demandé au chef, de veiller, que tu leur lèche le cul, comme pour moi, la dernière fois. Il assurera la propreté. N’est-ce pas Anne ??? »
« Dis le moi !! bordel, Dis» Très sévère le ton. Sans appel.
« OUI, Je vais les déshabiller, les sucer, les boire, les pendre dans ma chatte, dans mon cul, (si ça rentre…), leur nettoyer les fesses avec ma langue, suçoter les anus, me nourrir de tous leurs corps, je ne stopperai qu’à la dernière goutte de la dernière bite !! »
« Vous êtes heureux, Georges, je vous donne du plaisir ? »
« Superbe, adorable, tu es mon offrande à mes gars. Allons-y !!!! »« LES GARS ! Je vous la donne, videz vos couilles, elle acceptera TOUT, cette belle blanche !! Mais vous me la gardez entière surtout. Allez amusez-vous »
J’enfile que le manteau ¾, non fermé, je laisse ma robe dans le bureau. En gage !!
Georges me remets aux mains du chef de chantier, un black d’environ 58/60, petit, 1m 60, très AFRICAIN, un air de brute, narines hyper larges, grosse bouche épaisse, tête ronde, gros ventre qui passe au-dessus du pantalon, assez repoussant mais propre. C’EST LUI QUI VA ETRE CHEF D’ORCHESTRE.
Je suppose qu’il va vouloir être servi en premier donc je me frotte à lui de suite. Il me pelote tout avec rudesse...Ascenseur, voiture, un noir la conduit. Le chef avec moi à l’arrière… Il retire le manteau. Les bas.
ABSOLUMENT TOUTE NUE (ça devient un rituel), on traverse les banlieues Nord Est de Paris. A chaque feu rouge, tout le monde me voit, les bus et poids lourds évidemment.Ils font un détour par une Cité, s‘arrêtent….
Des loubards approchent, ils se connaissent avec Le chef. Il me plaque vivement le visage sur sa bite sortie. Courte, épaisse et large, pas longue, des couilles replètes duvetées.Silencieux, Il m’indique juste d’un geste, le doigt pointé vers sa bite, sans un mot.Ça veut dire : SUCE !! Comme par hasard c’est le style de bite que j’aime, on peut l’avaler entière...
Mon cul est offert aux jeunes, les cris de joie, commentaires crus, salaces, ça y va….Je mange cette bite, je la gobe. Le « chef » jouit vite, crépite ses saccades !! Maintient pour que j’ingurgite tout, je le pourlèche et le lave délicatement. Lui, j’ai intérêt de m’en faire un allié… !Il me relève avec délicatesse, montre mon visage aux jeunes, le sperme coule sur mes lèvres et mon menton.
Il me tourne de façon que ma chatte soit vers les jeunes, ma tête sur ses cuisses, il commence à me branler à pleine main, puis guide la mienne pour que je me masturbe pour eux. JE FAIS….. Je me branle avec force, allumée, JE JOUIS…. En petits bonds. Mais c’est inhumain.Décidément je suis incorrigible.Mes fesses décollent de la banquette, ma minette est à 40 cm des yeux de ces voyeurs. Je suis « la reine de la Cité ».
Le seul but de tout ça : Montrer aux jeunes son pouvoir sur cette belle blanche. ON REPART.Direction un pavillon témoin d’un lotissement du promoteur, en construction, leur lieu de travail à tous.Le pavillon est équipé, eau, lumière, meubles, WC, salle de bains etc…
Comme j’ai l’œil et que c’est aussi mon univers, je remarque la pile de serviettes inhabituelle dans la salle de bains, beaucoup d’alcool à la cuisine, avec des provisions.
JE SUIS PARTIE POUR 24H, apparemment. POUR LE PLAISIR, L’AGRÉMENT,LA JOUISSANCE DE CES 12 NOIRS !!!! Nue, pas de portable, rien !
Je remarque vite plusieurs choses, la moitié ne parle pas français (appris plus tard, ils sont du GHANA).La moitié à la quarantaine, 3 plus de 50, 3 proches de 60 ou plus. Ni beaux, ni moches, ROBUSTES, PUISSANTS.
Trois sont de vrais mâles hyper musclés. Pas une once de graisse. OUAHHH !
Plus tard je verrai que, à part 2 et le chef, ILS ONT TOUS DES QUEUES de 20 cm minimum, largeur en rapport. Ce sont bien des blacks à la mesure de la légende.Les meilleurs ouvriers qualifiés de Georges, ils savaient que leur prime C’ETAIT MOI !! Enfin une blanche salope soumise.
Ils ont bossé des mois pour avoir ça !!!! Pas question de le gâcher… !!
Donc, je propose au chef, qu’ils forment un cercle autour de moi, Je suis debout simple appareil, bien sûr, poitrine dressée en avant, ma chatte charnue présentée ouverte, fesses proposées, dévoilées, parfaitement abandonnée.
J’entreprends de faire jaillir toutes les bites, pour bien évaluer « Mon travail ». Pas déçue Anne, plus je les sors, plus ils bandent, quelles superbes bêtes !
Mes yeux luisent de gourmandise, je vais avaler et pomper, comme une vorace, plusieurs mètres de cette chair, plusieurs fois.Je suis aux anges, CIRCONCIS TOUS !! Devant chacun, je me penche, suce les glands, caresse les bourses, les mains sont partout sur moi. Le chef calme… Je défais tous les pantalons, les slips, fais glisser les chemises, les embrasse sur les tétons, suçote, à chaque fois je lèche le ventre, 12 fois !!!!!! Ils sont tous nus, les queues érigées, dressées pour moi !!!
« Votre patron le veut : je vous suce, vous me baiserez, m’enculerez. Je vous nettoie avec ma langue, JE SUIS A VOUS TOUS, D’ACCORD ? Une SALOPE !! J’ADORE VOS BITES… !» «Prenez plaisir, vous pouvez tout me faire !!! »
(La traduction va bon train, les rires gras, gutturaux, fusent…Les yeux pétillent, les dents blanches dans ces grandes bouches… J’ai l’impression qu’ils ont me bouffer !! ET ILS VONT LE FAIRE !!!)
Je me dirige vers un grand canapé d’angle, très cossu, 6 m de long, ils me suivent. C’est MOI qui demande au chef de me bander les yeux fort. Je ne vois plus rien…..
A l’aveugle j’ai une meilleure sensation de la chair, la fermeté des queues, consistance, dureté, rudesse, calibre, douceur des peaux, taille des couilles, épaisseur des langues, une sensation extraordinaire quand ils me bouffent la chatte en me mordillant. (vieux fantasme d’avoir à faire à des cannibales ….)
OH que c’est BIENFAISANT !!! EN FAIT JE SUIS RAVIE D’ETRE LA. Pas du tout une punition. A LEUR SERVICE, LEUR BONHEUR. JE VEUX JOUIR !
Maintenant, assise sur le canapé, j’écarte grand les cuisses, ma chatte trempée, suinte de mouille, je prends au hasard, au toucher, 2 queues, merveilleuses en taille, je me prépare à les pomper tour à tour.Je câline, je soigne, je mange…je suce, lèche, prends les couilles, un doigt dans leurs culs, pour bien montrer comment ça va être et pour tout le monde !!...
Des mains me frictionnent, malaxent, je sens une langue ferme pénétrer mon minou, Me lécher aussi entre les fesses, je lui offre….(Le gars doit être à 4 pattes devant moi).
Comme c’est ma spécialité, les deux premiers, ne tardent pas, attisés, excités, ils crachent, giclent, chacun leur tour au fond de ma bouche. Je déglutis, je bois tout. Ensuite je nettoie bien les deux bites, bien propres, prêtes à resservir….
Je choisis, 2 autres, au juger, en les soupesant, chacun, une grande, une grosse courte...Pour que mon palais, ma langue se réjouissent, varier mon menu…J’ADORE, je prends mon pied !!
Là je la joue « très vorace », bouffeuse de queue, je les mange jusqu’au ventre et garde dans la bouche, je mords doucement…pourtant un des deux fait bien plus de 20. Par petites goulées, j’y arrive…
Le même scénario se reproduit plusieurs fois, les mains circulent, une autre langue, De longs jets chauds sucrés/salés…Le chef, je sais que c’est lui, s’est assis sur le dos du canapé, derrière moi, ses deux grosses cuisses énormes, m’entourent. Il excite ma poitrine, titille, pince mes boutons, me mord le coup.Surtout IL VEILLE ! Que je ne lâche aucune queue, toujours en bouche.Sauf si je « salive » les couilles.
6 FOIS, J’AI POMPÉ LES BITES, 2 par 2, SOIGNEUSEMENT, CONSCIENCIEUSEMENT, AVEC AMOUR, RESPECT, j’ai vénéré, bu toutes les liqueurs, copieuses et crémeuses.Je me suis REGALEE de tout ce foutre. (Tout de même, Je sais, par ce porc de Georges, que tous les tests VIH, sont bons).
Le chef retire le bandeau. Je vais à la salle de bains me rafraîchir, toute nue, en chaussures, je roule des hanches, je traverse au milieu du groupe, je me frotte, prend chacun dans mes bras, les embrasse, parfois sur la bouche, RECONNAISSANTE, entièrement. Comme par enchantement, à la salle de bains il y a « beaucoup » de gel pour faciliter certaines entrées…
Là encore, je devine, des bâtons dans le cul, je vais en prendre. J’huile au plus profond possible. Je traite aussi mon petit berlingot d’amour, ne pas prendre feu avec ces grosses tiges.
IL EST 18H00 Boissons, alcool, nourriture, tout le monde est à poil, les sexes au repos. On va dîner.
Après le repas. Tous me convoitent, me veulent, me désirent !!! Souhaitent être le premier à me baiser !!!
Cette fois, je vais à la chambre témoin, lit de 2m, large….Je veux être à yeux bandés, le chef fait, il m’attache aussi les mains derrière le dos, à ma demande. JE TIENS A ETRE livrée sans défense.
Voyant ça, il me place en levrette, face contre le lit, cul au bord, fesses exhibées, il me tronche, violent, fiche son pieu, va et vient sauvage, sa bite me garnit, entre entière, retenue aux hanches, je pousse ma chatte vers lui, je m’enrobe sur son dard, je pousse … IL CRACHE FORT !!! Se vide, râle : « T’es vraiment une garce  !! » « « Quelle cochonne de pute, le patron c’est un BON !!! Allez Viens salope … ! » Il me ramène aux autres.
Il Explique. Baise ou Enculage : C’est courte paille, la loterie pour l’ordre de passage.AU CHOIX baisage ou enculage…dans tous les trous de la pute blanche. Le tirage a lieu, je ne vois rien, je ne sais pas qui …
« Au toucher », j’hérite des deux plus longues, également larges de 5 ou 6 cm, des bestioles incroyables. Je reconnais car à sucer c’était pas mal. UNE FETE, UN REGAL !!
D’abord, pipe obligatoire au deux pour mettre en forme, ils coulissent dans ma bouche, à l’aise, habitués maintenant à cette langue. Celui qui a tiré la baise, me prend, à la missionnaire, classique, me pilonne le vagin comme un canon, JE JOUIS, 3, 4 fois, je ne sais plus… !!
Il me prend à bras le corps, me serre, se met sur le dos, m’assois sur lui, mes seins sur sa bouche goulue, j’ai les fesses tendues vers l’extérieur, il me harponne, m’enfonce… POUR QUE SON POTE ACCEDE FACILE A MA ROSETTE !!!!! De l’autre côté.
Je sens une très grosse bite au bord de mon œillet copieusement huilé, le gland doit avoir la taille d’un petit brugnon. Doucement… tranquillement, par petite touche, il enfouit son éperon, bouge, s’insère, glisse au fond du fond. J‘ai les deux bites de plus de 20 cm, dans le corps !!!!! JE HURLE, JE CRIE DE RAVISSEMENT, DE BONHEUR, J’EXPLOSE !!!! JE JOUIS TRES FORT, JE CRIE, ENCORE !!!
«A mes cochons c’est bon, continuez !» Ce qu’ils font 10 minutes au moins, pour se décharger, à pleine coulée, dans mon ventre et mon cul … C’EST MERVEILLEUX… JE NE SAIS PAS QUI ILS SONT. !!!!
Des temps de repos, je me lave.Je remets du lubrifiant…(les enculages ne me font pas mal à cause du gel. je suis très ouverte maintenant)
Ils sont tous passés 2 par 2, un devant, un derrière. Pas toujours en même temps. Parfois un 3e lascar inconnu venait donner sa queue à sucer. Une petite gâterie de complément.J’ai pris, bu du foutre de tous les côtés. Je ne crois pas qu’il faut tout détailler, ils m’ont tout fait, y compris de petites fessées en intermède. Toujours attachée et bandée. POUR CES OUVRIERS UNE TROP BONNE OCCASION.
De plus, l’espoir de la prochaine prime !! Ce sera Anne la « cochonne friande » sensuelle salope….J’ai passé une nuit superbe, admirable, étonnante, fabuleuse !!!!!! TOUTES CES BITES que pour moi. J’ai aimé.
J’étais toute retournée, excitée, agitée, énervée, secouée !!! (Ce connard de promoteur ne sait même pas qu’il me rend heureuse).
Donc tout le monde dodo jusque midi.
J’ai remis mon manteau léger, puisque je n’ai que ça, mes petits amis chéris sont demi vêtus, en slip ou sans, avec la chemise etc...
Bonne humeur, SONT SUPER CONTENTS d’ANNE. ET MOI!! TRES HEUREUSE, COMBLEE, enchantée, radieuse !
C’est pour cette raison que je vais m’acquitter, avec éclat, de mon dernier devoir obligatoire… Leur lécher le cul …
C’est au programme imposé par Georges,, sinon il va hurler. Mais je savoure d’avance !! J’ai une idée, géniale pour que j’aie envie de les faire JOUIR, les STIMULER, LES RENDRE FOUS de MOI….
J’ai aperçu dans le frigo tout le nécessaire pour le petit déjeuner RETENEZ BIEN le détail, vous verrez.
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