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Anne soumise est offerte par son mari au promoteur, ses ouvriers, elle s'offre

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
LE CONTRAT ET SES CONSEQUENCE    2E PARTIE
Le lendemain.
Je vais seule sur le lit, allongée sur le dos, jambes écartées en grand, un coussin sous les fesses pour relever, un oreiller sous la nuque pour ne pas faire d’effort, les bras en croix.
Je tiens les montants du lit de chaque côté. Mes seins gonflés, pointes durcies, ventre tendu, la fente dilatée, mouillée, trou de balle abordable, aimable, adorable, avenant, charmant, gracieux…
DONC, CARRÉMENT AÉRÉE, ÉTALÉE, DÉPLOYÉE, AFFICHÉE, DOCILE, DIDCIPLINÉE, OBÉISSANTE, SOUMISE…. !! Tel que je dois être pour respect du contrat de Georges.
JE DEMANDE au CHEF de m’attacher les mains, les pieds, FERMEMENT. Sans me faire mal. Je ne veux pas être tentée de m’échapper.Il est nu court sur pattes, un vrai gorille sa queue dressée. Il Sait, il sera toujours le premier. Je lui ai bien expliqué ce que je VAIS faire, à tous.
« Venez-vous asseoir sur ma bouche !!! Venez. »
Face à moi, les deux énormes cuisses enserrent mon visage, il me présente son zob devant la bouche…Je n’ai pour toute vision que le gland de cette queue large, la bite, les couilles rondes, boursouflées et pleines de jus encore, sûrement. Si je glisse mon visage sous les bourses, ma langue atteint très vite son anus.
C’EST LE BUT !! Je vais poursuivre durant les 24h qui viennent. C’est décidé.
J’amorce, un léchage de queue, en règle, savoureux, des couilles, une douce aspiration du gland, remontée au centre du cul, je lèche, je lèche … Je purifie, je polis.
Ma bave humide, permet l’accès facile, l’entrée délicate de ma langue vive et ardente  !!! Son œillet s’ouvre, sous ma caresse…
Il se sent plus ! Appuie ses fesses, il joue de ma langue. Tourne autour, la cherche…Je soutiens, j’envahis, je n’ai que ma bouche, ma langue, pour faire exploser ce gros noir rustre et vicelard, il offre ses fesses à licher. JE FAIS PARTOUT avec cœur. Pendant un bon quart d’heure, j’irai de sa bite à son anus, barbouillant tout au passage, je glorifie ce cul, je célèbre son chibre épais…
IL CRACHE, ARROSE, ASPERGE !!!! Repu, vidé, il me laisse respirer…
« Tu en veux d’autres tout de suite ??? Ma chérie ??»
Auparavant, j’ai récupéré les deux petits pots de miel liquide et confiture pris dans le frigo. Je les avais mis à côté de moi. En effet ….l’idée… ! Pour m’assurer de ne pas être gênée en cours de léchage, j’ai prévu de les enduire au bon endroit !
« OUI, mon chef, OUI, vous m’en prenez deux, les plus grosses bites, les plus grosses, SURTOUT vous leur dites bien ce que je vais leur faire… Je veux qu’ils jouissent. Ceux qui ne parlent pas français, je les veux « brulants » « enflammés », sans retenue. Faites les boire !!! ».
Deux arrivent, les queues en l’air, de 23/24, l’un de 40 et un des plus vieux. Aucun ne parle français. J’ai la bouche grande ouverte la langue sortie, en attente, comme si je léchais...Ils ont compris. Le plus vieux vient s’asseoir, tout de suite sur mes lèvres, il se place bien au dessus, descend, pour me conduire, sur sa grotte. Le salaud. Doucement je caresse.
Je lui recouvre l’œillet avec du miel. Lui prend cela pour de la salive ! Le tour est joué
Je pirouette autour, je bave, le bas des bourses, puis la queue, J’ENGLOUTIS….UN fort grognement….. Il gerbe son jus tout de suite, à grands flots, résiste pas. C’est fou ce qu’ils ont en quantité !! ! Pour le consoler, je vais combler son anus, délicatement, autour plusieurs minutes, mélange de sperme, de bave, et de miel. C’est super. Ce bon goût.L’autre me « bouffe la chatte », à pleines dents, introduit 4 doigts !! Me ravage, résultat, inévitablement, je lâche une grande vague de ma mouille, moi aussi dans sa gueule de sauvage. (C’est gentil, je les aime !) Un réel enchantement !!!
Le vieux cède la place, l’autre choisit la position 69, m’avance son cul, en s’écartant lui-même le derrière ! Ma langue docile l‘encercle, le sillonne. Son œillet recouvert de miel aussi, est câliné, dorloté, comme jamais dans sa vie. J’inflige à ses couilles le même traitement, il « baise» ma bouche, avec puissance, exalté, sans contrôle, s’enfouit, limite sauvage… LUI AUSSI DÉLIVRE TOUTE SA PROVISION DE FOUTRE…
J’ai l’impression d’avaler au goulot, tellement c’est COPIEUX, RICHE, ABONDANT, dense, consistant, généreux et crémeux… !!!! DU LAIT au miel  !!!!!!!!
Bien épongés, manifestement bienheureux, ils quittent, je fais comprendre que : « Je veux le CHEF »…Il arrive : « tu veux me voir ma petite cochonne ? Tu veux me sucer ? » « OUI mon chef, avant je veux changer de position, j’ai envie de les faire jouir autrement, faut me détacher ». C’est fait. Je le pompe très vite, moi assise, lui debout, mon pouce fiché dans le cul,Je ne quitte pas la bite une seconde… RE Gerbage de sperme garantit !!
Je ne compte plus les verres de sirop. Pas 5 minutes ! Il s‘habitue à ne plus se retenir.
A ma demande, il attache mes mains derrière le dos, les pieds. Je peux marcher. C’est un peu difficile mais suffisant pour ouvrir mon cul et offrir ma chatte en levrette.
J’ai mon idée…
« Envoyez-moi les 5 qui parlent français » « Les 4 autres après, je les veux « hors d’eux », par l’alcool !! ». Je résume, en gros, ceux-là, auront le même traitement à chaque fois, l’un grignote ma chatte et mon cul bien présenté, fouille des doigts, malaxe, j’adhère, tout est donné.
DURANT CE TEMPS, je lèche, suce l’anus et les fesses badigeonnées de confiture liquide, de celui placé devant moi, SA CROUPE TENDUE enserrant mon visage, ma langue, ma bouche.,Heureux, tour à tour, calmes, ils profitent, dégustent, se soulagent amplement, se vident, arrosent de leur bon jus.
Je fais demander le CHEF, pour me détacher. Je vais me rafraichir. Dans la salle de bains je prends tout le gel lubrifiant.
J’ai une grande idée, pour les 4 derniers, je les appelle « mes sauvages », ils ne sont pas beaux, parlent pas français, tous des grosses bites de taureau… deux sont poilus comme des gorilles et aussi 2 des 3 plus âgés de 60 ans.
MON PLUS BEAU FANTASME VA SE REALISER !!!!
Livrée absolument nue, toutes les entrées disponibles…. 4 noirs en rut, fauves à moitié ivres, farouches. S’ils étaient cannibales, je crois que je laisserai me « dévorer ». C’est un peu ce qui va surgir…Mes « bêtes fauves» (c’est gentil), les yeux exorbités m’entourent, je suis debout, adossée au mur. J’ai fait des signes de ce que je veux …
L’alcool les a embrasés. Des FOUS !!!!Les quatre commencent à me « manger », mollets, cuisses, chatte, ventre, fesses, seins, bras, épaules, me roulent de copieuses pelles en me croquant la langue !!!!! Je fonds sous ces dents et ses langues raboteuses…. J’ai des frémissements, gémissements d’exultation…JE BAIGNE …
Ils me font un bien FOU !!! L’assaut de mon corps est une véritable fête !!!! Un délire !!!Je veux leur rendre, ce plaisir. Je les mets face à moi, suis à genoux, les tourne, une bite, l’autre les fesses, l’autre la bite, l’autre les fesses. J’entame une pourlèche neuve de leurs tiges, tous les trous de balle enduits, à grands coups, je me partage à fonds, je veux les faire jouir ensemble.Suave dégustation.
Boire toute la semence sucrée mêlée, en même temps… être leur esclave liée, (comme avec Brice, jadis). Une fois tous les culs bien lichés, lavés, régalés, dorlotés, cajolés, embrassés, caressés, je décide de les braver, en tortillant mon derrière, ferme, vers eux.
Le but, provoquer UN désir obligatoire de M’ENCULER, je le souhaite …
Chose souhaitée, chose faite, barbouillée de gel au maximum, je me prends les 4 engins énormes dans mon petit fondement délicat et sensible, bien élargie depuis hier. Très Accueillant. Ca glisse comme dans du beurre.
« JE BRAME, JE HURLE, JE CRIE, JE RUGIS ! FORT ! UNE CHIENNE SALOPE ! JE m’étrangle DE BIEN-ÊTRE !! »Les « sauvages » me labourent 2 fois chacun…me dévastent le petit trou. CES MECS SONT INEPUISABLES !! Trop en manque.
Après encore une série de pipes avec appétit certain, aux 12, le signal du départ est donné. Il est 16h00, le Samedi. J’ai le droit de téléphoner à mon mari. « Ca va ma chérie ?? »
« Merveilleux, très bien passé, j’ai vécu les plus belles 24 heures de fesses, de ma vie (sauf avec toi, chéri) DES BITES ! HUMM !! Entières dans mon cul. J’ai adoré. Je veux bien le refaire. Mais pas par contrat. Que pour NOUS. »
« Ce Con de Georges se figure décider, il se rend même pas compte que je prends mon pieds !!! » A tout de suite chéri… »
On roule, je reste toute nue, jusqu’au bureau. À travers Paris. Je récupère ma robeGeorges est absent…
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