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Année de terminale

Chapitre 12

Trash
Si PLPP veut dire "Pauline la pute parisienne", je sais que venant de la bouche de mon père ça signifierait "Pauline la petite princesse". Mais là, ce n’est pas le cas. La tête des filles lorsqu’elles m’ont vue enfiler ce truc qui me sert de maillot de bain, ce truc à cordon et bout de tissus qui cachent à peine mes tétons et mon minou... Si elles savaient que ça aurait pu être l’une d’entre elle... Et comment aurai-je réagi à leur place ? Compréhensive ? Pitié ? Non, évidemment que non. J’aurais étais une sale connasse qui lui aurait pourri la vie jusqu’à ce qu’elle se chie dessus.
Mais, elles ne le font pas. Je vois juste de l’amusement pour certaines, de l’incompréhension pour d’autres et de la peur pour les dernières. Finalement, je mérite peut-être ce qu’il m’arrive. Et puis, ce n’est pas si horrible pour le moment... A moins que je sois entrain de perdre le sens des réalités, mes hormones embrouillent peut-être mon esprit.
Quoi qu’il en soit, je suis au bord de la piscine avec tout le monde. Je suis en chaleur, m’exhiber devant tous les élèves... Le prof m’a détaillée, je pense que ça lui plait. Je sais qu’il va me baiser. Je me fiche de savoir qu’il va me donner cinq points de plus ou non... Me faire baiser... J’en meure d’envie.
Le prof frappe deux fois dans les mains et annonce "Bon, ceux qui ne se sont pas encore fait évaluer la semaine dernière se mettent en fil indienne derrière le second plongeoir. Pour les autres, la dernière ligne est libre pour que vous vous amusiez. Pauline, merci d’aller chercher le chronomètre que j’ai laissé sur le banc au fond". J’ai été évaluée, et je crois qu’il n’a pas envie que j’aille avec les autres m’amuser. Il me veut comme assistante. Ca me va, de toute façon je n’avais pas envie d’aller patauger dans l’eau bêtement. Je vais donc chercher son chrono. Était-ce pour mater mon cul au passage ? Aime t-il ma façon de le faire onduler ? J’espère ne pas en faire de trop tout de même.
Puis, le prof me demande d’aller sur le muret en face du couloir de nage. Je dois tourner le dos, mettre mes jambes dans l’eau et garder les fesses apparentes. J’allonge mon torse sur le carrelage froid pour bien tenir, je ne comprends pas bien ce qu’il veut. Il explique "Bien, vous nager jusqu’à Pauline. Au lieu de toucher le muret, vous devez taper une fesse. J’arrête le chrono lorsque je l’entends pousser un cri. Ne la ménagez pas, si je n’entends pas suffisamment, le temps continuera à défiler, et ça jouera sur votre note. Vous avez bien compris ? Le chrono s’arrête aux cris, pas aux murmures, ni aux gémissements".
Me faire fesser par les autres élèves est certainement l’une des choses les plus humiliantes que le prof pouvait me faire. J’étais tétanisée, je n’avais aucune idée de ce que pouvaient penser les autres et s’ils allaient y participer. Peut-être n’oseraient-ils pas me faire mal... Je pousserai alors un cri pour faire croire...
Le premier plongeon... Le temps s’écoule, l’angoisse augmente de plus en plus. Je tremble, je l’entends arriver derrière moi. Et, je le sens juste à quelques centimètres... Un garçon ? Une fille ? Je ne sais pas, mais je reçois une première claque sur la fesse droite. Je cris, je n’ai pas besoin de simuler. Le bruit de la main qui est rentrée en contact avec ma peau a résonné dans toute la piscine. Et je commence à pleurer doucement, d’humiliation et de douleur. J’aimerai me frotter là où ça brûle, mais je n’ose pas bouger de peur que le prof n’apprécie pas. Et déjà, j’entends le second plongeon.
Je me suis prise une bonne dizaine de fessées, certaines moins fortes que la première, d’autres plus puissantes encore, et tout sur la fesse droite. Tout le monde semble être passé, et je reste sans bouger à pleurer, fixant le sol.
Quelqu’un se met devant moi, je sais que c’est le prof. Il pose sa main sur mon front et pousse d’un coup en disant "Ca calmera la douleur". Je tombe dans l’eau, bêtement. Le temps que je ressorte la tête de l’eau, il dit "Allez, le cours est fini, tout le monde sort de l’eau. Le dernier m’aide à ranger". Le dernier... La dernière plutôt... Ou plus rapidement, il aurait pu dire "Pauline". Je suis trop loin du bord alors que les autres sont presque tous dehors déjà, à se précipiter.
J’allais donc devoir ranger, avec une fesse qui me brûlait, qui était rouge écarlate, et il allait me baiser. Même si c’est-ce que je désirais au début du cours, je n’en avais plus envie. Mais, je n’avais pas le choix.
Il me demande de l’attendre dans la remise. Je me dis qu’il se contentera peut-être d’une fellation. Alors, lorsqu’il rentre, je m’agenouille directement. Il me laisse baisser son maillot et prendre sa verge qui durcit rapidement. Ca à l’air de lui plaire.
Pourtant, il m’arrête, et doucement, il me dit "relève-toi... Enlève ce truc...". Il prend le maillot et le détail, puis il le roule en boule, qui n’est pas bien grosse vu la quantité de matière qu’il y a. "Ouvre la bouche !" Et me met la boule dedans... Je le regarde inquiète, je commence à avoir peur de ce qu’il va faire. Il me retourne et me force à poser les mains sur le coffre, mettant en l’air mon cul. J’essaie de me décontracter, mais j’ai du mal à respirer avec ce bâillon improvisé.
Il place son gland devant mon anus, je plisse les yeux. Il met ses mains sur mes hanches, je commence à mordre. Je sens qu’il va me faire mal, je sens qu’il veut me faire mal. Et il pousse d’un coup sec, j’ai mal, mes cris sont étouffés mais s’entendent tout de même. Il continue à rentrer comme si de rien n’était. Et, une fois au plus profond, il s’arrête sans bouger.
Mes larmes perlent sur le coffre, j’espère qu’il va bientôt arrêter. Mais, je reçois une énorme claque sur la fesse droite qui ravive le feu sur ma peau qui se calmait doucement. Et il se met à parler• Le maillot te va mieux qu’à elle. Vous partagez d’autres choses aussi ? Elle aussi adorait la bite, une vraie salope. Mais je crois que tu la surclasses. Elle t’a dit qu’elle adorait que je la prenne comme toi en ce moment ?
L’esprit embrumé, j’ai mis du temps à comprendre de qui il parlait... Et pourtant, c’était évident... Emilie. Il a reconnu le maillot... Quelle erreur... C’est pour ça qu’il est méchant ? Il veut me faire comprendre que c’est lui qui commande ? A-t’il peur que je complote ?
Et il commence ses vas-et-viens, ça me pique un peu à l’entrée, mais ça va, c’est supportable... Ca commence même à devenir bien agréable. Il retire le bâillon après mes premiers gémissements et me demande• Tu aimes te faire enculer ?• … Oui, monsieur.• Branle-toi en même temps, mais ne jouis pas.
Je m’exécute. Il accélère le mouvement, mon orgasme est sur le point d’arriver. Je bloque ma masturbation, j’étais au bord et me mords les lèvres pour me calmer. Je n’ose imaginer ce qu’il aurait fait si je m’étais laissée aller.
Il éjacule dans mon petit trou et se retire en disant « Nettoie ma bite avec ta bouche ». Je n’ai pas hésité à le faire, je n’ai pas pensé d’où provenait sa verge. Ca était si naturel… Je ne me comprends vraiment pas. Drôle de goût, pas désagréable en même temps.
Et il me repousse. Je tombe assise sur les fesses cuisses écartées. La douleur des fessées reprend, mon anus me brule aussi. Et il me dit en me donnant un petit coup de pied dans une jambe "Je ne suis pas rancunier, je te mets un 18 pour le trimestre. Mais, fais bien attention pour les prochaines fois".
Je me suis relevée péniblement, je n’avais plus beaucoup de forces. J’ai marché en canard jusqu’aux vestiaires, le sperme sortant de mon orifice me brûlait l’entrée. Et la journée n’était pas finie.
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