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Annie et Lucien

Chapitre 3

Inceste
REPRISE DES RÉVISIONS
— Papa, cet après-midi je vais chez Martine. — Encore ? — Mais je te l’ai dit, nous avons l’habitude de réviser ensemble tous les mercredis. — Son frère sera là ? — Peut-être. Il a souvent sport, il nous rejoint en milieu d’après-midi. — Leurs parents sont là j’espère ? — Non, ils travaillent. — Ça ne me plaît qu’à moitié. Quel âge ont-ils ? Comme toi ? — Ils viennent juste de fêter leur dix-huitième anniversaire. — C’est bien avec ce garçon que tu as fait l’amour pour la première fois ? Annie scrute le visage de Lucien. Lui ferait-il une crise de jalousie ? — Et après ? J’aime bien François. — Ce n’est pas correct que vous voyez seuls ! — D’abord on n’est pas seuls, Martine est là, ensuite t’es mal placé pour me faire la morale ! Elle enfile une veste, un manteau, prend ses affaires et claque la porte. — Non mais ! Qu’est-ce qu’il se croit !
La vie à la maison après quelques tâtonnements s’est organisée. Une femme de ménage vient le matin pour nettoyer et préparer le dîner pour le père et la fille. Chacun prend le repas de midi séparément, au lycée pour Annie. Ils se retrouvent le soir. L’entente sexuelle ne se dément pas. Annie est aux anges. La queue de son père lui procure jouissance et plaisir. Ils font plusieurs fois l’amour, à leur retour, après le repas en regardant la télévision ou dans une chambre, mais elle refuse de passer la nuit entière dans le lit de son père. Une fois l’excitation de la jouissance retombée, elle le renvoie dans sa chambre, ou regagne la sienne. Malgré cette boulimie de sexe, les câlins de sa sœur lui manquent et elle attend avec impatience le mercredi pour combler avec Martine sa fringale de caresses. Elle n’a pas osé inviter le frère et la sœur chez elle depuis l’arrivée de monsieur Morel. François n’est pas satisfait. Il avait pris ses habitudes avec la jeune fille et chez lui, c’est le domaine de Martine. Annie aussi regrette le garçon. Il ne la faisait pas jouir comme son père, mais ses baisers et l’étreinte la laissaient dans un état second proche du plaisir parfait. Et puis maintenant que Lucien lui a fait découvrir l’orgasme, pourquoi ne retrouverait-elle pas cette merveilleuse sensation entre les bras du frère de Martine ?… Ou d’un autre ?
François rattrape les deux filles qui rejoignent bras dessus bras dessous l’appartement des jumeaux. — T’as pas sport cet après-midi ? interroge Annie. — Non, je révise avec vous, j’ai une importante interro demain. Annie est déçue. La présence du garçon empêche Martine de se livrer totalement aux caresses féminines. Tout à l’heure, elle devra assister une fois de plus à l’accouplement du frère et de la sœur. Lui est fébrile. En refusant de rejoindre ses copains au sport il a le secret espoir d’inaugurer la caresse de la bouche sur le sexe dont a parlé Annie et qu’il n’a pas encore osé réclamer. Comment ça s’appelle ? Fella… quelque chose, croit-il se souvenir. Comment convaincre la jeune fille de la pratiquer ?
Martine et Annie déballent leurs affaires de classe. Elles ont hâte de terminer les révisions. François préfèrerait commencer tout de suite par les câlins. — Qu’est-ce que t’attends ? le gourmande Annie, je croyais que t’avais interro demain. — Oui, oui je m’y mets. Il est forcé de travailler en même temps que les deux filles. Enfin Annie s’étire. C’est le signal du début des caresses. — On a bien travaillé, n’est-ce pas ? plaide-t-il. — Oui, concède sa sœur. Heureusement que t’étais là Annie, j’aurais eu des difficultés avec ces dérivées. J’ai compris maintenant.
Les deux filles se regardent l’œil mouillé. François n’aime pas cette partie des réjouissances dont il se sent exclus. — Va nous chercher à boire, lui ordonne Annie. Il s’exécute de mauvaise grâce. A son retour, les filles ont ôté leur corsage. Elles s’embrassent tout en caressant la poitrine. Annie abandonne la bouche pour téter les bouts de seins. Ses lèvres descendent sur le ventre, sa langue lèche la peau au fur et à mesure que la jupe glisse sur les cuisses. Comme Martine, à son habitude, ne porte pas de culotte, les lèvres s’appliquent tout de suite sur le sexe. — Aaah ! Annie s’applique à faire jouir son amie, la langue et les lèvres sur le clitoris, un doigt puis deux dans l’orifice du vagin. — Aaaaah ! Martine se tord sur sa chaise. François hausse les épaules. C’est du temps perdu ces gamineries entre filles. Il prend son mal en patience. Il sait qu’une fois la jouissance de sa sœur atteinte, les deux filles iront dans la chambre où Martine rendra le même service à sa copine. Ce sera l’instant de présenter… à la bouche…
Annie, allongée sur la couverture ferme les yeux. Entre ses cuisses écartées, Martine lèche consciencieusement le sexe humide. François ouvre sa braguette et sort sa queue. Deux ou trois coups de poignets, elle est raide à faire mal. Il l’approche des lèvres de la jeune fille. Une pensée traverse son cerveau : et si elle le mordait ? Mi-inquiet mi-confiant, il promène le gland sur les lèvres. Elle ouvre les yeux sur la verge à quelques centimètres de ses paupières. — Oh ! — Qu’est-ce qu’il y a ? interroge Martine. — Ton frère est un petit cochon… Non un gros cochon qui veut que je le suce. Elle sourit. S’il n’y a que ça pour lui faire plaisir ! Elle attrape la tige à la base, arrondit les lèvres et introduit le gland dans la bouche. — Aah ! Quelle sensation ! Une décharge de plaisir secoue le garçon. — Oh ! Tu le fais ? s’étonne Martine. — Et alors ? rétorque-t-il. Elle t’a bien léchée tout à l’heure ! Annie retire le sexe le temps d’intimer à Martine l’ordre de continuer ses caresses. Tour à tour, elle avale la tige qui lui chatouille la glotte, ou la sort pour lécher l’extérieur puis reprendre le gland qu’elle mordille entre ses lèvres. François est aux anges. Il en oublie de résister, de contrôler l’éclosion de la jouissance pour la faire durer. — Aah !… Aaah !… Aaaah ! Annie avale consciencieusement le sperme. Elle trouve qu’il a meilleur goût que celui de son père. Martine est un peu jalouse. Ici, chez elle, François est sa chose. Personne d’autre n’a le droit de le faire jouir ! — Ça y est ? C’est fini ? Annie se lève en souriant pour aller se rincer aux toilettes. A son retour, François est dévêtu. Le frère et la sœur s’embrassent à pleine bouche. Annie bien qu’elle meure d’envie de faire l’amour avec le garçon, ne veut pas faire de peine à son amie et laisse les jumeaux s’étreindre. François qui a rapidement récupéré est en grande forme. Martine aussi. Tour à tour ils prennent le dessus. Annie s’amuse à caresser le cul de celui ou celle qui domine complétant par l’introduction de l’index dans l’anus du garçon…
Martine et François ont passé une robe de chambre et Annie s’est rhabillée. Elle sait qu’après son départ, avant le retour des parents, le frère et la sœur se calmeront par une étreinte supplémentaire. Elle n’est pas jalouse, Lucien est à sa disposition. Elle ramasse ses cahiers. — Dis Annie ? interroge Martine. Pourquoi tu veux plus qu’on aille chez toi ? — Oui pourquoi ? renchérit François. — Ma sœur n’est plus là. C’est mon père qui est revenu à la maison. — Et alors ? Oui alors ? Pourquoi Lucien n’accepterait pas ce que Sylviane tolérait ? Annie hésite. Son père sera plus difficile à leurrer que sa sœur. Que dira-t-il s’il découvre leurs jeux ? Elle soupire. Elle aussi a envie de François. — Je lui demanderai, je promets rien. Elle quitte ses amis en les embrassant ensemble.
Martine referme la porte. — Viens m’aider à ranger, puis il faut s’habiller. — Oh y-a pas le feu ! On a le temps ! réplique son frère en enserrant sa sœur par derrière. Il défait la ceinture de la robe de chambre. Une main remonte sur la poitrine, l’autre descend vers le ventre et s’insinue entre les cuisses serrées. — Veux-tu ! Le doigt insiste. — Aah ! — Tu vois, t’as envie ! Oui, elle a envie… Non ! Elle ne veut pas recevoir la queue dans le ventre, plus maintenant, plus aujourd’hui. Elle repousse son frère d’un coup de cul. — Tu m’as fait l’amour tout à l’heure. — C’était pas bien ? — Si mais ça suffit pour aujourd’hui ! — Dis, Martine ? Et si on se caressait ? La surprise rend la fille muette. François explique. — Oui, je vois bien comme vous faites Annie et toi, l’une sur l’autre quand vous vous léchez le minou. — Mais nous sommes deux filles ! — Et alors ? — Tu veux que je…— Oui, suce-moi, je te lècherai pendant ce temps. Martine n’y avait jamais pensé. L’idée fait son chemin. François l’entraîne dans sa chambre. Il la couche sur le lit écarte la robe de chambre. Il essaye de se souvenir des images aperçues sur Internet. Il s’installe à quatre pattes au-dessus de sa sœur. Il est ému. Il connaît le sexe de Martine, il y a souvent mis le nez mais c’est la première fois qu’il va y mettre la langue. Ses doigts découvrent le bourgeon du clitoris, insistent sur l’excroissance. De son coté, Annie empoigne la verge. Elle la manipule, la décalotte sans oser l’approcher des lèvres. — Prends-la en bouche, ordonne François. — Toi aussi alors. Un petit coup de langue timide, puis Martine se lance et introduit le gland. — Aah ! — Ne m’oublie pas ! réclame-t-elle. Il mordille le bouton de chair. Martine frémit. Elle aspire la tige. Ça lui fait drôle de sucer l’engin qui, il y a quelques minutes s’enfonçait là où François maintenant introduit le doigt. Les deux jeunes gens se caressent avec application, attentif à savourer les nouvelles sensations. La jeune fille est tout étonnée d’apprécier la grosseur qui déforme sa bouche pendant que François découvre la saveur douceâtre des sécrétions de sa sœur.
— Argh !… Rheu ! Martine bouscule son frère qui a déchargé sans prévenir. Elle fonce dans la salle de bain à la stupéfaction du garçon qui la suit inquiet. Que s’est-il passé ? — Espèce de salaud ! C’est dégueulasse ce que tu m’as fait ! l’injurie-t-elle après s’être rincée la bouche. Tu pouvais pas te retenir ? François ne comprend pas. Annie tout à l’heure avait reçu sans broncher l’émission de sperme. Comment a-t-elle fait ? Aurait-elle avalé ? — Excuse-moi… — Préviens-moi la prochaine fois. La prochaine fois ? Ouf ! Martine ne lui en veut pas. Elle recommencera mais il prendra ses précautions, promis. Peut-être Annie consentira-t-elle à convaincre sa sœur d’avaler ? En attendant, il est temps de se préparer au retour des parents. Les deux adolescents s’habillent. François sourit quand Martine soulève la jupe sur ses fesses nues pour tirer sur son chemisier.
(A suivre)
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