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Anniversaire en famille

Chapitre 2

Inceste
Après cette première jouissance familiale, la pression retombe à peine : nous sommes tous les quatre sur mon lit, nus. Mon père, ma mère et Mélanie sont autour de moi, ils me caressent doucement ou m’embrassent toutes les parties de mon corps ; autant dire que je ne suis pas près de débander.Ma mère : - Alors, il te plaît, notre cadeau ?Moi : - Ah ça, oui ! Quelle surprise ! Je ne pouvais pas m’y attendre.Mélanie : - Tu sais, j’ai le même pour mes dix-huit ans, moi aussi.Mon père : - C’est en quelque sorte une tradition familiale.Ma mère : - On attendait tous ce jour avec impatience.Mon père : - Tu sais, ta mère et moi sommes bisexuels. Depuis le premier jour de notre rencontre, nous nous aimons follement. Mais nous considérons que le plaisir doit être pris d’où qu’il vienne, nous pratiquons l’échangisme. Mélanie participe parfois à quelques-unes de nos sorties coquines. Aujourd’hui que tu es majeur, nous voulons te montrer les joies du sexe, de tous les sexes. Tu as eu des petites amies, tu as vu des films pornos, mais rien ne vaut la réalité, l’échange du plaisir. Ta leçon n’est pas terminée…
Alors qu’il dit cela, ma mère et Mélanie reviennent s’occuper de mon sexe, leurs langues tournoient sur mon gland, glissent le long de ma tige. Puis ma sœur s’allonge sur le dos et me fait signe d’entrer en elle, je ne me fais pas prier et je m’enfonce doucement dans son sexe chaud et humide, en ressors, me réintroduis plus rapidement, j’avance et recule, elle couine et gémit, ses yeux mi-clos et son sourire accentuent mon plaisir. Ma mère et mon père font la même chose que nous, juste à côté, je peux voir aussi le membre paternel coulisser dans la chatte maternelle.— Allez fiston, on change !Mon gland, lustré par la mouille de Mélanie, est tout près du sexe de ma mère, je glisse doucement à l’entrée de cette grotte interdite, ma queue est avalée, ma mère gémit de plaisir. Pendant de longues minutes, je la pilonne ainsi, je vois se seins et son corps vibrer sous mes va-et-vient, je la sens jouir, je n’en peux plus et je lâche mon sperme en elle.
De son côté, Mélanie est désormais à quatre pattes, le cul bien relevé et mon père lui lèche l’anus, il y introduit de la salive, puis force le passage avec un doigt, puis deux, Mélanie couine. Mon père me demande de l’empêcher de couiner : je viens fourrer ma langue dans sa bouche. Je vois mon père commencer à la pénétrer doucement, Mélanie fait la grimace, ma langue ne suffit plus à la faire taire, j’introduis alors mon sexe mais c’est moi qui décide du rythme de la fellation, je la baise littéralement par la bouche. Ma mère nous observe tous les trois en se masturbant. Au bout de plusieurs minutes, mon père et moi changeons de place, je pose mon gland à l’entrée de l’anus de ma sœur et n’ai aucune difficulté à entrer, il faut dire que la queue bien large de mon père a bien préparé le terrain ! C’est ma toute première sodomie : la sensation est différente, j’aime assez.
Pendant que je m’occupe de ma sœur, je sens des mains qui viennent m’écarter les fesses, ce sont celles de ma mère qui approche son visage de ma raie ; la pointe de sa langue effleure mon petit trou une fois, deux fois, puis tournoie pour tenter de s’introduire dans mon anus. Cette caresse me fait tressaillir, c’est comme si des ondes électriques partaient de mon cul et secouaient tout mon corps. Je m’immobilise en Mélanie et vibre sous les coups de cette caresse, à chacun de mes mouvements, Mélanie gémit, c’est comme si mon plaisir se transmettait en elle, je n’avais jamais ressenti cela auparavant. Bien sûr mon anus se dilate, mon père vient introduire un doigt à la place de la langue de ma mère, il le fait glisser, c’st un peu douloureux au début mais un plaisir indicible remplace cette gêne initiale. Ce sont maintenant deux doigts, puis trois, avant que mon père ne se relève et n’introduise son sexe qu’il a préalablement lubrifié. Je sens son gland pousser sur mes sphincters, qui lâchent prise, toute sa queue glisse lentement en moi. Autre première : je me fais pénétrer, cette fois-ci je suis vraiment plus puceau ! Mélanie et ma mère viennent s’occuper de ma queue, tandis que je gémis de plus en plus fort, je crois bien que je ne contrôle plus le son qui sort de ma bouche, je ne contrôle plus non plus le temps. Mon père non plus qui expulse de longs jets de sperme dans mon cul ; j’en fais de même sur le visage de ma mère et de ma sœur. Elles doivent se lécher mutuellement pour recueillir mon jus.
Je m’écroule sur mon lit, encore tout tremblant de cette nouvelle expérience. Ma famille continue de m’entourer, le jeu des caresses et petits baisers reprend. Mon père : - Apparemment tu as pris ton pied ;Moi : - Oh oui !Mon père : - Je m’en doute, tu dois avoir de qui tenir, j’adore être pénétré.
Je commence à comprendre que mes expériences ne sont pas terminées, je vais enculer mon père, et cette idée réveille instantanément ma queue, que ma mère vient prendre en bouche de longues minutes ; Mélanie suce mon père pendant ce temps. Lorsque ma mère stoppe sa fellation, elle dirige mon visage vers l’anus de mon père qui vient de se mettre à quatre pattes ; j’observe son petit trou, il n’y a pas un poil, il s’est rasé. J’approche doucement ma langue, au premier contact, son anus se contracte et le corps de mon père vibre. Je poursuis mon investigation. Mélanie et ma mère, de leur côté, ont collé leur sexe l’un à l’autre, les jambes écartées en ciseau, elles se frottent mutuellement, leurs soupirs sont de plus en plus lourds, leur respiration est saccadée, je les entends jouir. A part moi, qui suis occupé avec ma langue, ma chambre n’est que soupirs et gémissements. Je décide de faire pénétrer un doigt dans le cul de mon père, il semble apprécier et recule pour que mon doigt entre plus vite. Puis c’est un deuxième doigt, je tourne, élargis son passage.
Mais contre toute attente, au moment où je pense me relever pour introduire ma queue, il me fait allonger et c’est ma mère qui vient s’empaler sur mon sexe, elle se penche vers moi, m’embrasse, et je sens alors que mon père la pénètre par l’arrière, nos deux sexes semblent se toucher, à peine séparés par quelques membranes. Ma mère est remplie des queues de ses deux hommes, son mari et son fils, cette idée ne fait qu’augmenter son plaisir, et je sens aux contractions de son sexe qu’elle jouit abondamment.
Mon père se retire, ma mère abandonne sa place, que mon père s’empresse de prendre, c’est lui qui s’empale maintenant sur ma queue, il descend progressivement en venant à chaque arrêt poser un baiser sur mes lèvres. Quand il est bien à fond, il me relève, nous sommes assis l’un en face de l’autre, reliés par ma queue, la sienne frotte mon ventre, il m’embrasse avec fougue. Puis c’est lui qui se couche, il écarte les jambes, je les ramène sur mes épaules et comment à le pilonner ; il crie que c’est bon, qu’il aime ma bite. Ma sœur vient sucer sa queue et ma mère introduit un doigt dans mon anus. A ce rythme ni lui ni moi ne pouvons tenir longtemps, je décharge ma semence dans le cul de mon père et je vois Mélanie déglutir le jus de mon père.
Allongé nu sur le lit, je sais maintenant que, comme le reste de la famille, je suis bisexuel et qu’il faut profiter de la vie et du sexe dans toutes ses combinaisons possibles.Ma mère à mon père : - Je crois que Jérémy est prêt pour sa vie d’adulte consentant et qu’il pourra lui aussi nous accompagner dans nos parties fines.
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