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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Suite :
— Mais vous êtes fous, rangez moi ça bandes de pervers !— c’est vous qui nous avez mis dans cet état ! Vous êtes superbe, faut absolument qu’on se soulage, on va exploser ! — ça va trop loin les garçons ! Arrêtez ça tout de suite !
Mais ils commencent à m’entourer et je me retrouve nue, encerclées de 10 ados qui se masturbent en matant mes seins, mon cul, mon sexe. J’essaie de forcer le passage mais on me repousse dans le cercle de bites. Je commence à avoir peur mais je suis toujours aussi excitée. Je mouille depuis le début de ce strip, je me suis caressée devant eux et voilà que de vigoureuses bites bandées m’entourent. J’ai autant envie de me sauver que de les toucher.
Valentin me dit alors :— on vous fera pas de mal et on va pas vous violer, on est pas des malades. Vous êtes juste trop bandante.— Vous comptez faire quoi ?? Vous branler en me matant et c’est tout ?— Bin oui mais pensait que vous pourriez nous aidez un peu, dit Valentin en prenant délicatement ma main et en la posant sur son sexe.
Il était de taille très correcte, un peu plus gros que celui de mon mari mais surtout plus dur, plein de vitalité. Après un bref mouvement de recul retenu par Valentin, je commence à le branler très doucement, sans vraiment m’en rendre compte. Il ferme les yeux et sourit. Comme enivrée par la situation, je saisi avec ma main libre une autre bite, un peu plus petite, et la branle aussi. Les garçons prennent alors ce geste pour « allez-y » général et commencent à se rapprocher. Certains me touchent les seins, d’autres le ventre en descendant vers ma chatte et me caressent le clito. D’autres me palpent les fesses, passent des doigts entre les cuisses et caressent ma chatte. La main sur mon clito commence à me masturber et je commence à gémir en accélérant ma branlette sur Valentin et son pote. J’écarte alors les jambes, me cambre un peu et laisse l’accès libre à mon sexe.
— Vous êtes trempée madame, dit-il avec le sourir. On dirait que ça vous plait !Une main derrière enfonce alors un doigt dans ma chatte. — Oh mon dieu, dis-je en gémissant.— je confirme, elle est trempée et mon doigt rentre sans problème !
Je change alors de bite et en branle 2 autres. Une petite appartenant à un gamin devant avoir 16 ans et une énorme appartenant à un beau black qui me faisant envie depuis un moment. Elle est épaisse et longue, son gland apparaît à chaque aller-retour et cette vision me rend folle. Je me lâche de plus en plus et cambre ma croupe au maximum pour faciliter le doigtage en règle qu’un ado dont j’ignore le nom me fait. Je sens au moins 2 doigts en moi qui vont et viennent doucement. Je ferme les yeux et gémis de plus en plus fort.
Soudain, Hugo, que j’avais oublié, fait irruption dans le salon en disant :— excuse moi, je ne retrouvais pas… puis s’interrompt devant la scène de sa mère en train de branler ses potes pendant que d’autres la doigte. -Mais t’es malade ! Je pars 2 minutes et te voilà à poil comme une pute !

Je lâche alors les bites, sort précipitamment du cercle de garçons et me dirige vers mon fils.— Attend Hugo, je suis désolée, c’est arrivé sans que je le veuille ! — Ils t’ont forcé ??— Non mais…— Alors t’es qu’une salope qui trompe son mari avec des ados ! — Ne me parle pas comme ça je suis ta mère ! — Une mère ne se retrouve pas à poil devant son fils avec de la mouille qui coule de sa chatte, dit-il en pointant mon sexe effectivement dégoulinant.
Je pose alors la main sur la braguette et lui répond :— Et un fils ne devrait pas bander comme un cheval devant se mère !
Folle d’excitation, de colère et intrigée par la taille démesurée de la bosse de mon fils, je déboutonne son pantalon et sort de son caleçon une énorme bite, le double de la taille de son père, dure comme de la pierre. Quel engin ! Sans qu’il dise un mot, commence à le branler doucement puis plus rapidement. Je crache dans ma main, sort son gland pourpre et continue de le branle en crachant sur sa bite.
Je m’approche alors de son visage et lui murmure :— Tu veux que je te suce ? Tu en as envie ?
Il approuve d’un geste de la tête avec un regard surpris et je me mets alors à genoux. Ce sexe à hauteur de mon visage me paraît encore plus gros. Tout en continuant à la branler, j’embrasse son gland et lèche sa hampe des couilles au frein. Ce geste me semble interminable tant le sexe est long ! Je palpe ses testicules, leur donne des coups de langues puis en aspire une… elles sont énormes également !
— tu es superbe mon chéri. Je suis fière de l’homme que tu es devenu.
J’ouvre alors ma bouche et avale la bite de mon fils. Enfin, une partie seulement, vu la taille. Je m’applique alors à lui faire la meilleur pipe possible et vais et viens avec ma tête rapidement tout en tournoyant ma langue sur son gland. A chaque aller-retour j’arrive à la prendre un peu plus loin dans ma bouche et je tente de temps en temps une gorge profonde. J’ai des haut-le-cœur mais je progresse et sens cette belle bite s’enfoncer de plus en plus dans ma gorge. A chaque centimètre gagné, Hugo pousse de râle de surprise et de plaisir et je sens le gout du liquide séminal qui échappe de son gland. A ma grande surprise j’aime ça, moi qui avais toujours trouvé le sperme de son père dégoutant, ne le prenant dans ma bouche que très rarement pour ensuite le recracher aux toilettes. Mon fils était n’allait pas tarder jouir et j’avalais maintenant les ¾ de sa bite.
Pendant ce temps, les garçons n’avaient rien loupé de la scène et excités par la tournure des évènements, s’étaient approchés de nous en se branlant. Moi-même je me caressais de ma main gauche et m’enfilait des doigts dans une chatte plus ouverte et dégoulinante que jamais. Je me cambrais le plus possible, ma chatte et mon cul alors totalement offerts à la vue des garçons. Mon fils, excité par ma fellation et par mon « exposition », prit le contrôle de la situation et décida de passer aux choses sérieuses. Il m’agrippa les cheveux et « m’invita » à le sucer plus vite et plus loin. Je gobais sa bite presque entièrement et sentait ses poils pubiens sur mon nez. Sans doute amateur de films porno, il me tenait la tête et me baisait littéralement la bouche en me bloquant de temps en temps contre son pubis, sa bite entièrement logée dans mon gosier. L’envie de vomir était présente à chaque fois qu’il me la rentrait à fond mais s’atténuait progressivement. Cette domination m’excitait au plus au point mais aussi me frustrait car je ne pouvais plus me masturber, mes mains se cramponnant par reflexe aux fesses de mon fils (pour éviter de m’étouffer plus que pour le ploter !!).
Profitant d’un répit que mon fils me laissait pour respirer, je crache une énorme filet de bave épaisse et me retourne vers ses copains qui sont maintenant tous quasiment à poil. Je regarde le plus petit que j’avais commencé de branler tout à l’heure. Il a l’air perdu dans cette scène et branle péniblement son petit sexe à coté du grand black. Je demande à Hugo son nom, Kevin, et l’interpelle :
— Kevin, ça te dit de me doigter et de me faire jouir ?— Heu… oui, si vous voulez…-Si tu ne veux pas je demande à quelqu’un d’autre !— Non, c’est bon, je le fait !! se reprit-il ne voulant pas louper cette occasion.— alors viens ici et branle moi aussi fort que tu peux !
Devant les regards envieux de ses copains, Kevin s’approche, se met à genoux à hauteur de ma chatte et alors que Hugo me reprend la tête pour me baiser la bouche, un peu plus doucement cette fois, Kevin pose ses doigts sur mon clito et me masturbe sans ménagement. Le plaisir monte immédiatement mais ne me suffit pas. Je veux plus ! Je lui saisi alors le poignet, le monte légèrement et présente sa main devant ma chatte béante. Il comprend et me met directement 2 doigts en faisant des allers-retours rapides. Mais ses doigts sont petits et cette masturbation me frustre plus qu’autre chose. Je me dégage alors de la bite de mon fils d’un coup de tête et dit à Kevin d’un ton sec :
— mets-en plus, bon dieu ! — Pas de soucis !!
Je reprends la fellation et sens alors une troisième puis un quatrième doigt me pénétrer. Avec un plus de difficulté pour la quatrième…
-J’y crois pas, regardez comme ça rentre les mecs ! 4 doigts et elle bronche pas la Séverine ! — Ducon, s’écrie un autre, elle a eu 3 gamins, tu pourrais y mettre ton poing si tu veux !
La bouche pleine, je ne prends pas cela au sérieux et me dit qu’ils regardent trop de porno et qu’on en rentre pas comme ça un poing dans le sexe d’une femme « normale ». Pourtant, Kévin stoppe ses va-et-vient et m’enfile son pouce jusqu’ici resté à l’extérieur. Sa main est à moitié rentrée dans mon vagin et il force pour faire rentrer le reste. Affolée par cet acte qui va me déchirer, j’en suis sûre, je m’apprête à lui dire d’arrêter mais mon fils, pas bête, me bloque la tête, m’enfonce sa queue dans la bouche et dit à Kevin de continuer.
-Sers-toi de sa mouille mais vas-y mollo ! Si tu lui fais mal, je t’explose !
Il sort alors ses doigts, frotte le dos de sa main sur ma chatte pour l’enduire de mouille et revient à la charge en m’enfilant les 5 doigts bien serrés d’un coup. La sensation d’être fouillée et abusée est fantastique et je ne peux retenir un cri étouffé par la bite de mon fils qui semble encore plus grosse qu’avant. Kevin pousse de plus en plus, fait des mouvements de rotation, progresse doucement mais surement dans mon vagin. De sa main libre, il écarte mes fesses pour faciliter le passage. Son poing m’écartèle et, sans mon rendre compte, je fais des mouvements de bassin pour accélérer l’insertion. Je ne cesse de gémir, telle une chienne. Ces cris excitent l’assemblée d’ados qui encouragent Kévin :
— vas-y, fout lui à fond ! Elle demande que ça ! — Regardez-moi cette cochonne de Séverine, je pensais pas qu’elle était si chaude !
Kévin finit enfin par me rentrer la partie la plus large de son poing et j’ai l’impression que mes chaires n’en supporteront pas plus. Mais là c’est la délivrance : il enfonce le reste d’un coup jusqu’au poignet, me remplissant comme jamais la chatte. Le plaisir fut tel que je fis un mouvement de tête en arrière que mon fils ne pu retenir et hurla :
— Oh MON DIEU !!!!
Kevin n’en reste pas là et se met à me branler le vagin en faisant des allers-retours avec son poing. Il me défonce de l’intérieur, dépliant parfois ses doigts, les repliant pour fermé son poing et l’enfoncer encore plus loin. Je ne vois rien de la scène dans mon dos mais j’ai l’impression qu’il me rentre son bras jusqu’au coude. Ce petit salaud ne me ménage pas et je sens que je vais jouir comme jamais.
-Oh Mon DIEU, Encoooore, Vas-y !!!
A ces mots, Hugo, que je ne suce plus tant le besoin de hurler est grand, me prend par la nuque, plaque ma tête contre le sol et, alors que j’ai le cul tendu en l’air, il prend chacune de mes fesses et les écarte délicatement.
— Prends ton temps Kev’, ne la fait pas jouir trop vite, qu’elle en profite un max ! Fait un peu profiter du spectacle les autres aussi.
La prévenance de mon fils à mon égard est touchante alors que je suis en train de me faire fister la chatte comme une grosse salope ! Ce petit pervers de Kevin, sort alors son poing de ma chatte et expose cet orifice béant à tous ses potes durant de longues secondes. Eux continuent de se branler, doucement, juste pour profiter du spectacle sans jouir, comme devant un porno. Les commentaires vont bon train sur la taille de mon orifice et de jolis adjectifs fusent à mon égard : chienne, cochonne, nympho… Mais pas de salope ou pute : il régnait un respect un peu décaler par rapport à la débauche en cours.
Alors que ma chatte reprenait une taille normale, Kévin y enfonça 3 doigts de chaque main et tira sur les coté pour me rouvrir à fond. J’étais en transe, totalement dilatée et je pleurais de plaisir. Il renfonça son poing sans difficulté, me branla un peu puis ressortit à nouveau. Je gémissais et hurlais de plaisir selon qu’il me défonce la chatte ou m’expose comme un objet à ses copains. Ce petit jeu pouvait durer longtemps alors que je ne voulais que jouir. Jouir le plus fort possible.
Kevin dit :— Vous avez déjà vu une chatte comme ça, les gars ? On peut y mettre n’importe quoi… tout passera !— On pourrait essayer avec une canette de Kro ? Dit un autre. Je peux essayer, Hugo ?— Vas-y, mais molo, Anto !
Moi j’avais la tête sur le sol, de coté et observait la scène sans réagir. Aussitôt, ce garçon se dirigea vers la table et pris une cannette vide. Puis il la reposa et en prit une autre, d’une autre marque, plus large !
— Bin quoi ? dit-il au autres, la kro est plus petite que le poing de Kévin de toute façon !
Tous éclatèrent de rire, même Hugo, me tenant toujours les fesses écartées, sourit en me regardant d’un air complice. Ce fameux Anto, approcha sa canette de ma chatte avec enfonça d’abord le goulot. Le froid du verre dans ma chatte en feu me surpris mais le contact avec une surface lisse était très agréable. Il enfonce alors doucement le reste de la cannette en crachant sur le verre et je sens le goulot toucher le fond de mon vagin. Anto se met alors à faire des allers-retours avec la cannette et je sens immédiatement le plaisir monter. Moi, presque bourgeoise vu nos revenus, j’allais jouir en me faisant goder la chatte par une canette de bière bon marché ! Mais apparemment très inspiré, il retira la cannette de mon sexe et dit :
— Et si on essayait de la fourrer avec une bouteille de pinard ??— Et on se calme, intervint Hugo. C’est de ma mère que tu parle ! Allez, assez joué avec elle, il est temps qu’elle jouisse. Elle l’a bien mérité.
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