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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Suite :
— Bonsoir, Didier, ça va ?— Pas bien ! Tu as vu l’heure ?? C’est quoi ce bordel ?
Il était en effet 22h30 et Didier, très à cheval sur les règlements, me fit remarquer qu’il s’agissait d’un tapage nocturne.
— T’inquiète, je vais leur dire de baisser un peu le volume…— Non, tu vas leur dire d’ARRETER la musique, sinon j’appelle les flics ! — Écoute, c’est l’anniversaire des jumeaux… tu ne peux pas laisser couler pour ce soir ?— Ça pourrait être l’anniversaire du pape, je m’en fous ! Ils arrêtent ce vacarme ou c’est les flics ! Ce trou du cul commençait à m’énerver avec son petit air de « j’ai la loi de mon coté ». Mais je savais négocier comme personne. Je sors de la maison, referme la porte derrière moi et le pousse un peu à l’écart.
— Pourquoi tant de colère Didier ? C’est juste une fête… Tu es sur que tout va bien avec Thérèse ?— Hein ? Mais quel rapport ?— J’ai entendu dire que les hommes frustrés… sexuellement étaient plus stressés. Tout va bien de ce coté là ? Et sur ces mots, je lui pose la main sur le paquet et le lui masse doucement. — T’es folle ?? Arrêtes-ça tout de suite ! — Pourquoi j’arrêterais alors que tu es déjà dure comme du bois… Ça fait combien de temps que tu n’as pas baisé ta femme ?
Et alors qu’il essaie de répondre péniblement, je baisse sa braguette, enfonce ma main à l’intérieur du pantalon et ressort son sexe bien bandé et de taille très correcte.
— Et bien, Didier ! Je n’imaginais pas que tu étais monté comme ça ! Bien plus grosse que celle de Marc… — Je t’en prie, Séverine, arrête ! On ne devrait pas…. C’est…
Il n’arriva pas à finir sa phrase car de mon coté, j’ai commencé à le branler de ma main experte. Il ferme les yeux et semble enfin renoncer à toute résistance.

— Alors, demandais-je en accélérant la cadence, je suis sûr que ta femme ne te fait pas des branlettes comme ça, hein ?— Non… elle… oh putain ne t’arrête pas, Séverine !
Très excitée et en fin de compte surprise par la taille de la bite de mon voisin que j’avais toujours considéré comme une couille molle, je me mets accroupie devant lui et accélère encore le mouvement. Évidemment, impossible pour moi de résister à ce sexe à quelques centimètres de mon visage. Je commence donc à lui lécher le gland tout en continuant de le branler.
— Oh mon dieu, c’est excellent ! Continue… c’est mieux que ce je n’ai jamais imaginé…— Quoi ? Ta femme ne t’a jamais sucé non plus ? Mais quelle coincée… Mon pauvre Didier, je vais te faire une pipe dont tu te souviendras toute ta vie.
Je gobe à nouveau son gland et enfonce son sexe plus profond dans ma bouche. Ma tête fait de grands vas-et-viens et j’arrive rapidement à avaler son sexe en entier. Puis j’alterne entre léchage, gorge profonde, branlette, coups de langues sur les couilles. Je perfectionne aussi ma technique où je sorts ma langue pour jouer avec ses bourses pendant que son sexe est empalé loin dans mon gosier. Je dois la maîtriser de mieux en mieux car au bout de quelques secondes de ce traitement, il m’annonce qu’il va jouir.
— Tu veux venir sur mon visage ? Tu veux recouvrir la face de ta salope de voisine ? demandais-je alors en me retirant et en le masturbant doucement.— Oh oui putain, j’y crois pas !!!
Il prend alors le relais et se branle au dessus de mon visage.
— Oh oui, je vais te recouvrir de sperme ! Ça vient….. Putain ça vient !!!!
Ce passe alors un truc que je n’avais pas prévu. Il décharge sur mon visage des flots impressionnants de sperme épais ! Des énormes jets chauds qui s’abattent entre mes yeux, du front au menton, sur mes joues, dans ma bouche ouverte de surprise. Je me sens recouverte par le foutre de ce voisin décidément surprenant qui ne devait pas avoir joui depuis des mois. Son éjaculation dure de longues secondes pendant lesquels il pousse de grands râles de plaisir. Enfin, les dernières gouttes s’échappent et finissent dans ma bouche. J’avale une première gorgée et m’exclame, un œil fermé à cause du sperme :
— Purée, Didier ! Tu avais vraiment les couilles pleines à raz bord ! — Désolé… j’ai pas pu me contrôler… Bordel, mais qu’est-ce qu’on a fait ???— Ne t’inquiète pas… dis-je en me relevant et en récupérant avec mon doigt pour l’avaler le sperme sur mon visage, tu tiens ta langue, je tiens la mienne. Mmmmhh ton sperme est délicieux, Didier ! — Bien… Et je te jure que ça ne se reproduira jamais ! — Pardon ?? Excuse moi mais une bite comme la tienne à coté de chez moi, il est hors de question que je la laisse filer. Ta femme refuse que tu la touche et mon mari n’est bon à rien de ce coté. En plus regarde l’état dans lequel tu m’as mis…
Je me saisi alors de sa main et la glisse sous ma jupe, dans mon string tout humide. J’incite sa main à me caresser un peu pour bien lui montrer mon état d’excitation.
— Tu sens comme je suis mouillée ? Si tu sais tenir ta langue, tu pourras me faire ma fête quand tu voudras… Et j’espère pouvoir aussi profiter de toi dès que j’en aurais envie…— Tu es diabolique, Séverine…. Je n’aurais jamais imaginé cela de toi !— C’est pour ça qu’on pourra s’envoyer en l’air sans que personne ne le découvre, lui murmurais-je en enfonçant un de ces doigts dans ma chatte.— Bon… on verra… il faut que j’y aille là, Thérèse m’attend
Il retire sa main de mon string, récupère du sperme que j’avais oublié sur ma joue et tend son doigt vers ma bouche. Je suce évidemment son doigt et repars vers chez moi avec un regard de braise. Je m’arrête à deux pas de ma porte et lui demande :
— Au fait, on passe l’éponge pour la fête ? Tu n’appelles pas les flics et j’essaie de les calmer un peu ? Ok ?— D’accord… bonsoir Séverine.
Devant ma porte, je me recoiffe un peu, réajuste mes vêtements et entre victorieuse dans le salon en annonçant fièrement aux jeunes que le voisin ne les embêtera plus ce soir mais qu’il faut juste baisser un peu le volume.
Pour fêter cela, j’accepte de trinquer avec les garçons qui m’offrent généreusement une canette de bière bon marché. Assise sur le canapé à discuter, j’en bois une première puis une deuxième et en profite pour croiser et décroiser les jambes de la manière la plus négligée qui soit pour faire profiter de ma culotte tous ces jeunes mâles qui me fixent. Ils ne sont globalement pas discrets et les places à mes cotés et en face du canapé sont chères ! Les filles présentes ne peuvent s’empêcher de ricaner et de leur faire des remarques sur leur manque de délicatesse. Mais cela m’amuse autant que ça m’excite et je continue à jouer le jeu.
A un moment je remarque deux garçons qui jouent à un jeu consistant à essayer de toucher la capsule de bière de l’autre, posée sur le goulot de la cannette, en lançant sa propre capsule. C’est à celui dont la capsule est touchée de boire. Les parties se jouent en trois manches. A la fin, celui qui a perdu doit avoir vidé sa cannette et doit laisser sa place à un autre.
— C’est quoi ce jeux débile ? demandais-je à ceux en train de jouer— C’est un « caps »… vous voulez essayer madame ?— Pourquoi pas !
Je me place donc en face d’un copain à mon fils, décapsule une canette et c’est partit. Évidemment, je loupe mes coups tandis que lui me touche 3 fois d’affilée et bois donc ma cannette entièrement. Je m’apprête à ma lever, vaincue, mais le jeune en face me dit :
— Attendez madame, comme vous n’avez fait aucune touche, il y a un gage ! — Ah oui, quoi comme gage ? — Ben, heu… je ne sais pas… vous pourriez…. Tiens : embrasser quelqu’un ! — Ok, y a-t-il quelqu’un qui veuille m’embrasser ?
Plusieurs gars se précipitent alors devant moi pour se faire embrasser. Mais je remarque au fond un jeune, mignon mais timide et sans doute puceau malgré ces 18/19 ans, qui se tient à l’écart et ose à peine me regarder. Je me lève donc et vais dans sa direction. Arrivée devant lui, je prends son visage à deux mains et pose sur ses lèvres un tendre baiser, déclenchant des rires et des Houuuuuuu qui font rougir le gamin.
Puis je me rassois devant Tom, celui qui m’a battu et lui dis :
— Maintenant on va monter la mise : puisque tu as voulu me faire embrasser un garçon, on en refait une et si tu perds, tu devras rouler une pelle avec le mec de mon choix dans la pièce…— Jamais de la vie, je ne suis pas homo !!— Attend un peu… ça c’est si tu perds. Mais par contre à chaque fois que tu touche ma capsule, je devrai enlever un bouton de ma chemise… puis enlever ma chemise, puis ma jupe… Vous avez le droit de vous y prendre à autant que vous voulez. Mais attention à ceux qui perdent : roulage de pelle entre mecs ! Alors ??
Les gars se regardaient tous, et surtout regardaient Théo pour savoir comment il allait réagir.
— Vous pouvez accepter si vous voulez les mecs… Du moment que personne ne m’embrasse, ça me pose pas de problème ! Mais méfiez-vous, elle cache bien son jeu…— Alors ok ! dit Tom. J’ai hâte de vous voir en sous-vêtements !
La partie commence et cette fois-ci, je ne vais pas me laisser faire. Premier shoot, je touche et il boit. A son tour : il loupe puis je retouche…
— Attention Tom, encore une touche et tu roule une pelle à un mec !— Ouai, ouai…
Il tire et touche. Enfin je déboutonne le haut de ma chemise accompagné de cri de joies. Je rate et il touche une seconde fois, ce qui fait un bouton de moins pour moi. Mon décolleté est à présent très profond et on distingue sans mal une partie de ma poitrine. Poussant ma chance, je fais mine de remettre mes seins en place pour le déstabiliser. Il loupe et je touche !
— Allez mon gars, tu vas rouler une pelle à…. Lui ! J’ai désigné un des mecs un peu lourdingue qui emmerdaient les filles et qui, le premier, à voulu que je l’embrasse.— Y a pas moyen ! — Pardon ? Je te montre mon soutif mais tu ne fais pas ta part du contrat ? Tu n’es pas encore un homme on dirait... Si d’autres veulent continuer la partie et essayer de me déshabiller, il faut que tu le fasses. De son coté, Théo regardait d’un air amusé la scène.
— Ok, ok…
Il se lève donc vers son pote et se font, l’air dégouté, un bisou sur les lèvres.
— Bon allez, ça passe… Mais le prochain devra vraiment rouler une pelle.
Et ainsi se succèdent 2 autres ados qui, les uns après les autres, échouent à me dessaper mais doivent en embrasser d’autres, avec beaucoup de difficultés, le tout devant un public amusé, les garçons encourageants leurs pote, les filles me soutenant. J’ai tout de même dû défaire mes 2 derniers boutons (et donc boire au passage encore de la bière) et on voit donc parfaitement ma poitrine. Mais ma jupe et ma chemise sont toujours en place. Puis soudain, j’entends :
— Bon assez rigolé ! C’est moi qui reprends et je vous promets que vous allez finir en culotte !
Le mec semblait sûr de lui et les autres avaient l’air de reconnaître son talent à ce jeu. Et en effet, sans que je puisse le toucher une fois, il met dans le mille à tous les coups, malgré mes seins fièrement exposés pour le déconcentrer. Battue, j’enlève donc ma chemise puis fait tomber au sol ma jupe et me retrouve debout en sous-vêtements devant une quinzaine de gars aux anges et une dizaine de filles amusées. Les mecs ont les yeux rivés sur mes gros seins bien mis en valeur par mon soutif à dentelle, sur mes jambes, sur mes fesses et mon string qui ne cache rien derrière et laisse deviner beaucoup de choses devant tant il est étroit…
— Bien joué mon gars… Me voilà en culotte… Le jeu est finit.— Et c’est tout, je n’ai même pas une petite récompense ? Vous ne m’avez pas capsé une fois ! — Tu veux dire à part voir la mère de ton pote en string ?— Ben ouai….— Bon, c’est vrais que tu l’as bien mérité… Tu… Tu peux me peloter les fesses si tu veux.— Sans déconner ??— Vas-y !
Je me retourne donc vers lui et lui tends mon cul bien mis en valeur par mon string. Il pose alors ces deux mains sur mes fesses et me les palpe généreusement. Il prend son temps et profite bien de sa récompense... Puis je sens qu’il un peu écarte mes fesses. Je le laisse faire mais il les écarte encore un peu plus au point, j’en suis sûre, de pouvoir distinguer l’étroit tissu masquant à peine mon anus et ma chatte. Je lui tape sur la main pour lui signifier que sa récompense est finie et je remonte dans ma chambre avec mes habits sous les bras.
A suivre...
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