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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 9

Avec plusieurs hommes
Rhabillée et allongée sur mon lit, j’essaie de calmer mon excitation en lisant un bon livre. J’avoue trouver un peu le temps long et me demande quand toute cette bande aura fichu le camp car je voudrais bien me mettre au lit et, accessoirement, me faire enfin jouir. Mais il n’y a pas vraiment de limite horaire à cette fête, les parents viennent chercher leurs gamins quand ils l’ont décidé et certains ont prévus de rester dormir à la maison.
Au bout d’une demi-heure à poiroter, je commence à être fatiguée et constatant que la fête se calme un peu, je décide d’aller me préparer pour aller au lit.
Dans la salle de bain, j’enlève mes vêtements, dont mon string, bien humide de toute cette excitation accumulée et j’enfile ma nuisette. Je suis en train de me démaquiller lorsque la porte non verrouillée de la salle de bain s’ouvre. Un gamin, apparemment bien ivre, entre et se dirige en titubant vers la cuvette des toilettes sans même me voir. Puis il vomi tout ce qu’il a ingurgité dans un bruit affreux et s’allonge sur le carrelage frais de la salle de bain. Ecœurée et perdant patience, je descends dans le salon et crie à mon fils:
— Théo ! Un de tes copains s’est évanoui dans son vomi dans la salle de bain… Tu vas me le ramasser et nettoyer tout ça.
Je ne m’en suis pas rendu compte, mais tout le monde a les yeux fixés sur moi car je suis en nuisette courte et quasiment transparente. A ce stade je ne pense plus du tout à exciter qui que ce soit mais il faut admettre que je me sens presque nue devant tout le monde.
— Et il est plus de minuit, donc vous calmez le jeu avec la bibine ou je fous tout le monde dehors, c’est clair ? Je vais me coucher, je ne veux plus rien entendre !
Je repars dans ma chambre en espérant que la soirée ce finisse vite. Je suis plus frustrée que jamais, je regardé du porno, j’ai sucé le voisin, je me suis mise en sous-vêtements devant tout le monde, j’ai caressé des jeunes filles magnifiques… et malgré tout ça, je n’ai pas joui !! Alors j’arrête là : je vais au lit, je me branle et ça ira pour ce soir !
Je me glisse donc dans mon lit et commence à lire un roman érotique. J’ai pris cette habitude depuis quelques temps pour calmer mes pulsions les soirs où je suis seule. Tout en parcourant les pages, ma main droite glisse sur mon ventre et je commence à me caresser doucement. Je prends mon temps, je fais durer le plaisir, je l’ai bien mérité. Alors que l’héroïne de mon roman se fait prendre dans une ruelle par des inconnus, je fais tournoyer mon doigt sur mon clito et l’enfonce de temps en temps dans mon sexe trempé. Je conserve un rythme modéré mon faire monter le plaisir doucement et continue de lire. Je baisse le drap qui me recouvre et écarte généreusement les jambes en fléchissant les genoux. Je continue à stimuler mon clito, mais avec deux doigts cette fois-ci et sens le plaisir grandir en moi.
Dans mon livre, l’héroïne est à présent prise dans tous les trous par des inconnus qui les relaient pour l’humilier et la baiser sans répit pour elle. Cela me renvoie aux différents gangbang auxquels j’ai participé et où j’étais réduite à une salope à qui on pouvait faire n’importe quoi et qui en redemandait ! J’ai alors envie… non, BESOIN, d’accélérer mes caresses. Je pose mon livre et me concentre sur mon plaisir. Ma main droite accélère tandis que je glisse ma main gauche sous mes fesses. J’enfonce un doigt dans mon cul et me frotte frénétiquement le clito de toute mon autre main. En bas, j’entends les voix des jeunes, certes de moins en moins nombreux au fur et à mesure que leurs parents viennent les chercher, mais qui continuent à faire la fête. Je m’imagine au milieu de la pièce, prise en tournante par tous ces ados surexcités, les mecs me baisant la chatte et le cul, les filles frottant leur chatte sur mon visage enduit de mouille.
Je prends un pied d’enfer et décide de calmer un peu le jeu pour en profiter encore. Je diminue le rythme, me doigte un peu, joue avec mon anus puis ré-accélère pour me finir.
Mais à ce moment, j’entends des bruits de pas dans le couloir, non loin de ma chambre. J’éteins ma petite lampe, remonte la couverture sur moi et arrête pour un instant mes caresses, et surtout mes soupirs et gémissements qu’une oreille indiscrète pourrait tout à fait entendre depuis l’extérieur. Non de dieu, on ne peut pas se branler tranquillement dans cette maison ou quoi ??
Les murmures se font discrets mais sont clairement devant ma porte. J’imagine alors qu’il s’agit de ma fille montant se coucher mais j’entends distinctement des murmures masculins. Hugo est absent ce soir, et que viendrait faire Théo devant ma porte alors que ça chambre est à l’autre bout du couloir ? Je commence à m’énerver en me disant qu’il s’agit sous doute d’ados bourrés qui viennent mettre le bazar à l’étage. Mais contre toute attente, je vois, malgré l’obscurité, la poignée de ma porte se baisser et la porte s’entrouvrir. Je ferme alors les yeux et fais semblant de dormir en espérant qu’ils jettent juste un œil et partent. Mais la porte s’ouvre un peu plus et j’entends des bruits de pas dans ma chambre.
Je n’y crois pas : deux potes de mon fils viennent d’entrer dans ma chambre alors que je suis en train d’y dormir, même pour de faux, et referment la porte derrière eux. Ils ne vont quand même pas me violer avec tout le monde qu’il y a en bas ?? Sans savoir comment réagir, je reste immobile, prends de grandes respirations comme si je dormais profondément et attends de voir ce qui se passe.

J’entends des chuchotements :
— C’est une mauvaise idée, je te dis… Elle va se réveiller et va le dire à Théo…— T’inquiète, elle est montée depuis un moment et tu as vu les bières qu’elle a bu… Regarde elle ronfle presque !— Mais tu vas faire quoi ? La regarder dormir ?— Faut absolument que je la vois à poil… Elle m’a rendu fou tout à l’heure quand je lui ai touché le cul. Et tu as vu sa nuisette après, c’était à raz de son cul et on voyait presque les tétons à travers. Elle m’excite de trop !! Passe de l’autre coté du lit et éclair la avec ton portable.— Ok, mais je dis que c’est une mauvaise idée…
Nous y voilà ! Deux mecs, dont celui à qui j’avais permis de toucher le cul veulent profiter de mon sommeil, alourdi par l’alcool selon eux, pour me mater… Si ce n’est que ça, je veux bien jouer le jeu encore un peu et les laisser faire. D’autant que, comme vous vous en doutez, je suis moi-même très excitée.
Je m’étais allongée sur le coté, dos à la porte, jambes repliées sur moi, en peu en fœtus. Mes fesses sont donc tendues vers le leader du groupe, uniquement couvertes par un drap et une courte nuisette. Je sens un doigt effleurer le drap au niveau de mon cul puis une main se poser délicatement sur le tissu.
— T’es fou ! La touche pas elle va se réveiller !!— Mais non, je l’ai déjà fait quand ma sœur dormait… Si elle ne bouge pas, c’est qu’elle dort profondément. Elle ferme là, c’est toi qui vas la réveiller !
Du coup, je ne bouge pas et le laisse me toucher la fesse. Il accentue un peu la pression pour la serrer un peu plus et surtout se déplace vers l’intérieur, vers mon entrejambe.
— Je peux presque sentir sa peau tellement le drap est fin…Vas-y, profites-en aussi !
L’autre, sans doute mis en confiance par mon absence de réaction, commence aussi à tenter des choses. Au travers du drap, il me caresse d’abord la cuisse, pose sa main à divers endroits, dont ma fesse qu’il palpe également. Puis je sens son halène très prêt de moi et constate qu’il prend de grandes respirations le nez dans mes cheveux. Je le sens également saisir le drap au dessus de mes épaules pour le descendre un peu, centimètre par centimètre. Cela donne une idée au leader qui lui aussi saisit le bord du drap et le soulève pour découvrir mes fesses. Heureusement, ma nuisette, qui n’est quand même si courte, couvre bien mon cul. Malgré tout, mes épaules et le haut de ma poitrine étaient découverts, ainsi que mes fesses. Une main se pose d’ailleurs sur ma nuisette, au niveau de mon cul et me caresse doucement. Le petit pervers remonte un peu ma nuisette à chaque caresse pour découvrir un peu plus à chaque fois le haut de mes cuisses.
— Oh putain, je touche son cul !! J’y crois pas c’est trop excitant…— Pareil, je bande à mort, je vois presque ces nibards…
Effectivement, c’est excitant ! Cette sensation de me faire déshabiller contre mon grès, cette impression d’être victime, même consentante, d’une agression sexuelle me fait frémir d’excitation. D’autant que, même si c’est un jeu pour moi, les garçons croient réellement que je suis endormie et abusent donc de ma faiblesse pour me toucher et me déshabiller. Il y a un fabuleux gout d’interdit, une tension palpable qui fait battre mon cœur à fond.
Tandis que celui derrière moi me caressait les fesses en tirant délicatement sur ma nuisette, l’autre devant baissait petit à petit le drap sur ma poitrine. Je sens l’air frais de la nuit sur mon bras et mon torse et sais maintenant que le drap doit être au niveau de mon ventre. Etant sur le coté avec les bras rabattus sur moi, l’accès à ma poitrine n’est pas facile mais je sens tout de même un doigt m’effleurer le haut du sein. Puis sa main vient s’aventurer sur le coté de mon sein et me le caresse très doucement.
— Putain !!! Je touche son sein ! Il faut absolument que j’arrive à lui baisser son haut !— Vas pas trop vite mec, elle finira bien pas bouger un peu et on pourra continuer…
Alors que l’un palpait péniblement une partie de mon sein au travers de la nuisette, l’autre progressait bien au niveau de mes fesses. Ma nuisette était bien remontée et le bas de mes fesses devait être bien visible. Sa main frôlait ma cuisse nue et du bout de doigt il jouait avec le rebondi de mon cul.
— Je vois son cul… et elle a pas de culotte ! Mais je ne sais pas si elle porte un string…— Putain fais voir !
Il délaisse alors mon sein et se concentre sur mes fesses. Il tire un peu plus sur le drap pour révéler presque toute ma jambe droite. Il tente sa chance et me touche ma fesse en passant sa main sous ma nuisette. Mais le mouvement est moins discret et je décide qu’il est temps de montrer des signes de vie… et de leur donner d’autres accès.
— Arrête, elle bouge !!
Je me retourne en effet pour me mettre de l’autre coté, face à la porte en rabattant un peu le drap sur ma poitrine comme si j’avais froid et en faisant un « mmmhhh » de gène. Durant les secondes et les minutes qui ont suivis, je n’ai plus entendu un bruit. Je savais qu’ils étaient encore là mais ils devaient être pétrifiés.
Dans cette position, mon bras gauche trainait dans mon dos, laisser un accès plus facile à mon sein et seule une de mes jambes était fléchie, l’autre étant un peu plus tendue et bloquait l’accès à mon entrejambe. J’avais hâte de voir ce qu’ils allaient faire.
Au bout de quelques instants, ils se remettent à me toucher. Ils me palpent à nouveau les fesses pour voir si je réagis et, devant mon apparent profond sommeil, passent à la vitesse supérieure. Le drap qui me couvrait est progressivement enlevé. Ils le relèvent par le bas pour exposer mes jambes et mes fesses et par le haut pour révéler ma poitrine. Toujours aussi discrètement, ils relèvent le bas de ma nuisette. Centimètre par centimètre, je sens mes fesses être mises à nu, ainsi que le bas de mon ventre. Ca y est ! Ils me déshabillent !
— Bordel de bordel ! Regarde-moi ce cul… Et elle ne porte rien, faut absolument qu’on voie sa chatte ! — On va aussi essayer de baisser le haut pour voir ses nibards…
Je sens alors qu’ils rabattent le drap encore un peu plus sur mon ventre. Un main se pose sur mon sein accessible et me masse doucement. Au travers de ma nuisette, ils repèrent mon téton et me le titillent du bout du doigt.
— Tu sens ? Elle pointe ! Elle dort mais je crois qu’elle est excitée… Si ça se trouve elle mouille !!
Et comment que je mouille ! Ses attouchements clandestins réalisés par de jeunes mâles qui pensent abuser de moi m’excitent au plus haut point.
Les choses continuent de progresser. La main qui me caressait le sein passe doucement sous le tissu de ma nuisette pour me le caresser à même la peau. La main qui me palpait les fesses nues s’aventure vers mon entrejambe. L’endroit étant difficilement accessible, je sens juste un doigt s’aventurer entre mes cuisses et n’être qu’à quelques centimètres de mes lèvres. Ils deviennent de plus en plus entreprenants : le nœud qui attache ma nuisette sur mon épaule droite est défait et le tissu est rabattu au niveau de mes côtes… Ca y est : j’ai un sein à l’air !
La vision de mon gros et beau sein ainsi dénudé et mon de mon entre-jambe à portée de doigt doit les exciter au plus haut point car ils deviennent de moins en moins prudents et expriment un peu bruyamment leur joie de me voir presque à poil. Ils caressent à deux mains mon sein et jouent avec mon téton. Ils glissent leurs doigts entre mes fesses caressant ainsi les environs de mon sexe. Puis je sens quelque chose qui n’a plus rien à voir avec une main… L’un d’eux est en train de donner des petits coups de langues sur mon téton pendant que l’autre essaie d’écarter mes fesses pour voir ma chatte.
— Mec, regarde !! On voit son trou du cul !
Effectivement, autant ma chatte restait solidement cachée entre mes cuisses, autant mon anus pouvait se voir facilement dans cette position. Un doigt humide se pose alors sur mon petit orifice et le caresse avec instance.
Trouvant qu’ils allaient un peu loin pour ne pas réagir, je décide de bouger un peu. Mais comme il était hors de question pour moi que le jeu s’arrête là, je me place simplement sur le dos, jambes légèrement écartées, bras simplement posés mon ventre. Je sais que dans cette position, je suis facilement exposée et je veux voir jusqu’où ils iront dans leurs attouchements. Cela fait déjà dix bonnes minutes qu’ils « abusent » de moi…
A nouveau, ils attendent quelques secondes avant de réattaquer. Mais cette fois-ci, plus de caresses au travers d’un tissu : ils essaient de me dessaper ! L’un s’occupe de défaire le dernier nœud qui tenait le haut de ma nuisette et la baisse jusqu’à mon ventre, révélant et massant ainsi mes 2 seins. L’autre s’occupe du bas et remonte le tissu également jusqu’à mon ventre pour découvrir, enfin, ma chatte.
— Oh bordel, j’y crois pas ! Regarde comme elle est bonne ! Elle est à poil devant nous, jambes écartées… — C’est énorme !! Mais je crois qu’il faudrait se tirer maintenant.— T’es fou !! On va pas partir alors qu’elle est à poil et moitié dans le coma ! Déjà faut que je photographie ça !!
Même si j’ai les yeux fermés, je discerne des flash qui prouvent qu’il immortalise la scène. Etant censé être endormie, ça ne me dérange pas : si jamais il montre ces photos, cela prouvera qu’il a abusé de mon sommeil. Ce n’est donc pas son intérêt.
Je pensais qu’après le shooting, ils allaient en rester là et partir. Mais je ne m’attendais pas à ce qui a suivi. Je sens en effet un doigt se poser sur mon sexe et commencer à me caresser la vulve doucement.
— Elle est trempée mec !! Et regarde, elle ne réagit pas ! Viens, on va essayer de la doigter un peu…— T’es complètement malade… elle va se réveiller ! — Je te dis que non, tiens regarde…
Il venait en fait de m’enfoncer le bout de son doigt dans la chatte. Et, évidemment, je ne me réveillais pas, ce qui le mit en confiance. Il pousse d’ailleurs sa chance et continue de l’enfoncer en décrivant de légers allers-retours.
Ce doigt pourtant discret me fait frémir de surprise et de plaisir et je ne peux retenir un petit gémissement.
— Attends ! Dis alors celui qui regardait à son pote pour qu’il retire son doigt. T’as entendu ?? Je crois qu’elle aime ça...
Me rendant compte de mon erreur mais voyant que les garçons de se doutent toujours de rien, je poursuis sur ma lancée et décide de les laisser me doigter jusqu’à l’orgasme en prétendant être toujours endormie.
Je me trémousse donc légèrement, toujours prétendument dans mon sommeil et écarte un peu les jambes en murmurant à peine :
— Mmmm, encore.... mmmmhh Marc, encore....— Tu entends ?? Elle rêve que son mari la doigte ! Et elle en redemande...— Et bien, il ne faut surtout pas la décevoir...
Celui qui m’avait mis un doigt me masturbe à nouveau, doucement, pour ne pas me sortir de mon prétendu rêve et l’autre passe de l’autre coté du lit et s’occupe de ma palper les seins et de ma caresser le clito. J’étais terriblement excitée et je ne voulais pas qu’un énième événement m’empêche de jouir. Je me languis donc dans mon sommeil en incitant mon mari à continuer ce qu’il faisait, à accélérer aussi.
Le mouvement du doigt s’accélère dans ma chatte et celui sur mon clito aussi. Le plaisir monte vite d’autant que j’écarte les cuisses de plus en plus. L’autre, tout en titillant mon clito me lèche les tétons, les seins, le cou et enfonce même sa langue dans ma bouche ouverte et gémissante pour effleurer la mienne. Celui-ci qui était le plus prudent et réticent à cela jusqu’à présent semble céder à l’excitation. J’entends distinctement un mouvement de va-et-vient à quelques centimètres de mon visage. Il est en train de se branler sur moi !
D’ailleurs, le leader est également surpris et lui dit de se calmer. Celui-ci, par contre, ne se calme pas dans ma chatte et me doigte vraiment adroitement. Mes gémissements et mots semi-endormis l’incitent à continuer alors que l’orgasme monte enfin. Puis, alors que sa langue a remplacé le doigt de son copain sur mon clito, la jouissance me submerge. Pour ne pas en faire de trop, je retiens ma voix et me contente de soupirer profondément de plaisir et de me trémousser dans mon lit.
Puis, après qu’ils aient cessé de me toucher, je me retourne pour me mettre sur le ventre, jambes écartées et fais mine de m’enfoncer dans un sommeil profond, espérant qu’ils partiraient. Mais je sens au contraire qu’ils restent dans la pièce. Celui à droite du lit continue de se branler à quelques centimètres de mon visage et je me demande s’il ne va pas finir par me juter dessus. Je me dis d’ailleurs que s’ils pouvaient se finir vite fait sur moi, ce serait un moindre mal. Mais celui qui m’a doigté s’extasie devant mon cul ainsi exposé :
— Regarde-moi ce trou du cul ! Tu crois qu’elle s’est déjà faite enculée, cette salope ? Il faut absolument que je lui mette un doigt dans le cul…
Et il s’exécute aussitôt et m’enfonce un doigt humide dans mon anus. Il insère d’abord une phalange puis, ne sentant pas de résistance, il enfile tout le doigt. Je commençais à me lasser un peu de ce petit jeu, d’autant que maintenant que j’avais jouis, je voulais dormir. Avec l’objectif qu’il se branle et se finisse vite, je fais mine d’aimer son intromission et tends un peu les fesses en sa direction en écartant d’avantage les jambes. Ce petit salop commence alors des allers-retours dans mes fesses auxquels je réponds par des gémissements discrets.
— Putain, elle aime ça ! J’en étais sur, elle aime se faire enculer cette salope… Oh putain, j’en peux plus… il faut que je la baise ! — Quoi ?? Mais t’es malade ?? Tu vas…. NON !
Mais avant que l’autre est pu l’empêcher d’agir, je sens qu’il retire son doigt et monte sur le lit, avec à peine de discrétion. Et sans que je sache comment réagir, je sens son gland forcer l’entrée de ma chatte.
A suivre...
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