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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 13

Avec plusieurs hommes
Suite :
Théo me tire alors vers le salon par la laisse. Marcher avec un gros plug dans le cul est assez pénible, voire douloureux et je sens que je ne pourrai pas tenir la journée comme ça… Je n’imaginais pas Théo être si pervers. Mais il faut dire qu’avec une mère comme moi, ça n’aide pas !
Il se place sur le canapé pour prendre son petit déjeuné et m’oblige à me mettre à quatre pattes sur le tapis à ces pieds. Dans cette position inconfortable, je lui expose mes cuisses écartées, ma chatte et mon cul tendu et dilaté par le plug.
Alors qu’il mange sans m’adresser la parole, je me dis que si j’essaie de résister cela risque d’être une journée pénible. Alors que si je joue le jeu de la soumission totale, je pourrais mieux supporter le traitement voire l’apprécier… Quitte à me venger ensuite s’il j’estime qu’il va trop loin.
Décidée à profiter un peu de cette journée, je m’abandonne à la soumission et décide de devenir sa chienne. Je me cambre encore un peu plus pour bien lui exposer mon cul et lui signifier ma soumission.
— Brave bête… me dit-il en souriant.
Il me donne alors une petite tape sur les fesses et me caresse le sexe. Je commence aussitôt à mouiller, ce qui l’incite à continuer. Il me doigte et me masturbe, fait tournoyer mon clito. Alors que, au bout de quelques délicieuses minutes, je sentais le plaisir monter et que je gémissais de plus en plus fort, il s’arrête en me disant :
— C’est tout pour le moment… je veux que tu restes le plus excitée possible…
Il me laisse donc dégoulinante, excitée, frustrée et vas à la cuisine ranger son petit dej.
Il monte ensuite dans sa chambre et allume sa console. Il me demande de le sucer pendant qu’il joue. Installée entre ses jambes, je m’exécute et commence à lui lécher la bite. Je m’occupe de son gland, de ses couilles, le branle un peu, le suce plus en profondeur, etc. pendant plusieurs minutes pour que son sexe retrouve toute sa vigueur après son orgasme de ce matin. Puis, au bout d’une demi-heure de fellation appliquée, il semble enfin avoir envie de jouir et coupe son jeu.
— Tu suces franchement bien, maman… je suis déjà à deux doigts de juter. Viens par là.
Avec la laisse, il me redresse et m’allonge sur le dos sur son lit. Il approche son sexe bien dur de ma tête qui dépasse du matelas et me l’enfonce dans le gosier. Sans se soucier de moi, il me baise la bouche et force ma gorge en y insérant sa longue queue à chaque passage. La gorge profonde dure longtemps et est aussi douloureuse qu’excitante pour moi. Il viole ma bouche, tire sur mes tétons qui balancent et consent parfois à me caresser le clito, plus pour me maintenir excitée que pour me donner du plaisir d’ailleurs. Sa bite dans ma bouche fait un bruit affreux de déglutition mais cela semble l’exciter d’avantage encore. Il alterne bourrinage violent et pénétration délicate où, je suppose, il profite de la vue de ma gorge de gonflant au passage de sa bite. Puis, enfin, il se vide directement dans mon estomac et se retire de ma gorge en créant un immense (et dégoutant) file de bave.
— Viens dans la salle de bain, on va nettoyer tout ça…

Je le suis en boitant, le plug toujours enfoncé dans mon cul. Il me fait m’accroupir dans la douche et me nettoie avec un gant de toilette. Puis il retire le plug pour admirer mon cul grand ouvert.
— Toujours aussi impressionnant, la taille de ton trou…
Il se saisit alors du pot de Nivea, le même qui avait servi, il y a déjà un moment à ma première sodomie, ici même. Il s’enduit la main de crème et commence à me dilater le fion avec. Après quelques étirements, il parvient assez facilement à y rentrer son poing (vous commencez à connaitre mes performances).
— Je suppose que tu te fais fister régulièrement par tes amans… Jusqu’à quelle profondeur ils sont déjà allés ? — Je… Je ne sais pas… Je… Je dirais un peu plus que le poignet… — Hum… A mon avis tu t’en es pris bien plus loin. On va voir !
Tout en faisant des quarts de tour sur la gauche et la droite avec son bras, il enfonce progressivement son poing dans mes entrailles, me dilatant petit à petit le colon. Je commence à être habituée à ce genre d’intromission mais cela reste quand même intense. Pas désagréable, au contraire, mais intense…
Je suis appuyée au mur de la salle de bain, le cul cambré en arrière et les jambes bien écartées pendant que mon jeune fils enfonce dans mon anus une partie de plus en plus importante de son bras. Je sens ses doigts fouiller en moi, frotter contre les parois de mon colon et se replier en poing à chaque fois qu’il pousse pour s’enfoncer plus loin. C’est plus fort que moi mais cette pénétration me fait mouiller. Je le sens, des trainées de mouilles ruissellent le long de mes cuisses. J’adore me faire déchirer le cul…
— Haaaa, je suis déjà bien plus loin que le poignet… Tu vois quand tu veux !!— Oohhh…. Continue maître ! Enfonce encore ton poing dans le fion de ta mère !! AAAHHHHH !!!!!
Ce petit pervers se met alors à aller et venir avec son poing dans mon cul. Il en sort pour mieux y re-rentrer en forçant le passage et n’hésite pas à tirer sur les parois avec ses 2 mains pour m’élargir. Il tente même d’y enfoncer ses deux mains… Sans succès, évidemment, mais cela ne fait qu’accroitre la dilation de mes chairs. Il pousse mes limites au maximum, ce salop ! Puis il referme son poing et s’enfonce à nouveau loin dans mes entrailles.
— Oohh Théo, c’est bon….. mais vas-y doucement !! — J’y vais comme je veux aujourd’hui… Et appelles-moi maître !! Insiste-il en me fessant violemment à plusieurs reprises.— O…oui, maitre… Continue…. Ooohhhh enfonce ton bras en moi !!!
Je ne savais pas ce que je disais…. Mais entre le jeu de soumission, l’excitation réelle de ce fist-fucking intense et l’envie de pousser mes limites encore plus loin, je voulais vraiment qu’il continue !
Et là-dessus, il pousse son poing encore plus loin. Plus loin que quiconque n’est allé dans mon cul. En me tournant vers lui, des larmes de douleurs et de plaisirs pervers coulant des yeux, je me rends compte que quasiment moitié de son avant-bras est enfoncé !
— Tu as vu ce que je te mets ?? Tu sens mon poing dans ton ventre ??— O…oui… et je le vois aussi…— C’est vrais ?? Montre !!
Toujours le bras enfoncé dans mon fion, il se tourne un peu sur le côté pour voir mon ventre. Et en effet, s’il pousse son poing vers mes abdos, on peut voir une légère bosse se former. Une bosse qui monte et descend.
— Oh putain !!! Je ne pensais même pas que c’était possible !
Son excitation est alors décuplée et il redouble de vigueur pour me fister. Il me plaque contre le mur, tire sur mes fesses d’une main et enfonce de toutes ses forces son autre bras. La douleur était pour moi aussi vive que le plaisir et je serais des dents en pleurant. Je criais, bien sûr, mais cela ne faisait que motiver mon fils qui s’éclatait à m’éclater le cul. Soudain, il retire son poing, me retourne dans la douche, et me demande de tenir mes jambes en l’air. Il renfonce son poing en moi et me bourre avec force en regardant, fasciné, mon ventre se déformé. On y voit réellement une bosse se former à chaque fois qu’il enfonce son bras. Dans un état d’excitation inouï, il me dit :
— Je suis sûr qu’on peut pousser jusqu’au coude…
Je sens mon anus être encore un peu plus écarté par la partie la plus large de son avant-bras et son poing s’enfoncer toujours plus loin. Mais cette fois s’en est trop, la douleur et la peur prennent le dessus : j’ai peur d’avoir l’anus détruit, de devenir incontinente. Une vive sensation de déchirure imminente de mon anus et l’irritation interne de mon colon me font revenir à la réalité. En larme, je le supplie alors :
— OOOhhhh c’est trop, arrête !! Je t’en prie arrête, je vais crever !!
Déboussolé par mes larmes si nombreuses, il se calme soudain.
— Ok maman, on arrête…
Il sort alors son bras de mes fesses en créant un vide en moi qui me procure un soulagement immense. Je passe alors ma main sur mon anus et constate l’ouverture béante de celui-ci…
— Mon dieu… Non….tu m’as détruit le cul….— Mais non… il est à peine plus ouvert qu’après la double anale avec Hugo… Tu t’en remettras… Et le spectacle est absolument superbe ! Ton cul n’a jamais été aussi beau ouvert ainsi. Ecarte tes fesses que je profite encore du spectacle.— Non, je ne…— ECARTE !!! Ou je te fouette le cul à coup de ceinture !
J’avais oublié un instant que j’avais accepté le jeu de la totale soumission. Comme un fétu de paille, il me remet à quatre pattes, plaque mon buste par terre pour bien tendre mes fesses. Après plusieurs claques sur le cul, je cède. Rassemblant mes forces et me remettant dans mon rôle, je place mes mains sur mes fesses et les écarte pour maintenir pour anus bien ouvert. En me retournant, je vois Théo baisser son caleçon et sortir sa bite mi molle (je rappelle qu’il a joui il y a quelques minutes dans ma bouche).
— Qu… Qu’est-ce que tu comptes faire ?— Faire un truc que je veux essayer depuis un moment… et me servir de ton trou comme il le mérite…
Il se décalotte alors et commence à me pisser dessus. Même si d’illustres inconnus m’ont, à plusieurs reprises, pisser dessus pour satisfaire leurs pires envies d’humiliation, jamais je n’aurais imaginé me faire pisser dessus par un de mes enfants. Mais après m’être fait recouvrir de leur foutre ou mouille à maintes reprises, ais-je vraiment le droit de me poser ce genre de question ?
Son jet d’urine s’abat d’abord sur mes fesses et ma chatte puis rentre précisément dans mon cul que je maintiens toujours ouvert. Il ne cherche pas spécialement à me recouvrir, même s’il m’arrose le bas du dos et les cuisses, mais surtout à me remplir avec sa pisse. Durant de longues secondes, mon fion se rempli puis, enfin, le jet se calme et ruisselle sur mon sexe.
— Tu veux gouter ?
Sans même réfléchir au fait qu’il me laisse le choix, je me retourne en laissant mon cul surrélevé et lui suce la bite encore un peu dégoulinante. Je lèche et avale ses dernières gouttes d’urine mélangées à ma salive. Je grimace mais commence à être habituée à cela… Me reste-il encore des limites ?
— Parfais, maintenant mets-toi accroupie et vide-toi.
Toujours dans la douche, je me mets en place et me vide de l’urine stockée dans mon cul sous les yeux pervers de Théo.
— C’est bien. Il est 11h, je te laisse tranquille jusqu’à midi. Après je te remets ta queue et ta laisse et tu redeviendras ma chienne. Ok ?— Bien maître.
A suivre...
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