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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 15

Avec plusieurs hommes
Suite :
Alors que je commence à taper à l’ordi, avec cet énorme gode enfoncé en moi, Théo va s’assoir non loin de moi pour se rincer l’œil. Je tape un texte bidon durant de longues minutes. Mon fion était dilaté et rempli sans allers-retours et donc, sans répit. J’essaie de me lever petit à petit pour diminuer l’enfoncement du gode, mais Théo s’en rend vite compte et le lève pour m’appuyer sur les épaules et me réempaler d’un coup sec.
— Pas avant que le travail soit finit…— Ouuuhhh… compris….
Il retourne se rassoir et m’observe en prenant un plaisir malsain à voir mon anus ainsi dilaté.
Puis, commençant à avoir vraiment mal et, de plus, ayant sérieusement envie de baiser car ce petit jeu m’avait pas mal excité, je déclare :
— J’ai… finis… M. le Directeur…— Voyons cela…
J’espérais qu’il joue le jeu et qu’il passe à la phase de récompense. Ce fut avec un réel soulagement que je l’entendis dire :
— Haaa voilà, quand vous voulez ! Allez, levez-vous….
En me soutenant pas les aisselles, il m’aida à me relever et à me libérer de l’énorme morceau de plastique qui me déformait le cul depuis un moment.
— Ça fait du bien ? me demanda-t-il — Oui, je n’aurais pas pu tenir beaucoup plus longtemps.— Je m’en doute, venez par-là, je vais vous montrer que je peux aussi être reconnaissant.
Il me prend par la main et me fait m’allonger sur la table de bureau. Il passe à côté de moi et m’embrasse langoureusement en faisant glisser sa main le long de mon corps. Ses doigts s’approchent de mon sexe et ils commencent à me masturber. Très vite la douleur qui me lance au niveau de mon anus s’estompe et laisse la place au plaisir.

Théo me masturbe divinement et, constatant la quantité impressionnante de mouille que je produis, il se met à genoux et me bouffe la chatte comme un affamé. En quelques minutes, il me déclenche un orgasme délicieux.
— Ca va mieux ? me demande-t-il— Mmhh oui, merci M. le Directeur… C’était divin.— Parfait car je n’ai pas fini !
Il se redresse alors entre mes jambes et, alors que je pensais qu’il allait me baiser, il m’enfonce deux doigts dans la chatte et me doigte furieusement. Mais il ne se contente pas de les rentrer et les sortir rapidement : il les maintient enfoncés en moi et stimule de l’intérieur la paroi de mon vagin. Il cherche manifestement mon point G ! Et il le trouve !!
En l’espace d’une seconde, mes yeux s’écarquillent et ma bouche s’ouvre en grand. Il s’acharne sur mon point G avec ses deux doigts et je sens le plaisir à nouveau monter à toute vitesse.
— Hoooo je vais jouir… Oui encore…. Encore…. OUIIIII !!!
Un deuxième orgasme en quelques instants m’arrache un long cri de plaisir. Mais j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que Théo s’acharne à nouveau sur ma zone à jouissance. En une poignée de seconde, il me fait à nouveau monter vers l’extase.
— Oh… mon…. Dieu…. Je jouis encore…. Putain !!!!
Il me doigte furieusement alors que je jouis pour la troisième fois en 2 minutes et il se produit alors une chose inédite pour moi : j’éjacule. En effet, ma mouille, ou plutôt une sorte de liquide transparent et plus fluide se met à sortir en jets de mon urètre. Des jets peu puissants et limités mais qui suffisent à mouiller le bras de Théo.
— Je ne savais pas que tu étais une femme fontaine !! me dit-il, impressionné— Moi…. Moi non plus…. Je… Hoooo, mais….. encore ????
Il recommence en effet à me doigter et me fait à nouveau jouir alors que le dernier orgasme n’était pas encore estomper. A nouveau mes entrailles sont secouées par le plaisir et à nouveau ma vessie se vide (je suppose que c’est ma vessie puisque ça sort de mon urètre) de ce liquide qui tient plus de l’eau que de la pisse ou de la mouille.
Alors que mes jambes flageolent et que le plaisir commence à me faire tourner la tête, Théo s’acharne sur moi et me doigte en continu me déclenchant orgasme sur orgasme. J’ai perdu le compte du nombre de fois où j’ai jouis, je sais juste que le fait de me maintenir en permanence en état de jouissance m’épuisait et que mon point G me faisait de plus en plus mal.
— Je… Je n’en peux plus…. C’est trop bon…. Mais c’est trop… beaucoup trop… bafouillais-je à Théo pour le supplier d’arrêter.— Entendu… Je laisse ta chatte tranquille.
Il retire enfin ses doigts de mon vagin. Puis il s’empare immédiatement de sa bite et me la rentre dans le cul. Celui-ci n’offre évidement aucune résistance, pas plus que moi, toujours dans un état second du fait de mes orgasmes à répétition.
Après m’avoir fait jouir peut-être une dizaine de fois, Théo me laboure à présent le cul avec la même vigueur. Mais cette fois-ci, c’est autant pour mon plus grand plaisir que le sien. D’autant qu’il stimule mon clito avec son pouce tout en limant joyeusement mon fion. Théo ayant déjà joui plusieurs fois aujourd’hui, il me baise durant de longs instants délicieux.
Il m’encule en missionnaire sur le bureau, à quatre pattes par terre, debout contre le mur… Régulièrement il sort de mon cul pour que je le suce, ce qui, vu mon état d’excitation, ne me dérange en rien. Il me prend également la chatte de temps en temps mais privilégie tout de même mon fion.
Pour ma part je gémis, je crie, je bave de plaisir. Je me fais dominer par mon fils et j’adore ça. Je lui réclame toujours plus de bite, d’insultes, de fessées… qu’il me donne avec joie.
Il se saisit du gode qui m’a écarté le cul durant de longues et pénibles minutes et s’en sert pour me prendre en double. Tantôt il me l’enfonce dans le cul et me baise la chatte, tantôt c’est l’inverse. C’est d’ailleurs avec le gode dans le cul et lui dans ma chatte qu’il me fait à nouveau jouir, sans éjaculation cette fois-ci.
Enfin, au bout d’environ une demi-heure de baise continue (plus d’une heure si on compte tout le scénario « secrétaire »…), et alors que le sol est jonché de liquide vaginal, de sueur, d’habits déchirés, Théo finit par craquer et jouit dans mon cul.
Nous restons ainsi enlacés et épuisés durant de longs instants et il me semble même que nous nous sommes endormis profondément vu l’heure avancée qu’il est lorsque je me décide à me relever pour me rendre dans ma chambre et mettre des vêtements convenables.
Théo est déjà dans le salon lorsque j’y entre pour manger un bout. Nous prenons ainsi une collation bien agréable sans allusions sexuelles… pour la premières fois depuis ce matin.
Puis, alors que je bois mon café tranquillement, Théo me pose une question :
— Maman, j’ai une question : comment as-tu fais pour que le voisin n’appelle pas les flics le soir de ma fête ?— Et bien… heu… je lui ai dit que vous étiez jeunes et que vous ne faisiez pas de mal…— C’est tout ? Bon… Mais alors pourquoi tu avais du sperme dans les cheveux quand tu es rentrée ?
Je manque de m’étouffer avec mon café en entendant cette phrase.
— Pourquoi tu me poses la question si tu sais ce qui s’est passé ?— Je ne sais pas si tu l’as juste sucé ou s’il t’a baisé…— Je l’ai juste sucé…— Il t’a forcé ??— Mais non… c’est même moins qui lui ai un peu forcé la main. Il ne baise plus avec sa femme depuis des années…— Et c’était bien ?— Tu es sur de vouloir savoir si cette aventure extra conjugale était bien ?— Tu as raison maman… parlons plutôt de la manière dont je t’ai enfoncé mon bras de le cul ce matin…— Un point pour toi… Oui c’était bien, c’est plutôt un bel homme, il a un sexe de belle taille et son sperme est à mon gout !— Ça te dirait de le baiser ?— J’avoue que cette nuit-là j’en ai eu envie… Mais je n’y ai pas repensé depuis.— Alors voilà mon dernier ordre de ma journée « cadeau » : tu vas l’appeler, l’inviter à boire un verre et faire en sorte de te le taper.— Ça te ferait plaisir de me voir baiser avec un autre homme ? Je veux dire avec un étranger…— Maman, tu sais, on n’est pas complètement naïfs… Tu t’envoies tes enfants, les copains de tes enfants, tu nous ramène ta collègue de bureau pour la déniaiser… Tu es complètement nymphomane et perverse. Je suis certain que la moitié de ta boite t’es passé dessus, que tes clients de paient en foutre et que tu dois ta récente nomination autant à ton intelligence qu’à ton cul.— C’est… bien résumé, dis-je gênée par tant de réalisme.— Alors oui, j’aimerais bien te mater de faire baiser par le voisin et qui c’est, je trouverai un moyen de venir participer pour que tu aies droit à une vrai double aujourd’hui…— Non, Théo ! Être infidèle, c’est une chose… Salope, perverse, etc… j’assume. Mais être incestueuse, c’est illégale ! Je ne veux pas que le voisin le sache ! — T’inquiète, je n’interviendrai que si je suis sûr de mon coup… et puis on est majeur je te signale ! C’est d’ailleurs plutôt tes enfants qui abusent de toi que l’inverse… Héhé…— Pff, fais comme tu veux, je ne pourrai pas t’en empêcher de toute façon. Mais ne gâche pas tout ce qu’on a pour un simple jeu pervers !— T’inquiète, je gère !
Le sort en était jeté ! J’allais me taper mon voisin (ce qui me faisait d’avance plaisir) mais aussi pratiquer l’inceste devant lui et ça, ça me terrifiait.
A suivre...
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