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20 ans de mariage

Chapitre 1

Hétéro
Chapitre 1 : S’aiment-ils encore ? — Papa, vous vous aimez encore maman et toi ?
    Je regrette mes mots à la seconde où je les prononce. Mon père me regarde avec de grands yeux. Il ne doit pas en revenir que je pose une question pareille. En même temps, sans contexte, je le comprends. Je ne voulais pas être brutal, je voulais juste savoir. Les parents de mon meilleur ami sont en train de divorcer. Je suis en première loge pour voir leur déchirement et combien cela l’affecte. Tout autour de moi, je vois des couples subir la même situation : des profs, des parents de potes, ou encore des amis de papa et maman. Cela me fait peur, je ne veux pas que cela m’arrive. L’amour n’existe-t-il plus passé un certain temps ? J’ai besoin d’y croire. Pour moi, et pour eux aussi. Même si j’ai parfois du mal à le montrer, j’aime beaucoup ma famille et je tiens beaucoup à eux.
— C’est une question ridicule, Léo, bien sûr que j’aime ta mère. — Oui, mais...
  Je me retiens de finir ma phrase. Il a raison, c’est ridicule : évidemment qu’il va me dire qu’il l’aime, il ne va pas me dire le contraire. Je ne saurais jamais la vérité.
— Ça y est, je suis enfin prête, déclare ma mère en débarquant dans le salon dans sa nouvelle robe de soirée. — Chérie, tu es magnifique, la complimente son mari.
  Est-il sincère ? Où dit-il ça juste pour être poli ? J’ai du mal à lire entre les lignes.
— Bon, Léo chéri, on y va, alors soit sage. Tu as dix-huit ans, tu assez grand pour te débrouiller tout seul. Nous allons rentrer tard, alors ne nous attends pas. On compte sur toi pour que tu sois déjà couché lorsque nous rentrerons, sinon, ça va barder. — Oui maman, fais-je en soupirant.
  Ils m’abandonnent ainsi avec mes doutes. Je sais, c’est idiot, mais cela me tracasse. S’aiment-ils vraiment encore ? Où reste-t-il ensemble juste par habitude et par peur de se retrouver seul ? Aussi loin que je m’en souvienne, je n’ai jamais vraiment vu de la passion entre eux. Aucun geste déplacé, aucune phrase échangée ayant des sous-entendus. Ils ne s’organisent même jamais de fête en amoureux ; sauf à la Saint-Valentin. Parfois, au lieu d’un couple, j’ai l’impression que ce sont deux amis qui vivent sous le même toit. Font-ils encore seulement l’amour ? Ont-ils toujours envie l’un de l’autre malgré les ravages du temps sur leur physique ? Sont-ils fidèles ? Où est ce que l’un d’eux trompe l’autre avec quelqu’un de plus jeune comme ca a été le cas avec mon meilleur pote ? Je n’aurais certainement pas mes réponses ce soir, alors il faut que j’essaie de penser à autre chose. Je vais aller jouer à la console, et prier pour que ça passe.
***
    C’est la fête annuelle de ma boite. Je suis un peu nerveux. Je n’ai aucune idée à quoi je peux m’attendre. Je n’ai été engagé qu’il n’y a que six mois, donc c’est ma première fois. Je suis dans une période où je dois encore faire mes preuves, je n’ai aucune envie de faire un faux pas. Ce job est une sacrée promotion comparé à mon ancien emploi. Meilleur salaire, meilleure position, mais aussi meilleure entreprise avec un gros prestige. Pour ce soir, la tenue correcte était exigée. J’ai dû m’acheter un smoking, et ma femme a fait des folies en s’achetant une superbe robe de soirée. Nous ne sortons pas souvent, elle n’a donc pas beaucoup l’occasion de s’habiller de façon classe. Petite et grosse, elle est ultra complexée. Elle se trouve laide, vieille et moche ; mais cette fois, elle a tenu à tout faire pour être belle afin d’impressionner la galerie. Tout y est passé : bijoux, parfum, maquillage, mais surtout, un grand décolleté qui met ses énormes seins en valeur. Je suis assez fier d’elle, je pensais qu’elle trainerait les pieds pour y aller, mais que du contraire, elle est même bien plus enthousiasmée que moi. Moi, j’avoue, je ne suis pas si emballé que ça. Enfin, non, j’ai envie d’y aller, mais j’aurais préféré y aller seul. Je suis stressé. J’ai peur que cela se passe mal. J’espère que Cora saura se tenir...
   Nous arrivons sur place. Hé bien ! Ils ont vraiment mis les petits plats dans les grands ! Ils ont loué une grande salle pour l’occasion, un endroit super chic, et sans doute cher. Il y a un monde fou. Des serveurs bien habillés nous servent du champagne et des petits-fours, nous les acceptons volontiers. Je salue quelques collègues, leur présente ma femme, et parlons un peu avec eux. La soirée est lancée.
  Ma moitié est comme un poisson dans l’eau. Elle rit, elle fait connaissance, je pense qu’elle est en train de se faire de nouvelles amies. Moi, je suis toujours aussi angoissé. Je regarde autour de moi. Aucune Cora à l’horizon. Tant mieux, si elle pouvait ne pas être là du tout ce soir, cela m’arrangerait. Je me tourne à nouveau vers ma femme. Poisse ! Là voilà, comme sortie de nulle part ! Évidemment, elle s’avance dans notre direction:
— Bonjour, vous devez être Denise, se présente-t-elle. Je suis Cora, une collègue de votre mari. Il m’a beaucoup parlé de vous.— Vraiment ? Moi, il ne m’a jamais parlé de vous, répond ma chérie.
  Elles rigolent poliment ensemble.
  Je sue, je tremble. Mon pire cauchemar est en train de se réaliser. Pourvu qu’elle ne fasse pas de gaffe. Pitié, pas ce soir. Je ne me sens pas bien tout à coup, j’ai besoin de  m’isoler un moment. Je trouve une excuse bidon pour m’en allers. Je savais que j’aurais dû insister pour venir seul, c’était obligé d’elles finissent par se rencontrer.
  Cora est plus qu’une collègue, c’est une de mes supérieures. Elle est jeune, environ vingt-cinq ans, mais déjà très bien placée dans la boite. Elle est grande, brune, mince, avec une belle poitrine. Elle est très attirante, mais surtout étonnamment célibataire. Cela fait tourner la tête à pas mal de mes collègues, même les mariés. 
  Je suis seul dans mon coin à essayer de reprendre mes esprits. Quelqu’un arrive. Un serveur ? Non, c’est Cora ! Bon sang, pas elle. Elle ne perd pas une seconde pour me sauter dessus et m’embrasse à pleine bouche. Je la repousse :
— Non, Cora ! Non ! — Mais si, rétorque-t-elle avant de recommencer. 
  Je la repousse une nouvelle fois.
— Non ! J’ai dis non !— Attends que je te suce, tu ne diras plus la même chose.
  Elle se met à genoux et commence à défaire mon pantalon. Bon sang, ce n’est pas vrai ! Elle a le feu au cul celle-là ! Je connais des gens qui tuerait pour se retrouver dans ma position, mais pas moi, alors je me dégage de son étreinte et refermer ma boucle de ceinture. 
— Bon sang ! Mais c’est ce qu’il ne va pas chez toi ! s’emporte-t-elle. — J’aime ma femme. — Quoi ? C’est ça qui te retient ? Que tu sois marié ? Détends-toi, ce n’est pas comme si j’allais la mettre au courant. Je ne te demande pas de me passer la bague au doigt, juste de tirer un coup. Tu ne vas pas me dire que je ne te fais pas envie.
  Elle s’approche pour une nouvelle tentative. Elle pose sa main sur mon sexe à moitié tendu à travers mon pantalon. Ses lèvres s’approchent des miennes. Je tourne le visage à la dernière seconde pour l’éviter :
— J’aime ma femme, fais-je à nouveau. — Bordel, mais ce n’est pas vrai ! Tu es vraiment trop con toi ! Je te propose de baiser avec moi et tu oses me dire non ? Parfait, comme tu voudras. Ce n’est pas comme si les beaux mecs manquaient dans cette boite. Amuse-toi bien avec ta grosse dindon. Faudra pas venir pleurer si tu changes d’avis. Adieu !
  Elle s’en va, enfin, je respire. Cette fille est une mangeuse d’hommes. Personne n’en parle à voix haute, mais tout le monde sait qu’elle s’est déjà faite sautée par plusieurs employés de la boite. Après sa dernière aventure, voila maintenant plusieurs semaines qu’elle a jeté son dévolu sur moi. J’ai beau lui dire non, elle insiste. Elle a du mal à comprendre qu’un homme puisse lui résister. C’est sûr qu’elle est belle et qu’elle fait envie, mais je le lui ai dit : j’aime ma femme.
  Cette situation me met mal à l’aise, mais je ne peux pas vraiment en parler à la DRH. Franchement, qui croirait qu’un homme de la cinquantaine se plaindrait de se faire harceler sexuellement par une petite jeune ? Ce serait sa parole contre la mienne  ; et je doute que ce soit moi, le petit nouveau, qui gagnerait.
  Je ne voulais pas que Denise vienne ce soir. Qui sait ce que Cora serait capable de lui raconter ? Je l’aime, et je ne voudrais pas qu’elle pense que je la trompe juste parce que cette pute en chaleur me tourne autour. J’ai peur. Cora a peut-être compris qu’elle n’obtiendrait rien de moi, mais ce n’est pas fini pour autant : elle serait capable de se venger. La soirée va être longue.
  Je m’empresse de retrouver ma douce. Aaah, ma chérie... Cela fait vingt ans que nous sommes mariés. Certes, elle a pris de l’âge et du poids, mais elle me fait toujours rêver. Elle est plus belle que jamais, ses courbes sont devenues encore plus parfaites, et ses seins, alors que je ne pensais pas ça possible, ont encore pris de ampleur. Elle est irrésistible dans sa robe de soirée noire. Ce décolleté me rend fou. Quand je me tourne vers elle, j’ai du mal à la regarder dans les yeux. En fait, j’ai du mal à regarder ailleurs tout court. Je ne pense qu’à une seule chose depuis le début de la soirée : lui faire sauvagement l’amour. C’est elle qui me faisait bander tout à l’heure, pas Cora. Je m’en fou de cette jeune allumeuse. Il n’y a que ma femme qui me fait envie, elle est la seule pour qui mon sexe devient dur, la seule qui me rend ivre de désir et de luxure, la seule qui peut me faire jouir.
  Le reste de la soirée se passe étonnement bien. Cora n’a plus pointé le bout de son nez. Ma femme semble heureuse d’être là, et je suis heureux d’être avec elle. Je remarque que certains petit vicieux la regardent avec un peu trop d’intérêt. Coquine, elle m’en fait la remarque en souriant. Cela me rend d’autant plus fier. Qu’ils la regardent avec envie et qu’ils fantasment sur son corps. Au bout du compte, c’est moi qu’elle suce et qui la baise. Je la sens se décomplexer devant toute cette attention. Tant mieux, j’aimerais tellement qu’elle réalise combien elle est belle. Je passe ma main délicatement dans ses longs cheveux auburn, lui sourit, puis l’embrasse.
  Nous passons à table, nous buvons, nous nous amusons, puis, vers une heure du matin, nous rentrons chez nous comme nous sommes arrivés : en taxi. J’ai peur de ce qui peut m’arriver lundi, de ce que Cora peut inventer pour se venger. Cette histoire est loin d’être terminé, mais au moins, j’ai survécu à cette soirée.
***
  Je suis dans mon lit mais je n’arrive pas à dormir. C’est drôle comment le rôle des parents et des enfants peut s’inverser aussi aisément : voilà que c’est moi qui m’inquiète parce qu’ils ne sont pas encore rentré.
  J’entends une voiture s’arrêter devant chez nous, suivit du bruit de portières qui s’ouvrent et se referment. Cela doit être eux. Comme je suis éveillé, j’hésite à aller leur faire un petit coucou vite fait, mais j’ai peur qu’ils me disputent sous prétexte que je ne dors pas cette heure-ci. Je lutte intérieurement quelques minutes, puis je me décide de me le lever. C’est bon, j’étais dans mon lit, ils ne vont pas m’engueuler quand-même ? Ce n’est pas comme si j’étais encore devant la télé. Merde, en plus, je suis plus un gamin quoi.
  Je sors de ma chambre. Je les ai entendus rentrer mais les lampes sont toujours éteintes. Étrange. J’explore un peu la maison. Il y a de la lumière dans leur chambre, la porte est grande ouverte. Je vais aller prendre de leur nouvelle. Arrivé devant le palier, je me cache après avoir vu ce que j’ai vu. Oups. Mes parents sont en train de s’embrasser. Je ne parle pas d’un petit bisou banal comme un simple couple d’amoureux, mais d’une étreinte torride entre deux amants. Je devrais retourner dans mon lit et les laisser tranquille. Curieux, je ne résiste malgré tout pas à l’envie de jeter un coup d’œil. Mon père serre son épouse beaucoup plus petite contre lui. Leurs bouches sont collées l’une à l’autre, tandis que leurs langues s’entremêlent. C’est beau. Je sais que c’est mal et que la plupart des enfants s’enfuiraient au courant de peur de faire des cauchemars en voyant ça, mais j’ai envie de rester pour en voir plus. J’avais peur que mes parents ne s’aiment plus, et là, je suis en train d’assister à la preuve du contraire. J’ai besoin de me sentir rassuré.
    Les mains de mon père se font plus baladeuses, ils caressent avidement le corps de sa femme. Il empoigne un instant ses fesses avant de remonter lentement vers ses seins. Il les presse et joue avec, ils ont toujours été énorme.
— Chérie, je t’aime, bafouille-t-il entre deux baisers. — Moi aussi, répond maman. J’ai envie de toi.
  Il plonge brusquement sa tête entre ses deux nibards. Il les embrasse en humant leur parfum. Elle pose ses mains contre sa nuque pour le presser contre elle. Elle soupire de bonheur. D’un geste délicat, il fait glisser ses bretelles de ses épaules pour lui enlever sa robe. Une fois à terre, il s’attaque ensuite à son soutien-gorge. Ce dernier ne fait pas long feu. Il prend de la distance une seconde pour admirer sa poitrine, puis il revient à la charge pour lui mordiller les tétons.
  Je n’arrive pas à y croire, pour la première fois de ma vie, je vois ma mère nue. Je l’avais toujours trouvé petite et grosse, mais là, j’avoue, en la voyant comme ça, je ne peux pas m’empêcher de la trouver très belle.
  Je devrais aller dormir, j’en ai assez vu. Ils vont baiser, et je ne devrais pas assister à ça. Pourtant, je n’arrive pas à bouger de là. Parce que justement, ils vont baiser. C’est peut-être mon père et ma mère, mais j’ai du mal à dire non à un porno en live. C’est malsain, mais je commence à bander.
  Mon père lui bouffe les nichons comme un affamé. Je le comprends, je ferais pareil si j’avais une copine avec une si belle et grosse poitrine. Maman a l’air sensible car elle gémit beaucoup.
— Tu aimes toujours mes seins, hein ? lui fait-elle.— Oh oui, je les adore. Ils m’excitent. Ils sont plus beaux d’années en années.
  Elle passe sa main sur son entrejambe. Elle caresse un peu sa verge à travers son pantalon avant d’en ouvrir la braguette. Elle en sort un pénis bandé hors norme. Mon dieu, mon père est un monstre ! Je comprends maintenant mieux de qui je tiens. Elle le branle lentement tandis qu’elle profite des attouchements de son mari. Mon esprit divague devant ce spectacle. Cela fait trop bizarre de les voir comme ça. J’ai passé dix-huit ans à leurs côtés sans jamais pensé qu’au delà d’être papa et maman, ils étaient avant tout un homme et une femme, avec des désirs et des besoins comme moi. Ils sont adultes, ils sont vieux, mais ils ne sont pas asexués. Secrètement, pendant toutes ces années, ils ont dû continuer à s’envoyer en l’air comme n’importe qui. À se faire plaisir, à jouir ensemble. C’est idiot, je le sais, mais je ne l’avais jamais réalisé avant, je ne les avais jamais envisagés comme des gens pouvant avoir leurs propres pulsions sexuelles. Je ne dois pas être normal, mais j’ai décidément envie d’en voir plus. 
   Papa suce les nichons auréolés de sa femme comme s’il n’avait jamais vu de poitrine de sa vie. Il tire dessus avec ses dents puis les titillent avec sa langue.
— Hmm, Bernard, mon chéri, tu veux que je te fasse ce truc que tu adores ?— Oh oui ! Oh oui !
   On dirait un enfant devant son gâteau d’anniversaire, je ne pourrais plus jamais le voir comme avant.
   Maman se met à genoux et prend sa bite entre ses seins. Elle les presse pour la masser avec ses nibards. Je n’avais jamais vu ça, mais ça a l’air vachement bon. J’en suis jaloux. Faut dire qu’elle a la poitrine parfaite pour faire ce genre de chose. 
— Tu aimes, hein ?— Oh oui !— Tu aimes mes gros seins ? — Je les adore. Ils me font rêver.— Tu es sûr ? Tu ne préférais pas ceux d’une petite jeune ?— Jamais de la vie. Je veux les tiens et aucun autre.— J’ai dû mal à te croire. — Denise, je t’assure, je pourrais avoir une petite jeune à genoux devant moi prête à me sucer la bite que je n’en voudrais pas. — Coquin, tu sais comment parler à ta femme toi. Ça mérite une petite récompense.
  Elle baisse la tête pour lui lécher le gland tandis qu’elle continue de le branler avec sa poitrine. C’est terriblement érotique. Je ne pensais pas que les adultes continuaient à faire des jeux coquins comme ça. 
  Elle attrape son champignon en bouche pour le sucer. Je serais papa, je me serais mis à éjaculer dans sa gorge. Au lieu de cela, il râle de bonheur. Elle arrête son massage pour le branler d’une main et l’avaler plus en profondeur. Je n’y crois pas, elle lui fait une vraie pipe de son propre chef. Je ne pensais pas que les filles aimaient vraiment ça. Dans les pornos, elles sont payés pour, et mon ex, elle ne le faisait que pour me faire plaisir. Maman, on sent qu’elle en a envie. Ça lui plait de sucer son gros dard. C’est magnifique. Je ne peux pas m’empêcher de sortir le mien pour me branler.
— Tu aimes, mon chéri ? — J’adore. — Tu as envie de moi ?— Tu ne peux pas savoir ? —  Tu vas me baiser, alors ? Tu vas baiser ta femme ? — Oh oui, j’ai follement envie de baiser ma femme. — Hmm, et elle, elle a très envie de se faire monter comme une chienne par son mari.
 Des mots aussi cru... Ils ont toujours été coincé et timide en ma présence, je ne les imaginais pas aussi complice. J’ai l’impression de redécouvrir mes parents.
  Maman s’installe à quatre pattes sur le lit dos à lui. Il grimpe la rejoindre et lui enlève sa culotte. Sans autre préliminaire, il frotte son pénis contre les lèvres de son vagin avant de l’enfourcher d’un trait. Ses mains sur ses hanches, il la baise. Il en a envie, il en a besoin. C’est la première fois que je vois mon père comme un animal et non comme un adulte responsable, et ma mère, d’habitude autoritaire, en position de soumise, suppliante de se faire bourrer par une queue. 
— Oooh, Denise... Oui ! Oui !— Benaaaaard ! Baise-moiiiiiiiiii ! — Hmm, ma petite femme, ma petite salope. — Oui, je suis toute à toi.
  Ils sont si beaux à regarder, si excitant. Il y a quelque chose de merveilleux dans ce tableau que j’ai du mal à décrire. Oui, il s’envoie en l’air, mais il y a autre chose. Ils sont mariés depuis vingt ans, ils baisent ensemble depuis vingt ans, et pourtant, quelle passion dans leur étreinte ! Je pensais qu’après tout ce temps, la flamme se serait éteinte. Que la seule raison qu’ils auraient de faire l’amour, ce serait de satisfaire leur besoin vite fait. Genre papa a besoin de tirer un coup, et maman le laisse faire juste pour s’assurer qu’il ne va pas voir ailleurs. Mais non, ça va bien plus loin que ça. Ils prennent leur pied tous les deux, et ils ne pourraient pas le prendre autant l’un sans l’autre. Ils sont plus que de simples animaux ayant conservé un vague instinct de reproduction, leurs instincts sont animés par leurs sentiments l’un pour l’autre. Ils ne cherchent pas juste à s’apaiser par un orgasme rapide, ils expriment charnellement leur amour. C’est tout bonnement incroyable à regarder. Ils sont ensemble depuis vingt ans, vingt ans à s’aimer aussi fort. Je ne peux qu’être jaloux du bonheur qu’ils ont du connaitre. Je voudrais aimer et être aimer comme ça.
    Papa la prend comme un mâle possédant sa femelle, et maman se fait prendre comme une femelle qui a désespérément besoin de se faire saillir par un mâle. Au bout d’un moment, il la retourne sur le dos avant de reprendre ses coups de reins. La violence de ses assauts font balancer ses seins dans tous les sens.
— Benaaaaard ! Ce que j’aime ta grosse biiiite !— Deniiiise ! Et moi je suis amoureux de ta chatte ! Tu mouilles tellement, ma puce.— Oui, elle mouille pour toi. Prends-là ! Fort ! — Putain de merde, je vais te défoncer ! 
 Il se penche vers elle pour l’embrasser en jouant avec ses seins. Il la ramone avec vigueur. Je me branle comme un fou. J’aurais envie d’être à sa place. Quoi ? Je n’arrive pas à croire ce que je viens de penser. Oui, là, en ce moment, j’aurais envie de baiser ma propre mère, lui limer furieusement la chatte comme mon père le fait, et la faire jouir follement avant de pouvoir me vider en elle. Bordel, je suis en train de devenir jaloux de mon propre père. 
  Maman passe les mains dans son dos tandis qu’il se serre très fort contre elle. Ils ne font plus qu’un. Ils sont si faim l’un de l’autre que c’en est contagieux.
— Denise... je veux te défoncer ! Je veux te défoncer ! — Oh oui ! Vas-y ! Tu sais que je ne suis pas fragile, j’ai tellement besoin de ta queue !  — Oui ! Oui ! Oui !
   Il lui perfore le vagin à coup de butoir avec sa grosse bite. Je pensais qu’ils allaient se mettre à jouir tous les deux, mais cela continue ainsi pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que maman décide de le chevaucher. Elle est si belle, si coquine. C’est une femme qui ne ménage pas son plaisir. Elle aime le sexe et elle n’en a pas honte. Son visage irradie de bonheur. Elle s’empale frénétiquement sur sa queue pour se faire du bien. Mon père profite du spectacle du corps de sa femme qui rebondit au dessus de lui. Au début, il reste passif, mais au bout d’un moment, il ne peut plus tenir et se redresse pour lui bouffer les nichons. Elle l’enlace pour le presser contre lui afin de l’encourager à continuer.
— Mon chéri, mon amour.— Ooh, ma petite femme.
   Mon père rejoint sa cadence par des mouvements du bassin. Ils s’emboitent comme s’ils étaient faits l’un pour l’autre. J’aimerais tant connaitre un tel amour, une telle passion.
— Tu m’aimes ? demande ma mère. — Oh oui !— Tu as envie de moi ?— Toujours !— Malgré que je sois vieille et grosse ?— Ne dit pas n’importe quoi. Tu es magnifique. — Tu es sûr ? Tu ne préférerais pas être avec une plus jeune ? La petite Cora par exemple, elle a l’air très mignonne... — Pas du tout.— Hmm, je suis sûre que si elle te demandait de la baiser, tu ne lui dirais pas non quand-même. — Bordel, Denise !
  Comme un taureau énervé, il la renverse en arrière et la reprend en missionnaire.
— Tu n’es qu’une idiote ! poursuit-il. Une fille comme Cora voudrait coucher avec moi que je l’enverrais chier ! — Menteur !— Je te le jure ! C’est toi que je veux. Toi, et personne d’autre ! C’est toi qui m’excite, c’est toi qui me fait bander, c’est toi que je veux baiser pour le restant de mes jours. Les autres femmes ne m’intéressent pas. Comment le pourrait-elle alors que j’ai la plus belle femme du monde dans mon lit ?— Oooh, Bernard... — Je t’aime Denise.... Je veux que tu sois heureuse, tu le mérites tellement, et je veux être celui qui te rend heureuse. C’est pour ça que je veux te baiser et te faire jouir comme tu le mérites. Être un bon amant pour toi, être digne de toi. — Je suis heureuse, mon chéri. Tu me rends heureuse. Tu es mon homme à moi.— Tu es sûre ? Tu ne voudrais pas d’un garçon plus jeune ? — Non. C’est toi que je veux. C’est ta queue qui me fait jouir, mon étalon. Tu me rends folle. Aucun autre homme ne pourrait me donner autant de plaisir, autant de bonheur.— Denise...— Fais-moi jouir, mon amour. Fais-moi jouir tout contre toi, et je te promets que je te ferais éjaculer comme tu aimes. — Denise !
  Je ne sais pas de quoi elle parle, mais mon père redouble soudainement de vigueur. Il la lime pour lui donner du plaisir en essayant d’oublier le sien. Cela semble très bien marcher vu comment ma mère crie. Fait-elle souvent ça ? Si c’est le cas, comment ça se fait que je ne les ai jamais entendus faire l’amour tous les deux ?
— Bernaaaaaaaaaard !— Denise !— Ça vient, continue ! Je veux jouir ! — Oh oui, vas-y ma belle. Jouis pour moi, je veux te voir jouir. — Mon amour, c’est si bon. Oui ! Oui !
  Papa passe ses bras en dessous de ses épaules pour avoir un meilleur appui et se colle contre elle, sa tête contre la sienne. Il lui donne encore quelques coups de butoirs, puis elle se cambre avant d’exploser en orgasme.
— Ouiiiiii ! Aaaaaaah !
  Maman jouit. Elle crie pendant que son corps tremble. Elle est magnifique. Je voudrais pouvoir la faire jouir comme ça. Je m’astique de plus en plus fort. Ses yeux sont perdus aux portes du paradis. Son mari continue de la défoncer pour prolonger son plaisir.
— Jouis, mon amour, jouis ! l’incite-t-il, tandis qu’elle s’abandonne complètement dans son autre univers.
  Ses convulsions finissent par s’arrêter lorsque mon père arrive à bout de force. Il sort de son vagin — sans doute pour ne pas éjaculer trop vite — et s’affale à ses côtés. Ma mère a le souffle court. Elle a l’air si heureuse, si détendue. Elle transpire le bonheur. Cela me fait me sentir tellement bien. Après vingt ans de mariage, une vie calme, et tout ce que je lui en ai fais baver en tant que fils, elle reste néanmoins une femme heureuse. Je suis content pour elle.
— Chérie, j’ai follement envie de jouir, je n’en peux plus, la réveille mon père de sa torpeur. — Oui, viens, je vais te finir comme tu l’aimes.
  Ils sautent tous les deux hors du lit. Maman se mets à genoux devant son homme et prends sa bite entre ses nichons. Comme tout à l’heure, elle masse sa grosse queue avec.
— Tu aimes tellement mes seins, mon chéri ?— Oh oui, ce sont les meilleurs, les plus doux, les plus beaux.
  Elle lui sourit. Papa n’est qu’un pervers qui fantasme sur ses gros nibards, mais elle semble voir ça comme un compliment.
— Je vais te faire jouir avec mes seins, mon chéri.
  On sent qu’elle en pense chaque mot. Elle le veut pour lui. Elle le branle de plus en plus furieusement. Elle ne cherche pas à l’exciter, juste à le finir, à lui donner la délivrance. Il n’en peut plus, cela se lit sur son visage. Son sperme est comme un poison qui a besoin de sortir, et maman est là pour l’aider à le soigner.
— Oh, Denise. Tes seins... Je vais venir, je viens !— Oui, vas-y. Donne-moi tout. Couvre-moi de ta semence. — Oooh, mon amour, ma chérie, ma femme !
  Sur ces mots, il explose brutalement. Des flots de sperme giclent de son méat pour arroser ma mère. Ses jets sont si puissants qu’il lui arrose le cou et même le menton. Il y en a une quantité énorme, comme s’il n’avait pas éjaculé depuis des semaines.
  Mon père grogne en se vidant les couilles. En voyant sa queue fondre entre une aussi délicieuse paire de seins, je m’imagine être à sa place, et craque à mon tour. Je jouis aussi fort que si je l’avais baisé moi-même. J’éjacule mon sperme comme si je souillais son corps. Je voudrais qu’elle soit là, en dessous de moi, à me regarder comme elle le regarde, avec des yeux pétillants d’amour, implorant de lui donner plus de jus. Mon père lui donne tout ce qu’il a, et indirectement, moi aussi. Lorsque je m’apaise, je réalise ce que je viens de faire, ce qui vient de se passer. J’ai fantasmé sur ma propre mère, j’ai même carrément joui pour elle. Honteux et déstabilisé, je ne pense qu’à fuir, vite, et faire comme si rien ne s’était jamais passé. Je remets ma queue et mon pantalon en place, et m’éclipse le plus discrètement possible.
***
  Je suis heureuse. Quel pied ! Vingt dans de mariage, et mon mari me baise toujours comme au premier jour. Je peux sentir son amour dans chacun de ses coups de queue, qu’il me désire, qu’il veut que je sois sienne. Il me rend folle. Moi aussi, je veux qu’il soit mien, rien qu’à moi.
  J’ai son sperme partout sur les seins. Je n’aime pas vraiment ça, mais j’aime lui faire plaisir. Si cela ne tenait qu’à moi, j’aurais plutôt avalé tout son foutre. J’adore tellement ça, c’est si bon, alors avec le gout de mon jus dessus en plus... Nous avons chacun notre fétiche. Lui, ce sont mes seins, moi c’est son sperme. Il fut une époque où presque chacun matin, je le faisais gicler dans mon café pour remplacer le lait. Nous ne pouvons plus faire ce genre de chose depuis que nous avons eu notre petit Léo. C’est difficile d’essayer de toujours jouer les parents responsables devant lui. Nous avons dû beaucoup changé nos habitudes coquines.  
  Il est tard, je suis fatiguée, il est plus que temps d’aller nous coucher. Je veux passer vite fait par la salle de bain pour me nettoyer un peu. En sortant, je remarque quelque chose au bas de la porte. Qu’est ce que c’est ? C’est gluant. J’en prends un peu sur les doigts et le portent à mes narines. Je ne rêve pas, c’est bel et bien du sperme !
  Amusée, je me tourne vers mon mari :
— Chéri. Je crois que Léo vient de nous regarder baiser, et qu’il a beaucoup aimé ça. Il va falloir qu’on ait une conversation avec lui.
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