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20 ans de mariage

Chapitre 2

Inceste
Chapitre 2 : Papa, j’aime maman moi aussi.     Mon dieu, j’ai honte, ce que j’ai honte. Il y a quelques jours, j’ai regardé mon père et ma mère baiser ensemble. J’ai tellement aimé ça que je m’en suis branlé à m’en faire jouir. J’aimerais oublier, mais depuis, à chaque fois que je regarde mes parents, au lieu de la figure autoritaire et sérieuse qu’ils ont toujours incarnée, je ne vois plus que les images de leurs corps nus laissant libre cours à leur instinct animal.   
   Étonnement, cette expérience me fait sentir plus proche d’eux. Cela m’a fait réaliser qu’au delà d’être mes parents, ils sont avant tout un couple qui s’aime. Et après vingt ans de mariage, un tel amour, cela ne peut que faire rêver. J’aimerais connaitre ça moi aussi un jour. Je m’en veux presque de me mettre entre eux deux. Juste parce que je suis là, il y a plein de choses qu’ils ne peuvent plus décemment faire. Je réalise seulement maintenant les sacrifices que ça a dû leur couter de m’avoir et de m’élever.
   Ce qui me rend surtout encore plus honteux, c’est que depuis ce soir-là, j’ai développé... quelque chose pour ma mère. Dès le lendemain, quand je me suis branlé, ce n’était pas au porno que je venais de regarder sur le net auquel j’ai pensé, mais à elle. Je me suis imaginer en train de lui faire des choses, et cela m’a fait éjaculer bien plus fort que mes masturbations habituelles. C’est malsain, je le sais, mais je n’arrive plus à me contrôler. La nuit, parfois, je sors de ma chambre pour les espionner en espérant pouvoir les surprendre à nouveau en pleine action, mais je n’ai plus jamais eu cette chance. Je ne sais plus quoi faire. Cela devient insoutenable. Quand je vois maman, je bande. J’en suis devenu jaloux de papa. Savoir qu’il la baise et la fait jouir, quand moi je suis seul dans ma chambre, ça me rend malade. Je voudrais connaitre ce bonheur moi-aussi, et la rendre autant  heureuse que lui.
  Un jour, en rentrant de l’école, je découvre mes parents assis à la table de la cuisine en train de m’attendre. Houlà, cela doit être grave pour que mon père rentre du boulot si tôt. Je panique. Qu’est ce que j’ai fais encore ? Ne voyant aucune raison de me faire disputer, je me dis qu’ils doivent avoir une annonce importante à me faire. Mais quoi ? Je prie que ce ne soit pas une mauvaise nouvelle.
— Assied toi, mon fils, me dit papa.
  Inquiet, j’obéis.
— Qu’est ce qui se passe ? fais-je.— Cela fait quelque temps qu’on voulait t’en parler, mais nous ne savions pas comment aborder le sujet. — De quoi ?— L’autre jour, quand nous sommes allés à la soirée annelle de ma boite, ta mère à retrouver du sperme sur le bas de notre porte.
  Oh putain ! La merde ! Je me prépare à nier en bloc, mais je rougis tellement de honte qu’ils ne risquent pas de me croire. Comment ai-je pu être aussi stupide ? Je me suis enfui sans même penser à nettoyer derrière moi. Quel con !
— Cela ne peut pas être le mien ! fais-je bêtement pour me défendre.— Mais bien sûr, rétorque ma mère, cela doit être un inconnu qui s’est introduit de notre maison, s’est masturbé en nous regardant faire l’amour, puis est parti comme si de rien n’était. — Désolé, fais-je autant pour m’excuser de ma stupidité que de les avoir épiés. — Ce n’est rien Léo, nous sommes autant gêné que toi, dit papa.
— Tu as aimé ce que tu as vu ? me demande maman. — Je... oui, fais-je en rougissant encore plus fort. — C’est vrai ? C’est pour moi que tu as joui ? Parce que je t’ai excité très fort ?
 La question, tout comme la situation, est décidément très bizarre, mais je n’arrive pas à lui mentir et lui dit la vérité.
— C’est mignon, fait-elle touchée.
  Je ne comprends pas ce qui se passe. Je m’attendais à me faire engueuler.
— Tu voudrais en voir plus ? reprend mon père. — Comment ça ? fais-je, incrédule. — Tu es un grand garçon maintenant. Je ne doute pas que ce n’était pas la première fois que tu voyais des gens faire l’amour. Tu as sans doute déjà vu pas mal de porno, et peut-être même as-tu déjà perdu ta virginité. Nous n’avons jamais parlé de ce genre de choses avec toi, mais maintenant que nous en sommes là... Il n’y a plus aucune raison que cela reste un tabou. Il n’y a aucune honte à avoir. — Qu’est ce que vous essayer de me dire ? Je ne vous suis pas...
 Je suis totalement déstabilisé. — Ce que nous essayons de te dire, mon chéri, continue ma mère, c’est que si nous avons toujours essayé de paraitre très sage devant toi, ton père et moi sommes en réalité de sacrés pervers. Vu que tu es désormais majeurs, et après ce que tu as vu... nous en avons discuté et décidé qu’il n’y avait plus aucune raison de te le cacher.
  Je fais mine de pas remarquer qu’elle est en train de caresser le sexe de papa à travers son pantalon, et que ce dernier est déjà très dur.
— Donc voilà, si tu as envie de nous regarder encore en train de coucher ensemble, sache que cela ne nous dérange pas. Dans notre jeunesse, nous faisions parfois de l’exhibitionnisme, c’était très excitant. Nous avons dû devenir sage le jour où je suis tombée enceinte.
— Quoi ? Que... mais... Non ! Je n’ai pas envie de vous regarder en train de.... ensemble ! Mais qu’est ce qui vous prend tous les deux ?
  J’ai l’impression que je vais me réveiller. Où sont passés mes parents ? Cela ne peut pas être eux. Des extraterrestres ont dû les remplacer par des copies pendant la nuit, ce n’est pas possible. Bien sûr que j’ai encore envie de les mater en train de baiser, je suis un pervers au fond de moi. Mais je sais aussi à quel point c’est mal ! Il faut que je me contrôle ! Ils devraient d’ailleurs m’aider à ça ! Pas m’encourager !
— Écoute, fils, me fait mon père. Je vais baiser ta mère. Ici, et tout de suite. Tu es libre de faire ce que tu veux : où tu restes nous regarder, où tu vas faire autre chose. Mais dans tous les cas, nous ne cacheront plus jamais notre libido, alors il va falloir t’habituer à ce que ce genre de chose arrive à la maison. D’accord ?
  Je ne réponds pas. Je ne bouge pas. Je ne sais pas comment réagir. Soudain, mon père sort son énorme queue de son pantalon et s’adresse à sa femme :
— Vas-y chérie. Suce-moi. Montre-lui comment tu sais sucer ton homme. — Hmm, je vais me régaler, répond-t-elle.
  Sans aucune honte, elle se penche sur lui et prends son sexe en bouche. Je n’en reviens pas. Ils font ça, comme ça, devant moi. Je suis dans une maison de fou. Je devrais m’enfuir, crier, je ne sais pas, quelque chose quoi, mais je ne fais rien et je regarde. Au fond de moi, si j’oublie mon éducation et mes inhibitions, je dois dire que je trouve ça excitant.
  Je fixe les lèvres de ma mère coulisser le long de ce gros dard. J’ai une trique d’enfer, qu’est ce que j’aimerais qu’elle me fasse ça à moi. Elle monte et redescend en bavant beaucoup pour le lubrifier. J’imagine sa langue jouer avec la tige et le gland. Putain, mais quel veinard mon père.
— Hmm, Léo, soupire ce dernier, ta mère fait vraiment les meilleures pipes du monde.
  Putain, mais c’est vraiment de la provocation là ! Quel salaud !
— Regarde-là comme elle est belle quand elle suce, continue-t-il. Son secret, c’est qu’elle aime la bite. Regarde combien elle la veut. — Hmm, oui, j’aime ta bite, mon chéri, s’interrompt une seconde maman. Elle est si grosse, si délicieuse. Mais mon véritable secret, c’est que j’aime ton sperme.
  Quoi ? Maman avale ? Bordel de merde... Ce que je donnerais pouvoir la baiser là...
— Et toi, mon chéri, et si tu me montrais la tienne ? — Maman...— Allez, fait-moi plaisir. Montre ta bite à maman. J’ai très envie de la voir...
  Quelle perverse... Mais je le suis tout autant. Je sais que c’est mal, mais j’ai envie. Alors je déboutonne mon pantalon pour en sortir ma verge.
— Ce qu’elle est grosse ! s’exclame-t-elle. Tu es bien le fils de ton père.
  Je ne dis rien, je suis à la fois flatté et gêné.
— Joue avec pour moi, poursuit-elle.— Maman, non, je...— Allez. Je te fais envie, n’est-ce pas ? Ça t’excite de nous regarder. Alors montre-moi comment tu t’es branlé l’autre soir.
  C’est malsain. J’essaie de me contrôler depuis tout à l’heure en retenant une furieuse envie de me masturber. Je veux me montrer normal, bien élevé, comme mes parents me l’ont appris. Mais si c’est ma propre mère qui me le demande.... je ne peux pas résister. Je commence à me caresser. Aaah, enfin, c’est bon. C’était trop, j’en avais vraiment besoin. C’était une torture d’assister à tout ça sans essayer de se soulager.
  Je reste là, comme un con, assis sur ma chance à me branler, à mater ma mère à deux mètres de moi en train de sucer comme une véritable actrice porno. Mon père grogne de plaisir quand elle lui fait des gorges-profondes. Elle aime ce qu’elle fait, ça se voit. Elle ne fait pas ça juste pour lui faire plaisir, elle en a envie.
  Putain, mais ce sont quand-même de sacrés tordus pour faire des choses pareilles devant leur propre enfant. Maman enlève son haut et son soutien-gorge pour commencer à masser papa entre ses seins. Il lui caresse amoureusement les cheveux comme pour l’encourager.
— Aaah, Denise, je me lasserais jamais de tes gros nichons, geint-il.
 Ce spectacle dure un bon moment, jusqu’à ce que ma mère craque :
— Je n’en peux plus, mon amour, j’ai trop besoin de sentir ton gros bout au fond de ma chatte.
  Elle retire sa culotte et lui grimpe dessus en lui tournant le dos. D’un geste assuré, elle attrape son gros manche avant de s’empaler dessus d’un seul trait. Ils gémissent de concert tandis que j’accélère la cadence de ma masturbation. Sans tarder, elle se met à rebondir pour se faire du bien. Papa la tient par les hanches pour la soutenir.
— Oooh, Léo. La bite de ton père est si bonne, si tu savais, me dit-elle en me regardant droit dans les yeux. — Ma petite salope de femme.... Ce que je peux t’aimer !
  Quand je la vois onduler du bassin comme ça, je n’arrive plus à y voir ma mère, mais une véritable femme. Belle, radieuse, coquine, et animale. Elle n’a plus rien d’une vieille ménagère à la vie tranquille, c’est une femelle en chaleur. Je trouve ça d’un érotisme saisissant. Sa façon de monter et de descendre le long de cette énorme verge révèle combien elle a besoin de sentir son vagin dilaté par un pieu de chair. Sa chatte l’avale avec aisance comme si cela avait toujours été sa place. Son clitoris est tout gonflé. Ses gros seins se balance au rythme de ses mouvements. C’est une vision de rêve.
— Ça te plait ce que tu vois, mon chéri ? me demande-t-elle.— Je... Oui...— Tu as une si belle queue. C’est pour moi qu’elle bande ? — Oui...— Vraiment ? Pour moi ? Ce n’est pas juste parce que tu vois un couple en train de baiser en vrai ? — Non. Pour toi maman. — Je te plais ? Tu me trouves jolies ? — Oui.— Tu as envie de moi ? — Oui...— Oooh, mon tout petit... — Putain Léo, intervient mon père. Ce que tu viens de lui dire la fait mouiller comme une folle ! — Ouiiiiiiiiiiii !
 Putain de salope. Ma propre mère... Je ne le crois pas. Ça l’excite de me torturer ainsi ? Elle sait que j’ai envie de la baiser maintenant, elle devrait plutôt essayer de me préserver au lieu de me narguer comme ça ! Elle a les yeux rivés sur ma bite comme si ce n’était qu’un bout de viande appétissant. Elle me sourit d’un air pervers comme pour chercher à encore plus m’exciter. Salope ! Je la déteste ! Si proche et si inaccessible. Je ne sais pas ce que je donnerais pour avoir le droit de gouter à la moiteur de son vagin. — Chérie ! Je n’en peux plus ! Il faut que je te prenne ! déclare soudain mon père. — Hmm oui, vas-y.
   Maman se relève et se penche sur la table de la cuisine. Elle écarte légèrement les cuisses pour s’offrir à son mari comme une délicieuse friandise. Papa s’approche la bite en main. Lorsqu’il s’apprête à l’insérer en elle, elle l’interdit :
— Non, Bernard. Pas par là. — Tu es sûre ?— Oui, montre-lui comment on s’occupe d’une femme comme moi.
  Je retiens mon souffle. Elle ne suggère tout de même pas de... ? Mon dieu ! Si ! Papa dirige son gland vers son autre orifice. Lentement, il s’enfonce dans son cul jusqu’à se ficher tout au bout. J’ai les yeux exorbités lorsque je le vois démarrer son va-et-vient. Je n’y crois pas. Il est en train de la sodomiser. Je n’aurais jamais imaginé qu’ils étaient capables de ce genre de choses.
— Regarde bien, Léo, fait mon père. Je vais te montrer comme on encule ta mère !
   Il lui ramone le fion sans aucune douceur. Je pensais qu’elle aurait mal, mais au lieu de ça, maman crie de plaisir. Elle aime ça. Elle ne lui offre pas son petit trou juste pour qu’il puisse assouvir un fantasme. C’est elle qui le lui a demandé. Elle aime vraiment ça.
— Maman... fais-je, tu aimes être enculée ?— Oh oui ! Ouiiiii ! J’adoooooooooore ! — Ta mère est une tordue, dit papa. Quand on était jeune je l’ai déjà retrouvée en train de se masturber en s’enfonçant des crayons dans le cul. — Ta bite est tellement mieuuuuuuuuuux ! Si grooooooooosse ! — Tu n’es vraiment qu’une salope ! Je vais te défoncer !
  Maintenant que j’y pense, je crois qu’il m’était déjà arrivé de voir maman boiter le matin. Je n’y avais jamais fais attention, j’ai toujours cru qu’elle était malade. Je comprends mieux à présent.
  Papa se transforme en véritable animal. Il la bourre encore plus fort à lui en déchirer l’anus. Il se colle contre elle pour jouer avec ses nichons. Il fait sentir son souffle à son oreille. On dirait un chien qui monte une femelle. Pendant ce temps, maman semble s’être perdue dans un monde de plaisir. Elle est immobile, offerte, les yeux à demi-clos. Elle est une jument qui a besoin de se faire saillir.
  Pour la première fois depuis le début, je bouge de ma chaise. C’est trop bon. J’ai besoin d’observer la scène sous différent angle. Je me place derrière eux, j’ai une vue sublime sur la queue de mon père en train de lui perforer le fion. Cela me fait bizarre de me dire que je ne suis pas en train de mater un film de cul, que tout est bien réel, que c’est bien le cul de a mère que je vois en gros plan. Sa chatte dégouline de mouille. Des flots glissent de ses cuisses à chaque aller-retour. Elle est si proche de moi. Sa moiteur, sa chaleur m’appelle. Elle est si vide. Elle coule comme si elle suppliait de se faire remplir. Je me branle comme un dingue. J’ai trop envie de m’enfoncer dedans.
— Ça te plait, ce que tu vois ? me demande maman.— Oh putain, oui. — Le cul de ta mère est divin, enchérit mon père. Une fois qu’on y a gouté, on ne peut plus s’en passer. Je veux le défoncer jusqu’à la fin de mes jours.
  Tu m’étonnes. Sale con, tu en as de la chance !
  Je continue de me branler en les regarder copuler comme des porcs. Je n’en peux plus. Eux non plus manifestement. Ils sont à bout de souffle. Tout à coup, papa pousse un cri raque. Maman le suit juste après et se met à gueuler. Ça y est ! Ils jouissent, ils jouissent tous les deux. C’est fantastique ! Il est en train de se vider dans son cul. J’imagine ses grosses giclées de sperme éclater au fond de ses intestins. Vu le bonheur qui se lit sur son visage, cela doit être divin. Son épouse tremble comme une folle en hurlant à l’agonie. Heureusement que nous vivons dans une maison entouré d’un jardin, les voisins auraient pu nous entendre. Sa chatte bave alors que c’est par son autre orifice que provient le plaisir. Je ne pensais pas que c’était possible de jouir par le cul. Je croyais que ce n’était qu’une légende, qu’aucune femme ne pouvait aimer ça. Elle est vraiment incroyable. C’est peut-être une perverse qui a limite un grain, mais je l’aime quand-même. Elle est si belle quand elle est prise d’un orgasme.
  Ils s’apaisent ensemble petit à petit. J’ai envie de les rejoindre en jouissant, mais je me sens trop mal à l’idée d’éjaculer devant eux comme un petit merdeux de puceau.
— Ooh, ma chérie, tu me fais jouir comme personne... commente papa.— Hmm mon amour, c’était tellement extra.
  Quand il sort d’elle, un filet de sperme s’échappe de son anus. Bon sang ! Cette image du cul de ma mère en train de déborder de sperme restera à jamais gravée dans ma mémoire ! Elle ne bouge pas, elle récupère doucement. Mon père s’approche de moi et me pose sa main sur l’épaule.
— Alors, tu veux l’essayer, fiston ?— Que... quoi ?
  J’ai dû mal comprendre.
— Tu n’as pas envie de baiser ta mère ? insiste-t-il.— Mais... je... non !
   C’est trop évident que je mens, je rougis comme un dingue.
— Mais enfin, c’est ma mère !— Et tu bandes comme un âne pour elle. Ça crève les yeux que tu en as envie. — Mais c’est ta femme ! Je ne peux pas ! — C’est ma femme, c’est vrai. Je ne la partagerais avec personne en tant normal. Mais c’est aussi ta mère. Elle t’aime. Regarde combien elle en a envie.— Hmm oui, j’ai trop envie de sentir ton gros bout dans ma chatte, confirme-t-elle. — Si tout ce que tu as envie, c’est de tirer un coup, alors tu as raison, va aux toilettes et finis-toi ; je t’interdis de la toucher. Mais si tu l’aimes vraiment, alors montre-le-lui. Baise-là, fait-la jouir, fais-lui sentir tout ton amour. — Je... je l’aime... fais-je. — Alors prouve-le-lui.— Oui, montre-le moi, m’encourage maman.   C’est vraiment en train d’arriver ? Ou suis-je en train de rêver ? J’étais jaloux de mon père, je le voyais comme un rival, et voilà qu’il m’offre ma mère sur un plateau. Elle est là, devant moi, penchée sur la table, totalement offerte, me suppliant d’être prise. J’ai tellement envie d’elle, comme je n’ai jamais eu envie d’une femme auparavant. Oh oui, je vais la baiser. Enfin, elle est à moi ! Rien qu’à moi !
  Elle se cambre bien fort tandis que je m’approche d’elle par derrière. Je suis dur comme du fer. Je lui caresse les fesses en remontant vers le dos. Elle est ronde, mais elle est belle.
— Viens, embroche-moi mon chéri.
  Je pointe ma queue en direction de sa chatte trempée. Hésitant, je lui titille les lèvres avec le gland. Je vais le faire, je vais vraiment le faire. Je m’élance en avant et la pénètre d’un coup. Je soupire de bonheur. Mon dieu ! Ça y est ! Je suis en elle ! Que son vagin est si doux !
***— Oh oui, Léo ! Prends-moi ! fais-je.
  Je devrais éprouver de la honte, mais ce n’est pas le cas. J’ai la queue de mon propre fils au fond de moi, et j’en suis heureuse. Il est jeune, il est beau, il ressemble à son père, et il a une bite tout aussi énorme. Je suis une perverse, j’ai toujours été une perverse. C’est aussi pour ça que mon mari m’adore. Au fond de moi, je crois que j’ai toujours attendu ce moment, depuis le jour où j’ai appris que j’étais enceinte. Le moment où mon fils serait enfin un homme et qu’il me montrerait charnellement tout son amour.
  Il me donne de violents coups de reins. Après la scène à laquelle il a assisté, je ne peux pas lui en vouloir. Il doit en avoir vachement envie. Je ne m’en plains pas, j’aime ça comme ça. J’avais si peur que ses inhibitions le retiennent de passer à l’acte.
  Ses hanches bougent toutes seules, comme s’il avait un besoin irrépressible de me baiser. Cela me fait chavirer. Je me suis toujours nourrie du plaisir de mon partenaire, de son désir. Je veux sentir qu’on ait envie de moi, qu’on bande pour moi, qu’il me fasse sentir belle.
— Maman ! Maman ! s’exclame-t-il.— Oooh, mon tout petit... Ça te plait, mon chéri ? Tu aimes baiser maman ?— Oh oui ! Maman... Je t’aime... — C’est vrai ? — Oui... Je t’aime. Tu es si belle. — Tu me trouve jolie ?— Oui, trop ! Tu m’excites. — Mais je suis vieille et grosse.— Non ! Tu es parfaite ! Je te veux maman, je te veux !— Alors prends-moi. Prends-moi fort. Maintenant et toujours. Où tu voudras, quand tu voudras. Fais-moi sentir que tu m’aimes et que tu me désires. — Je t’aime, je te désire.— Alors montre-le-moi. Prends-moi plus fort !
  Il m’écoute, il me saute désormais comme une brute. Je me fais saillir par ma propre chair. Ses couilles claquent contre mon pubis. J’adore ça. Je mouille comme une folle. Je me comporte comme une chienne, mais je m’en fou. J’ai beau avoir joui il n’y a pas longtemps, je prends mon pied. J’ai le cul débordant du sperme de mon mari, et bientôt, j’aurais la chatte pleine du foutre de mon fils.
  Je peux sentir toute la force de son amour dans ses assauts. Il ne me bourre pas juste parce que je lui offre un trou à bite, il cherche à me donner du plaisir, à me faire jouir. S’il continue comme ça, il va y arriver !
  Ses mains se font baladeuses. Il caresse mon corps, me pétrit mes formes. On dirait que mes rondeurs lui plaisent à lui aussi. Il atteint enfin mes seins, il les presse et joue avec. Je sais à quel point les hommes aiment mes gros nichons. S’il savait combien j’ai les tétons sensibles. Ah ! Le salaud ! Il me les pince et me les tire ! Je gémis pour lui montrer qu’il peut continuer.
  Je sens la chaleur de son torse contre mon dos. Il m’embrasse l’épaule et me lèche le cou. Le petit coquin, il me rend dingue !
— Ça va, mon chéri ? Tu es bien dans ma chatte ?— Oh oui ! Papa avait raison ! C’est si bon ! Et toi, maman ? Tu es bien ? — Oh oui ! Tu me donnes beaucoup de plaisir ! Continue ! Tu es un amant formidable !
  C’est un vrai animal. Il me possède comme s’il voulait me faire sienne. C’est réussi, je suis à lui. Ooh, ce que je serais jalouse s’il venait à se trouver une fille. Je le voudrais rien qu’à moi.
— Maman, je voudrais te prendre par devant. Je voudrais te voir pendant que je te prends. — Tout ce que tu veux mon chéri.
  Il sort de moi le temps que je me retourne. Je m’assieds sur la table et écarte les cuisses pour lui signaler que je suis prête. Il ne perd pas de temps. Il me lime à fond en me maintenant par les fesses. Il avait raison, c’est mieux comme ça, je peux enfin le regarder dans les yeux. Ooh, mon bébé d’amour, comme tu as grandi. Lui me regarde juste un peu plus bas. Il est obnubilé par mes seins qui se balancent. Le petit pervers, j’espère qu’il se régale.
— Maman, maman, répète-t-il.
 On dirait qu’il pleure, qu’il pleure de bonheur. C’est si mignon. Il se penche brusquement sur moi pour m’embrasser. Je suis surprise, c’est si inattendu. Je lui rends son baiser avec avidité. Il me fourre sa langue, je lui offre la mienne. C’est un véritable échange d’amoureux. Il me lâche pour s’attaquer à mes seins. Il me suce les mamelons comme un bébé. Il me fait tellement du bien.
— Tu les aimes les seins à maman, hein ?— Oh oui, ils sont gros, ils sont beaux, je les veux. — Ils sont tout à toi mon grand gourmand.
  Il cale sa tête entre mes nichons et hume mon odeur. Il me les embrasse et me les lèche. Les hommes ont toujours aimé ma poitrine, personne n’y résiste, mon fils n’y fait pas exception. Je le presse pour sentir sa chaleur contre moi. Je suis si heureuse. Mon tout petit est un homme qui veut faire de sa maman sa maitresse. J’ai l’impression d’être récompensée pour toutes ces années à lui donner mon amour. Ce qu’il me lime bien. Sa queue est presque aussi grosse que celle de son père. Ce que c’est bon de la sentir dans mon vagin.
— Baise la chatte qui ta fait naitre, mon bébé. Elle est à toi, elle a toujours été à toi. — Aaah, ooh, ouiii ! gémit-il.— Je ferais tout ce que tu voudras, je te le promets, mais continue de me baiser ! J’aime tellement ça !— Vraiment tout ? — Oui, tout, je te le jure !— Maman... je... je voudrais que tu me suces comme papa. — Ah oui ?— Oui...
  Le petit coquin, il me fait fondre. Je l’arrête et me mets à genoux pour lui faire ce plaisir. Il me regarde avec des yeux implorants. Je lui souris. Je le branle d’une main un instant, puis je le prends dans ma bouche. Hmm, la bite de mon fils, moi aussi j’avais envie de la sucer. Elle est délicieuse, avec ma mouille dessus en plus... Je lui fais une pipe comme je sais si bien le faire, je fais beaucoup de bruits de succion. Je le fixe droit dans les yeux pour observer sa réaction. Il fond pour moi. Il est au paradis. J’ai toujours adoré voir un homme à ma merci comme ça en le tenant par le bout de la queue, de sentir qu’il serait prêt à n’importe quoi pour que je continue de le pomper.
— Ça va aller. Maman va prendre soin de ta bite, mon chéri, lui fais-je.
  Je lui lèche le gland du bout la langue, puis je descends sur ces couilles tout en l’astiquant très fort. Il grogne quand je le ravale pour lui faire une gorge-profonde. Hmm, ce que j’adore avoir un beau braquemard dans la bouche, la sentir pleine. Ce que je préfère, c’est quand elle explose tellement elle n’en peut plus. Il n’y a pas plus belle récompense. J’adore boire du sperme directement de la source. J’ai hâte de gouter le sien. Ooh, mon enfant, je pourrais jouer avec ta hampe pendant des heures. Elle est à moi, c’est moi qui l’ai faite ! Je me moque de ce qu’on peut en dire, j’y ai droit ! Elle m’appartient, pas aux autres filles !
  Mon mari, qui nous regardait assis sur sa chaise depuis tout ce temps, se relève et vient vers moi. Mon dieu, il rebande déjà ! Hmmm, ça l’a tant excité que ça de voir sa femme se faire prendre par son fils ? Le petit pervers...
— Chérie, je ne tiens plus, suce-moi moi aussi s’il te plait.
  Oh oui ! Oh oui ! J’en ai tellement envie ! Je prends le temps de savourer ce moment, j’ai une bite dans chaque main. Je les branle en les admirant. Elles sont belles, elles sont grosses, et elles sont dures rien que pour moi. Je suce Bernard au grand dédain de Léo. Je suis désolé mon chéri, mais il faut bien que je m’occupe de lui aussi. Je passe de l’une à l’autre comme une vieille chienne affamée. Je les suce, je les lèche, je les gobe. J’ai la tête qui tourne. Je perds la raison. Les deux hommes de ma vie me veulent, moi, me tendant leur sexe dressé comme preuve de leur désir. Ce sont mes jouets, je peux en faire ce que je veux. Je veux leur donner du plaisir, les rendre fou, les faire gicler pour moi jusqu’à ce qu’ils deviennent flasque.
— Regarde Léo, ordonne mon homme. Regarde-moi comme elle aime nos bites. Tu as déjà vu une femme aussi heureuse de pouvoir sucer des nœuds ? — Jamais.
  J’ai la chatte en feu. J’ai toujours rêvé de vivre ce moment. Je les aime si fort tous les deux. Si fort que les mots et les câlins sont insuffisants pour le démontrer, il faut l’exprimer charnellement, à coup de reins et d’orgasme.
  Je suis aux anges, c’est la première fois que je suis avec deux garçons à la fois. C’est mon fantasme inavoué depuis toujours. Quand j’étais jeune, j’ai toujours eu peur qu’on me prenne pour une pute. J’ai bien changé depuis cette époque, cela ne compte plus désormais. Tout ce qui importe, c’est le plaisir, alors je compte bien vivre ce comment à font et aller jusqu’au bout.
— Mes chéris, vous me rendez folle. Je meurs d’envie que vous me preniez en même temps. — Denise ?! s’exclame mon mari. En même temps ? Tu veux dire... — Ouiiii ! Dans ma chatte et mon cul, ensemble. S’il vous plaiiiiiiiiiiiiit. Mes trous se sentent tellement viiiiiiiiiiiiide.
  Voilà que je me mets à les supplier comme une gamine. Je crains leur réaction, mais je suis soulagée en voyant qu’ils sont partants. Ohlala, j’ai si peur de me réveiller. J’ai attendu ça depuis tellement longtemps.
  Bernard s’allonge sur le sol pour que je puisse m’empaler sur sa bite. Nous avons convenu que c’est Léo qui va s’occuper de mon cul. Le pauvre en a tellement envie depuis qu’il m’a vu me faire enculer par son père. Mon homme m’écarte les fesses pour l’aider à s’introduire. Il me pénètre lentement, mais se loge tout au fond, jusqu’au raz des couilles. Mon dieu, j’ai l’impression de jouir instantanément. Je ne parviens pas à réaliser que je suis pleine de leurs verges. Il me faudrait me voir en vidéo pour le croire. Ils démarrent leur va-et-vient au fond de moi. C’est terrible ! Ils vont me déchirer ! Leurs pieux ne sont séparés que par une fine parfois de chair. Je hurle, mais les supplie de continuer. C’est tellement bon ! Pourquoi ai-je attendu aussi longtemps ?
  Ils me liment avec vigueur. Ils m’aiment, ils me veulent. Je peux sentir combien ils sont excités. Ils sont prêts à tout pour pouvoir me baiser, même à me partager. C’en est trop, je jouis, je jouis comme je n’ai jamais jouis. Je crie comme une chienne qu’on égorge en leur ordonnant de continuer. Ils ne pourraient rien faire d’autre de toute façon. Ils ont besoin de moi, de mes orifices. Je suis prisonnière entre leurs deux corps chauds. Quelle chance que je sois consentante, car ce sont des bêtes que plus rien ne pourraient arrêter. Ils me sautent comme leur sac à foutre et continueront jusqu’à ce que leurs couilles se soient vidées dans mes entrailles. Pourvu que cela ne soit pas trop tôt. Je n’arrête pas de beugler tant j’enchaine les orgasmes. Je n’ai jamais ressenti ça ! C’est le bonheur à l’état pur ! Ils vont me tuer ! Qu’importe, après avoir vécu une telle expérience, je peux mourir heureuse.
***

   Oh putain, oui ! J’encule ma mère ! Ma propre mère ! Son cul est si bon, je n’en reviens pas. C’est la première fois que je sodomise une femme, je crois que je ne pourrais plus m’en passer. Les prochains jours vont être durs. À chaque fois que je vais la recroiser, je vais repenser à ce moment. Je ne sais pas comment je vais pouvoir me retenir de la prendre sur le champ. Peut-être qu’il n’y aura pas besoin ? N’a-t-elle pas dit que je pouvais lui faire l’amour quand je voulais ? Qu’est ce que ce serait bon si ce qui m’arrive ne soit pas rien que le coup d’une fois. Si je pouvais la prendre dès que l’envie me viendrait. Oooh oui, qu’est ce je la baiserais, qu’est ce que je l’enculerais. Je n’aurais plus jamais à me masturber, je lui donnerais tout mon amour et n’aurait plus jamais les couilles pleines. Ma maman chérie... je ne veux jouir que pour toi.
  Je la défonce avec mon père comme un forcené. J’ai perdu la raison, j’ai juste besoin de bourrer son trou. Elle crie sans cesse depuis qu’on a commencé à la prendre à deux. Je n’ai jamais vu une femme avoir des orgasmes en chaine comme ça. Cela me rend encore plus dur. Je la fais jouir, je la rends folle. Que c’est beau de la voir comme ça.
  Néanmoins, je n’en peux vraiment plus. Je ne vais bientôt plus pouvoir me retenir. Ce n’est pas que je suis précoce, mais mon père, lui, a déjà éjaculé une fois, tandis que moi, je bande depuis que je les ai regardé en train de baiser. Ma queue me démange, mes bourses hurlent à l’agonie. J’ai vraiment un trop plein de sperme, il me faut me décharger. Je ne peux m’empêcher d’en faire part aux autres :
— Maman, papa, je n’en peux pluuuus ! Je vais craqueeeeeeer !— Tu veux jouir, mon chéri ? me demande ma mère. — Ouiiiii ! Aaaaah ! C’est trooooop. Je peux ? Dans ton cul ?— Non ! Non ! Attends !
   Elle nous fait nous arrêter. Il me faut une force surhumaine pour l’écouter. Elle se met à genoux devant moi et comment à me branler.
— Je veux te gouter, t’avaler. Laisse-moi te sucer. Jouis dans ma bouche.
  Elle me suce, mais pas comme tout à l’heure. Elle cherche vraiment à me finir. Waow, quel spectacle. Ma verge qui disparait et réapparait entre ses lèvres. Elle me fixe. Ses yeux me supplient d’éjaculer. Mon ex me faisait des fellations, mais c’était juste pour me faire du bien ; elle a toujours été écœurée par le foutre. Ma mère, elle, elle a soif de sperme.
— Dépêche-toi, Léo, me presse mon père en se masturbant. Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps moi non plus.
  Non seulement j’ai une envie monstre de gicler, mais j’ai en plus une superbe femme avec ma queue au fond de la gorge qui ne demande que ça. Comment voulez-vous résister à ça ? Je me laisse aller. Je veux tout lui donner, tout !
***
  Allez Léo, mon petit. Viens pour maman ! Je n’en peux plus ! Je veux te gouter ! Je veux te boire ! Je le pompe du mieux que je peux pour l’achever. Je sens que sa queue est prête à exploser à tout instant. Plus qu’un tout petit effort. Je le veux tellement !
— Mamaaaan ! Je vieeeeeeeeeens ! Aaaaaaah ! crie-t-il soudainement.  
   Ouiii ! Ça y est ! Il gicle dans ma bouche. J’avale sa première lampée. Je peux enfin gouter son sperme. C’est délicieux ! J’en veux encore ! Encore ! Je ne suis pas déçue, il m’en envoie d’autres. Mon pauvre petit, elles sont si copieuses, il doit ne pas s’être soulagé depuis longtemps. Je me régale, il éjacule abondement, exactement comme j’adore. Le nectar de l’amour, la preuve de sa passion, le venin de son désir. Il se vide les couilles, pour moi, pour sa maman, comme si chaque goutte voulait dire "je t’aime".
— Maman ! Maman ! geint-il.
  C’est le moment que je déteste le plus. Le flot se tarit peu à peu. Son orgasme passe. C’est toujours trop court à mon gout. Je voudrais que cela dure éternellement. Je continue de le sucer pour le nettoyer et prolonger un maximum son plaisir. J’adore sentir une queue ramollir dans ma bouche après s’être déchargée.
— Putain, Denise, je n’en peux plus là.
  Son père, jaloux de mon manque d’attention, m’attrape par les cheveux et se branlent devant mon nez.
— Regarde Léo, je vais souiller ta mère. Tu ne la verras plus jamais comme avant.
  Il me traite comme une chienne, mais tout ce que j’ai envie, c’est d’aboyer. Je sais ce qu’il veut, je ne veux pas l’en empêcher, je le veux aussi. J’ouvre la bouche en sortant la langue. Je sais qu’il va faire exprès de viser à côté, mais c’est pour l’exciter.
— Denise... Je jouis ! Oui ! Allez ! Prends ma salope !
  J’aime quand il me parle mal. Je fixe son méat quand il m’éclate soudainement à la figure. Hmm oui, une bonne douche de sperme. J’adore ! Je ferme les yeux. Il m’en met partout. J’en sens sur ma joue et mon menton. Je ramasse d’un coup de langue ce qui coule sur mes lèvres. Cela finit trop vite, beaucoup vite. Si seulement il ne s’était pas déjà déchargé dans mon cul. Je rouvre les yeux quand la pluie s’arrête. Son sexe est toujours là devant moi. Je le prends en bouche pour le nettoyer lui aussi. Léo a regardé toute la scène avec beaucoup d’attention. Le petit coquin. C’est un pervers comme son père, je l’aime. Une fois bien rincé, je regarde l’étendue des dégâts. Du sperme dégouline entre mes seins. Je presse me gros nichons pour arrêter sa progression, puis me l’étale avec les mains pour exciter mes hommes. Ils sont épuisés, repus, heureux. Moi aussi. Je n’ai jamais autant joui que quand ils m’ont prise tous les deux. Je suis une femme comblée d’être aimé et choyée par deux homme aussi bon qu’attentionné. Je suis l’épouse et la mère la plus chanceuse du monde.  
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