Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 65 J'aime
  • 0 Commentaire

Après les vacances…

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Cette histoire fait suite aux vacances inattendues passées dans un hôtel libertin de Jamaïque.
1 – Des découvertes embarrassantes.
Nous étions rentrés de Jamaïque depuis plus d’un mois et j’étais déjà passablement cocu. Cela ne me posait cependant pas trop de problème car, jusqu’à présent, Élise et ses amants étaient d’une discrétion absolue. La plupart d’entre eux faisaient partie de nos collègues et elle réussissait à faire ses affaires au Lycée, chez l’un ou l’autre entre midi et deux ou encore chez nous quand les emplois du temps des uns et des autres le permettaient. À mon grand regret, je n’étais généralement pas présent lorsqu’elle me trompait mais ce n’était pas si grave car, tout compte fait, je m’y retrouvais quand même. Elle ne me cachait rien, n’omettait aucun détail et prenait visiblement autant de plaisir à me faire cocu que moi à l’être. Elle avait besoin que je lui fasse l’amour tous les soirs et je n’avais aucune peine à la satisfaire. Notre vie sexuelle avait connue un nouvel essor et notre complicité aussi. Étrangement, que je sois cocu nous avait rapprochés et je me montrai vite complice de ses aventures extra-conjugales en contribuant à leur discrétion.Comme il savait que j’étais au courant de la relation qu’il entretenait avec ma femme, le Proviseur me convoqua un jour dans son bureau pour me faire une proposition étonnante. Il avait revu mon emploi du temps, celui d’Élise et celui de toutes nos classes respectives pour me proposer quelques modifications qui augmentaient leurs possibilités de se retrouver. En compensation, il avait réussi à me dégager mon jeudi après-midi. Bien évidemment, et pas à cause des modifications d’emploi du temps dont je me moquais totalement, j’acceptai l’arrangement qui devint actif la semaine suivante.
Mon premier jeudi libre arriva et, mon dernier cours de la matinée terminée, je pris le chemin de notre maison. Je me disais que ce nouvel emploi du temps allait me permettre de regarder tranquillement quelques films de Jeffrey et c’est avec cette idée en tête que je poussai la porte. Les affaires de mon fils ainé trainaient dans l’entrée et alors que j’allai l’appeler pour signaler ma présence, j’entendis très nettement : « Oh yea, fuck me ! Fuck my pussy ! ». C’était la voix d’Élise et le son venait du salon. J’avançai prudemment pour ne pas être vu et découvrit une scène terrible.Florian se tenait debout devant le téléviseur, le cul à l’air et en chaussettes ; dans la main gauche il avait une culotte de sa mère qu’il maintenait sous son nez et de la main droite il s’astiquait la verge. À l’écran, sa mère en gros plan se faisait prendre par un black et en branlait un deuxième sur une plage que je n’eu aucune difficulté à reconnaître. Ce fut un choc incroyable ; j’étais tétanisé et incapable de savoir comment réagir si bien que je restai spectateur de sa masturbation jusqu’à ce qu’il éjacule dans la culotte d’Élise. Paniqué, je repris mes affaires et ressortis aussitôt le plus discrètement possible.
D’un pas rapide, je me rendis dans un bar brasserie situé non loin de chez nous, pris place à une table avec vue sur la rue et décidai d’y manger en attendant que Florian retourne à son Lycée.Je mangeai relativement lentement, essayant de rassembler mes idées et de définir quelle attitude tenir mais rien n’y fit. Ayant fini mon repas, je le payai et restai devant mon café à moitié bu pour laisser à Florian le temps de sortir enfin mais, au lieu de ça, c’est son ami Hugo que je vis passer en booster pour le garer devant chez nous. Mon sang ne fit qu’un tour et je me précipitai ver chez nous. J’ouvris la porte en douceur pour écouter ce qu’il se passait à l’intérieur avant de décider à rentrer.
— … C’est dommage que ça n’arrive pas plus souvent, dit Hugo, Rombière et Laporte absents en même temps, ça tient du miracle !— Tu l’as dit, Gros ! T’as topé du teush ?— Ouèche, ma gueule, et du bon ! J’te fais goûter ça tout de suite, attends.— Non, pas chez wam, si mes vieux le sentent, je suis mort ! On va bouger chez Gwen après mais elle ne sera pas là avant quatre heures. Chez elle c’est plus safe, il y a le jardin et ses vieux s’en branlent… Mais j’ai un truc à te montrer, ça va ta plaire !— Ah ouai, c’est quoi ?— Attends, tu vas voir, mais par contre j’te demande me promettre un truc ! Tu vas pas raconter ça à tout le monde, d’accord ?— Tu me connais, Flo, on est pote depuis la maternelle...— Ouai, je sais, mais là c’est vraiment important ! Si tu en parles à quelqu’un, c’est un peu comme si j’allais dire au keufs que tu dealais du shit, tu vois ?— Ok, je te promets ; t’as rien à craindre de moi.— Bon écoute, je suis tombé, en cherchant des trucs pour réviser le bac dans la bibliothèque de mon père, sur des films de boules à tomber parterre ! Du vrai hard, mieux que sur XCobaye… C’était planqué derrière une série de vieux bouquins.— Pourquoi tu révises l’anglais alors que tu le parles sans doute mieux que notre prof ?— Parce que je veux avoir le maximum de point en langues ! Du coup, je les ai dupliqués sur un disque dur et je les ai remis en place. Ça te branche ?
— Vas y, envoie ! On mate ça où ?
Alors que Florian menait son copain au salon, j’entrai chez moi, comme un voleur, en me cachant dans un coin de l’entrée. Hugo fit une sacrée tête en découvrant que l’unique rôle féminin était tenu par Élise mais ça ne l’empêcha pas de se masser le pantalon puis, à l’instar de Florian, de se foutre à poil pour se branler. Au début, ils faisaient ça de manière individuelle et côte à côte mais, ensuite, je les vis se caresser l’un l’autre puis se sucer la bite de la même manière. J’étais outré de voir Florian se masturber sur les exploits de sa mère mais excité de voir ces deux corps à peine sortis de l’adolescence se procurer du plaisir. Ils ne manquaient pas de propos salasses à l’égard d’Élise et en moins d’une demi-heure, ils déclarèrent l’un comme l’autre vouloir se la faire et lui farcir tous les trous.Je constatai qu’ils se lassaient vite d’une scènes de cul et zappaient rapidement à la suivante. Ils regardaient le film complet et, à force d’avancer, ils arrivèrent à la sortie à Dunn’s River Falls. La sodomie d’Élise dans le minibus eut l’air de leur plaire et Hugo, devenu moins actif, se laissait branler et sucer par mon fils dont les regards allaient de sa bite à l’écran.
— T’as vu comme elle est grosse, s’écria Hugo en voyant ma bite pénétrer en gros plans dans le cul de ma femme.— Ça t’excite ? C’est vrai qu’il a une putain de bite, mon père, j’aurais pas cru. Répondit Florian. On doit bien la sentir quand elle passe…— Tu voudrais te la prendre, hein ? Gros pédé !— C’est toi l’pédé ! En plus, c’est mon père ! Pas question qu’il m’encule. Mais toi ! Je suis sûr que t’aimerais ça, qu’il te la mette...— Aah oui, putain ! Une grosse bite dans l’cul… Et l’autre blond, qu’est-ce qu’il lui met dans la chatte. Aaaah ! Elle est trop bonne ta mère, j’lui baiserai bien l’cul pendant qu’tu lui baises la chatte.— Ça te plait, Salop ! Oh, mate ! Il suce l’autre mec en même temps !!— Putain, matte cette partouze… C’est des fous d’la bite, tes vieux ! J’aurais pas cru ça d’eux. Tu crois qu’il lui met dans l’cul après ? Avance un peu qu’on voit la suite.
Florian fit ce que son ami lui demandait et il arrêta l’avance rapide au moment où j’offrais mon cul pour la première fois à Ricardo. Les deux jeunes semblèrent très excités par ce rapport homosexuel. Ils firent des commentaires sur mon cul et sur le plaisir que je pris à avaler le sperme de Ricardo. Leurs attouchements avaient changé de tournure et Hugo s’était retrouvé à quatre pattes tandis que Florian lui léchait la rondelle et lui doigtait le cul. À l’écran s’organisait la scène suivante où sous le commandement d’Élise, je devins un objet sexuel devant lécher les femmes tandis que les hommes m’enculaient. Florian choisit ce moment pour pénétrer Hugo.
Pendant tout mon espionnage, je m’étais masturbé en glissant ma main dans mon slip sans défaire mon pantalon. Hugo éjacula sur le tapis en même temps que Florian lui remplit le cul. À l’écran, Hjördis et Sven laissaient la place à Amber et Jeffrey et mon anus ouvert apparaissait en gros plan. J’avais joui dans mon slip et, ayant constaté qu’il était près de 16 heures, je me cachai dans le cagibi de l’entrée pour entendre la suite et les voir partir.
— C’est des vrais cochons tes vieux, franchement j’suis scié. T’en as long comme ça ?— Ça dure des heures mais c’est la première fois que je vois mon père intervenir ; d’habitude y a que ma mère.— En tout cas, une soirée sexe avec eux ça doit être chaud-chaud, tu crois pas ?— Carrément, ça m’fait fantasmer, surtout ma mère… Après, mon père, s’il veut me sucer où que j’l’encule, pourquoi pas, il a l’air d’aimer ça.— Tu crois qu’on pourrait chauffer la Gwen pour se la prendre à deux ?— Oh putain, Gwen ! S’écria Florian. Ramasse tes fringues il est plus de quatre heures ; mon frangin débarque dans moins d’une demi-heure et ma mère aussi. On fout le camp chez Gwen . En plus, je n’leur ai même pas dit qu’on n’avait pas cours !— Et tu n’m’as pas dit combien t’en voulais, en fait ? C’est mieux de le laisser ça là ; si on se fait serrer, ça fait toujours ça de moins…— J’vais en prendre pour 30 balles, j’te fille ça demain matin, promis !— Ça roule, j’vais chercher ça dans mon casque. En plus c’est mieux de n’pas avoir thunes et matos en même temps.
Florian débarqua dans l’entrée derrière Hugo et glissa trois petits paquets d’aluminium dans sa trousse qu’il rangea dans la poche avant de son sac Westpak et ils sortirent de la maison tous les deux. J’attendis deux minutes avant de sortir de ma cachette et me précipitai vers le salon.Florian fut tellement pressé de partir qu’il en avait oublié son disque dur et la culotte de sa mère qui gisait, mal cachée, sous le canapé. Je ramassai le tout, montai à mon bureau et envoyai un SMS à Élise. Je n’étais pas certain qu’elle le lise car je savais qu’à cette heure là, elle avait un cours de gym très particulier avec le professeur d’éducation physique mais je tenais à ce qu’elle soit au courant
Élise rentra tardivement car son cours de gym avait été suivi d’une séance de travail improvisée avec le proviseur. Quand elle arriva, Florian et Bastien se disputaient à propos du disque dur disparu et moi je faisais la cuisine en me demandant s’ils allaient en venir aux mains.
— Qu’y a-t-il ? Les enfants ?! Explosa Élise en entrant. Quand en aurez vous assez de vous chamailler ?— C’est de sa faute, M’man, dit Florian depuis la chambre de Bastien.— C’est pas vrai ! Cria l’autre. Ça fait une heure qu’il retourne ma chambre en prétendant que je lui ai volé son disque dur externe ! Mais j’ai rien fait ! J’te jure !— C’est un menteur, dit Florian pour se justifier. Un menteur et un fouineur !— Florian ! Dis-je enfin, passablement énervé. Ça fait une heure que je te demande de foutre la paix à ton frère ! Et si tu ne cesses pas tout de suite, la discussion que je compte avoir avec toi risque d’être franchement désagréable pour toi ! File dans ta chambre et fait semblant de travailler ! C’est ce que tu fais le mieux en ce moment. On passe à table dans un quart d’heure !— Qu’est-ce qu’il se passe ? Me demanda Élise en venant me rejoindre.— C’est une suite logique du spectacle auquel j’ai assisté aujourd’hui et dont je t’ai touché deux mots dans mon SMS.— Ah, je ne l’ai pas lu, c’est grave ?
Succinctement, je décrivis tout ce que j’avais vu et entendu, je lui appris que notre fils se droguait, que son copain Hugo, que nous connaissions depuis l’âge de trois ans, le fournissait et je lui montrai la culotte que j’avais gardé dans ma poche.
— Alors c’est lui !… J’avais plutôt pensé à Bastien, tu vois. À son âge les hormones ça travaille plus. Mais je n’en reviens pas qu’il t’ait piqué les DVD. Tu avais dû mal les ranger, non ?— Ils étaient cachés derrière mon intégrale de la littérature anglaise érotique du 18ème et du 19ème siècle, tout en haut de ma bibliothèque. C’était invisible, mais tu as raison ; j’aurais dû les mettre sous clefs apparemment.— Non, ce n’est pas de ta faute, il n’avait aucune raison de fouiller là… surtout qu’aucun de ces textes n’est au programme du bac. Tu proposes quoi ?— Je propose de lui mettre les points sur les i mais il va falloir qu’on parle sexe tous les trois, c’est indispensable et on va aussi devoir serrer la vis.— On ne pourra pas l’empêcher de voir Hugo ou Gwen…— Ni même de fantasmer sur ton cul mais je peux reformater son disque dur, lui retirer son argent de poche et ne lui donner que ce dont il a besoin pour ses sorties et si ça ne suffit pas on pourra toujours parler à Marie-Pierre et Dominique des activités commerciales douteuses d’Hugo.— Ça ! De toute façon, moi je vais m’en charger dès ce soir ! Hugo c’est comme mon fils alors je n’vais pas le laisser déconner plus longtemps. Si c’était l’inverse, je serais très heureuse que Marie-Pierre m’en parle et je suis certaine qu’elle le ferait.
Le repas fut assez tendu, Florian faisait la soupe à la grimace et Élise était inquiète de la conversation qu’on allait avoir avec lui. Quand à Bastien, il ne fit que de se plaindre du désordre que son frère avait mis dans sa chambre. Même si ses reproches étaient fondés, il me cassait les oreilles et le repas terminé, je lui expliquai que nous devions parler sérieusement avec son frère et que comme il n’était pas concerné, il n’avait qu’à aller ranger sa chambre et y rester. Il le prit assez mal et quitta la table en colère.
Bastien étant parti, le calme revenait et je pouvais enfin m’occuper du cas de Florian.
— Toi, tu restes là ! Je n’en ai pas fini avec toi. Nous avons à parler ! Dis-je alors qu’il s’apprêtait à quitter la table en douce.— Qu’est-ce que j’ai encore fait ? Pourquoi c’est encore sur moi que ça retombe. Bastien m’a chouré mon disque dur ! Et il ne veut pas me le rendre. J’ai stocké dessus tous les documents d’histoire que j’ai téléchargés sur internet pour mes révisions.— Florian, tu es chanceux ! Saches, avant toute chose, que par un hasard extraordinaire, mon emploi du temps a été modifié et que, depuis cette semaine, je ne travaille plus le jeudi après-midi. J’ai donc pu récupérer ton disque dur avant que ton frère ne rentre et ne le trouve là où tu l’avais laissé. Tu n’imagines même pas l’état de colère dans lequel j’aurais pus être si, par ta faute, Bastien avait vu ce que tu as regardé avec Hugo cet après-midi.
Florian blêmi et ravala sa salive. Il essaya de bredouiller deux ou trois trucs mais je l’interrompis.
— On va jouer franc jeu, tous les deux. Il se trouve que, finissant ma journée à onze heures et demie, j’ai poussé la porte de cette maison à midi et demie et que j’y ai vu une chose tellement choquante que je suis ressorti de la maison presque aussitôt. Après avoir repris un peu mes esprit et mangé un morceau au café d’en face, je suis revenu et je suis arrivé ici juste après Hugo. Je suis resté discret pour voir jusqu’où tu allais aller. J’avoue que j’en ai eu pour mon argent, si je puis dire.— Tu nous as maté ?! J’y crois pas ?— Et vous ? Vous faisiez quoi ? Vous n’étiez pas en train de nous mater d’une certaine manière. Tu aurais voulu quoi ? Que je débarque ? Et quoi ? Je ne te reproche pas de te masturber ou d’avoir des rapports sexuels avec tes copains et copines ; non seulement c’est normal, mais en plus de ça, ça ne nous regarde pas.— Ce qu’on te reproche tout d’abord, Chéri. Intervint Élise, c’est d’avoir fouillé dans les affaires de ton père. Est-ce que lui ou moi oserions faire de même ? Est-ce que tu nous imagine une seconde allant fouiner dans tes tiroirs où ailleurs ?— Non, Maman… mais c’est un hasard, j’vous jure, je… au départ je cherchais de annales du bac et puis j’ai remarqué un léger décalage dans les bouquins de la rangée du haut. Il y a longtemps que j’avais envie de lire ce que pouvait être une nouvelle érotique de l’époque victorienne. J’ai retiré un assez gros volume et j’ai vu que derrière il y avait une boite de DVD et en regardant de plus près, j’ai vu qu’il y en avait plusieurs, rangées à plat entre le fond et les livres… Si je n’avais pas pris ce livre, je n’aurais rien vu. C’est un hasard, je n’ai rien fouillé.— Et tu as fais quoi ensuite ? Demanda Élise froidement.— Je… j’ai pris toutes les CD, j’ai regardé vite fait ce qu’il y avait dessus et je les ai copiés sur mon disque dur externe.— Et ça aussi, c’est un hasard ? C’était quand ? Demandai-je alors— C’était le week-end dernier quand tu as emmené Bastien à ses deux jours de compète et que Maman est allé voir je ne sais trop quels amis… — En tout cas, je te félicite, car pour une fois, tu as tout remis exactement à sa place.
Florian reconnu facilement qu’il avait porté atteinte à notre vie privée et à notre intimité. Il reconnu aussi que de montrer ces images à son copain n’était pas très malin. Élise lui fit comprendre que cela pourrait être très grave de conséquences. Florian était contrit et précisa qu’il avait confiance en Hugo et qu’il savait qu’il ne dirait rien.
— Par ailleurs, à ton âge tu as sans doute d’autres sujets d’excitation bien plus intéressant avec des filles plus jeunes et plus jolies que moi. Tu ne crois pas, mon Chou ?— Ça c’est pas vrai, Maman, tu es très belle… T’es un vrai canon !— Merci, Chéri, mais tu te trouveras d’autres images pornographiques pour te masturber, c’est clair ! Et tu n’iras plus prendre mes culottes dans le bac de linge sale non plus.— C’était la première fois, Maman, je te le jure. Je… je voulais juste avoir ton odeur en même temps. Répondit Florian un peu déstabilisé et rouge de honte.— Dégoûtant ! Dis-je par moi même.— Écoute, Florian, reprit Élise. Il se trouve que c’est moi qui m’occupe du linge dans cette maison et que depuis six mois mes culottes disparaissent du bac à linge sale et réapparaissent, miraculeusement, de façon tout à fait aléatoire et souvent par paquets de trois ou plus, pleines de foutre séché. Alors, ne mens pas s’il-te-plait !— Je n’te mens pas, ça faisait au moins deux ans que j’avais pas fait ça… C’est Bastien qui fait ça ! Il a même des photos de toi toute nue que papa avait prises lors de nos dernières vacances à Montalivet. Je l’ai pris en flag avant noël ; il se branlait dans un string en embrassant ta photo. C’est vrai ! J’lui avais promis de ne rien dire…— De mieux en mieux ! Dis-je, effaré. Il n’y en a pas un pour racheter l’autre alors… Bon, que les choses soient bien claires, Florian ! La sexualité de tes parents ne te regarde pas ! Ni toi, ni personne !— A moins d’y être invité, bien sûr. Rajouta Élise plus calme. Tu as compris que, ton père et moi, nous pratiquons une certaine forme d’échangisme et de libertinage. J’ai quelques amants que ton père connaît et il nous arrive de sortir avec d’autres couples. Tu as le droit de savoir tout ça mais ça s’arrête là !
Florian aurait sans doute voulu en savoir plus mais il ne posa pas de questions. Comme nous en arrivions aux sanctions, j’annonçai à mon fils que j’allais formater son ordinateur portable, son disque dur et toutes ses clefs USB pour être sûr et certain qu’il ne conserve pas de copies de ces films. Il argumenta qu’il allait perdre plein de documents important pour son bac et plein de musique mais je n’en avais rien à faire.
— Ça t’obligera à travailler un peu plus. J’attends de toi des résultats à la hauteur de tes capacités pour le second trimestre et, surtout, un bac exemplaire. Ensuite, je te supprime ton argent de poche jusqu’à la fin de l’année. Je te donnerai uniquement de quoi te payer le ciné et un burger. Rien de plus !— Pourquoi ?— Parce que je pense que tu ne fais pas un bon usage de l’argent que l’on te donne. Vas donc chercher ce que Hugo t’a refilé et donne le moi ! Pour mémoire, c’est dans ta trousse qui est rangée dans la poche avant de ton sac d’école.— Tu nous as grillé sur toute la ligne, alors… Putain, j’suis dég’.— Allons, mon Chéri, fais ce que ton père te demande. On a pris les choses plutôt bien jusqu’à présent… Prouve nous que tu mérites encore notre confiance.
Florian nous donna ses trois barrettes de haschisch qu’Élise intercepta en disant qu’elle allait les rendre à Marie-Pierre et Dominique. Comme il trouvait que c’était vache pour Hugo, elle lui expliqua qu’il valait mieux que ses parents l’apprennent par nous, et tout de suite, plutôt que par les flics, plus tard. Elle lui dit de ne pas s’inquiéter car elle ferait tout pour que cela se passe au mieux. La discussion était close, Florian faisait la gueule et nous l’envoyâmes se coucher. En l’embrassant Élise lui rappela que rien ne pouvait être emprunté dans ma bibliothèque sans mon autorisation. Il la regarda bizarrement, elle lui sourit gentiment et il monta se coucher.
— Comment on va s’y prendre avec Marie-Pierre ? T’as une idée ?— Je me disais qu’il faut battre le fer comme il est chaud. On pourrait aller récupérer Florian à la sortie du lycée demain et filer avec lui chez Marie-Pierre et Dominique pour régler cette histoire entre nous.— Faudrait les prévenir avant, tu ne crois pas ?— Appelons les, répondit Élise. Il n’est pas trop tard et puis c’est quand même une situation grave.— Il va falloir leur parler des films ?— Bien sûr ! Sinon Hugo croirait détenir un pouvoir sur nous et il n’en est absolument pas question. Mais de toute façon, je leur avais déjà dit dans quel type d’endroit on avait passé nos vacances alors j’en dirais un peu plus, c’est tout.
Élise appela Marie-Pierre pendant près d’une heure. C’était une conversation à quatre dans laquelle Dominique et moi étions en retrait et posions des questions ou faisions des remarques par conjointes interposées. Il furent très heureux qu’on les ait prévenus sans tarder mais ne furent pas d’accord pour attendre le lendemain soir pour agir avec Hugo. Par contre, ils étaient d’accord pour qu’on passe après en remettre une couche à quatre voix à nos deux ados en dérive. Content d’avoir fait ce que nous estimions notre devoir de parents, et après être aller souhaiter une bonne nuit à Bastien qui faisait encore la tête, nous pûmes enfin aller nous coucher.
— Ouf, quelle journée, dis-je en me couchant. Moi qui espérait passer un calme après-midi…— Tu dis ça mais je suis certaine que ça t’a excité de les voir tous les deux se donner du plaisir devant nos exploits sexuels, non ? Me demanda Élise en se faisant câline.— Bof, pas tant que ça, mentis-je alors que mon sexe se dressait. Et toi ? De savoir que deux ados se branlent devant ton image, ça t’excite ?— Pas deux, trois ! Tu oublies Bastien. C’est lui qui vole mes culottes. Et oui, ça m’excite. Mais dit moi, tu les as trouvés comment ? Me demanda-t-elle en attrapant ma verge tendue. Ils étaient beaux ?— Hem,… tu veux vraiment savoir ? Oui, ils étaient beaux, répondis-je en lui caressant un sein. Ils étaient magnifiques. Mais je n’étais pas forcément bien placé pour tout admirer tu sais. Je les entendais mieux que je ne les voyais, sauf quand ils se sont mis debout et se sont embrassés. Après Hugo s’est mis à quatre pattes et Florian s’est agenouillé derrière lui pour lui lécher le cul alors le canapé le cachait en partie.— Ah, mais quand ils étaient debout ? Tu les as trouvés comment ?— De vrais dieux grecs, des apollons, surtout Florian qui est plus musclé. Le plus beau, c’est qu’ils ont une peau fraiche et qu’ils se rasent les poils. Expliquai-je alors qu’Élise me masturbait en me suçant les tétons. Et… et le cul d’Hugo est magnifique. Sans être gras, il est rond et cambré.— Arrête, tu vas me donner envie… M’interrompit Élise en glissant sa main entre mes fesses. Ce soir, c’est moi qui t’encule.— Tout ce que tu veux, répondis-je en écartant les cuisses pour faciliter son geste.
Élise se leva précipitamment et pris dans le bas de l’armoire de notre chambre le gode ceinture que nous venions d’acheter et du gel pour me préparer. Quand elle s’approcha du lit, j’étais déjà en position et après avoir oint mon anus et l’énorme gode noir du harnais, elle s’appropria ma rondelle. L’engin de belle taille se fit un chemin aisé dans mon fondement, répondant à mon désir absolu de me faire enculer.
— Aaaaaaah… ah oui, c’est bon. Aaaaaah…— Oh oui, c’est bon mon Chéri, une bonne grosse queue dans ton p’tit cul. T’aimes ça, hein ?— Oh oui, Élise, j’aime ça… Aaaaaaah ! Aah ouii ! Ah, c’est bon ! Baise moi, Chérie !— Oui, j’vais te baiser l’cul ! J’vais te défoncer la rondelle, mon Cocu chéri.
Élise me ramona en me reparlant de Florian et d’Hugo. Elle voulu d’abord savoir si je m’étais masturbé et j’avoua l’avoir fait sans sortir ma queue de mon slip. Ensuite, elle inventa des situations scabreuses où les deux adolescents profiteraient de mon cul à tour de rôle. Ses propos m’excitaient mais leur immoralité m’incitait à les rejeter. Pourtant, plus je m’efforçais de chasser les images qu’ils généraient et plus celles ci s’imprégnaient dans mon esprit. Tant et si bien que je jouis vraiment en m’écroulant dans un râle de plaisir en imaginant me faire prendre par Florian.
J’avais joui du cul et éjaculé sous moi mais Élise restait insatisfaite et après m’avoir bien baisé, elle voulait que je la baise de même. Elle me raconta sa fin d’après midi avec le prof de gym d’abord puis avec le principal ensuite mais j’avais envie d’entendre autre chose. Je voulais savoir ce qu’elle ferait de deux ados comme Florian et Hugo. Je ramenai la conversation sur leurs corps sublimes et elle me dévoila des fantasmes immoraux de relations sexuelles avec des jeunes gens et avec Florian en particulier. Elle imaginait qu’il la réclame en cadeau d’anniversaire ou de réussite au BAC. Cette idée la faisait terriblement fantasmer et plus elle la détaillait et plus sa chatte s’inondait et plus ma queue grossissait. Quand je pus enfin la pénétrer, ma bite était gonflée à bloc et je la pris en levrette en l’appelant « Maman » pendant qu’elle gémissait en prononçant le prénom de notre fils ainé. Notre coït ne fut pas très long mais très intense et lorsque nous nous écroulâmes terrassés par notre orgasme, nous restâmes enchâssés l’un dans l’autre pour une bonne partie de la nuit.
Le lendemain matin Élise me réveilla par une magnifique fellation, il devait être à peine six heure du matin et son appétit sexuel s’éveillait.
— Mmm, Chérie, t’es une gourmande… Viens là, vilaine !— Pourquoi vilaine, tu bandes ! Oui, je bande, c’est normal ; tout le monde bande, le matin.— Pas moi ! Mais si tu savais comme je mouille !— Ah oui ? Et pourquoi ça ?— Et bien j’ai essayé de draguer Daniel, hier, en salle des profs et je me suis pris un râteau.— Daniel ? Quel Daniel ?— Daniel Perceval, pardi, tu me vois en train de me faire sauter par l’autre vieux croûton dégueulasse de prof de philo ?— Oh, le jeune prof d’histoire. Il est beau gosse.— Ben c’est pour ça sauf que ça ne marche pas ! Il préfère les hommes.— Comment ça ? Il préfère les hommes.— C’n’est pourtant pas compliqué, un homme qui préfère les hommes c’est un homme qui préfère les hommes ! Mais il a été cool en fait ; il ne m’a pas vraiment envoyée balader et du coup, on a pas mal parlé, tous les deux. Il m’a dit que chaque fois qu’il avait essayé avec une femme ça n’avait pas marché et m’a avoué que si moi je ne l’intéressais pas plus que ça, toi, il te trouvait très mignon. Alors je me suis dit que si tu étais intéressé, il pourrait devenir ton amant ; ça serait chouette, non ?— Écoute, Élise, hier soir on a fait l’amour en se suggérant des relations incestueuses avec Florian, ce qui n’est pas super commun, et ce matin, tu veux me jeter dans les bras d’un jeune prof d’histoire ? Qu’elle idée as tu en tête ?— Qu’est-ce que j’ai en tête ? Par rapport à Florian, rien du tout… pour l’instant ! Mais avec Daniel et bien je me disais que si tu devenais son amant ce serait plus facile pour se retrouver à trois dans un même lit.— Le fantasme des femmes avec les gays… Et tu voudrais qu’on fasse quoi, dans ce lit ?— Et bien, je me disais que tu pourrais l’aider à m’enculer et à prendre ma chatte. — T’es une grande malade, Élise. Dis-je sur le ton de l’humour. Tu voudrais que je prenne un amant pour te voir baiser avec alors que je ne peux jamais te voir baiser avec un de tes amants ?— Ce serait un début. Faut que je voie si ça me convient ou si je préfère que tu ne sois pas là.— C’est quoi ton idée pour aujourd’hui ? Tu viens de me réveiller mais je n’ai pas cours, je te rappelle !— Et bien, tu viens avec moi au Lycée ce matin, je suis sûre que tu as des copies à corriger, et tu t’installes en salle des profs. Daniel n’a pas cours entre 9h30 et 11h et, comme toi, il n’a rien l’après-midi. Alors vous faite connaissance le matin et ensuite, de midi à cinq heures vous approfondissez votre relation. C’est une bonne idée, tu ne crois pas ?— Et c’est pour ça que tu m’as réveillé à six heures du mat’ ?— À sept je n’aurais pas eu le temps de te parler de ça et, par ailleurs, j’ai très envie que tu mettes ta grosse bite dans mon cul.
Bien qu’étant parfaitement prêt en même temps qu’Élise, je n’arrivai pas au Lycée avant 9h30. Une fois dans la salle des profs, je sortis de mon casier un paquet de copies dont je devais renter les notes sur internet. Quelques collègues passèrent mais Daniel n’apparaissait pas et, bientôt, je me retrouvai seul. Un instant, je me dis que le plan d’Élise était bidon et je m’apprêtais à plier mes affaires lorsque Daniel entra dans la salle.
— Bonjour Jean-Luc, c’est rare de te voir à cette heure là ici.— Bonjour Daniel, c’est que, jusqu’à il n’y a pas si longtemps, j’avais cours mais tout mon emploi du temps a été chamboulé.— Pareil pour tout le monde, me dit Daniel, je ne sais pas ce qu’il lui a pris au protal de faire ça en milieu d’année, mais bon ! Je ne me plains pas ; je suis encore stagiaire et puis j’y ai gagné mon vendredi après-midi, alors…— En fait, je n’avais même pas à venir ; j’avais juste quelques notes et appréciations à rentrer et si les copies n’étaient pas dans mon casier, je l’aurais fait depuis chez moi.— Oh, je vois ; moi j’ai une heure et demie à tirer et je n’ai rien à faire. Ça te dit de venir prendre un café dans le quartier ?— Pourquoi pas. Je te suis, répondis-je en laissant toute mes affaires dans mon casier. Tu veux aller où.— Pas trop près, c’est plein d’Élèves.
Daniel m’entraina jusqu’à un café suffisamment loin du bahut pour qu’aucun élève ne nous surprenne. Sur la porte, il y avait un autocollant « Gay friendly » et l’endroit n’était, visiblement, fréquenté que par des hommes. Il était tenu par un couple de jeune gens, David et Ricky, qui firent la bise à Daniel et me la firent ensuite. J’étais un peu troublé mais je m’efforçai de le cacher. Notre premier sujet de conversation fut, bien entendu, le Lycée, les élèves et les classes en commun mais un trouble réel naissait entre nous. Je lui avouai, subitement, qu’Élise m’avait incité à venir pour le rencontrer et que je le trouvais très beau. Je devais être rouge comme une pivoine mais Daniel me sourit tendrement. Il me retourna le compliment et ajouta que j’étais son type d’hommes.
Il y eut un long silence et la main de Daniel se posa sur la mienne. Il me fit du genou, me caressa la cuisse et son visage s’approcha du mien. Nos bouches se touchèrent, s’ouvrirent et nos langues se mélangèrent. Je ne comprenais pas trop comment cela était arrivé mais j’étais sous le charme. Nous étions comme deux collégiens qui sortent ensemble pour la première fois. Nos bouches ne se décollaient plus et comme je bandais, j’imaginai qu’il en était de même pour lui. Au bout d’un moment, il me dit qu’il avait besoin d’aller aux toilettes et je l’y suivis. Arrivés aux urinoirs, je me collai à lui pour un baiser très charnel et sortis son paquet de son pantalon tandis qu’il sortait le mien. Daniel avait une bite magnifique, longue et épaisse, que je trouvais très douce sous mes doigts. Elle était impeccablement épilée et dessous pendaient deux grosses couilles bien lourdes. Je me mis à genoux devant lui et le pris en bouche. Je n’avais pas retrouvé cette sensation depuis notre retour de Jamaïque quand j’avais baisé avec un inconnu dans l’aéroport de Philadelphie. C’était encore meilleur et je me fis très gourmand. Ne pouvant l’avaler en entier, je le branlai en même temps et Daniel sembla apprécier. J’avais terriblement envie de sentir son foutre dans ma bouche et c’est après de longs efforts que j’y parvint. Daniel m’envoya dans le gosier une quantité de sperme que j’eu un peu de mal à avaler et puis je léchai sa verge et son gland pour en récupérer les dernières gouttes. Daniel me fit gentiment lâcher sa bite et je m’assis par terre, dos au mur, la tête entre deux urinoirs pour me masturber.
— Si tu restes là, tu vas te faire pisser dessus, Me dit Daniel en rigolant. Enfin si t’as envie, ça ne me dérange pas…— Je ne dirais pas que je n’en ai pas envie mais bon, je suis habillé et puis n’importe qui pourrait débarquer.— Et bien lève toi et branle toi à côté de moi pendant que je pisse.
Je fis ce qu’il proposait et me branlai énergiquement pendant qu’il soulageait sa vessie. Son envie de pisser était importante et de sa verge à demi molle s’échappait un jet puissant. J’étais fasciné et avant qu’il ait complètement fini, je balançai mon foutre dans mon urinoir.
— Attends moi là, je repars en cours. Dit-il en ragrafant son pantalon. On se retrouve à midi et demi, ok ?— Comment ça là ? Dans les chiottes ?— Ah ah, non ! Quand je disais là, c’était en haut, au café. Mais si tu veux rester dans les chiottes, tu peux. Je suis certain qu’il y aura des amateurs.— Non merci, sans façon. Je t’attendrai là haut, à notre table
Nous remontâmes des toilettes tous les deux, Daniel m’embrassa avant de repartir en cours et Je restai dans ce café à l’attendre en lisant la presse quotidienne.
Diffuse en direct !
Regarder son live