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Après les vacances…

Chapitre 2

Gay
2 – Des arrangements satisfaisants.
Lorsque Daniel me rejoignit après ses cours, il était rayonnant et se précipita dans mes bras pour m’embrasser avec fougue.
— Je crois que si je n’avais pas donné un devoir à mes secondes, j’aurais fait le plus mauvais cours de ma vie ; je n’ai pas arrêté de penser à toi.— A ce point ? Moi aussi, j’ai pensé à toi et pour tout à fait honnête, j’ai super envie de toi.— Moi aussi, mais faudrait quand même manger un peu, tu ne penses pas.— Ça va être un vrai calvaire d’attendre mais la suite n’en sera que meilleure… Où ça ?— Pas ici, il y a une petite table près de chez moi où on mange vite et bien, je t’invite.
Nous mangeâmes dans un petit restau à l’atmosphère vieillotte. Je me contentai du plat du jour et d’un café tandis que Daniel pris en plus un dessert et je me surpris à prendre plaisir à le regarder manger. Il paya et m’emmena découvrir son appartement. Tout était impeccablement entretenu et décoré avec goût, il avait une chambre lumineuse, un bureau et un salon assez grand donnant directement sur la cuisine ouverte à l’américaine.En entrant, notre désir de découvrir nos corps était tel que nous nous déshabillâmes l’un l’autre au milieu de l’entrée. Dès que j’eu de nouveau sa bite entre les mains, je me penchai dessus pour la gober. Il me laissa faire un peu puis d’autorité, il me mena jusqu’à son lit sur lequel nous tombâmes enlacés. Tout ce que je lui faisais il me le faisais et inversement. Comme je voulais de nouveau avoir sa bite en bouche, nous nous retrouvâmes en 69 et lorsque son gland se retrouva planté au fond de ma gorge, je sentis sa bouche avaler ma verge. Mais cette sensation ne dura pas car bientôt, je sentis sa langue se poser sur mon anus. Il me lécha et me doigta en m’écartant et m’assouplissant la rondelle. Ses attouchements faisaient croitre mon envie de le sentir en moi et je pâmais de plaisir.Daniel changea de position, amena mes fesses au bord du lit puis il s’accroupit en soulevant et en écartant bien mes jambes et il reprit son anulingus. Pour l’aider, je m’écartais les fesses des deux mains afin de bien rendre accessible mon petit anneau. Sa langue était agile et j’en sentais le bout pénétrer mon fondement. Je n’en pouvais plus, j’avais envie de le sentir en moi et je lui exprimai sans détour. Il me demanda si sa taille ne me faisait pas peur et je lui dis que non. Il me promit d’y aller doucement mais ce ne fut pas nécessaire ; il m’avait bien préparé et mon envie était si forte que mes muscles se détendirent pour laisser passer son obus. Il me baisa ainsi pendant quelques minutes puis il me fit remonter un peu plus haut sur le lit pour pouvoir s’allonger sur moi. Je profitai de ce changement de position pour le reprendre un peu en bouche et, me remettant sur le dos, la tête confortablement posée sur un oreiller, je le laissai revenir entre mes jambes. J’étais plié en deux, j’avais les genoux au niveau de mes épaules et je sentais sa bite aller et venir au fond de moi, déclencher des plaisirs intenses et faire baver ma queue molle. Je jouissais du cul en m’accrochant à lui, à son cou et à son corps chaud ; il me plaisait vraiment. Il me demanda s’il pouvait jouir dans ma bouche, ce que j’acceptai volontiers. Toutefois, plusieurs fausses alertes me permirent de le sucer encore et nous incitèrent à explorer d’autres positions. Quand sa jouissance arriva enfin, je reçu dans ma bouche une belle quantité de foutre que je lui montrai avant de l’avaler.
Nous étions allongés côte à côte à échanger des baisers et à nous caresser. Sa main droite s’occupait de mon sexe qui ne tarda pas à durcir et quand il fut bien raide, Daniel me suça et me masturba en me présentant son cul. Aussitôt, je le léchai et le doigtai comme il faut pour le préparer et ce fut à mon tour de le pénétrer. Je le pris d’abord en levrette puis en chien de fusil en lui écartant la jambe et enfin par devant pour voir son visage en même temps que je jouissais en lui.
— Mmm, c’était bon, me dit-il en me serrant contre lui. Je t’observe depuis la rentrée mais je n’aurais jamais cru possible de t’amener dans mon lit. Et avec le concours de ta femme, en plus.— Oui, on s’est pas mal libérés ces derniers temps.— Oui, je sais, c’est ce que j’ai cru comprendre… Elle m’a beaucoup parlé, tu sais. Elle m’a dit que tu étais bi et plutôt passif, mais franchement comme actif t’es pas mal non plus. Et bien monté, avec ça.— Oui enfin, bien monté, à côté de toi, ce n’est rien.— Non, mais moi c’est différent, elle fait peur d’habitude. Je ne sais même pas comment tu as fait pour l’avaler presqu’entière tout à l’heure.— Ben, j’en avais très envie et j’ai failli vomir, pourquoi ? Mais, je suis sûr qu’avec de l’entrainement j’y arriverai. D’ailleurs, je vais recommencer tout de suite.— Mmm, petite salope… Vas y fait toi plaisir et je t’en remettrai un petit coup après, tu veux ?
Daniel resta allongé et je le suçai en faisant de mon mieux pour l’avaler le plus loin possible tandis que lui me doigtait les fesses. Je pratiquai ma technique de fellation pendant quelques minutes puis, n’y tenant plus, je le chevauchai et m’empalai moi même sur son gourdin tendu. Agrippé à sa tête de lit, je faisais monter et descendre mon bassin le long de sa verge ; je le branlais avec mon cul et il se laissait faire en me pinçant les tétons. Bien que très agréable, je finis par trouver ça fatigant pour les cuisses et lui demandai de me prendre en levrette. Je me dégageai de lui et pris position à genoux en gardant mes mains sur la tête de lit. Il me prit par derrière avec fougue, de temps à autre il se penchait contre mon dos pour m’embrasser le cou et me pincer les tétons puis il agrippait mes hanches et me besognait de nouveau jusqu’à jouir au fond de mon cul.

Après être resté encore enlacés quelques temps, il me proposa d’aller nous doucher et me fit découvrir sa salle de bain. Elle n’était pas très grande et bizarrement agencée avec le WC et le lavabo d’un côté et la douche de l’autre. C’était une douche à l’italienne très spacieuse à laquelle on accédait en contournant d’un côté ou de l’autre une paroi vitrée fixe.
— Ça t’ennuie pas si je pisse sous la douche, me dit Daniel en ouvrant le robinet.— Me pisser dans la bouche ? Répondis-je à la façon du professeur Tournesol, très volontiers !— Quoi ?! Tu ne blaguais pas alors ce matin ?— Non, j’étais très sérieux, au contraire. En fait, j’adore ça…

Après avoir traversé toute la ville, je retrouvai Élise dans un café proche du Lycée de Florian et nous avions encore près d’une demie heure à attendre. Je vins l’embrasser et m’asseoir à côté d’elle. Elle trouva que je sentais le savon et je lui dis que je sortais à peine de la douche.
— C’était bon ?— Oui, très ! C’est une personne très attachante. Je crois que nous sommes parti pour une bonne relation.— Ah oui ? C’est l’amour fou, alors ? Et c’était comment, raconte !— Tu veux tous les détails ? Tu n’as pas peur que ça t’excite trop avant d’aller chez Dom et Marie-Pierre.— Peut-être, mais ça ne me rendra que plus chaude ce soir. J’espère que tu as gardé des ressources.— Tu ne devais pas sortir avec Josiane et Alain, ce soir ?— Si, mais j’ai annulé ; avec les histoires des gamins, je n’avais plus envie de bouger ce soir. Ils ont tout à fait compris la situation. Ce n’est que partie remise.
Je racontai donc, sans omettre un détail, de ma journée avec Daniel. Je décrivis comment je l’avais sucé dans les toilettes du bar, la taille impressionnante de son sexe, comment il m’avait pris et comment je l’avais pris en retour. Je ne cachai rien, même sur notre douche commune où je bus d’abord son champagne et lui offris le mien ensuite.
— Et bien, mon cochon ! Pour une fois, ma journée a été moins palpitante que la tienne… enfin, Étienne m’a quand même emmené chez lui à midi mais du coup, j’ai rien mangé.— Prends toi un croque ou quelque chose, ils doivent bien faire des trucs comme ça ici. J’appelle la serveuse.— Non, c’est gentil, mon Chéri, mais je ne t’ai pas attendu pour ça. J’en ai déjà pris un en arrivant mais je te conseille quand même de l’appeler si tu veux prendre quelque chose.
Je commandai une bière et nous discutâmes de ce que nous allions dire à Hugo qui, surement, nous en voulait à mort. Florian qui savait qu’on l’attendait nous rejoignit sitôt sorti du bahut et nous filâmes tous les trois chez Marie-Pierre et Dominique.
Marie-Pierre et Dominique nous accueillirent chaleureusement tandis qu’Hugo, qui n’en menait pas large, nous jeta, à Élise et moi, un regard noir qui en disait long. Nous comprenions parfaitement qu’il puisse nous en vouloir mais, pire que ça, il semblait en vouloir à Florian. Nous ne mîmes pas longtemps à comprendre ce qui se passait entre eux car lorsque Marie-Pierre les invita à s’asseoir côte à côte avec nous autour de la table, Hugo s’emporta.
— Ah, non ! Je n’m’assois pas à côté d’une balance ! Agnagneu et tu diras rien, j’te montre un truc c’est un secret… et puis derrière tu m’balances ! J’y crois pas ! T’es vraiment un gros naze !— Hugo ! Fis-je d’un ton autoritaire. Florian n’y est pour rien ! J’étais là quand tu es arrivé, là quand Flo a suggéré que vous alliez fumer chez Gwen dès qu’elle serait sortie de cours et là quand il ta proposer de regarder nos vidéo de vacances !— C’est ça, à d’autres ! Et pourquoi on n’t’a pas vu alors ?— Vous ne m’avez pas vu car au début je suis resté à vous écouter derrière la porte de la maison que j’avais à peine ouverte, que je me suis glissé discrètement dans l’entrée pour observer ce que vous faisiez et disiez dans le salon jusqu’au moment où j’ai senti que vous alliez bouger et où je me suis réfugié dans le cagibi. De là, j’ai pu suivre votre petite transaction. Je t’ai vu sortir de ton casque trois barrettes de haschisch pour les remettre à ton copain ! Je t’ai aussi entendu expliquer à Florian que c’était aussi bien qu’il te file la thune aujourd’hui car se balader avec du fric et du matos, c’n’était pas bon. Ça te suffit ou tu veux des détails précis sur ce que vous avez dit, et fait, dans le salon en regardant des images piratées sur mon DVD et normalement destinée à un public majeur et averti ?!
Convaincu par ce que je lui avais dit, Hugo s’excusa auprès de Florian et les deux garçons se réconcilièrent. Subitement, l’ambiance y gagna un peu en sérénité. Comme Florian demandait à son copain pourquoi il n’était pas venu au lycée, Marie-Pierre expliqua qu’il avait été consigné à domicile par elle et Dominique qui, pour l’occasion, avaient sacrifié une journée de travail. Dominique expliqua qu’il avait été contraint d’utiliser la manière forte pour savoir où il avait caché la drogue, et l’argent qui allait avec. Il s’était battu avec son fils et l’avait maitrisé en lui faisant une clef de bras. Hugo avait cédé sous la douleur. Dominique n’en était pas très fier car il n’avait jamais levé la main sur Hugo avant cette affaire mais celui-ci ne lui avait pas laissé le choix.
— Et tu seras avec moi aussi quand je m’ferai casser la gueule parce que je dois de la maille à un type ?— Je t’ai dis, tu as deux options, soit tu vas chez les flics et tu le dénonces, soit tu travaille et tu le rembourses.— Ce n’est pas le genre de mec que tu balances comme ça, Papa ! Si je fais ça, je suis mort. Et si je n’lui rends pas ce que je lui dois, je suis mort aussi ! Je suis dans la merde ! Sanglota Hugo visiblement effrayé.— Et bien travaille ! Je te dis. S’énerva Dominique.— Attends, Dom, Dis-je perplexe, ce n’est peut-être pas si simple. Le temps qu’il soit payé pour un travail quelconque, si tant est qu’il en trouve un, son dealer aura pu perdre patience.— Et puis peut-être que ce serait mieux pour lui de travailler en prévision du BAC. Ajouta Élise.— Alors là ! S’exclama Dominique, vu comme c’est parti cette année ça m’étonnerai qu’il l’ait ! Mais il est déjà prévenu, l’an prochain, fini la rigolade. En pension chez les curés, ça lui fera les pieds !— On n’en est pas là, Dom, dis-je calmement. Quand est-ce que tu dois le rembourser, Hugo ?— Demain au plus tard, ça n’va pas l’faire.— Je n’vais quand même pas filer du fric à un bandit ! S’exclama Dominique encore énervé.— Et pourquoi pas, Chéri ? On prête l’argent à Hugo, et pendant les grandes vacances, il bosse et il nous rembourse. Comme ça on clôt cette histoire calmement et définitivement. Tu dois combien, Chéri ?— Mille… Dit Hugo mal à l’aise
Même Florian faillit s’étouffer et Dominique tapa du poing sur la table en exigeant des explications précises. Il s’avéra que Hugo était meilleur consommateur que revendeur et qu’il avait plusieurs fois fumé plus que son bénéfice. Sa dette s’était accumulée et son fournisseur lui avait accordé une dernière chance pour se refaire et commencer à le rembourser. Il se retrouvait pieds et poings liés à ce gars qui espérait sans doute en faire un bon petit revendeur obéissant. Marie-Pierre blêmit et finit par dire qu’elle prendrait l’argent sur son compte épargne.
Élise et moi savions que nos amis n’étaient pas dans une situation financière extraordinaire. L’entreprise de Dominique avait fait faillite plus d’un an au par avant et il sortait à peine d’une longue période de chômage non indemnisé. On se regarda pour s’assurer qu’on avait bien la même idée, Élise me confia sa carte bancaire et, calmement, je me levai tandis qu’elle s’adressa à Hugo en proposant que ce soit nous qui lui prêtions de quoi rembourser sa dette.
— Non, Élise ! Dit Marie-Pierre, on ne peut pas accepter ça.— Bien sûr que si. Vous êtes nos amis les plus proches ! En plus, ce n’est pas avec vous que je traite mais avec Hugo. Pour moi, il est pratiquement comme mon fils et je sais que Florian représente la même chose pour vous. Alors laissez nous l’aider. Dans la situation inverse, vous auriez fait pareil, je le sais.
Quand je revins du distributeur du quartier avec la somme attendue, Hugo avait, à la demande d’Élise, téléphoné à son fournisseur pour lui dire qu’il pouvait lui rendre l’argent tout de suite. Il avait rendez-vous pas loin de leur domicile et Dominique décida de l’accompagner.Ils partirent tous les deux, Dominique avait pris l’argent sur lui et il poussait son fils en le tenant par le col. Un quart d’heure après, ils étaient de retour, Dominique souriait et Hugo se sentait soulagé.
— Il avait quand même une bonne tête de bandit ! Mais il a senti qui fallait pas me chercher, je crois. Déclara Dominique fier de lui.— Je crois que vous m’avez vraiment sauvé la vie, dit Hugo en nous serrant dans ses bras.
Hugo fondit en larme dans les bras d’Élise qui le consola et il nous jura qu’il travaillerait tout l’été s’il le fallait pour nous rembourser. Avant de reprendre place à côté de Florian qui le prit par l’épaule
Avec Dominique et Marie-Pierre, nous avions les mêmes exigences pour nos enfants et nous étions d’accord sur la nécessité absolue, pour eux, de réussir leur BAC et de réduire le rythme de leurs sorties. De notre côté, nous avions déjà exigé de Florian qu’il ne traine plus dans la rue après le lycée et qu’il travaille tous les soirs, avant et après diner, le samedi matin et après-midi et le dimanche après-midi. Les sorties du samedi soir étaient limitées et conditionnées à une amélioration des résultats scolaires. Pour Hugo le régime souhaité n’était pas différent mais Marie-Pierre s’inquiétait de sa mise en pratique. Avec Dominique, ils rentraient tard du travail, et ne disposaient pas du temps nécessaire pour surveiller leur fils autant qu’ils le souhaitaient.
— Dis donc, Domi, si au lieu d’envoyer Hugo chez les curetons l’an prochain tu nous le laissais en pension complète jusqu’au BAC ? Comme on va devoir surveiller Florian, on peut surveiller Hugo en même temps, tu ne crois pas ?— C’est gentil à vous, répondit Dominique mais avec l’aide que vous avez déjà apporté ça fait beaucoup ; c’est un peu gênant.— C’est vrai que ce serait une solution idéale, sans doute, renchérit Marie-Pierre, mais…— Alors vous devriez en profiter, l’interrompit Élise. Je comprends parfaitement ce que vous ressentez mais je vous dis qu’on propose ça de bon cœur. Réfléchissez y ! C’est pour lui.— Mmm, fit Dominique.— C’est d’accord, dit Marie-Pierre on va y réfléchir
Au moment de partir, Hugo nous serra dans ses bras et nous dit qu’il serait heureux de venir vivre en pension chez nous. Nous reprîmes notre voiture et sur le chemin du retours Florian nous fit remarqué qu’on avait oublié de donner les barrettes de haschisch à Marie-Pierre.
— Elles sont à nous, maintenant, puisque nous venons de payer la dette d’Hugo. Dis-je avec humour. On va les fumer !— Vous allez les fumer ?!— Non, je ne crois pas, ton père se moque de toi. Il y a bien longtemps que nous n’avons plus touché à un pétard, ni lui, ni moi. En se qui me concerne, ça ne m’a jamais réussi et ton père c’est pas mieux. En plus, il ne peut plus avaler la fumée sans s’arracher la gorge. Alors, on verra… ça pourra peut-être faire partie des carottes. Si vous êtes sages, raisonnables et que vous travaillez bien.— Oh ?!... Euh, Maman ? Pourquoi tu rentres plus tard certains soirs, c’est nouveau ?— Tu es bien curieux, mon Trésor. En quoi ça te regarde ?— Non, ça ne me regarde pas, c’est vrai… je m’étais juste posé la question, c’est tout.— Disons que c’est un peu secret et que ça doit rester discret mais je vais te le dire. Ce sont des soirs où je vois mes amants. Ça te va comme réponse ?— Euh, oui… et toi, Papa, tu as des maîtresses ?— Écoute, Florian, puisque tu veux tout savoir et que nous avons décidé de ne plus rien vous cacher, je vais t’expliquer comment on fonctionne. Il arrive, quand nous somme avec un couple intéressé, que nous procédions à un échange de partenaire. Dans ces cas là, je fais l’amour avec une autre femme que ta maman. Autrement, j’apprécie énormément que ta mère jouisse d’une totale liberté sexuelle sans rien me cacher.— Ton père est cocu, si tu préfères…— Et contant de l’être ! Enfin, repris-je, je suis aussi attiré par les hommes et si je n’ai pas de maîtresse, j’ai quand même un amant.— T’es comme Hugo ou moi, alors.— Plutôt comme Hugo, de ce que j’en ai vu. Mais je ne crois pas que nous devrions parler trop de ça, tu en sais assez et en a vu plus que suffisamment pour te faire une image très précise de ce dont on parle.— Oui, c’est vrai… Oh, Papa ?— Oui ?— Merci.
Bastien, qui savait que nous ne serions pas là à son retour du lycée, fut content de nous voir rentrer.
— Vous voilà ! Je m’inquiétais un peu. Dit-il en serrant sa mère contre lui. Vous en avez mis du temps. C’était si grave que ça les trucs que vous deviez régler à propos de Florian et d’Hugo ?— Oui, assez ! Fis-je en prenant le téléphone. Ce soir on mange chinois, ça vous va ?
Bien évidemment que ça convenait à nos deux enfants et vue l’heure, ni Élise ni moi n’avions envie de nous coller au repas.
— Bon, et bien en attendant, je crois que je vais me prendre un bain, ça va me détendre. Et vous, les enfants ? Depuis combien de jours ne vous êtes vous pas lavés ?— Hier matin, dit Florian— Euh… Fit Bastien.— Je m’en doutais ! Je ne sais pas pourquoi les garçons à l’adolescence ne se lavent jamais. À la douche !, tous les deux.
Je fus un peu étonné qu’elle exige d’eux de se laver avant le diner car je savais que ni elle ni les enfants ne rhabilleraient après. Même si nous pratiquions souvent le naturisme en famille, tant à la maison qu’en vacances, ça restait surtout une activité estivale. Par ailleurs, compte tenu des dernières évolutions de la libido de nos enfants et compte tenu du fait que nous envisagions de leur parler de notre sexualité, ça ne me semblait pas vraiment indiqué. Cependant, je choisis de laisser faire et montai le chauffage de trois degrés ; j’avais confiance en Élise.Lorsque le livreur arriva, Florian et Bastien, tous beaux, tous propres et tous nus, étaient assis en tailleur sur le canapé du coin télé et jouaient à la wii. Je pris en charge les paquets que je portai dans la cuisine et montai retrouver Élise dans la salle de bain.
— Le livreur est arrivé, je prends une douche vite fait et on mange, dis-je en entrant.— Tu vas battre des records de propreté, Chéri. Trois douches dans la journée, c’est un exploit.— Ne sois pas si moqueuse, veux tu. Je suis certain qu’il t’arrive d’en faire autant… J’ai surtout besoin de me rafraichir, en fait. J’espère que tu sais à quoi tu joues…— Comment ça ? me dit-elle, il y a un problème ?— Non, pas forcément, mais Florian se branle devant tes vidéos pornos et Bastien tripe avec tes culottes. Alors je me demandais si tu gérais ? Personnellement, pour moi, ça ne va pas être facile… Et j’imagine que pour les enfants non plus.— Mmm, voir les trois hommes que j’aime le plus au monde, bander pour moi, ça va être super excitant.— Et ça peut être super frustrant aussi, fis-je remarquer. Quand on peut voir mais pas toucher.— De toute façon, tu sais que tu ne seras pas le plus frustré des trois, alors… Je n’ai pas l’intention de faire quoi que ce soit avec l’un où l’autre de nos enfants. Pas ce soir en tout cas.— Donc tu penses que ça pourrait arriver ?— Évidemment que ça arrivera ! Si c’est ce que tu veux, ce que moi je veux et ce qu’ils veulent aussi, ça arrivera. Mais tu vois, Jean-Luc, on ne va pas brûler les étapes ! Ce soir, nous devons parler sexualité avec nos enfants ! Bastien doit savoir tout ce que Florian sait déjà et nous devrons répondre sans détours à toutes leurs questions. Alors puisqu’il faut qu’on se mette à poil symboliquement, soyons le physiquement.— Je comprends.
Comme nous étions tous réunis dans le salon, après le diner, Élise et moi dévoilâmes tout de notre sexualité à nos deux enfants. Nous avons commencé par leur expliquer que jusqu’à nos vacances en Jamaïque, nous avions été très sages et très fidèles. Puis, Élise leur raconta, sans entrer dans les détails, tout ce qu’elle avait fait et je leur parlai d’Amber. De leur part, les questions affluèrent, nous obligeant parfois à décrire des situations ou des actes et à parler des plaisirs que nous avions ressentis. En retour, ils nous parlèrent de ce qu’ils faisaient seuls, entre eux ou avec leurs amis. Florian nous parla de sa passion pour les films pornos et du nombre de fois où il avait besoin de se vider les couilles dans la journée. Bastien avoua qu’il aimait bien sucer son frère quand celui ci le désirait et il me demanda sans détour si ça faisait mal de se faire enculer. Avec Élise nous leur expliquâmes que c’était une question d’envie, de préparation, de douceur à la première pénétration et, plus accessoirement, d’habitude mais absolument pas de dimension. Ils étaient aussi très intéressés par mon cocuage et le nombre d’amants de leur mère. Ils voulurent savoir s’ils éjaculaient dans sa chatte, dans son cul et si elle avalait. Notre discussion allait sans doute trop loin mais nous avions décidé de ne rien leur cacher.
La discussion revint vers eux et comme ils s’étaient montrés très curieux des détails, ce fut à notre tour de l’être. Bastien n’avait encore jamais eu de petite amie et sa pratique du sexe se limitait aux fellations qu’il faisait à ses copains et à son frère, ainsi qu’à ses masturbations quotidiennes dans les culottes de sa mère qu’il avoua porter aussi parfois. Élise lui assura qu’il trouverait une copine un jour qui serait plus intéressante et plus excitante qu’elle. Mais Bastien déclara qu’il n’en avait pas envie. Il considérait qu’Élise était la seule femme excitante sur terre et que c’était surtout la seule avec laquelle il voulait faire l’amour. Autrement, il préférait les garçons et souhaitait perdre rapidement son pucelage anal avec moi ou avec son frère. Bastien fantasmait sur un amour purement familial où Élise serait la reine et où tout serait permis entre nous. Quand à Florian, il fantasmait sur bien des choses en plus de sa mère. Pour lui, les femmes intéressantes avaient toutes autour de quarante ans et étaient dotées d’un gros appétit sexuel. Physiquement, son idéal féminin, c’était Élise. Il rêvait beaucoup de plans à trois ou quatre et s’imaginait parfois venir partager notre lit pour prendre Élise avec moi. Cela ne l’empêchait pas, pour autant, d’avoir une sexualité très épanouie et active en dehors de ça. Il avait déjà eu pas mal de copines qui, toutes, l’avaient quitté quand il avait proposé de les partager avec Hugo où avait essayé de les sodomiser. Depuis sa dernière rupture, il avait décidé de revenir à la masturbation et de faire l’amour avec Hugo ou avec Gwen qui était toujours partante tant que son petit copain ne l’apprenait pas. Il conclut en disant que les envies de partouze en famille de Bastien lui plaisaient bien. Durant toute notre conversation, Florian et Bastien s’étaient tripotés la bite et l’un et l’autre affichaient une solide érection. Il n’était pas possible de ne pas les trouver beaux même s’ils étaient assez différents.Bastien, tenait plus d’Élise, Il n’était pas très grand et, vraisemblablement, n’égalerait jamais ma taille. Il avait un corps fin et une musculature était discrète. Sa peau conservait encore la douceur de l’enfance et son pubis était couvert d’un fin duvet d’adolescent. Ce que je lui trouvais de plus impressionnant, c’était la taille de sa verge. Bien que n’ayant sans doute pas atteint son développement définitif, elle était déjà aussi longue et grosse que celle de son frère ainé.Florian me ressemblait d’avantage physiquement, j’avais presque l’impression de me revoir au même âge. Nous faisions la même taille et avions tous deux une musculature bien marquée. Son corps était soigneusement épilé et je réalisai que cela contribuait à sa beauté et mettait en valeur son corps d’athlète et la fraicheur de sa peau. Sa verge était élégante, moins épaisse et moins longue que la mienne elle avait quand même une belle taille. Je devais bien admettre au fond de moi que je le trouvai extrêmement attirant et je me doutai qu’Élise devait en penser la même chose. De plus, de le voir ainsi face à moi, à parler de rêves de partouzes en famille, me renvoyait au spectacle qu’il m’avait offert avec Hugo, troublait mes sens et me faisait bander durement.
Quand Florian eut fini de parles et que plus personne ne sembla vouloir ajouter quoi que ce soit, après un moment de silence, Élise souffla, repris une respiration profonde et s’adressa à nos enfants. Elle leur expliqua qu’il nous était impossible de les empêcher de fantasmer sur elle ou sur nous et que, par conséquent, on ne pouvait pas leur en vouloir de se masturber en pensant à ce qu’ils rêveraient de vivre. Elle leur rappela que ces choses là n’étaient cependant pas courantes et que selon la loi les pratiques sexuelles intrafamiliales étaient réputées odieuses et condamnables. Puis elle précisa aussi que pour elle et moi, à nos âges, le sexe, sous toutes ses formes ne pouvait se pratiquer qu’entre personnes majeures et consentantes et leur fit remarquer que ce n’était pas encore le cas pour eux.
Bastien qui n’était pas le seul à vouloir se vider les couilles annonça qu’il allait chercher quelque chose et disparu dans l’entrée. Il était allé chercher la dernière culotte sale d’Élise dans la buanderie et, quand il revint avec, il annonça qu’il montait se coucher. Il s’approcha du canapé dans lequel nous étions toujours assis, Élise et moi, et vint se coller à sa mère pour l’embrasser. Nous ne pûmes alors qu’admirer son corps rayonnant de fraicheur, sa magnifique verge tendue, bien décalottée et son fessier rond et appétissant. Alors qu’il approchait sa joue de celle d’Élise, elle prit sa tête entre ses mains.
— On ne peut pas vous accorder tout ce que vous désirez, mais, après tout ce qu’on s’est dit ce soir, on peut au moins vous embrasser sur la bouche. Dit-elle juste avant de coller ses lèvres aux siennes.
Bastien, le visage empourpré, vint ensuite à moi et, de lui même, il m’embrassa sur la bouche avec beaucoup de tendresse tandis que je ne pu me retenir de poser doucement une main sur ses fesses. Il me délaissa ensuite pour aller voir son frère qui s’était levé aussi et ils échangèrent devant nous un baiser langoureux qui ne devait pas être le premier. Quand ils se séparèrent, Florian suivit l’exemple de son petit frère et nous embrassa tous deux sur la bouche.
Élise et moi ne trainâmes pas d’avantage dans le salon et nous n’eûmes aucun besoin de nous raconter des histoires pour nous exciter. Aussitôt entrés dans notre chambre nous roulâmes sur le lit pour nous aimer bestialement en s’imaginant des partouzes incestueuses.

Le lendemain débuta la mise au travail forcé de Florian qui prit place à son bureau tout de suite après son petit-déjeuner. Pour Élise, Bastien et moi la journée s’annonçait plutôt décontractée et nous trainions tranquillement devant nos bols de café ou de chocolat. Nous bavardions de choses et d’autres, quand Marie-Pierre appela Élise pour dire qu’ils acceptaient que l’on prenne Hugo en pension complète jusqu’au BAC. Elles parlèrent un peu de logistique puis Marie-Pierre expliqua qu’avec Dominique, ils avaient longuement parlé de sexe et de sexualité après notre départ. Ils avaient fait le point sur leur vie et souhaitaient découvrir d’autres choses. Ils se demandaient s’ils pouvaient nous en parler et nous demander conseils. Marie-Pierre avoua vouloir essayer l’échangisme mais à condition que ce soit avec des gens qu’ils aiment et connaissent bien. Élise et moi prîmes ça pour une manière détournée de nous demander de les initier. Comme ils devaient amener Hugo chez nous, Élise proposa de les inviter à diner le soir même pour parler de tout ça tranquillement dans la soirée. Marie-Pierre s’inquiéta de la présence des enfants mais Élise lui expliqua qu’avec les nôtres nous n’avions plus de secret et qu’Hugo nous avait déjà vu en pleine action. Elle ajouta ensuite qu’il suffisait de les mettre dans une chambre en haut avec un écran, une console de jeu et suffisamment de pizza et de coca, pour avoir la paix pendant trois heures. Marie-Pierre se laissa convaincre par ce dernier argument et accepta l’invitation.
— Voilà une journée qui s’annonce bien, tout compte fait. Dis-je en frottant mes mains. On pourra peut-être aller au delà des conseils…— À mon avis c’est ce qu’ils souhaiteraient mais la présence des enfants dans la maison peut les bloquer. Mais si nous restons au salon et que les enfants sont dans une de leurs chambres, ça peut marcher. Je suis sûr que ça fait des années que tu baves d’envie de fourrer ton nez et autre chose entre ses gros nichons. — Les gros nichons de qui, Maman ? Demanda Bastien qui jouait avec sa PSP devant son bol à moitié vide et n’avait rien suivi de l’affaire.— De Marie-Pierre, Chaton, dit Élise en lui faisant un bisou. Ils vont venir ce soir pour nous confier Hugo pour quelques mois et peut-être que nous ferons une soirée d’adultes entre nous en bas tandis que vous ferez une soirée jeu vidéo et pizza en haut.— Cool… Et je me demandai ?— Quoi donc, Chaton ?— Et bien, hier soir t’as dis que tu n’envisageais pas l’amour autrement qu’entre adultes consentants.— Exactement ! Les petits garçons comme toi ne devraient même pas imaginer autre chose que de découvrir l’amour avec des filles ou des garçons de leur âge.— C’est pas ça, mais Florian, dans trois mois il aura 18 ans. Est-ce qu’il fera partie alors de la classe des adultes consentants ?— C’est possible, Chaton, mais il faudrait que moi même j’y consente et ça…— Disons que aujourd’hui on peu quand même dire qu’il manque un peu de maturité. Dis-je pour compléter le propos d’Élise.— Bon, si Marie-Pierre et Dominique sont là ce soir faut qu’on prépare quelque chose de bon. Réfléchit Élise à voix haute. Je lance une lessive et je vais faire des courses. Bastien, tu as fais quoi de la culotte que tu as prise hier soir ?— Je l’ai remise dans la buanderie après ma branlette de ce matin. Je pourrais venir avec toi aux courses ?
Élise et Bastien partirent pour le supermarché tandis que j’assumai mon rôle de maton. Florian travaillait depuis un peu plus une heure mais il en avait déjà ras-le-bol. Je regardai avec lui où il en était dans chaque matière et décidai de le conseiller dans l’ordre de ses priorités. Du coup, il m’apprit qu’il avait trois devoirs surveillés dans la semaine à venir pour lesquels il n’était pas prêt. Nous regardâmes ensemble la masse de travail que cela représentait et comment la répartir pour qu’il puisse réussir chacune de ces interrogations. Florian avait l’impression qu’il n’y arriverait pas et je me dis qu’il avait besoin d’une motivation forte.
— Florian, je te rappelle qu’on peut tout emprunter dans ma bibliothèque à condition de me le demander et de le mériter.— Même les DVD ?— Surtout les DVD, mais ça se mérite ! Disons que jusqu’à ton BAC, je pourrais accorder une minute par point obtenu dans chaque contrôle de matières principales à condition que tu ais plus de 12. Les durées seront capitalisables, par exemple un 12 puis un 13, ça fait 25 minutes. Par contre tout ce qui est inférieur à 12 n’est pas pris en compte et il n’y aura pas d’arrondi pour un 11,5 ou un 11,75.— Ça risque de ne pas faire des temps très longs, mais bon… Et je pourrais les regarder avec Hugo ?— A condition qu’Hugo réponde aux mêmes critères et dans ce cas, j’additionnerai vos notes pour déterminer la durée dont vous bénéficierez tous les deux.— Mais Hugo est trop nul ! S’il arrive a dix, c’est un miracle !— Je ne suis pas d’accord avec toi, je crois qu’il en est capable. Ensuite tu vas l’aider ! En travaillant ensemble, vous y arriverez beaucoup mieux et comme ça, vous aurez quelque chose d’intéressant à faire pendant vos soirées hebdomadaires et un super truc à fêter tous les deux à la fin de l’année. Rappelle-toi de ce que ta mère a gardé.— Oh putain, le shit !— Bon écoute, Papa ! T’as toujours été de bon conseil alors je crois que je vais laisser tomber l’anglais parce qu’entre un 19 ou un 20, ce n’est pas là que ça fera la différence et je vais mettre le paquet sur le latin, l’histoire–géo et surtout la philo. — À la bonne heure, Dis-je heureux en quittant sa chambre. Ah ! Au fait, Hugo sera en pension complète ici dès ce soir. Marie-Pierre et Dominique dinent avec nous. Ils ne seront pas là avant sept heures mais à six tu peux t’arrêter. Et n’oublie pas de te faire des poses d’un quart d’heure au moins toutes les deux heures.
Je laissai Florian pour mettre un peu d’ordre dans la maison et faire le ménage du rez-de-chaussée.
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