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Après les vacances…

Chapitre 3

Orgie / Partouze
3 – Libre échange
Quand Élise revint des courses, elle remarqua que le rez-de-chaussée était impeccable et elle me trouva en train de finir le ménage en profondeur de la cuisine. Les mains protégées par des gants de caoutchouc et seulement vêtu d’un petit tablier, je terminais de passer un coup d’éponge aux plaintes des éléments de cuisine. En me voyant ainsi à quatre patte au ras du sol, elle me trouva très sexy et ne pu s’empêcher de venir me peloter le cul devant Bastien hilare. Je me relevai avec ma bassine dans une main et mon éponge dans l’autre et elle se colla à moi pour m’embrasser
— Faudra que tu te remettes comme ça un jour où on ne sera que tous les deux. Me dit Élise au creux de l’oreille. Ça donne envie de t’enculer…— Ce serait avec plaisir, mais on a un petit curieux qui ne te quitte pas des yeux depuis ce matin.— Je sais. Que veux tu, il nous aime… Mais je suis certaine que, dans cinq minutes, on ne le voit plus. Il voulait surtout s’acheter un nouveau jeu pour la PSP alors maintenant qu’il l’a…
Élise n’avait pas fini sa phrase que Bastien avait, effectivement, disparu vers sa chambre. Après avoir posé la bassine et l’éponge dans l’évier, je la pris dans mes bras pour l’embrasser avec passion et ma verge tendue soulevait le devant de mon petit tablier. Finalement, c’est moi qui la pris dans la cuisine, penchée en avant devant l’évier. Je n’avais eu qu’à retrousser sa jupe, baisser son collant et sa culotte pour m’enfoncer dans sa chatte humide. Nous savions, l’un comme l’autre que nous risquions d’être surpris par Florian ou Bastien, voir même les deux et plutôt que de couper notre élan cette idée décuplait notre plaisir et notre envie. Nous étions comme fous, je la retournai pour l’embrasser puis je la portai sur la table où je lui retirai ses bottes, son collant et sa culotte pour mieux lui écarter les cuisses avant de reprendre possession de son puits d’amour. Élise gisait au milieu des courses, les fesses posées sur le rebord de la table et je la besognais en maintenant ses jambes bien écartées et bien hautes. De temps à autres je ressortais pour admirer l’ouverture de sa chatte puis j’eu envie de lui prendre le cul aussi. Elle accueillit cette initiative avec un râle de plaisir qui dut s’entendre dans toute la maison. Je me perdis dans son cul quelques instants puis retournai à sa chatte avant de repartir à l’assaut de son cul. J’alternais, passais d’un trou à l’autre et Élise jouissait comme une damnée. Elle se cramponnait aux deux bords de la table, bousculée par mes mouvements puissants, et hurlait que je la faisais jouir. Et puis, mon plaisir arriva, je sentis mon foutre s’échapper et je le répandis sur ses deux orifices.
— On est complètement malades. Me dit Élise en s’agrippant à mon cou. Les enfants auraient pu nous voir…— Ben techniquement, on a commencé par vous entendre. Dit Florian qui se tenait avec son frère dans l’ouverture de la porte.— Mais on n’a pas pu résister à l’envie de venir voir, ajouta Bastien radieux. Mais on n’est pas si vaillant que Papa, on a juté bien avant lui— Votre Papa est le meilleur amant que je connaisse et aujourd’hui, j’avoue qu’il a innové de manière intéressante… Excusez-nous, mes chéris, on n’aurait pas dû faire ça, du moins pas ici ou pas maintenant ; ça vous aurait épargné ce spectacle.— C’est pas grave, Maman, si on vous a vu faire l’amour, au contraire, c’est plutôt rassurant. J’veux dire, toi tu te tapes plein de mecs, papa est cocu et il a aussi un amant, alors de vous voir faire l’amour comme ça et de t’entendre dire que Papa c’est le meilleur, franchement c’est plutôt cool. C’est rassurant, vous comprenez ? Nous dit Bastien ému.— Oh mon, Chéri, dit Élise en allant le prendre dans ses bras. Ça t’a inquiété tout ce qu’on vous a dit sur nous hier ?— Très franchement oui ! Dit Florian de façon plus stoïque, on a eu peur que vous vouliez vous séparer et, avec Bastien, on n’est pas prêt à ça. Alors il a raison, c’est rassurant de vous voir vous aimer. Ne changez rien !
Dans l’après-midi, j’aidai Élise à faire de la place dans la chambre de Florian pour accueillir Hugo et je pris des mesures pour vérifier qu’on puisse rajouter un lit une personne pour notre futur pensionnaire. Nous en avions un à la cave et il n’y aurait qu’à attendre que Dominique et Hugo soient là pour qu’ils m’aident à le monter à l’étage. Puis nous nous chargeâmes de la cuisine et plus particulièrement des pizzas qu’Élise prévoyait de faire pour les enfants. Pour nous, et dans ces temps de frima, elle avait prévu, en bonne savoyarde, de faire une fondue au fromage. Je m’occupai de couper le pain et de mettre la table puis préparai l’apéritif au salon.Si moi, je m’habillai simplement, Élise se fit très sexy ce qui eut l’heur de me plaire autant qu’aux enfants qui la complimentèrent à leur manière. Tout était fin prêt quand nos amis arrivèrent.Marie-Pierre avait sorti le grand jeu, comme Élise, et, après avoir offert à Élise le bouquet qu’elle avait apporté, elle nous dévoila sa tenue en retirant son long manteau d’hiver. Elle était chaussée d’une paire de bottes à talons hauts, qui lui couvraient les mollets et montaient presque jusqu’aux genoux. Elle portait des bas noirs avec de larges jarretelles en dentelle que l’on pouvait voir sous sa mini-jupe en laine tissée, noir également. Elle avait un chemisier blanc légèrement transparent qui laissait deviner le motif de son soutien-gorge. Son visage était éclatant de beauté et finement maquillé pour mettre en valeur le vert de ses yeux et ses longs cheveux noirs et ondulés, que j’avais toujours vu attachés, tombaient librement sur ses épaules. Dominique, comme moi, c’était contenté d’un pantalon noir élégant et d’une chemise bien repassée. Il avait dans une main la valise d’Hugo et dans l’autre une bouteille d’un bon champagne.
Les embrassades passées, je parlais à Dominique d’aller chercher avec Hugo et Florian, le lit dont je disposais à la cave mais Hugo émis une objection.
— C’n’est pas nécessaire, à chaque fois que je suis venu chez vous ou que Flo est venu chez nous on a dormi dans le même lit.
— C’est vrai, Papa, je sais pas pourquoi tu veux t’embêter avec ça ; on pourra plus circuler dans la chambre et puis dans trois mois faudra le redescendre. J’ai un lit deux places, faut bien que ça serve.— Je ne sais pas ce que vous en pensez ? Demanda Élise à Marie-Pierre et Dominique. Personnellement ça m’est égal mais…— Je crois que ça ne sert à rien de monter ce lit, répondit Dominique, puisque de toute façon ça ne les empêcherait pas de dormir ensemble. On risque de s’embêter pour rien.
L’affaire fut entendue et les deux garçons ravis montèrent les affaires d’Hugo dans la chambre de Florian. Il était tant de passer au salon pour trinquer au champagne. Nous étions assis dans deux canapés, moi à côté d’Élise, dans l’un, et Marie-Pierre et Dominique, en face de nous, dans l’autre. Nous parlâmes d’abord des enfants et j’assurai de les avoir à l’œil sur les questions de travail et de fumette. Comme nous, nos amis avaient goûté étant jeunes et n’appréciaient pas tellement ça. Ils n’auraient pas condamné leur fils pour sa consommation si elle avait été festive et modérée. Par contre, ils considéraient que le deal était une faute inqualifiable, un crime et pour ça Dominique en voulait vraiment à Hugo. Élise leur parla des trois barrettes qu’elle avait finalement conservées et leur expliqua comment elle comptait les distiller. Dominique n’était pas ravi mais il pensa finalement que l’idée n’était pas si mauvaise. J’en profitai pour raconter comment j’avais finalement réussi à mettre Florian au travail le matin en proposant de leur donner accès à mes DVD en fonction de leurs notes de devoirs.
— Ah ah ! C’est incroyable ! S’exclama Dominique hilare. On leur sert la vis en leur donnant tout ce qu’ils veulent !— On était un peu pareil, dit Marie-Pierre en souriant, on marchait aussi à la carotte et au bâton.— Oui, mais eux, ils ont vraiment la carotte et le bâton en dessous de la ceinture. Dis-je pour continuer dans l’humour.— Oh, j’ai l’impression que ce sont de vrais obsédés, déclara Marie-Pierre. Tant qu’ils peuvent mettre leur bite dans un trou ou se prendre une bite dans l’trou, ils sont heureux ! Tiens ! Tu sais c’qu’il faudrait faire s’ils ont leur BAC, Élise, on devrait leur donner notre cul. Hi hi !— Hi hi, non ! Pas comme ça, ça serait trop simple. Il faut faire en fonction des mentions. Pour la mention assez-bien ce serait la bouche, la chatte pour la mention bien et alors là, s’ils explosent tout et décrochent la mention très bien ils auraient droit au trou du cul.
Nos amis rirent de plus belle et Dominique suggéra à Élise de se méfier car il les croyait quand même capables d’un tel exploit, nous aussi. Ils ne la prenaient pas au sérieux mais moi si.
Durant le repas, alors que les enfants se régalaient de pizzas maisons en buvant du coca et en jouant à la wii dans la chambre de Bastien, Dominique et Marie-Pierre nous parlèrent de ce qui leur trottait dans la tête. Ils nous expliquèrent que depuis qu’Élise leurs avait parlé de notre séjour libertin en Jamaïque, ils s’étaient posés beaucoup de question sur leur propre sexualité. Pour la première fois en 19 ans, ils avaient discutés de leurs envies, de leurs plaisirs et de leurs blocages. Marie-Pierre nous expliqua, par exemple, qu’elle avait toujours refusé la sodomie. Ils avaient l’un et l’autre envie de pouvoir avoir d’autres partenaires et de s’ouvrir à d’autre pratiques. Finalement, ils en étaient arrivés à la conclusion qu’il était temps, pour eux, d’essayer de nouveaux plaisirs avant d’être trop vieux. Au départ, ils avaient imaginé faire ça discrètement, sans en parler à qui que ce soit mais après le coup de téléphone de Marie-Pierre, ils avaient compris que, sans le crier sur les toits, ils ne devaient pas en faire un secret. Du coup, ils avaient pris la décision de ne pas le cacher à Hugo pour qu’il ne soit pas surpris s’il constatait des changements dans leurs comportements, leurs emplois du temps ou leurs fréquentations.
— Et il l’a pris comment ? Demanda Élise.— Oh, très bien ! Il s’est juste demandé d’où ça nous était venu. Alors Marie-Pierre à dit qu’on voulait s’inspirer un peu de vous.— Quel honneur ! Fis je en portant la main à la poitrine. Et il en a dit quoi ?— Il a trouvé ça parfait et à dit qu’il trouvait que vous aviez une bonne influence sur nous.— Il a même ajouté que Florian et Bastien avaient de la chance d’avoir des parents aussi libérés que vous.— Et alors, vous avez envie de quoi, en vrai ? Demanda Élise très sérieusement.— Et bien, on aimerait commencer par essayer l’échangisme, juste pour voir si on peut faire l’amour avec quelqu’un d’autre. Dit Marie-Pierre timidement.— Et si l’un peut et l’autre pas ? Demandai-je. Élise, par exemple, a beaucoup plus de mal à me voir avec une autre femme que moi de la voir avec un autre homme.— Ça ne nous a quand même pas empêché de le faire et ça ne nous empêchera pas de le refaire. Mais c’est vrai qu’à chaque fois, ça me demande de prendre sur moi au début, et puis après ça passe. Et puis, faut que je sache qui c’est et que j’apprécie la personne en question ; c’est très important. Avec mon amie Josiane, il n’y a plus de problème, on se voit souvent, Alain, son mari est charmant, et il n’y a que la première fois où ça a été un peu difficile. Et avec vous je suis certaine qu’il n’y aurait pas de problème car l’affect joue beaucoup dans tout ça. Avec tout ce qui nous lie depuis quinze ans je crois que je prendrais même beaucoup de plaisir a te voir faire l’amour avec Jean-Luc.— Tu veux dire qu’il faut bien connaître ses limites… remarqua Dominique mais quand on n’a jamais rien fait de ce genre, comment on peut savoir ?— Avec tes différentes expériences, tu sauras mais avant ça, si tu te connais alors tu as déjà des éléments de réponses. Comment te situes tu par rapport à la jalousie ? Demandai-je à Dominique.— Je ne crois pas l’être, répondit-il. Non, je ne suis pas jaloux.— Je le suis sans doute plus que lui, déclara Marie-Pierre. Mais non, si je fais quelque chose il doit pouvoir le faire aussi.— Entre devoir et pouvoir, il y a une grande différence. En plus ce n’est pas parce que l’un peut se permettre des choses sans faire de mal que la réciproque est vraie.
Élise reprit notre exemple en insistant bien sur mon statut de cocu et expliqua en détail ce que je pouvais et ne pouvais pas faire. Alors que le repas avançait, les langues se délièrent et apprîmes tout de leurs désirs les plus secrets. Ils étaient assez intéressés par des situations du type triolisme avec un autre homme ou à pluralité masculine dans lesquelles Dominique participerait toujours. Ils souhaitaient trouver aussi des gens pour les initier à la sodomie et permettre à Marie-Pierre de vaincre sa peur et à Dominique de savoir rentrer sans faire mal. Élise sourit avant de déclarer que nous étions de grands adeptes de la chose et que nous pourrions les aider avec plaisir.Comme nous avions fini le repas, Élise suggéra que nous retournions au salon. J’en profitai pour mettre un peu de musique et proposai à Marie-Pierre de s’asseoir près de moi. Tandis qu’Élise et Dominique prenaient place en face de nous. La situation était subitement un peu tendue ; pour nos amis il s’agissait de passer aux choses sérieuses, de sauter le pas et Élise et moi dûmes jouer de douceur et de calme pour réussir à les décontracter.
Une foi bien détendue par une longue série de bisous et de caresses, Marie-Pierre se montra très chaude. Elle commença à se coller à moi et à m’enfourcher, faisant ainsi remonter sa mini-jupe sur sa taille. Elle s’assis à califourchon sur une de mes cuisses et je pus, sans difficulté aucune, commencer à la déshabiller et à me régaler de sa grosse paire de loches. Pendant que je fourrais mon nez, ma langue et ma bouche sur ses mamelles sublimes, elle se pâmait et ondulait du bassin, écrasant sa moule sur ma cuisse. Ses mains ne restaient pas inactives car elle défaisait un à un les boutons de ma chemise et les miennes, tout aussi impatientes, après lui avoir retiré son chemisier et son soutien gorge, pelotaient ses fesses rondes, en pétrissaient les globes. Comme ce que je lui avais ôté, ma chemise atterrit un peu n’importe où dans la pièce. Ma bite était bien raide et commençait à se sentir coincée dans la position où nous étions aussi je décidai d’accélérer notre effeuillage. Je l’allongeai sur le canapé, lui retirai ses bottes, sa jupette et son string mais décidai de lui laisser ses bas dans lesquels elle était très sexy. Sa chatte épilée, surmontée d’une toison pubienne proprement taillée, brillait d’humidité et baillait de désir. Sans attendre je partis goûter à ses sucs secrets et m’abreuver de ses parfums subtils. Ma caresse buccale lui arrachait des gémissements de plaisir auxquels répondaient ceux de Dominique qui goûtait sa première gâterie d’Élise. Sans doute dû à l’excitation du moment, Marie-Pierre eut un premier orgasme qui lui fit pousser un cri strident alors qu’elle resserrait ses cuisses sur ma tête en la maintenant des deux mains. Quand elle eut relâché son étau, je pus dégager mon visage trempé de son jus et me redresser. Marie-Pierre se jeta alors sur ma ceinture pour faire tomber mon pantalon. Je l’aidai en retirant mes chaussures, mon caleçon était gravement déformé par mon érection et je vis ses yeux s’écarquiller. Mon pantalon retiré, elle assise sur le canapé et moi debout entre ses cuisses, elle tira sur l’élastique de mon dernier rempart pour découvrir ma queue gonflée de désir et d’arrogance.
— Oh mon dieu ! S’écria-t-elle en la prenant entre ses mains. Je… ça n’rentreras jamais.— Bien sûr que si ça rentrera et en douceur, je te le promets.
Peu rassurée, elle entreprit de me sucer le gland en me branlant avec la main puis je pris le parti de ne pas la faire attendre plus longtemps. Je l’allongeai de nouveau sur le canapé et vint me mettre entre ses cuisses. De leur côté, Dominique et Élise avaient pris un peu d’avance, il la prenait en levrette et, de ce que je pus en juger, cela semblait plutôt agréable pour les deux. Élise eut quand même un regard pour Marie-Pierre chargé de tendresse et d’affection et son sourire éloquent suffit à détendre ma partenaire juste au moment où mon gland se frayait son chemin entre ses lèvres intimes. Je la pénétrai doucement, essayant de ressentir la géographie de son fourreau. La progression de mon gland dans sa matrice s’accompagna d’un « Oh mon dieu » qui se termina en un long gémissement. Je la sentait s’écarter et s’adapter, peu à peu, aux dimensions de mon sexe. Une fois bien au chaud dans sa chatte humide, les couilles en butée sur ses fesses rondes, je déposai sur ses lèvres un baiser passionné. De leur côté, Dominique ahanait et Élise gémissait sous ses coups de reins rapides tandis que moi je prenais enfin possession de Marie-Pierre avec la régularité d’un métronome. Mon sexe allait et venait avec un bruit de clapotis, ressortait parfois puis replongeait au fond de sa grotte détrempée. Marie-Pierre avait fermé les yeux et s’était accrochée à mon cou, ses jambes étaient croisées autour de ma taille et de sa bouche, qui semblait ne plus pouvoir se fermer, s’échappait une longue plainte de plaisir. J’entendis Élise avoir un orgasme mais ses gémissements reprirent et en jetant un coup d’œil je pus constater qu’ils avaient changé de position. Marie-Pierre était une véritable femme fontaine et chacun de ses orgasmes s’accompagnaient de jets de cyprine abondants qui éclaboussaient nos cuisses et nos ventres. Elle avait tellement joui et était tellement abandonné que je la sentis prête. J’arrêtai mes mouvements, la serrai dans mes bras et me retirai d’elle tout doucement. Elle haletait, m’embrassait, pleurait et riait tout à la fois et je m’efforçai de la calmer un peu. Quand je la sentis s’alanguir et reprendre son souffle, je l’invitai à se retourner. Elle se laissa faire, elle était en confiance. J’écartai ses fesses pour dégager sa rosette que j’humidifiai en faisant des allers et retours depuis son vagin ruisselant dans lequel je replongeai ma bite de temps en temps. À chaque fois j’appuyais un peu plus sur son anus et l’envie naquit en elle de sentir mon gland pénétrer. Ses muscles se relâchèrent et ma queue dépucela son petit trou étroit. Je ne forçai pas, pénétrai en douceur, lentement, attentif à la moindre de ses crispations pour éviter toute douleur mais elle n’en eu aucune et elle m’accueillit entièrement. Dominique et Élise qui avaient joui tous les deux se tenaient enlacés sur l’autre canapé et lui paraissait incrédule.
— Il… il n’est pas en train de… balbutia-t-il.— Si, il l’encule mais Chut ! Tu pourrais la perturber, lui chuchota Élise. Laisse la vivre cet instant.
Bien planté dans son cul, les couilles posées sur sa chatte humide, je laissai à Marie-Pierre le temps de prendre conscience de cette intromission et de s’y adapter. Comme elle me confirma que ça allait bien, je me mis à bouger délicatement, puis doucement puis plus rapidement. Marie-Pierre découvrait de nouveaux plaisirs qui lui procuraient des sensations toutes aussi intenses que celles qu’elle avait vécu précédemment. Son plaisir grimpa jusqu’à ce qu’elle crie qu’elle jouissait du cul et ce fut l’instant où je vidai mes couilles au fond de son conduit.
— Vous avez été sublimes. Vint nous dire Élise avant de nous embrasser, Marie-Pierre et moi sur la bouche. Alors, Ma Chérie, pour une première, c’était comment ?— Ouf, c’était… comment dire, surprenant !, et monstrueusement agréable. Ouf, je n’m’en remets pas… Chéri… Dit elle en rougissant à l’adresse de Dominique, ne le prends surtout pas mal mais… j’ai jamais autant joui de ma vie.— J’ai vu, mon Amour, et j’en suis très heureux. Moi aussi, j’ai beaucoup joui ; j’ai vécu quelque chose d’inoubliable. — Ton mari, est un amant magnifique, rajouta Élise, et très endurant. Mon seul regret c’est qu’il n’ait pas osé me la mettre dans le cul.— Ben moi, quand j’ai vu celle de Jean-Luc, j’vous avoue que j’ai eu un peu peur… Mais au final, j’l’ai quand même prise dans l’cul et je suis sûre et certaine que ça m’a ouvert les chakras ! Hi hi. Par contre, j’ai bien peur d’avoir manqué de discrétion…— Tout le quartier à dû t’entendre, ma Chérie. Dit Élise en souriant. Mais on s’en moque si certains sont jaloux. On a tous pris notre pied et c’est le principal.— Je ne pensait pas aux voisins, ça je m’en balance ! Je pensais surtout aux enfants…— Bastien, Florian et Hugo sont au courant de nos pratiques et vous avez dit à Hugo que vous vouliez faire évoluer votre sexualité vers une forme de libertinage, dis-je simplement. Alors je ne crois pas qu’ils aient été dupes une seule seconde quand on leur a dit que nous faisions une soirée d’adultes en bas et qu’il avait quartier libre pour une soirée d’ados en haut. Bien sûr, qu’ils ont dû entendre et peut-être même sont-ils venus voir. On n’en sait rien. Mais si c’est le cas, ça m’étonnerait que ça les ait rendu aveugles.— Oh, aveugles, surement pas, dit Marie-Pierre, mais ça pourrait quand même les avoir choqués…— Je ne pense pas, dit Élise, Bastien et Florian nous ont vu faire l’amour ce matin dans la cuisine et Hugo nous a vu dans des situations très hot en vidéo. En plus, si on en juge par ce qu’on connait de la relation entre Hugo et Florian et par ce que nous ont dit nos enfants de leur propre relation, il y a fort à parier que ça a plutôt été la fête de slip là haut comme ici.— Je ne sais pas si c’est très correct de demander ça, mais est-ce-que tu pourrais nous montrer ce que Florian et Hugo ont regardé l’autre jour, Me demanda Marie-Pierre. Je suis un peu curieuse mais ça m’intrigue… Enfin, si tu es d’accord, Élise.— Bien sûr que je suis d’accord. Tu vas chercher ça, Chéri ? T’en profiteras pour voir ce que fond nos enfants.
Marie-Pierre décida de m’accompagner et nous commençâmes par aller voir les enfants. Comme je le prévoyais, ils étaient nus tous les trois et Bastien dormait sur son lit, les jambes écartées et les fesses rougies tandis qu’Hugo et Florian disputait une course automobile sur la wii. Je frappai deux coups à la porte pour signaler notre présence et nous entrâmes, Marie-Pierre et moi. Autant, je n’étais pas gêné par la nudité devant mes enfants, autant je sentis un trouble naître chez Hugo et sa mère ; ils étaient rouge pivoine tous les deux.
— Bastien dort, dis-je négligemment. Vous ne l’avez pas forcé, j’espère.— Non, Papa, me répondit Florian. Ça fait des mois qu’il nous le demande, alors ce soir, tu comprends, ça a été plus dur de lui refuser.— Je comprends, dis-je en plaçant mon petit plus confortablement dans son lit et en le recouvrant de sa couette. Par contre, comme il dort, ce serait bien d’arrêter votre jeu et d’aller dans votre chambre.
Les deux garçons ne firent pas d’histoire et Florian m’embrassa sur la bouche au passage. Ils voulaient descendre avec nous et je leur demandai d’attendre encore une heure. Marie-Pierre m’accompagna à mon bureau où je pris le DVD dont je voulais passer un extrait et nous retournâmes au salon où Élise et Dominique étaient occupés à s’embrasser et se caresser. Tous les quatre, nous nous serrâmes dans le canapé du coin télé et je lançai la lecture en leur expliquant que ce que je souhaitais leur montré constituait un des rares souvenir commun de nos vacances, que c’était aussi la première fois que j’avais enculé Élise et la première fois que je m’étais fait enculer. Dominique et moi occupions le centre du canapé et l’ambiance était franchement détendue. Élise et moi commentions ce qui se disait et expliquions qui était qui. Nos amis étaient fascinés par ce qu’ils voyaient et Marie-Pierre qui me branlait depuis le début du film décida d’imiter ce qui se passait à l’écran. D’un coup, elle vint s’asseoir sur moi et, très sûre d’elle, elle vint s’enculer sur ma bite tendue. Une fois qu’elle fut enfoncée à fond, je me mis à l’embrasser dans le cou et à lui peloter les seins. Élise et Dominique échangèrent deux ou trois mots que je ne saisis pas puis ma femme sortit précipitamment du salon pour revenir peu de temps après équipée de son gode ceinture.
Dominique abandonna le canapé et, sans lâcher Marie-Pierre, je m’allongeai dessus. Alors Dominique se présenta devant elle et pénétra sa chatte. Marie-Pierre était aux anges, je ne bougeai presque pas et laissai faire son mari qui, pour ne pas jouir tout de suite, céda sa place à Élise. Ma femme besogna Marie-Pierre jusqu’à ce que je jouisse dans son cul et qu’elle atteigne l’orgasme. Une fois libéré du poids des deux femmes, la suite me parut évidente et je me pliai de bonne grâce au jeu. Sans un mot, je m’approchai, à genoux, de Dominique et pris sa verge en bouche quelques instant avant de me mettre à quatre pattes devant lui. Sur les conseils d’Élise, Dominique vint humidifier ma rondelle avec sa langue puis je sentis enfin son gland venir appuyer sur mon anus qui s’ouvrit pour le laisser passer. Dominique me baisait bien, sa queue faisait des miracles et je ne fus pas long à jouir du cul. Il se montra très endurant et bientôt il me fit changer de position pour me prendre de face. C’est à cet instant que nous aperçûmes Florian et Hugo qui étaient venu nous rejoindre avec un peu d’avance et qui restaient discrètement dans l’entrée du salon. Élise leur sourit et se tourna vers Marie-Pierre qui s’équipait du gode ceinture.
— Maintenant qu’ils sont là, on peut peut-être les inviter à s’approcher ? Proposa Élise en s’agenouillant au dessus de mon visage pour que je lui bouffe la moule.— Oooo… Oh Oui. Aaaaah… Ah putain oui ! Cria Dominique qui exprimait plus sa jouissance que son approbation.— Venez, les enfants, vous pouvez approcher. Dit Marie-Pierre qui se préparait à me prendre après son mari.
La pénétration du gode fut plus douloureuse que lorsque c’est Élise qui me prend mais je l’encaissai quand même en me concentrant sur la vulve humide de ma femme. Sentant sans doute que ses mouvements ne me procuraient pas le plaisir attendu, elle ressortit et je sentis d’autres mains s’emparer de mes cuisses écartées. Conscient du fait qu’elles ne pouvaient appartenir qu’à Hugo ou Florian, je paniquai intérieurement sans pour autant être capable de réagir. La pénétration qui suivit était divine et effaça d’un coup les douleurs de la précédente et mes scrupules. La bite qui me ramonait l’anus était large, longue et douce et elle me procurait un plaisir divin. Élise se releva et je me retrouvai nez à nez avec Florian qui me sourit gentiment avant de venir déposer un baiser sur mes lèvres. Je ne put faire autrement que d’y répondre, de mêler ma langue avec la sienne, et de m’accrocher à lui en clamant qu’il me faisait jouir. Il ne fut pas long, lui-même, à prendre son plaisir et quand il m’eut bien rempli le cul, il laissa sa place à Hugo que j’accueillis sans honte entre mes reins. Comme je l’avais fait avec mon fils, je l’étreignit et l’embrassai avec fougue. Sa bite était un peu plus fine et elle coulissait avec aisance dans mon fondement. Chaque aller et retour faisait grimper ma jouissance et je gémis comme une chienne en chaleur jusqu’à ce que lui aussi prenne son plaisir en moi. Élise éteignit la vidéo que plus personne ne regardait et vint s’agenouiller près de moi qui restais allongé, incapable de réaliser ce qui venait de se passer.
— Détend toi, mon Chéri, dit elle en me caressant la poitrine. Il n’y a rien de grave…— Je… j’ai offert mon cul à Florian et Hugo et tu dis qu’il n’y a rien de grave ?— Si s’est arrivé, c’est que ça devait se faire… On y a tous assisté et on y a tous contribué à notre manière. Tu n’as commis aucune faute ; c’est de ton corps dont on a abusé, pas du leur.— Tu sais, Jean-Luc, avec Dominique on a trouvé que c’était très beau au contraire, me dit Marie-Pierre qui s’était agenouillée de l’autre côté, et très émouvant quand tu as enlacé Florian. On sait tous que ce n’était pas un acte réellement désiré au départ, ni de toi, ni de personne. Concentre toi seulement sur le plaisir que tu as pris ; c’est la seule chose vraiment importante.
Élise et Marie-Pierre continuèrent de me rassurer pendant quelques instants puis elles m’embrassèrent l’une et l’autre avec tendresse. Je pus enfin me relever et je vis que les deux garçons se sentaient mal alors je les pris tendrement dans mes bras et les serraient contre moi avant d’échanger avec eux des baisers amoureux sous les applaudissements de Marie-Pierre, Élise et Dominique. Bien qu’il se faisait déjà bien tard, je proposai de boire un dernier coup tous ensemble avant d’envoyer les enfants au lit. Élise dit qu’elle s’en chargeait pendant qu’on prenait place dans le salon. Florian et Hugo ne me lâchèrent pas d’une semelle et je m’assis avec eux dans un canapé. J’en avais un de chaque côté et ils me cajolaient pendant que je discutais avec les parents d’Hugo ravis de cette première expérience libertine. Élise se joignit à notre conversation lorsqu’elle revint avec une bouteille de champagne bien fraiche, du jus de fruit et des petits gâteaux et prit place à côté de Dominique. Elle profita de l’occasion pour dire à Florian et Hugo qui venaient de me sauter, qu’ils ne pourraient pas profiter d’elle avant les résultats du BAC et leur expliqua que l’accès à ses orifices serait fonction de leur mention. Marie-Pierre, qui avait suggéré cette idée dans une boutade, rougit en déclarant qu’elle accorderait les siens aux mêmes conditions. Florian commença par dire que, la mention très bien étant inatteignable et qu’ils n’étaient pas près de les enculer mais Hugo, après un rapide calcul, ne fut pas de son avis. Il prit en compte leurs notes aux épreuves de fin de première et démontra à Florian que rien n’était perdu même si cela s’avérait très difficile. Tout sentiment de culpabilité était évanoui et toute pudeur aussi. Nos femmes parlaient de coucher avec nos enfants en leur exposant leurs vulves ouvertes et humides. Dominique embrassait alternativement Élise et Marie-Pierre tandis que je recevais les baisers de Florian et Hugo. Les mains se faisaient négligemment baladeuses tandis que nous reparlions ouvertement de la soirée en envisageant de recommencer rapidement.
— Ça ne peut être que le week-end prochain car après on part en Normandie chez mes parents pour toute la durée des vacances, dis-je en masturbant simultanément les deux garçons. Ou alors dans un mois.— Ce sera dans un mois, Chéri, me répondit Élise en abandonnant la verge de Dominique qu’elle avait en bouche. Car samedi prochain je vais avec Josiane et Alain à une soirée à pluralité masculine, mais vous pourriez venir avec moi, dit Élise à nos amis. Ce serait une bonne occasion pour vous les présenter.— Et toi, Papa, tu seras où ? Me demanda Florian qui me rendait mes caresses— Moi ? Je serais avec vous, bien sûr. Vous ne croyez quand même pas que je vais laisser des polissons comme vous sans surveillance. Dis-je avant de ravaler la bite de mon fils.— M’est avis que ce sera une surveillance très rapprochée. Dit Dominique en rigolant.— C’est à se demander qui va s’occuper de qui ? Rajouta Marie-Pierre.— Dites donc, messieurs, dit Élise en admirant nos quatre verges tendues. Si vous bandez tout le temps, on n’est pas couchés. Ça ne vous dirait pas d’accélérer le mouvement ?
Élise prit la main de Marie-Pierre et l’entraina au milieu du salon où elles se mirent à genoux en s’embrassant et en se caressant. Puis elle nous invita à venir nous masturber au dessus d’elles. Les deux garçons choisirent d’éjaculer sur le visage et dans la bouche ouverte de leur mère respective. Je répandis mon foutre sur l’opulente poitrine de Marie-Pierre et Dominique envoya sa sauce, comme Florian, dans la bouche d’Élise. Elles s’embrassèrent pour partager les offrandes qu’elles avaient reçu puis Élise lécha les seins de Marie-Pierre avant de l’embrasser à nouveau.
La soirée se termina sur des notes humoristiques, Marie-Pierre et Dominique ayant eu un peu de mal à retrouver leurs habits éparpillés. Puis ils prirent congé de nous et de leur fils qu’ils embrassèrent comme nous et comme Florian sur la bouche. Il était près de deux heures du matin et nous étions tous fatigués.
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