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Après le lycée

Chapitre 1

Gay
Nous sommes sortis de table vers 19 heures. Ils sont amis depuis le collège. Ses parents étaient partis en Normandie pour le weekend. Mais moi je les ai connu quand je suis arrivé au Lycée du Vésinet. En sortant des cours nous sommes allés chez Sebastien.Nous avons joué au basket pendant un moment. Joel joue en club et il est plutôt fort. Il avait un de plus que moi, et sa corpulence est déjà très développée. C’est un grand brun avec des jambes très musclées et un torse large. J’ai toujours été très impressionné par son corps. Il a des jambes très longues avec des mollets et des cuisses grosses comme celle d’un homme adulte. Ces mains immenses aussi témoignent de son corps très en avance pour son âge. Moi et Arthur étions les moins bons. Nos silhouettes élancées et fines trahissaient des natures plus réservées et paisibles. Les parents d’Arthur sont arméniens. Une mèche de cheveux sombres comme la nuit tombe à peine au-dessus de ces beaux yeux verts habillés par des longs cils noirs. Aussi bien Arthur que moi avions du mal à jouer de la façon agressive et virile de Sebastien ou Joel. Sebastien était ce genre de garçon qui jouit d’une grande aisance pour toutes les activités physiques. Il était certes fin mais musclé. Il jouait au basket avec une grande élégance mais avec une puissance qui étaient manifeste dans la façon dont ses muscles se donnaient à voir. Il faisait déjà chaud dans ce mois d’avril et Seb’ jouait torse nu. Avec sa belle cambrure il semblait danser sur le terrain au fond de son jardin. Quand il sautait pour mettre un panier ses pectoraux se développaient majestueusement comme pour prendre leur essor, ses muscles abdominaux se contractaient.
Après avoir joué nous sommes allés dans la cuisine manger un truc. On s’est fait des sandwichs et on a bu quelques bières. Quand on est sorti de table on a décidé d’aller voir un film tout en fumant un gros joint pur. Sebastien avait de la "weed" que son cousin avait oublié. Il y en avait masse. Pendant le film j’étais "fonsdé". On était dans la bibliothèque où était aussi installé le retro-projecteur. Il y avait deux gros sofas deux places et des gros poufs. Moi et Joel on était sur l’un des sofas, bien au chaud sous 3 ou 4 plaids que l’on se partageaient. Sebastien était allongé sur le ventre à moitié sur la moquette et à moitié sur l’un des poufs. De là où j’étais assis je pouvais voir se dessiner ses fesses sous sont jogging. Elles étaient parfaitement rondes et musclées. Arthur était allongé sur l’autre sofa. Mais je crois qu’après le cinquième joint il commençait déjà à s’endormir. Ce qui est plutôt normal en fait. C’était l’une de ces comédies adolescentes qui tournent toujours autour du même sujet de la perte de la virginité et des premières expérience sexuelles. Les filles avec des gros seins sont immanquables. Pendant l’une de ces scènes chaudes j’ai senti la main de Joel toucher ma cuisse sous les plaids. Je n’ai rien dit. Elle pouvait prendre presque toute ma cuisse. Elle se faisait de plus en plus pressante. Je comprenais rien, mais il était en train de me caresser l’intérieur de la cuisse tout en faisant semblant de regarder le film imperturbablement. Je n’ai rien fait. Mon corps à réagit et je me suis mis à bander sous mon jean. Sa ma glissa de ma cuisse au bas de mon ventre, puis sous mon pantalon. Il prenait mon pénis en érection à travers mon boxer. Personne semblait remarquer et je me laissais faire. Au bout d’un moment il retira sa main. Il demanda impérialement à Sebastien de rouler un autre joint. Sebas accepta mais dit que le reste de la weed se trouvait dans sa chambre à l’étage. Après quelques négociations de principe, il accepta d’aller la chercher. Une fois que Seb sortit, j’ai immédiatement commencé à caresser le paquet de Joel. Il ne dit rien, mais sourit d’un air satisfait. Je n’étais pas déçu. Sa bite semblaient monstrueuse à l’intérieur. J’avais l’impression de sentir un immense tuyaux tordu dans tous les sens sous ce jean serré. C’était incroyablement gros et dur. Sans le regarder dans les yeux j’ai ouvert trois ou quatre bouton de son jean pour mieux pouvoir introduire ma main sous son caleçon. Il souriait toujours. J’étais trop excité. Je n’avais jamais touché la bite d’un autre mec. J’ai mis ma tête sous les plaids, j’ai baissé son boxer afin que son membre puisse s’ériger majestueusement. Il devait bien faire vingt centimètres avec un gland gros comme une clémentine. J’avais à peine posé mes lèvres sur le bout de son pénis que je sentais déjà sa main sur ma tête qui me poussait à avaler son immense teub entièrement. J’ai enchainé quelques va-et-vient, avant d’entendre les pas de Sebastien qui s’approchaient de la bibliothèque. Il avait déjà fini de rouler dans chambre. Il ne semblait rien avoir noté. On éclata le joint et fumâmes en regardant la fin du film. On était bien fonsdés. Arthur dormait toujours. Sebastien nous proposa d’aller dans le salon pour le laisser dormir. Pendant quand descendait les escaliers, Joel posait ses mains sur mes fesses. J’avais envie de continuer à le sucer. J’avais pas perdu mon érection depuis qu’il avait commencé à me tripoter. Je revivais chaque moment dans ma tête. J’avais encore en nez l’odeur faite de musc et de sueur. Je savais plus quoi faire. En argumentant que j’avais faim, j’ai proposé de faire à manger. Sebastien a dit que c’était galère, mais que la cuisine n’était pas sous cadenas. Et l’air totalement détaché il pris la télécommande sur la commode et alluma la télévision. J’ai regardé par terre et à mon grand soulagement j’ai entendu Joel dire qu’il viendrait m’aider à cuisiner. Mon coeur battait très fort et assez stupidement j’ai cru que cela s’entendrait. J’ai filé dans la cuisine sans rien dire, suivi de Joel. J’ai ouvert le frigo et machinalement j’ai pris des tomates et je me suis mis à les couper. Je coupais vite et de façon irrégulière. Et son souffle suave et viril est venu se couver dans ma nuque, sa main posée sur mes fesse caressait mon entre-jambe du bout des doigts. Il lâcha « retourne toi » d’un murmure qui était un ordre. Je me suis retourné et me suis mis à genoux devant lui. J’ai recommencé le geste de la bibliothèque avec la même nervosité. J’ai sucé très lentement sa verge. Elle entrait qu’à moitié dans ma bouche et j’avais l’impression qu’elle la remplissait. Mais ses deux mains en se posant sur ma tête m’enfoncèrent son pachydermique membre en entier. J’arrivais à peine à respirer, mais il s’en foutait. En me tirant par les cheveux il m’imposait le rythme qu’il voulait. J’avais les mains posées sur ces cuisses fermes quand je l’ai senti fléchir les jambes. Sa bite se raidit dans ma bouche et son gland laissa exploser son sa semence dans ma bouche. Il maintint sa bite à l’intérieur de ma bouche en poussant ma tête conte son bassin de deux main. Quand il me libéra de l’emprise de ses mains, j’ai pu lécher ce qu’il restait de sperme sur son gland. Il râla de plaisir très fort. J’ai eu peur que Sebastien eut eu entendre. Nous sommes revenus dans le salon avec des sandwichs. Nous les dévorâmes avec cette faim qui caractérise les personnes sous l’effet du chanvre. Sans rien dire Joel se leva et parti pour l’étage. Ça faisait un moment qu’il somnolait sans rien dire. Le salon ne semblait habité que par le bruit anonyme des personnages de la télévision. Je n’osais pas parler à Sebastien. Rien semblait pouvoir percer notre mutisme.« Tu l’as sucé? Me demanda Seb très calmement »Je n’arrivais à rien répondre. J’ai regardé par terre. « C’était bien de le sucer? repris Sebastien tout aussi sereinement-Tu nous a entendu?-J’étais pas sur au début, mais je crois que tu viens de le confirmer »Puis le silence se réinstalla pendant quelques secondes encore. J’ai maladroitement essayé de couvrir l’histoire en disant que j’étais puceau et ça m’avait excité. Il me confia que lui aussi en rigolant. Je ne répondis rien. Il se leva et baissa son pantalon en me présentant sa bite dressée à la hauteur de mon visage. « Suce moi alors ».Comme je ne faisait rien, il approcha son membre jusqu’à ma bouche comme pour ouvrir mes lèvres de force. J’ai accepté son gland. Je l’ai pris entre mes lèvres en le suçant très rapidement. La respiration de Sebastien semblait plus forte. Il kiffait. J’ai pris sa bite avec une main pour le branler pendant que je léchais ses couilles. Je les prenais entre mes lèvres puis entièrement dans ma bouche. Ma langue glissa de ses testicules et le long de sa verge jusqu’au gland. J’ai léché ce gland tout rose comme une glace. « Oui, oui, suce moi putain ». J’ai entrepris des mouvement de va et vient avant de prendre toute sa bite dans ma bouche de ma propre initiative. Sa teub cognait contre le fond de ma gorge. Elle était certes moins épaisse que celle de Joel, mais tout aussi longue. Je caressais ces fesses rondes avec mes deux mains, elles étaient aussi musclées que je l’imaginais. Mes mains en attrapant ses fesses faisaient bougeait son bassin de plus en plus vite. Il respirait fort et presque au rythme auquel il pénétrait ma bouche. Enfin, j’ai senti ses fesses se contracter sous mes mains, puis il me donna deux ou trois coups de reins puissant avant de décharger dans ma bouche. Et comme pour Joel j’ai léché le sperme restant sur son gland. Il cria de plaisir et essayait même de se débattre tellement il était sensible à mes dernier coups de langue.
Il ne dit plus rien, il se contentait de sourire comme un vainqueur. Puis il y l’indélicatesse de me remercier avant de monter à l’étage avec les autres. Je suis resté seul dans le salon, je n’arrivais pas à croire se qui venais de se passer.
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