Nous sommes un couple marié depuis 9 ans. Moi, 38 ans, je suis un homme ordinaire, 1m75, 80 kilos. Ma femme, Nathaly, à 29 ans, mince, environ 50 kilos, 1m56. Cheveux châtains-blonds, seins très fermes 85B qu’elle porte à merveille. Le fait qu’elle pratique quelques sports, lui donne de jolies cuisses, légèrement musclées. Bref, c’est une femme très jolie à regarder. Sur le plan sexe, comme bien des gens mariées, nous faisons l’amour occasionnellement. En moyenne 5 à 6 fois par mois. Mon désir est plus grand que le sien mais son travail de technicienne médical l’épuise. Par amour, j’accepte ses refus, mais elle sait très bien se faire pardonner en se blottissant dans mes bras pour mieux s’endormir. Par contre, quand c’est elle qui fait les premiers pas, j’oublie vite mes frustrations, quand elle me fait monter au septième ciel. Elle devient comme une petite chatte qui se frotte pour avoir ses caresses. Tout comme le reste de son corps, son sexe est menu et assez étroit, quoique sa forme proéminente soit très excitante. Ses petits gémissements me guident, tout au long de l’acte, pour la maintenir au bord de l’orgasme et la faire jouir quand je le veux bien. Ma femme est très timide, mais dotée d’une grande féminité. Quand on la regarde, on voit en elle une petite femme fragile que l’on a envie tout simplement de protéger. J’ai peine à imaginer la voir seule dans la vie. J’exagère sûrement un peu, mais c’est le sentiment qu’elle me donne, peut-être pour me faire sentir que je suis son homme, son chevalier, son protecteur.Les week-ends, on aime bien aller se promener au centre-ville pour voir tous ces touristes qui nous envahissent tout l’été. Nathaly aime bien entrer dans les petites boutiques de souvenirs ou d’artisanat. Je me rends compte à quel point elle est jolie, quand j’observe les hommes la regarder, la désirer. Aujourd’hui, il fait 32 degrés. Elle porte une petite jupe beige très ajustée, un peu plus courte que la mi-cuisse et une camisole assez opaque pour qu’elle se soulage de porter un soutif. Je m’amuse souvent à la laisser aller seule lorsque nous sommes dans une de ces boutiques à touriste. De loin, je l’observe, l’examine comme si j’étais un étranger. Je regarde ses pieds ornés d’ongles décorés avec un vernis de couleur pâle, ses jolies cuisses à la peau lisse, légèrement bronzées, ses petites fesses bombées, son sexe qui forme une bosse assez remarquable dans sa jupe et ses jolis seins qui se promènent discrètement sous sa camisole. Ça peut vous donner une idée à quel point je tiens à cette femme qui est mienne et dont je suis toujours aussi amoureux que le premier jour de notre rencontre. Par contre, j’ai mon petit côté sombre, bien caché au fond de ma bulle. J’aime voir les hommes la regarder, surtout quand ils observent la bosse de son sexe à travers ses vêtements, au point où je trouve certaines situations très excitantes.Au début de notre relation, alors qu’elle habitait toujours chez ses parents, Nathaly avait un petit groupe d’amis avec lesquels nous sortions assez souvent les week-ends. L’un d’eux, Denis, demeurait à trois rues et venait la voir régulièrement. Après notre mariage, Denis a continué ses habitudes en venant nous rendre visite 3 à 4 fois semaine, sans se rendre compte que la plupart du temps, il nous dérangeait. C’est un gars assez grand, un peu musclé mais pas le profil d’un tombeur de femme. C’est le type de gars qui se fout le nez dans tes affaires et qui se permet de toujours donner des conseils sans qu’on lui demande. J’ai parlé de ce problème avec Nath qui devait bientôt lui parler seul à seul et lui faire comprendre que nos vies ont changés. C’est un gars très gentil, mais ce défaut de ne pas savoir quand partir et ses visites à répétition, ont fini par déranger notre vie de couple. A l’automne, trois mois après notre mariage, Denis nous appelle pour nous inviter en après-midi et qu’il nous préparerait un petit repas à sa façon parce que ses parents sont partis pour le week-end et qu’il a la maison pour lui seul. On décide finalement de lui faire plaisir et acceptons l’invitation. Comme il pleut à torrent, par ce samedi, on est arrivé chez lui vers 14h00. Il avait loué un film d’action, acheté bière et vin sans oublier de se procurer quelques joints qu’il aime bien savourer à l’occasion, même si moi et Nath n’avons jamais touché à quelques drogues que ce soit. Denis nous offre une bière et nous invite à descendre à sa chambre au sous-sol où se trouve sa télé et système de son. En arrivant dans la chambre, de larges coussins sont sur le sol, lui servant de fauteuil et il nous invite à nous y installer. Nathaly est un peu mal à l’aise puisqu’elle est en jupe. Elle finit par trouver une position afin de ne pas montrer ses dessous. Je prends place un peu à l’écart et Denis vient s’asseoir tout près d’elle. Comme ce sont des amis de longue date et que jamais rien ne s’est passé entre eux, je le vois comme si c’était son frère, rien de plus. Nous commençons à regarder le film d’action et après environ une demi-heure de visionnement, il s’est passé déjà trois scènes de sexe assez explicite. Denis ne manque pas de passer ses commentaires à Nathaly qui le regarde en lui affichant un petit sourire gêné, sans lui répliquer. Le film se poursuit encore quelques minutes. Il met la vidéo sur pause et offre à Nathaly sa boisson préférée, un rhum brun avec glace. Comme il est encore tôt, elle accepte et m’offre une autre bière. Il revient avec les drinks et prends de nouveau place, un peu plus près, à côté de ma petite femme. Il s’étire de tout son long pour aller chercher un petit sac de cuir. Il nous demande si ça nous dérange s’il fume un joint. Comme on est chez lui, on lui donne notre accord, même si je n’approuve pas particulièrement. Nath lui demande pourquoi il a toujours besoin de cette drogue, question qui devient un sujet de conversation entre nous trois. De fil en aiguille, il finit par nous convaincre d’essayer. Il se lève pour aller dans un de ses tiroirs pour sortir tabac et papier pour nous en rouler un, sous prétexte que ce qu’il a dans son sac noir est un peu trop fort pour nous. Il donne le joint à Nath qui l’allume et Denis qui la guide, en lui faisant prendre et retenir une première bouffée. Elle s’étouffe avec évidence et il l’invite à tirer à nouveau, mais un peu plus légèrement. Elle me tend le joint pour que j’essaie mais ne prends qu’une légère bouffée et lui repasse le joint. Denis reprends la vidéo. Même si la tête me tourne un peu, je ne sens pas beaucoup l’effet de cette fumée. J’observe ma petite femme qui prend son joint en buvant un verre de rhum. Ça ne lui ressemble tellement pas. Voilà une autre scène de cul au milieu du film. Une femme agent spécial est tenue capturée, étendue dans un lit avec bras attachés et bâillonnée. Les hommes assez violents lui enlèvent ses vêtements pour la faire parler, mais elle ne donne aucun signe de soumission. Les hommes commencent à la caresser…. Et la suite… Je vous laisse deviner. Denis ne manque pas de sauter sur l’occasion pour lancer d’autres commentaires. Il regarde Nath et lui demande si elle aimerait ça être à la place de cette femme avec trois hommes pour elle seule. Elle le regarde à nouveau, gênée de ses propos et lui sourit sans lui répondre. Il continue sans se soucier de moi, lui faisant prendre place dans le lit, dans son imaginaire. Elle continue à regarder le film et je m’aperçois que ses mamelons sortent et pointent à travers sa camisole, moi qui étais persuadé qu’elle portait un soutif. Denis ne manque pas de lui regarder les seins, faisant semblant qu’il n’a rien vu et continue à la mettre en situation. Par la suite, il a fini par se calmer et un silence a envahi la pièce, sauf le film qui continue à tourner. Nathaly a déposé son verre vide sur le plancher. Je la regarde changer de position et se place dos à Denis, sur le côté, les jambes un peu repliées, sans trop se soucier de sa jupe qui dévoile une bonne longueur de ses cuisses. Quelques minutes passent et je vois Nath qui a la tête appuyée sur un coussin et qui semble dormir. L’alcool et le joint ont eu raison d’elle. Sans m’en apercevoir, Denis s’est collé un peu plus à son postérieur. Mon côté sombre fait surface et je décide de faire semblant de dormir moi aussi, tête appuyée sur un coussin. Les vitres de son meuble de télé font un effet miroir et je peux voir Denis presque collé à ma douce femme. Je le vois tourner la tête vers moi, tente de me parler, mais je joue mon jeu et fait semblant de ne pas l’entendre. Je l’observe et j’avais raison d’avoir un doute sur ses intentions. Il se penche sur elle pour lui parler à basse voix, mais elle ne se réveille pas. Persuadé que nous sommes endormis tous les deux, je le vois avancer son bras, longeant les cuisses de ma belle femme et je vois sa main entrer sous sa jupe, par derrière. Je sens mon sexe gonfler au max en quelques secondes. Je ne croyais pas à ce que je voyais et moi qui le laisse faire. Je regarde sa main en progression. Il monte délicatement sa jupe un peu plus haut sur sa cuisse. Sa main descend et je vois son bras s’avancer et se tortiller. J’imagine qu’il tente de dégager son sexe de sa fine lingerie en voulant tasser le tissu. Sa main devient presque inactive, sauf de petits mouvements aléatoires. Soudainement, Nathaly bouge un peu. Il retire sa main à la vitesse de l’éclair de peur qu’elle se soit réveillée mais son bassin se colle un peu plus sur Denis et elle avance un peu plus sa jambe droite qui retombe sur un des coussins. Le destin arrange bien les choses à ce que l’on dit. Il laisse passer deux ou trois minutes et glisse à nouveau sa main bien lentement sous sa jupe. Ses cuisses sont un peu plus écartelées, laissant plus de latitude à ses idées dépravées. Son bras oscille à nouveau par de petits mouvements comme s’il cherchait quelque chose. Son bras s’avance et je vois le tissu de sa jupe bouger, ce qui me confirme qu’il touche son sexe. Il fait quelques petits mouvements avec sa main pendant quelques minutes. Nathaly ne bouge toujours pas, complètement assommée par le joint et l’alcool et Denis doit sûrement penser que je suis dans le même état. J’ai le cœur qui bat déjà à plein régime. J’observe toujours son bras s’activer derrière le dos de ma jolie femme. Il se replace en bougeant le bassin et je vois son bras avancer encore un peu plus. Il oscille encore un peu et semble glisser lentement entre ses cuisses. Nathaly a eu un petit gémissement sans plus et lui reste presque immobile, ne faisant que de petits gestes très délicats. Je le vois retirer sa main, sent son doigt, sûrement imbibé du jus du sexe de Nath et le porte à sa bouche pour en lécher le liquide. Il sort son doigt, pousse un peu plus la cuisse de Nath avec son genou pour l’écarteler un peu plus et retourne sous sa jupe une nouvelle fois. Il observe le même stratagème, oscille le bras, mais cette fois, s’enfonce plus lentement. J’entends à nouveau un petit gémissement provenant de ma petite femme. Denis se retire prudemment, sans rien brusquer attends quelques secondes et s’enfonce à nouveau. Elle se remet à gémir comme elle sait si bien le faire, tout en douceur et émettant de petits sons timides et langoureux, ce qui n’est pas pour ralentir les idées sombres de notre hôte. Il sort à nouveau sa main et lèche deux doigts, sans oublier d’en sentir l’odeur avant. Sa main descend vers la fermeture éclair de son pantalon, baisse le zip lentement pour ne pas faire de bruit et entre sa main pour sortir un sexe très viril. Un sexe d’environ 18cm mais très large. Il se caresse un moment et retourne sa main sous sa jupe. Encore une fois, je vois son bras glisser lentement, mais avec de petits mouvements bien précis. Après quelques secondes, Nath recommence à gémir. Denis continue ses petits mouvements et s’enfonce toujours un peu plus. Je suis bandé comme jamais je l’ai été et heureusement, je suis dans une position pour qu’il ne s’aperçoive pas de mon éveil. Les gémissements de ma femme deviennent régulier mais tout aussi discrets. Denis s’enfonce toujours un peu plus dans son sexe et semble très excité de la réaction de Nathaly. Son bassin commence à faire de petits mouvements mais bouge lascivement. Avec son autre main, il se caresse le sexe qui est devenu énorme, beaucoup plus gros que le mien et beaucoup plus nervuré. Il devient très excité. Tout en continuant sa pénétration, Il laisse son sexe et décide de remonter la jupe de Nath encore plus haut, de façon à ce qu’il puisse voir son joli petit sexe. Il sort encore une fois ses doigts, trois et les portent à sa bouche pour les lécher ou plutôt les déguster. Je le regarde admirer la beauté de ce corps qu’il a décidé de disposé à sa façon, heureux du résultat du mélange d’alcool et du pétard un peu spécial qu’il lui a fait fumer car je sais qu’un seul joint n’aurait pu la mettre dans cet état. Il penche soudainement sa tête vers son sexe et s’enfonce entre ses deux cuisses. Je le regarde sortir sa langue et plonger entre ses lèvres. Sa tête bouge nerveusement, jetant toujours un œil de mon côté et s’assurer que je suis toujours moi aussi dans un sommeil profond. Pauvre lui, s’il savait. J’aurais presque envie de le surprendre en plein viol et lui laisser l’autorisation de continuer, mais le plaisir ne serait pas aussi intense. Le film est finalement terminé et un silence règne dans la pièce, sauf la langue de Denis qui se délecte du nectar de ma femme. J’entends le clapotis de sa langue entre les lèvres du sexe qui à présent, ne m’étais que réservé. Nath bouge à nouveau un peu le bassin, venant à l’encontre de cette bouche étrangère. Un de ses genoux remonte un peu, faisant basculer ses hanches un peu plus sur le visage de Denis. Il plonge encore plus profondément sa langue entre ses lèvres et se délecte comme un vrai dépravé, allant jusqu’à oser déplacer encore un peu plus sa cuisse du dessus, pour délivrer un peu plus sa petite chatte. Nathaly gémit toujours sous l’emprise de la bouche de Denis. Inconsciemment, ses hanches réagissent à la caresse buccale, incitant son ami à continuer de plus belle.
Le sexe de Denis est dressé, veines prête à éclater. Il se redresse, entre ses doigts dans sa bouche pour les humecter de sa salive. Son bras bouge toujours de la même façon mais cette fois-ci, ayant remonté sa jupe assez haut, sur ses fesses, il peut regarder son acte dépravé et admirer les lèvres de son sexe s’ouvrir et s’écarteler à l’insertion de ses doigts. Je ne peux m’empêcher de tourner très discrètement la tête pour pouvoir regarder hypocritement cet homme, s’amuser avec le sexe de ma femme, sans l’intermédiaire d’une vitre réfléchissante. Je peux ainsi mieux voir le petit corps de la femme que j’aime, sous l’emprise de ce désaxé. Il regroupe tous ses doigts, sauf le pouce, crache de la nouvelle salive sur ces doigts et recommence la pénétration. Ayant découvert son étroitesse, il prend un plaisir sadique à faire pénétrer ses doigts en tournoyant pour humecter ses lèvres. Il crache à nouveau ce liquide qui facilite la pénétration, même s’il ne réussit qu’à s’enfouir très, très lentement, devant attendre la dilatation de son sexe. Les gémissements font placent à des lamentations mais toujours aussi discrètement. Denis se redresse un peu, sort et entre ses quatre doigts avec un peu plus de vigueur. Nath bouge ses hanches, suivant les mouvements de Denis qui par ses mouvements de va et vient, s’enfonce toujours un peu plus. Il sort et entre à nouveau mais cette fois-ci, il reste enfoncé en exerçant une pression constante sur sa main, tout en tournoyant son bras. Le bassin de Nath tente, par des mouvements aléatoires, de faciliter la pénétration. Il parvient à de longs mouvements de va et vient et j’observe le corps de ma petite chérie réagir à la pénétration. Il ramène ses lamentations à des gémissements au plaisir charnel. Après quelques minutes, il libère le sexe de Nath pour retourner sa tête entre ses cuisses. J’entends sa langue déguster ce fruit défendu et Denis ne semble plus se préoccuper que l’on puisse se réveiller. Il retire finalement la tête d’entre ses cuisses et au moment où je pense qu’il va replacer sa jupe et sa petite culotte, Denis se remonte un peu plus haut sur les coussins, attrape sa hanche d’une main et la fait basculer légèrement vers lui. Je ne pensais pas qu’il oserait aller si loin, lorsqu’il se redresse à nouveau, empoigne son sexe d’une main ferme et dirige son gros gland vers son sexe. Je découvre en même temps que ce membre est plus long que de ce que j’avais vus. J’ai déjà observé des sexes d’hommes sur internet, mais c’est la première fois que je vois un sexe mâle aussi viril de mes yeux. Je vois son gland se diriger vers sa petite chatte, il fait une pause, balance un peu son bassin et pousse finalement son sexe en glissant lentement dans celui de ma femme qui se met à gémir au même moment. Il donne de légers coups de rein pour enfoncer encore plus profondément son gros sexe nervuré. Il pose une main sur sa hanche et la bascule bien lentement vers lui. Il se retire, se replace sur les coussins, prends son sexe en main et balance ses hanches pour la pénétrer à nouveau. Je le vois pousser par de petits mouvements brusques, mais en même temps, je vois une des mains de Nathaly s’agripper à un coussin. Elle gémit un peu plus et je vois son bassin se balancer légèrement sur le sexe de Denis. La pénétration a duré une dizaine de minutes, jusqu’à ce qu’il se retire, replace sa petite culotte et ajuste sa jupe. Il se lève sans faire de bruit et se dirige vers la toilette, sûrement pour finir de se soulager. Lorsqu’il revient, il place un autre film dans son appareil vidéo. Je décide d’ouvrir les yeux, je regarde la télé, ensuite Denis. Il m’a regardé et m’a dit en blague qu’il ne nous inviterait plus parce que ça faisait plus d’une heure que l’on dormait. Deux ou trois minutes plus tard, c’est au tour de Nathaly de se réveiller. Elle se redresse un peu sur ses coussins, me regarde en me demandant si elle avait dormi longtemps. Ensuite elle demande deux comprimés à Denis, pour soulager un mal de tête. Après tout s’est déroulé comme si rien ne s’était passé, mais j’ai quand même eu un fort doute que ma femme a fait semblant de dormir et qu’elle s’est laissé tripoté volontairement. En arrivant à la maison, le soir, je lui ai fait l’amour comme un déchaîné sans lui demander sa permission, ce qui n’est jamais arrivé avant. Depuis cette journée, j’ai toujours ce doute qu’elle se soit livrée volontairement aux attouchements et à la pénétration de Denis. Pour ma part, je ne vaux pas mieux car j’ai tout laissé aller et me suis fait moi-même cocu. Ceci est un fait vécu sans exagération.
