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Après-midi récréatives

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
APRES-MIDI RECREATIVES

Cette histoire fait suite aux « VACANCES DE NEIGE » pendant lesquelles Line et sa cousine Marjorie ont fait la connaissance des moniteurs Luc, Marc et Lucille et surtout du directeur Bernard. Le dernier soir a été le théâtre d’une véritable orgie. Quelques temps après le retour, Line a découvert qu’elle était enceinte et s’est décidé pour une IVG (voir « LE GYNECOLOGUE »). Le docteur Jean-Paul et l’anesthésiste Désiré, l’ont ‘préparée’ d’une façon peu médicale qui a beaucoup plus à la jeune fille. Elle garde un souvenir ému de la (très) grosse queue de l’anesthésiste.

BERNARD SE MANIFESTE

Jusqu’au baccalauréat, Line reste sage. Oh ! Ce n’est pas que ses sens soient au repos, non ! Elle ne peut regarder un garçon sans essayer de deviner s’il a un sexe aussi volumineux que la verge de Désiré, que l’éloignement pare de dimensions extraordinaires. Mais justement, elle a trop peur d’être déçue et refuse toutes les invitations en boîte. Elle ne saurait dire pourquoi, mais elle évite de se retrouver seule avec Marjorie. Elle compense par de nombreuses caresses solitaires dans l’intimité de sa chambre ou de sa salle de bain.
Après l’examen redouté, elle s’enferme dans sa solitude. Elle refuse même de participer à la fête générale après la réussite tant attendue. Sa mère joint ses reproches aux prières de sa cousine. — Tu n’es pas raisonnable, ma chérie. Tu devrais t’amuser, voir des amis. Tu as toutes les vacances pour te préparer à la rentrée en faculté. Marjorie s’est plainte que tu as refusé de l’accompagner ce soir. — J’ai pas envie de sortir, maman. — Ecoute ma chérie, cela m’ennuie de te laisser seule encore une fois. Je suis obligée de sortir. Fais-moi plaisir. Je serais plus tranquille de te savoir avec des camarades plutôt que de te morfondre devant la télévision. — Bon, ça va, j’accepte. Je téléphone à Marjorie qu’elle vienne me chercher. — Je te remercie ma chérie, tu verras, tu ne le regretteras pas.
Après avoir beaucoup hésité, Line choisit une tenue légère, jupe ample et corsage fleuri sur des dessous coordonnés orange. Devant la glace, elle fait bouffer ses cheveux châtains. L’image renvoyée lui plait. Peut-être rencontrera-t-elle un garçon sympa qui lui fera oublier Désiré, il n’est pas interdit de rêver… La sonnerie de la porte d’entrée la fait sursauter. Déjà Marjorie ? Elle ne devait passer que dans une demi-heure. Line se précipite au deuxième coup de sonnette impératif. — Oui, oui, j’arrive !… Oh ! Elle s’arrête stupéfaite. Bernard Constant, le directeur du chalet des vacances de neige est là, tout sourire. — Bonjour Line, tu ne me reconnais plus ? — S-s-si monsieur. — Monsieur ? Il me semble me souvenir que tu m’appelais par mon nom. — Euh… ou-oui Bernard.
— Tu ne m’invites pas à entrer ? — Euh… si, si ! Prenez place. Le directeur se dirige sans hésiter vers le salon. — Vous… vous voulez voir ma mère ? — No… Euh… Oui. Elle m’avait demandé de passer il y a quelques jours, mais je n’ai pu me libérer que cet après-midi. — Elle n’est pas là. Elle est sortie pour toute la soirée. — C’est bien dommage, je regrette. C’est faux ! Bernard savait pertinemment que Béatrice Girard serait absente. C’est sa fille qu’il venait voir. — Me permets-tu de rester quelques temps et de discuter avec toi ? Sers-moi un whisky s’il te plait. Il s’installe dans un fauteuil et étend les jambes. La jeune fille trop éberluée par son sans gêne obéit.
— Viens ici toi, ordonne-t-il en déposant son verre sur la déserte apportée par Line… Ne m’oblige pas à sévir, insiste-t-il devant la répugnance visible. Tu étais si gentille au chalet. J’ose espérer qu’il en sera de même ici, sinon… La menace fait son effet. Au chalet, le directeur avait obtenu la collaboration des deux filles en les menaçant de tout dévoiler à leurs mères. Line s’approche du fauteuil. Bernard glisse la main sous la jupe et caresse les cuisses. Elle ne peut réprimer le frisson que le contact déclenche. — Vous… vous direz rien à maman, n’est-ce pas ? — Rassure-toi. Si tu te comportes aussi bien qu’au chalet, tu n’as aucune crainte à avoir… Montre-moi que tu n’as pas oublié comment me satisfaire, dit-il en ouvrant sa braguette et sortant son sexe raide… Allez ! Dépêche-toi ! Sois contente que je n’exige pas que tu te déshabilles ! Line mâtée, s’agenouille entre les genoux écartés. La verge qui se dresse devant ses yeux l’attire. Oh ! Elle n’est pas aussi grosse que celle de Désiré, mais elle lui rappelle celle de Jean-Paul le gynécologue. Elle approche la figure, ouvre grand la bouche et engloutit le gland. — Aah !… Oui !… Suce-moi ! La jeune fille retrouve les gestes qu’elle pensait avoir oubliés. Elle se revoit en esprit dans la chambre des moniteurs entrain de lécher le sceptre vivant du directeur pendant qu’à ses côtés, Luc et Marc baisent avec Lucille. — Aah ! Ouiii ! soupire Bernard. Encore !… Ouiii !… C’est mieux que dans mon souvenir !… Ouiiii ! Line est fière de son pouvoir. Elle prend plaisir à manipuler la tige vivante, à la sentir tressauter entre ses mains. Elle pompe avec application. La sonnerie de la porte d’entrée la fait sursauter. — Continue ! ordonne Bernard que Line abandonne. — Mais… Mais c’est Marjorie qui vient me chercher. — Marjorie ? Va vite ouvrir et amène-la ! La jeune fille se précipite. Elle est satisfaite que sa cousine les interrompe. Elle ne sera pas seule à subir le personnage.
— Entre, invite-t-elle… Oui répond-elle au regard étonné, nous avons de la visite.Elle entraîne Marjorie dans le salon. — Qui ça ?… Oh ! La jeune fille reste figée sur le seuil. Bernard est là, Bernard qui lui a fait connaître la sodomie ! Bernard qui caresse doucement sa verge pour la maintenir raide. Tremblante, elle s’appuie sur l’encadrement. — Viens me dire bonjour. Marjorie s’avance dans la pièce, hésite. Line la pousse contre le directeur. Celui-ci prend sa main et la pose sur la hampe dont elle ne peut détacher le regard. Machinalement, elle manchonne la tige. — Oui… C’est bien… Encore… Oui… Ta bouche maintenant. Marjorie a un haut le cœur. Ce n’est pas l’introduction qu’elle aurait choisie. Elle préfère de loin sentir la queue pénétrer dans son ventre… Devant ou derrière, n’importe. — No, non, je veux pas. — Comment ? Qu’est-ce que j’entends ? Préfères-tu que je révèle à ta mère la manière dont tu t’es comportée au chalet ? — No, non, s’il vous plait. — Alors, obéis, plus vite que ça ! Montre à ta cousine que toi non plus tu n’as rien oublié. Les larmes aux yeux, Marjorie s’agenouille entre les genoux écartés. Elle prend la queue entre les mains et approche la bouche. — Oui, l’encourage Bernard… Aaah !… Oui !… Lèche bien… Oui !… Aah !… Tu es aussi douée que Line… Ouiii !… Que fais-tu ? Veux-tu continuer ! ordonne-t-il quand Marjorie tente de se relever. — Mais… Line veut aussi…Elle espère se soustraire à l’éjaculation. — C’est ta faute… Fallait pas nous interrompre, c’est toi qui va recevoir ma liqueur. Reprends ma queue… Oui… Avale-la… Aah !… ouiii ! Mâtée, Marjorie accepte l’inéluctable. Elle pompe consciencieusement, alternant le léchage de la tige et les sucettes du gland dont sa langue excite le bout. — Ouiii !… Su… Aah !… Super !… Aaah !… Je viens… Ouii !… Aaagghhh ! Bernard se plie sous le poignard de la jouissance. Marjorie manque d’étouffer lorsque sa bouche se remplit. Elle ne parvient pas à tout déglutir et un filet coule le long de ses lèvres. Craignant une réprimande, elle manipule la tige jusqu’à ce qu’elle perde toute raideur et repose flasque sur le pantalon. Elle se lève d’un bond et file dans la salle de bain cracher le surplus de sperme.
A son retour, Line est assise sur une cuisse de Bernard qui a quitté son pantalon. Une main de directeur disparaît sous la jupe fleurie. — Viens t’asseoir, l’invite-t-il… Ôte ta culotte d’abord… Oui, ta cousine est cul nu, tu veux contrôler ? — Euh… je vous crois. Elle enlève le petit dessous et le jette sur une chaise où il rejoint le slip de Line qu’elle n’avait pas remarqué en revenant de la salle de bain. Elle s’approche. Bernard la fait asseoir sur l’autre cuisse. Les poils chatouillent son entrejambe, cela la fait frémir. — Je suis content de vous, dit le directeur en flattant les fesses et caressant la raie du bout du doigt. — Vous… vous direz rien à maman ? s’inquiète Marjorie. — Non, si vous continuez à me donner satisfaction… Caressez-moi… Oui, toutes les deux… J’aime sentir vos mains sur ma queue… Voyez comme elle apprécie !… Oui… Continuez…Ses majeurs furètent entre les fesses de ces demoiselles. Marjorie se déplace pour que le doigt atteigne l’anus. Elle pousse un soupir de contentement quand le bout s’enfonce de quelques millimètres. Line au contraire fait tout ce qu’elle peut pour échapper à l’introduction. Cela amuse Bernard. C’est elle décide-t-il qu’il va enculer !
— Line ma jolie, l’arrivée de ta cousine ne t’a pas permis de goûter mon sperme. Tu as été brimée. Il est juste que tu reçoives une compensation. C’est dans le cul que je vais te faire jouir ma jolie. — Oh non ! gémit-elle. — Comment ? Que dis-tu ? Je suis sûr que je n’ai pas bien entendu. N’est-ce pas qu’on dit merci à tonton Bernard qui s’efforce de te faire plaisir ? — Euh… — Tu disais ? menace-t-il. — Mer-mer-merci Bernard, pleurniche-t-elle. — A la bonne heure ! Comme je ne veux pas que Marjorie soit jalouse, vous allez vous caresser les filles pendant que je donne du plaisir à Line. Il leurs fait quitter leur jupe et les dispose tête bêche sur le canapé, Marjorie dessous. Il s’attarde quelques minutes à les voir se gougnotter tout en maintenant la raideur de sa verge d’une caresse distraite. — Je vois que vous avez fait des progrès. Cela me réjouit le cœur. Vous étiez moins habiles au chalet… Bon ! A mon tour d’entrer en scène… Marjorie, lèche-moi le gland, je ne veux pas faire de mal à ta cousine… Oui, là… Bien… Aide-moi à écarter les fesses… Merci… J’introduis un doigt mouillé… Je le tourne pour assouplir le muscle… Là… Tu sens comme ça va bien Line ? — Euh…— Continue à sucer toi ! ordonne-t-il à Marjorie. Bon, je crois que la préparation sera suffisante. Je pose le gland contre la rondelle… Je pousse… Han ! — Aïe ! — Mais non, mais non, tu n’as pas mal, n’est-ce pas ? Caressez-vous bien… Oui… Tu vas voir Line comme c’est bon ! Bernard enfonce la verge jusqu’à la garde. — Mmmh ! gémit Line. Peu à peu, elle retrouve les sensations agréables découvertes dans le chalet. Elle s’active sur le clitoris de sa cousine qui lui rend ses caresses.
De voir la queue entrer et sortir de l’anus dilaté fait frémir Marjorie d’envie. Pourquoi Bernard ne l’a-t-il pas choisie, elle, au lieu de lui imposer la fellation ? Tout à coup elle se raidit : Line vient d’introduire un bout d’ongle dans le petit trou. Elle réplique en enfonçant deux doigts dans le vagin. Elle s’amuse à éprouver la grosseur qui va et vient dans le conduit voisin, tout heureuse que sa cousine l’imite en perforant ses deux orifices. Bernard accélère la cadence. Il maintient sa victime par les hanches et la pilonne à grands coups de rein. Line est secouée. Craignant de blesser Marjorie, elle interrompt ses caresses et ne les reprend que lorsque le directeur s’est soulagé avec forces gémissements. Les deux filles ne se relèvent pas quand l’homme se retire et les abandonne pour une rapide toilette.
Ils les retrouvent à la même place et patiente assis sur le fauteuil que leur fringale de jouissance soit calmée. — Excuse-moi Marjorie, sourit-il en remuant sa verge flasque, mais mes ressources personnelles ne me permettent pas de t’honorer à ton tour comme tu le mérites. Je te promets que tu seras à la fête la prochaine fois. — Vous… vous reviendrez ? — Cela ne vous fera pas plaisir ? — Euh… si, répond Line sans conviction. — Tant mieux, j’aime faire le bonheur autour de moi… Bon, c’est inutile de continuer, dit-il en lâchant son sexe désespérément mou. C’est fini pour moi les prochaines heures. C’est bien dommage car je me vois forcé de vous abandonner mes jolies et ne peux attendre que mes forces reviennent. Il se lève et enfile slip et pantalon. Les filles remettent leur jupe. — Dommage, j’aimais bien vous voir les fesses à l’air. Enfin, on ne peut pas tout avoir… Non ! Pas la culotte ! Vous restez le cul nu… Au moins tant que je suis là ! Donne-nous à boire Line… Oui du whisky. Vous n’en voulez-pas ? Les filles se servent de jus d’orange. Elles s’interrogent du regard. Que veut encore Bernard ? N’est-ce pas fini ?
Il repose enfin son verre. — Aah ! Ça va mieux ! C’est pas tout, j’étais venu dans un but précis mais en vous voyant, je me suis laissé entraîner et je n’ai pu résister au plaisir de vous satisfaire mesdemoiselles. Je disais donc que j’organise une petite fête mardi après-midi et que je vous y convie. Line pâlit. De quelle sorte de fête s’agit-il ? La réédition de la dernière nuit au chalet ? Le visage inexpressif de Bernard ne lui apprend rien. — Euh… — Je compte sur vous. — Euh…— Je serais très déçu si vous ne veniez pas… Très déçu… Au point de me plaindre…Line pousse un gros soupir. La menace est précise, mais elle ne sait pas si elle ne préfère pas affronter la colère de sa mère plutôt que de revivre l’orgie sexuelle du dernier soir de vacances. Ce n’est pas qu’elle n’y ait pas pris du plaisir. Elle tremble encore de désir en repensant aux multiples orgasmes qui l’ont ébranlée, mais il lui reste un sentiment de dégoût, la honte de s’être comportée comme une bête lubrique. Des rencontres chez le gynécologue par contre elle ne conserve que de bons souvenirs, peut-être parce qu’ils n’étaient que deux ? Elle consulte du regard Marjorie aussi pâle qu’elle. — Vous me décevez, poursuit Bernard voyant que les filles ne se décident pas. — Par pitié, supplie Marjorie, ne le dites pas à nos mères.— Cela ne tient qu’à vous… — Euh… C’est dans l’après-midi vous dites ? — Oui, ainsi vous n’aurez pas besoin de demander l’autorisation. Je vous promets que vous serez libres avant huit heures. Je peux compter sur vous ? — Ou… oui. N’est-ce pas Line ? Incapable d’articuler un mot celle-ci opine de la tête. Seule, elle aurait refusé malgré les conséquences prévisibles, mais il y a sa cousine… Bernard griffonne sur une carte de visite. — Voilà l’adresse où vous devez vous présenter et le code d’entrée. Je vous y attends mardi à deux heures de l’après-midi, c’est au cinquième étage… Sans faute n’est-ce pas ? — Euh… Comment doit-on s’habiller ? — Vous êtes parfaite dans ces tenues mesdemoiselles. Bon, je vous quitte, j’ai encore pas mal de travail pour tout organiser. Il se lève. Marjorie l’accompagne à la porte. Il la presse contre lui flattant son postérieur sous la jupe. — A mardi après-midi.
Elle retrouve Line au salon. — Tu crois qu’on fait bien d’y aller ? interroge celle-ci. T’as pas peur que ça se passe comme au chalet ? — Oh non ! Pas l’après-midi… enfin… euh… Je pense… euh… Je… je sais pas… Dis… tu crois qu’on aurait dû refuser ?… j’ai trop peur que maman l’apprenne... — Tu as raison, je me fais peut-être du mauvais sang pour rien. Elles rangent les verres. — On devait pas sortir ? demande Marjorie. — Il est tard maintenant. Tes copains doivent être partis. En réalité Line a peur que tout le monde lise sur sa figure qu’elle a aimé sucer la queue de Bernard et s’imagine qu’elle n’aura pas la force de se soustraire si un des amis de Marjorie lui demande le même service. Celle-ci s’approche de sa cousine et l’embrasse dans le cou. — Tu… tu voudrais pas qu’on se caresse ?… dis ? Line capitule. Oui elle en a envie, une furieuse envie. Elle prend la figure implorante et écrase la bouche sous ses lèvres…
A suivre…
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