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Après-midi récréatives

Chapitre 2

Orgie / Partouze
PREMIERE SEANCE.

Deux heures de l’après-midi. Line regarde l’adresse, compare avec la carte donnée par Bernard. C’est là. Un immeuble cossu, rassurant dans la lumière de l’été. Elle compose le code d’entrée. Le vantail s’ouvre lentement. — Tu viens ? Marjorie hésite. — J’ai peur…Mise au pied du mur, elle n’est plus si sûre de faire le bon choix entre céder à Bernard ou subir la colère maternelle. Les conséquences de chaque éventualité l’effraient. Line elle, a dépassé ce stade. D’accord elle a accepté la rencontre à contrecœur mais maintenant elle assume. — Il n’est plus temps de tergiverser, tu viens ou tu viens pas ? — Euh…Voyant sa cousine incapable de se décider, elle la tire à l’intérieur. Marjorie regarde le vantail se refermer. Le cliquetis du pêne qui se remet en place sonne comme le glas de sa jeunesse. Rien ne sera comme avant pressent-elle. Elle se laisse entraîner vers l’ascenseur. Les deux filles ne disent mot pendant la montée… interminable.
Lucille, la jeune monitrice du chalet les attend sur le seuil de l’appartement. — Entrez… vous êtes juste à l’heure, c’est bien. La jeune femme referme la porte capitonnée avant d’embrasser les deux cousines. — Cela me fait plaisir de vous revoir. J’ai été ravie d’apprendre votre venue. Je n’ai pas oublié les bons moments que nous avons passés ensemble pendant les vacances de neige. Les deux filles se regardent en tremblant. Leurs craintes se précisent. Les allusions de Lucille sont transparentes, l’après-midi promet d’être chaude. D’un autre côté, elles sont soulagées de cette présence dans laquelle elles puisent un réconfort. — Venez saluer Bernard et ses invités. La jeune monitrice les pousse dans une vaste pièce encombrée de fauteuils et de canapés. Bernard les présente à une jeune femme ainsi qu’aux divers hommes qui l’accompagnent. Il y a là des médecins, des avocats, des ingénieurs. Marjorie rougit quand un beau quadragénaire lui fait un baisemain. Lucille et l’autre femme, Daphné, font passer les boissons. Elles embauchent les deux cousines pour faire le service des petits fours. Au bout d’une demi-heure les deux filles, un peu émoustillées par les boissons alcoolisées, se décontractent et prennent plaisir à circuler parmi ces hommes galants qui savent si bien tourner un compliment.
Après l’arrivée de deux nouveaux participants, sur un signe de Bernard, Lucille s’approche de Line et Marjorie et les prend par la main. Le directeur réclame le silence. — Madame, mesdemoiselles, messieurs, nous sommes au complet. Notre après-midi récréative peut commencer. Un murmure d’approbation circule dans l’assistance masculine qui prend place dans les fauteuils et canapés. Line aimerait s’asseoir elle aussi mais Lucille la maintient fermement. Elle compte dix hommes en plus de Bernard. — En guise d’apéritif, poursuit celui-ci, Daphné, Lucille, Line et Marjorie, nos aimables représentantes du beau sexe vont nous régaler d’une danse… Euh… je vous prie de m’excuser, s’interrompt-il devant les gesticulations de Line et Marjorie, mais je dois auparavant m’entretenir avec nos deux nouvelles recrues. Daphné et Lucille vont vous servir à boire. Il n’y en a que pour quelques minutes. Bernard entraîne les deux cousines dans une chambre. Pif ! Paf ! Une gifle à chacune.
— Dernier avertissement ! Vous acceptez de vous comporter en personne responsable ou je vous attache sur ce lit où tous les hommes présents viendront vous baiser ! Vous avez le choix entre passer quelques heures agréables en bonne compagnie, ou subir de force des mâles que votre attitude aura mécontentés sans compter la colère de vos mères que je me ferai un plaisir d’informer de votre conduite… Alors ? Que décidez-vous ? — Vous voulez qu’on fasse un strip-tease ? Comme dans le chalet ? demande Line. — Je n’en demande pas plus. — Euh… Marjorie et moi, on avait pas bien compris. Veuillez nous excuser. — Puis-je compter sur votre entière participation ? N’est-ce pas Marjorie ? — Euh… oui. — Bon, retournons dans la salle, j’espère que votre prestation dissipera la gêne que votre sortie a occasionnée.
Les deux cousines reviennent, rougissantes d’être le point de mire de l’assemblée. Bernard allume une chaîne stéréo. Une douce harmonie envahit le salon. — Mesdames, à vous ! Daphné et Lucille entraînent chacune une fille dans une danse lascive. Au bout de quelques pas, l’aînée déboutonne le chemisier de Line dont elle écarte les pans sur le soutien-gorge blanc. Lucille l’imite avec Marjorie. Les cousines comprennent ce qu’on attend d’elles et chemisiers atterrissent sur les genoux des spectateurs. Quelques mesures plus tard, c’est au tour des jupes. Les quatre femmes en petite tenue, se caressent tout en dansant. Line craque la première et embrasse Daphné. Le signe d’encouragement de Bernard l’emplit de fierté. Les soutiens-gorge disparaissent, les caresses s’amplifient, la tension augmente lorsque le premier slip, celui de Marjorie est brandi par un des assistants comme un trophée. A la fin de la danse, le quatuor salue l’assistance qui applaudit. — Merci, merci pour nos danseuses. Elles vont maintenant vous proposer quelques rafraîchissements. Mettez-vous à l’aise messieurs, annonce Bernard.
Les quatre femmes sont assaillies de caresses, Line et Marjorie en particulier. Chaque homme présent voudrait être le premier à recevoir les faveurs d’une des deux nouvelles. Bernard doit mettre un peu d’ordre. — Messieurs, messieurs, voyons. Que vont penser ces jeunes beautés si vous vous disputez ? Et n’oubliez pas que le règlement de nos divertissements que vous avez tous accepté, impose de se protéger. Bernard dépose un paquet de préservatifs sur la table du salon. — Je vous rappelle un autre article de ce règlement qui laisse aux jeunes femmes dont c’est la première participation, l’honneur de choisir elles-mêmes le cavalier du début. Mais que les autres se rassurent, l’après-midi n’est pas terminé et je suis sûr que nos demoiselles mettront un point d’honneur à tous vous satisfaire, n’est-ce pas mes chéries ? Mais de grâce chacun à votre tour, Lucille et Daphné sauront vous faire patienter. Il donne un préservatif à Line et à Marjorie. — Choisissez… non, pas moi souffle-t-il à Marjorie qui le regarde avec insistance, je suis hors jeu. Line se tourne vers son voisin le plus proche, manière de faire comprendre qu’elle n’a pas de préférence. — Que faut-il faire ? demande-t-elle. — Venez-vous asseoir là, répond-il en montrant sa cuisse. Marjorie fait un tour sur elle-même avant de se diriger vers un quadragénaire moustachu, celui qui lui a fait un baisemain à son arrivée. Lucille et Daphné, une capote en main commencent à déshabiller leur partenaire du moment. Les autres hommes attendent leur tour en promenant leurs mains sur les corps dénudés. Line réussit à ôter le pantalon de son cavalier. Agenouillée, elle dégage la queue qui raidit au bout de trois coups de poignet. Elle dépose un baiser sur le bout, tire sur le prépuce et lèche le gland à petits coups de langue. Un murmure approbateur court parmi ceux qui l’entourent. « Heureuse initiative » entend-elle. Elle rencontre les yeux de Bernard qui lui sourit et l’encourage, elle en rougit de plaisir. Marjorie a déjà enveloppé « sa » verge de latex sans déshabiller le propriétaire. Elle grimpe à cheval sur les cuisses, guide la hampe et s’empale dessus. Elle n’a aucun effort à faire : des mains la soutiennent et la font monter et descendre sur le pieu de chair. Lucille et Daphné, plus expérimentées font durer le plaisir. Elles ôtent les vêtements de ceux qui les entourent et présentent à leurs bouches avides toutes les parties de leur corps. Line à quatre pattes sur un canapé se fait prendre par derrière tandis qu’une verge s’introduit dans sa bouche. Lucille écartelée sur un fauteuil se fait baiser par un petit brun tout poilu tout en masturbant deux queues et Daphné prise en sandwich, satisfait deux participants par une double pénétration. Marjorie, qui en a terminé avec le premier est transportée par un grand blond qui la jette à plat ventre sur un canapé. Bernard a juste le temps d’enfiler une capote sur la verge qui trouve son chemin entre les fesses que des mains prévenantes écartent. — Aahouuh ! — Messieurs, messieurs, pas de brutalité, je vous en prie, ayez pitié de la jeunesse de nos amies, le calme l’organisateur. — Par… pardon… Aah !… s’excuse le fautif, je ne voulais… Aah !… voulais pas vous faire… Aah !… faire mal. — Ce… Ce n’est ri-ri-rien, balbutie Marjorie qui une fois le gland introdui, commence à apprécier le frottement. Le cavalier de Line éjacule dans un grognement de fauve assouvi. Il est immédiatement remplacé. La jeune fille ne s’aperçoit pas du changement, occupée qu’elle est à avaler le sperme qui emplit sa bouche. Lucille et Daphné changent de partenaire à leur tour. Bernard veille à tout, en particulier à ce que les baiseurs enfilent des capotes avant l’introduction.
Le calme revient. Daphné et Lucille entraînent les deux cousines dans la salle de bain. Ces messieurs récupèrent en buvant leur cocktail. Les commentaires vont bon train. La jouissance manifeste affichée par les deux cousines a satisfait leurs partenaires et les autres ont hâte de prendre leur tour. Bernard leur conseille de tous se déshabiller car dit-il les réjouissances ne font que commencer. Les jeunes femmes sont accueillies avec enthousiasme à leur retour dans la grande salle. Les deux cousines sont très entourées. — Ce n’est pas bien monsieur René, intervient Bernard quand le premier cavalier de Marjorie veut faire asseoir celle-ci à ses côtés. Ne soyez pas égoïste, pensez à vos collègues qui n’ont pas eu votre chance. Il place Lucille entre ses bras. La deuxième tournante prend plus de temps que la précédente, les deux cousines transportent leurs admirateurs de joie par leurs cris et gémissements de plaisir et lorsque le calme revient, chaque homme a tiré son coup dans un vagin, un cul ou une bouche. Quatre participants déclarent forfait pour le troisième tour et assistent les traits tirés aux exploits de leurs congénères plus résistants. Seuls deux terminent en baisant Line et Marjorie pour une quatrième édition.
Sept heures du soir. Bernard referme la porte sur le dernier visiteur. Il est satisfait. Tout s’est déroulé conformément au prévisions et le petit incident du départ qui l’a obligé à sévir envers Line et Marjorie, n’a pas eu de conséquences. — Un bon après-midi n’est-ce pas ? Qui doit-on remercier ? Les deux cousines, affalées sur un fauteuil, ne répondent pas. Elles ne savent plus combien d’homme elles ont satisfaits, huit ? Neuf ? Daphné et Lucille moins sollicitées sont plus en forme. Elles se lèvent et entourent Bernard. Il se laisse déshabiller. Conviées par les deux aînées, Line et Marjorie se joignent aux caresses mais ne disputent pas l’honneur d’être baisée. Daphné reçoit dans le cul l’hommage de l’organisateur qui au bout de quelques minutes se fait pomper par Lucille. — Bon, ce n’est pas tout déclare Bernard une fois tout le monde douché et habillé, il faut que je vous donne le programme des prochains jours. Il les emmène dans un bureau et consulte son ordinateur. — Daphné, peux-tu venir demain soir ?… Oui ?… C’est bon. Je t’inscris. — Avec qui je serai ? — Avec… euh… je… je ne sais pas encore, ajoute-t-il en lorgnant sur Line et Marjorie. Je te téléphone. Lucille ma jolie, j’ai besoin de toi jeudi après-midi. — Oh non ! Pas ce jeudi. Je suis désolée : mes parents me rendent visite. Est-ce que je peux permuter avec Daphné ? Bernard se tourne vers celle-ci qui acquiesce d’un signe de tête. — Bien… Vous, dit-il en s’adressant aux deux cousines après avoir corrigé son planning, je vous attends samedi après-midi, ici, même heure. Les jeunes filles comprennent qu’il n’est pas question de refuser ni de discuter ! — Demain, j’irai chez toi Marjorie, j’ai à te parler. — On peut pas le faire maintenant ? — Non, il est trop tard. — Mais maman sera là. — Ne t’inquiète pas, je serai discret elle ne se doutera de rien. Toi aussi Line, j’ai à te parler. Sois chez ta cousine à trois heures, compris ? Les quatre femmes se séparent sur le trottoir. Lucille et Daphné sont venues en voiture, les cousines prennent le métro. — Tu crois que samedi ce sera pareil ? interroge Marjorie quand elles sont montées dans la rame. Line ne répond pas. A quoi bon ! C’est évident ! Samedi et les jours suivants ! Elle est persuadée que Bernard ne les lâchera pas de sitôt. — Pourvu que ta mère et la mienne ne se doutent de rien, j’en mourrai ! soliloque MarjorieLine reste silencieuse.
A suivre…
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