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Après-midi récréatives

Chapitre 5

Orgie / Partouze
DROLE DE SURPRISE !

Sa mère étant sortie pour une course, Line fébrile attend la visite de Bernard. Elle n’est jamais rassurée quand il vient, sa mère peut débarquer à tout moment. Elle envie la décontraction de Marjorie qui commence à se déshabiller. — Fais comme moi, invite-t-elle, on aura plus de temps à lui consacrer. Si j’ai bonne mémoire c’est ton tour de le sucer et il faut qu’il ait le temps de récupérer car je n’ai pas le courage de patienter jusqu’à la semaine prochaine pour me faire enculer… Allez ! Fais ça pour moi, je te caresserai en l’attendant. Line prépare des boissons puis accède à la prière de sa cousine. Elle ôte ses vêtements et s’assied à côté de Marjorie. Les deux filles échangent un long baiser tout en caressant les seins. La sonnerie les interrompt. — Qui est-ce ? demande Line… Ah ! Je t’ouvre… Oui, c’est lui, répond-elle au regard interrogateur de Marjorie. Elles se dirigent ensemble vers le vestibule et ouvrent la porte dès qu’elles perçoivent le bruit de l’ascenseur. — Oh ! Que c’est gentil de me recevoir ainsi, vous méritez un baiser ! Bernard ravi enlace les deux filles, les conduit au salon et s’assied entre elles. Elles défont la chemise, la ceinture. Marjorie descend le pantalon pendant que Line extrait la verge du slip et embrasse le bout. — Oui ! J’aime la manière dont vous vous occupez de moi… Aah ! soupire-t-il quand la jeune fille porte le gland en bouche. Il ferme les yeux tout en caressant les fesses de Marjorie. — As-tu eu mal Line ? Elle secoue la tête en signe de dénégation. — Pourquoi elle aurait mal ? interroge Marjorie. — Elle ne te l’a pas dit ? Cette petite imprudente s’est faite enfiler par une trop grosse queue pour sa petite chatte. — Non, je te dis, je n’ai pas eu mal ! annonce Line en retirant la verge… Je t’assure. — Bon, j’admets… Continue s’il te plait… Aaah !… Ta bouche est d’une douceur ! — Mieux que mes fesses ? demande Marjorie un peu jalouse. — Aaah !… Ne me demandez pas… Mmmh !… de choisir entre vous deux… Mmmh ! Pour la calmer, il insère le doigt dans la raie. La jeune fille tourne le cul pour faciliter l’introduction. Line s’active sur la queue. Elle la connaît bien maintenant. Elle sait comment maintenir le plaisir, le faire durer pour la plus grande satisfaction du directeur. Toute à sa tâche, elle n’entend pas la porte d’entrée s’ouvrir sur Béatrice.
La mère de Line s’arrête sur le seuil du salon. Bernard lui fait signe de se taire ainsi qu’à Marjorie qui voulait saluer sa tante. Béatrice soupire. Elle sait depuis longtemps, depuis le début même comment Bernard utilise sa fille, mais il lui est difficile de rester sereine en la voyant nue, pratiquer une fellation. Jusqu’à cette heure, il lui était possible de fermer les yeux. Elle soupçonne Bernard d’avoir fait exprès de l’envoyer chercher ces prospectus pour qu’elle les découvre à son retour et obliger la mère et la fille à regarder la vérité en face. Déjà, il y a un mois, il s’est débrouillé pour qu’elle et sa belle-sœur Jeannine le surprennent entrain de sodomiser Marjorie. Depuis celle-ci participe souvent avec elle ou sa mère aux séances récréatives tout en gardant le secret vis à vis sa fille.
Line se rend compte du changement d’attitude de Bernard et Marjorie. Elle lève la tête et croise le regard de sa mère qui lui sourit.
— Oh ! Elle se lève d’un bond. Bernard qui s’attendait à sa réaction arrive à la maintenir et l’oblige à s’asseoir à ses côtés. — Bonjour Béatrice… Toi reste tranquille ! — Bonjour ma tante, déclare Marjorie. — Bonjour tout le monde, j’espère que je ne vous dérange pas. — Si tu nous déranges, rétorque Bernard. Tu aurais pu attendre quelques minutes avant d’entrer que ta fille finisse ce qu’elle avait si bien commencé. Line, partagée entre la honte d’être surprise en position délicate et l’étonnement occasionné par la conduite étrange de Marjorie et de sa mère, ne sait comment se comporter. Elle décide de ne pas bouger. — Excusez-moi, c’était involontaire, dit sa mère. — Je peux prendre sa place, propose Marjorie. — Non, toi, ce sont tes fesses que je veux honorer. Mets-toi en position… Oui, sur ce canapé. La jeune fille s’agenouille sur la banquette et appuie la poitrine sur le dossier. — Oui, écarte les cuisses… Mieux que ça… Bien, que j’humecte le doigt à ta source. — Aah ! — Je mouille le petit trou…— Aah ! — Là, c’est bon, on peut y aller… Line, Béatrice ! Aidez-moi. — Que fait-il faire ? demande celles-ci. — Ecartez-lui les fesses. Ce n’est pas la première fois qu’il demande ce service. Line est tellement abasourdie qu’elle obéit machinalement. Sa mère s’assied de l’autre côté de Marjorie. Leurs mains se frôlent sur le postérieur. Bernard avance le sexe qu’il guide de la main. Il caresse l’anus avant de s’enfoncer sans effort. — Aaah ! Ouiii ! s’écrie la jeune fille.
Béatrice change de côté et s’assied à côté de Line dont elle entoure l’épaule du bras. La jeune fille fond en larme. — Pardon, maman, Pardon. — Tu n’as pas à t’excuser… Oui, je savais, ajoute-t-elle devant le regard interrogateur. — Tu… tu savais ?… Pourquoi tu disais rien ? — Je ne voulais pas te faire de la peine mon trésor. — Et tu savais aussi pour Marjorie…— Oui, ta… Aah !… ta mère et la… Aah !… la mienne sont… Aah !… sont au courant, précise cette dernière malmenée par les coups de boutoir de Bernard que la conversation n’empêche pas d’enculer la jeune fille. — J’étais la seule à ignorer. Vous vous êtes bien moquées de moi. — Mais non ma chérie, mais non. Béatrice câline les cheveux de sa fille. — On savait… Aah !… pas comment… Aah !… te le dire, avoue Marjorie. — Ça ne pou… Han !… pouvait plus durer… Han !… j’ai décidé de… Han !… de crever l’abcès, intervient Bernard. Main… Han !… maintenant… Han !… laissez-moi en… Han !… en terminer a… Han !… avec cette de… Han !… demoiselle. J’ai d’autres… Han !… choses à… Han !… à faire que de… Han !… de vous… Han !… écou… Han !… écouter.— Ouiiii ! répond en écho Marjorie. — Aaaah !… Aaagghhh ! — Ouiiii !… arrmmmh ! L’homme retire sa verge. Béatrice sort un mouchoir en papier et l’essuie. — Va te rincer dans la salle de bain, ordonne-t-elle à sa nièce. Elle inspecte le canapé, pas de tache, une chance. — La prochaine fois, Line, mets un linge pour protéger. La prochaine fois ? Sa mère veut qu’elle recommence ? Line la regarde stupéfaite.
— Béatrice ma jolie, donne-moi mon porte-documents… merci… Voilà vos enveloppes. Il les distribue à Line, Marjorie qui est revenue entre temps et Béatrice. — Toi… toi aussi maman ? — Oui ma petite Line d’amour, ta mère est une de mes protégées de longue date. Presque une pionnière avec ta tante. — Tu le savais ? demande la jeune fille à sa cousine. — J’ai déjà participé à des séances avec elles, avoue celle-ci. — Je suis bien content que la situation soit éclaircie, déclare Bernard en se rhabillant. Cela va me faciliter la tenue des plannings. Je n’aurai plus à jongler pour éviter que vous vous rencontriez. Line est abasourdie. Sa mère une prostituée ! Et qui accepte que sa fille le soit ! Elle a l’impression que tout s’écroule autour d’elle. Une brusque nausée la secoue et elle fonce aux toilettes. A son retour Bernard, son ordinateur portable sur les genoux, l’informe de son nouvel emploi du temps. — Line ma jolie, il est temps pour toi que tu fasses les soirées. Je t’inscris pour samedi prochain avec ta tante, ensuite lundi après-midi tu iras avec Marjorie…— Non ! — Comment non ? Tu ne veux pas travailler avec Marjorie ? Tu vas vexer ta cousine. — Ni avec Marjorie, ni avec ma tante ou une autre ! Ni samedi, ni lundi ou un autre jour de la semaine ! Ni, ni c’est fini ! Plaf ! Bernard assène une maîtresse gifle à la jeune fille qui le regarde les yeux ronds et s’enfuit dans sa chambre. — Non, mais… Elle s’imagine pouvoir me quitter ainsi ? Vas la chercher, Béatrice. — Laisse-la je t’en prie. Elle est perturbée et a besoin de repos. Dans quelques temps on en reparlera. Tu ne peux pas te passer d’elle ? — A condition que toi, Jeannine et Marjorie, fassiez des heures supplémentaires pour palier son absence. — Je gagnerai plus alors ? demande la jeune fille. — Cinq cents euros par séance, c’est le tarif. Bon nous disons que samedi, Marjorie fait la soirée avec sa mère. Tu retrouveras Lucille et Sylvette, ça te va ?… Bon, lundi, Béatrice, tu accompagnes ta nièce avec Daphné et Isabelle… D’accord ?… C’est bien parce que c’est ta fille que je me montre si accommodant, poursuit-il en corrigeant sur son ordinateur. Tâche que la situation ne perdure pas. Je serais très déçu de perdre un élément, très déçu…Bernard les quitte sur cette menace voilée. Marjorie s’approche de sa tante. — Dis, elle reviendra bientôt Line ? — Je n’en sais rien… Tu devrais t’habiller et rentrer chez toi te reposer. La semaine sera chargée.
Restée seule, Béatrice hésite à rejoindre sa fille. Que lui dire ? Comment lui avouer qu’elle avait eu la naïveté de croire que Bernard épargnerait sa fille pendant la semaine de sports d’hiver ? Comment se faire pardonner sa lâcheté quand il lui a appris au début des vacances que Line et Marjorie faisaient parties de son cheptel ? Elle aurait dû se rebeller tout de suite, parler à sa fille et quitter ce souteneur, oui c’est un souteneur, même s’il ne les a jamais brutalisées. Dire qu’elle lui a obéi quand il a exigé qu’elle lui facilite les sorties ! Jeannine ne lui a pas été d’un grand secours, elle qui avait compris dès le début et qui acceptait la situation. Ce que les filles gagnent, c’est autant de moins à dépenser dans le ménage, lui a-t-elle répliqué lorsque Béatrice s’indignait. Elle a même précisé que Marjorie lui reversait une partie de ses gratifications : participation aux frais du ménage, disait-elle.
Line sanglote à plat ventre sur le lit. Béatrice s’approche, caresse les cheveux. — Pardonne-moi, ma chérie, pardonne-moi. J’aurais dû te protéger, j’en étais incapable. — Tu… tu savais ? — Il n’y a pas longtemps que Bernard m’a tout avoué. — Tout ? — Oui, tout, les vacances d’hiver, la manière dont il vous a forcées à participer à ses après-midi récréatives comme il les nomme, votre succès à Marjorie et toi. Non, il ne m’a rien épargné. — Et tu as accepté ? — Tu avais l’air heureuse… Heureuse ? L’était-elle ? Elle réalise brusquement que dans toutes les rencontres, les étreintes multiples, elle recherchait la jouissance éprouvée avec Jean-Paul et Désiré. Et au moment où elle la retrouve, patatras ! Tout s’écroule. Bernard renvoie Ahmed, lui interdisant ses soirées. Comment va-t-elle le retrouver maintenant ? Et en plus, elle apprend que sa mère, sa tante participent elles aussi aux orgies programmées par le directeur ! Non ! Pour elle c’est terminé, ils se passeront de ses services. — Je veux plus y aller, maman, je veux plus y aller… sanglote-t-elle. — Là, là calme-toi. Tu feras comme tu le désires. Je ne te forcerai en rien, dans un sens comme dans l’autre. Line appuie la figure contre la poitrine de sa mère. C’est doux, c’est tendre. Béatrice écarte la main qui se posait sur un sein. La jeune fille des yeux suppliants, lèvres entrouvertes pour un baiser. — Non ma chérie, sourit sa mère, non. Pas entre nous… Tu comprends ? Line soupire. — Habille-toi. Je t’emmène voir les boutiques, ça te changera les idées…
Fin des APRÈS-MIDI RÉCRÉATIVES
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