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Après le week-end

Chapitre 2

Erotique
Elodie entraîne Fabienne par la taille vers l’escalier. Son déshabillé transparent contraste avec la chaude couleur des fesses de la jeune fille. — On dirait que tu trembles, tu as froid ? — Non… Pas du tout, j’ai… j’ai même… plutôt chaud… Elodie l’observe. La jeune fille est rouge, les yeux vagues. — C’est la petite séance avec Lisette qui te fait cet effet ? — Je… je… ne sais pas… — Oh ! Que si ! Tu aurais aimé être à sa place, n’est ce pas ? Le tremblement s’accentue. — …Être tenue comme ça… faire l’amour… Fabienne s’amollit dans les bras qui la soutiennent. — Eh ! Ça devient grave ! Lisette, réveille-toi ! Vite ! On a besoin de ton aide ici. La jeune bonne bondit. Le sexe de Luc sort de son étui naturel avec un bruit de succion. Par bonheur, Elodie n’a rien entendu, sinon elle se serait moquée ! — S’il te plaît, tiens bien Fabienne qui est en manque d’amour et conduis-la doucement à Luc. Moi je vais le préparer. Avec précautions elle desserre son étreinte. Lisette empêche Fabienne de s’effondrer. Elodie se précipite aux pieds de son mari. — Luc, ce n’est pas le moment de flancher. Fabienne compte sur toi. Tu as une réputation à soutenir. — Qu’est ce qu’elle veut ? — Subir le même traitement que Lisette. — Je suis tout à sa disposition. Elle agite la verge souple : — Pas encore malheureusement ! Elle la porte en bouche et retrouve sur la langue le parfum de Lisette. Fabienne, soutenue par la bonne, s’approche, il faut faire vite. Elodie lèche le membre, le caresse. Il consent à grossir dans sa bouche. Encore un petit effort. Il grandit. Il tient droit tout seul maintenant. — Ouf ! Ce n’est pas trop tôt ! — Vous vous plaignez toujours ! C’est vrai, ça ! pense-t-il, le moindre passage à vide vous est reproché ! Elodie résiste à la tentation de garder le sexe qu’elle tient en main pour son usage personnel. Elle jette un coup d’œil à Fabienne. La jeune fille les fixe les yeux vagues. Si elle l’abandonne ainsi, ce serait de la non-assistance à personne en danger !…
— Viens Fabienne. Lisette la recule au-dessus des genoux serrés. Fabienne écarte les cuisses. Elle s’arrête quand son dos rencontre la poitrine de Luc. Elodie guide la verge. — Assieds-toi dessus. La jeune fille descend, lentement, savourant tous les millimètres de la progression du manchon. Elle ouvre la bouche lorsque ses fesses buttent sur les cuisses. Elodie dirige les opérations : — Prends appuis sur nos épaules, on va te soulever. Elle s’adresse à Lisette : — Attrape-là sous la cuisse comme nous t’avons fait… Ça y est ?… Bon, on soulève… hop ! La collerette du gland frotte sur les muqueuses du vagin. — Là ! Laisse-la descendre maintenant. Nouveau frottement délicieux. Fabienne garde les yeux fermés. Toute son attention est accaparée par les sensations qui naissent dans son ventre. — Ça va, mon chou ? — Oh ! Que c’est bon ! Lisette approuve : — N’est-ce pas ? — On peut te faire aller et venir ? Luc répond à sa place : — Oui, allez-y ! Elles commencent à cadence réduite. Ce n’est pas suffisant pour la jeune fille. Fabienne n’est plus qu’un tremblement. Elle ne contrôle pas la montée du plaisir. Ses muscles agissent sur la queue de Luc comme un vibromasseur. C’est… c’est… Il ne trouve pas d’adjectif décrivant ce qu’il ressent. — Accélérons, Lisette ! Fabienne est déchaînée. Ses ongles s’impriment dans les épaules. Ses seins jouent la sarabande jusqu’à ce que Luc les maintienne de ses mains en coupe. Elle gémit, les lèvres serrées tandis que sa tête dodeline à la cadence imposée par ses deux servantes. Elle pousse un rugissement de plaisir quand l’orgasme la foudroie. D’un commun accord, Lisette et Elodie la reposent sur Luc. — Encore un peu, s’il vous plait… Il n’a pas terminé et les implore d’un ton plaintif. Après un échange de sourire complice, elles reprennent les cuisses de Fabienne et la soulèvent de nouveau sur la queue raide. La gymnastique continue jusqu’à ce qu’il exhale un long soupir de soulagement. — Ahhh ! Elles lâchent Fabienne que Luc serre contre lui. — Bon, ça y est ? Vous deux ? C’est fini ? — Oui c’est fini. — Ouf, ce n’est pas trop tôt ! C’est fatigant votre truc ! Ce n’est pas Lisette qui va contredire Elodie. Un tel effort après l’amour, cela vous met à plat pour la journée ! Les deux femmes s’accroupissent aux pieds du couple. Fabienne caresse leurs cheveux. — Je… Je ne sais comment vous remercier. C’était… c’était… Fabuleux ! Elodie est essoufflée : — Un autre moment toutes les deux, vous me rendrez la pareille. J’ai bien le droit d’essayer moi aussi ! — Je t’en fais la promesse, n’est pas Luc ? Il récupère des efforts dépensés. Excellent début de journée ! Il ne manque que Christophe. — Oh ! Moi, du moment que vous êtes satisfaites… — Le faux jeton ! murmure Elodie. Gare à lui si jamais il ajoute que c’est uniquement pour nous faire plaisir. — …Je fais cela uniquement pour vous faire plaisir… Aïe ! Pourquoi me pinces-tu, Elodie ?
Fabienne, toute guillerette maintenant que sa fringale d’amour est rassasiée, se lève des genoux de Luc. Elle jette un coup d’œil au sexe ratatiné. C’est sa faute à elle s’il est si minuscule ! Elle en est fière ! — Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j’ai faim. N’y a-t-il rien à manger ? Elodie se redresse péniblement. — Je pense que le petit déjeuner et prêt, n’est-ce pas Lisette ? — Oui, il attend dans la cuisine. — Eh bien ! Allons-y ! — Et Christophe ? — Tu lui apporteras le déjeuner au lit après… Cela ne t’ennuie pas Lisette ? — Non, pas du tout ! Luc s’extrait de sa chaise : — Alors, à table ! Ils passent tous dans la pièce à coté…
Luc est ravi de ce petit déjeuner. Entre Fabienne toujours nues et Elodie et Lisette si peu habillées, il ne sait pas où fixer les yeux et emmagasine des images capables de soutenir son moral toute la journée. A la fin du déjeuner, sa forme est revenue. Un instant il pense succomber à la tentation de baiser une nouvelle fois, Qu’il va-t-il choisir ? Elodie, Lisette ou Fabienne ? Non ! Ce ne serait pas raisonnable. Il a une importante réunion ce matin et dois conserver les idées claires. Luc pousse un gros soupir. Il croise le regard d’Elodie qui lui sourit malicieusement. Il répond d’une grimace et s’essuie consciencieusement la bouche. — Bon ce n’est pas tout ça, mais moi, il faut que je me prépare si je veux gagner la croûte que vous dévorez ! Elodie approuve : — C’est ça, va travailler ! — Je monte dans la salle de bain prendre une douche. — Nous t’accompagnons. Nous aussi nous avons besoin de nous rincer, n’est ce pas Fabienne ? — Oui, et après tu me donneras le déshabillé promis. J’en ai assez d’être la seule à poil ici !
Ils gravissent ensemble les marches. Luc, d’autorité s’enferme dans la douche. Les trois femmes rentrent dans la baignoire. Fabienne et Elodie se disputent la douchette. Elodie gagne. Elle règle le jet à puissance maximum et asperge ses compagnes qui piaillent à qui mieux mieux. Toutes les trois s’amusent comme des gamines. Luc sortant de la douche se fait copieusement arroser. — Eh ! Là ! Du calme les donzelles ! — On a bien le droit de distraire, non ? — Oui, oui, mais j’aimerais bien m’essuyer, moi. Elodie ferme l’arrivée d’eau. Il doit aller travailler, c’est vrai. Les trois femmes le regardent se sécher, lui, admire le bouquet qu’elles forment dans la baignoire. - Je vous laisse vous amuser. Je m’habille et m’en vais directement. — Tu ne viendras pas nous embrasser ? — Pas question ! Je tiens à rester sec ! — Tant pis pour toi mon chéri. Lisette enjambe le rebord : — Je vais aller apporter le petit déjeuner à Christophe. Avec le bruit que nous avons fait, il doit être réveillé. Elle ramasse son chemisier et sa jupe sur le carrelage. Elle les examine et grimace. Ils sont trempés. Elle ne peut pas les remettre et les jette dans le panier à linge sale. Elle s’essuie sommairement et sort avec Luc. — Au revoir mon chou, à ce soir, lance Elodie. — Au revoir ma chérie, au revoir Fabienne. Seras-tu encore là quand je reviendrai ? — Non, je dois retourner en ville. — Tant pis. Sur le palier, Luc serre Lisette dans ses bras. — A ce soir. Va t’habiller et t’occuper en douceur de notre chouchou. Une tape sur les fesses humides la congédie vers sa chambre.
Elodie et Fabienne restent seules dans la salle de bain. Accroupies dans la baignoire, elles se sourient se caressent doucement. Peu à peu elles se rapprochent s’embrassent. Leurs doigts s’insinuent dans les recoins secrets, déclenchant un plaisir doux et tranquille. Après s’être rincées, les deux femmes s’essuient mutuellement avec des gestes tendres. — Tu me prêtes ce déshabillé ? — Tout de suite ma chérie, allons dans ma chambre le choisir. Elodie sort sur le palier. — Tu viens ? Il n’y a personne. Fabienne la suit. Elodie ouvre son armoire. — Eh ben ! Tu en as des affaires ! — Oui, Luc est généreux. Fabienne présente devant elle une combinaison légère. — Essaye-la si tu veux ? — Je peux ? — Mais oui ma chérie. Fabienne enfile les dessous que lui présente Elodie…
Les cris poussés par les filles dans la salle de bain réveillent Christophe. Il regarde autour de lui. Il est seul. Il n’a pas senti Fabienne se lever par contre il l’entend piailler et rire avec Lisette. Il n’a pas le courage d’aller aux nouvelles, il a encore sommeil. Le souvenir de la veille lui revient en mémoire— Pffou ! Quel après-midi ! Combien de fois j’ai fait l’amour ? Cinq, six ? Il compte sur les doigts : — Fabienne dans la salle de bain, un… Luc puis Elodie, trois… re-Fabienne, quatre… Il rêve au cul de la jeune fille. Il sourit au souvenir du martinet entre les fesses. — Où j’en étais ? Ah oui ! Quatre dans le cul de Fabienne. Raté avec Lisette, ça ne compte pas… Lisette après le repas, cinq… Elodie, six et enfin Fabienne ! Cela fait sept ! Sept coups en un seul après-midi ! Autant que le petit tailleur du conte de Grimm ! Jamais il n’avait été à pareille fête. — Pas étonnant que j’aie de la peine à me réveiller. Euh… de la peine ? Surpris, il soulève le drap. Sa verge, au rappel des prouesses s’est redressée. Il la caresse machinalement. — Hé ! Du calme, je suis chez Luc et Elodie. Qu’est-ce que j’entendrais si je tachais les draps ! Il pose les mains sur la couverture pour échapper à la tentation…
Lisette grimpe les marches avec sur les bras, les vêtements de Christophe et un plateau chargé d’un petit déjeuner copieux. — Vu ses prouesses de la veille, il doit avoir une faim de loup le petit. Elle tape à la porte de sa chambre, pas de réponse. — Pas possible qu’il dorme encore ! Elle entre, personne. Le garçon est déjà levé, où se cache-t-il ? Elle avise alors la couche intacte. Il n’a pas dormi dans le lit qu’elle lui avait préparé ! — Le coquin qui a passé la nuit chez Fabienne ! Qui aurait cru qu’il en avait encore la force ! Avec un sourire, elle se dirige vers la chambre de la jeune fille et frappe à la porte. — Entrez ! La jeune bonne entre et referme la porte d’un coup de fesse. — Tu es là ? — Comme tu vois ! — Je t’ai cherché dans la chambre que j’avais préparée hier, mais j’ai constaté que tu n’y as pas dormi, alors je suis venu ici. — Et tu m’as trouvé ! — Il n’était pas bien le lit que je t’avais préparé ? — Euh… Si, si ! — Alors ? Pourquoi l’as-tu abandonné ? Tu avais mieux à faire, n’est-ce pas ? — Oui, exactement. Elle tourne dans la pièce cherchant un endroit pour poser son fardeau. Il se souvient que la veille au soir, elle ne portait pas de culotte, ordre de Luc. Est-ce qu’elle en a mis une ce matin ? Il n’a qu’à vérifier. — Viens ici me dire bonjour d’abord. — Avec le plateau ? — Tu le poseras après, affirme-t-il, pensant qu’elle ne se rebellera pas de crainte de renverser le déjeuner. Obéissante, elle s’approche du lit. Dès qu’elle est à portée, il glisse la main sous la jupe. — Mais oui, mais oui ! Je ne porte pas de culotte ! Si c’était pour cela, tu aurais pu me laisser poser le plateau. Je ne t’aurais pas empêché de contrôler ! Vexé Christophe la laisse s’échapper. Elle dépose son fardeau d’un geste brusque. Quelques gouttes de café coulent sur le napperon. Elle est furieuse, elle qui se faisait une joie de retrouver son compagnon de cuisine. — Je te laisse déjeuner, mais fais vite le café va refroidir. Christophe s’extrait des couvertures et s’installe tout nu à table, pas gêné par la jeune fille. Contrairement à ses dires, Lisette ne fait pas mine de partir. D’accord, elle est fâchée, mais il est si craquant ! Christophe remarque les deux tasses. — Tu veux bien m’accompagner ? — J’en avais l’intention, mais maintenant je ne veux plus. — Je t’en prie, excuse-moi, je ne le ferai plus. Elle hésite. Il ne lui faudrait pas croire qu’il n’a qu’à claquer des doigts pour obtenir ce qu’il désire ! Christophe lui adresse son plus joli sourire. — Je t’en prie ! Elle consent à se rendre. — Bon, je veux bien une tasse. — Je te sers. Elle s’assied. Il emplit les deux tasses de café fumant. Elle a beurré des tartines. Il ajoute un peu de confiture. — C’est bon. T’en veux ? — Non, simplement le café.
A suivre…
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