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Après le week-end

Chapitre 3

Erotique
Sa tasse terminée, Lisette se renverse sur le dossier de sa chaise et le regarde dévorer. Il avait faim et fait honneur au petit déjeuner. La jupe est remontée sur les cuisses. Christophe entame une autre tartine. Lisette avec un sourire se penche vers lui. Sa main chatouille la joue un peu râpeuse. Un doigt fait le tour de l’oreille. Le garçon frissonne, sa tasse tangue et une goutte de liquide tombe sur le plateau. — Tu me chatouilles ! Elle persévère et essaye d’introduire le doigt dans le conduit auriculaire. — Hi, hi, hi ! Le doigt descend sur le cou, suit la clavicule jusqu’à l’épaule et le bras. Il décrit des arabesques sur le biceps, remonte sous l’aisselle et tourne autour des rares poils qui parsèment le torse. Christophe sirote son café à petits coups, évitant de faire des mouvements brusque de peur de rompre le charme. Le doigt insiste sur la pointe du sein. Il arrête de boire et reste figé, la tasse presque vide en l’air. Il ferme les yeux dans l’attente de la poursuite de la caresse. Sa verge, coincée par les cuisses serrées, gonfle à lui faire mal. Le doigt descend sur le nombril qu’il explore. Il est parcouru par un frisson nerveux. Il ouvre les yeux et rencontre le regard un peu moqueur de Lisette. Il est un peu ridicule, la tasse en équilibre et la bouche ouverte. Il se reprend et pose le bol sur la table. Sa main libérée glisse sur le genou de la jeune fille. Il effleure la cuisse satinée. Le doigt de Lisette poursuit sa descente. Après le nombril, il atteint la naissance des poils pubiens. Il se faufile dedans jusqu’à la base de la verge. Il desserre les jambes. La hampe libérée se redresse d’un bond. Le doigt en fait presque le tour sans la toucher. Le gland hoche tout seul sous l’œil intéressé de la bonne. Ce sexe n’est pas aussi beau que celui de Luc, mais il est suffisant pour elle ! La main de Christophe a repoussé la jupe. Elle suit le pli de l’aine pour s’insinuer entre les cuisses, dans les poils du mont de Vénus. Lisette écarte un peu les genoux. Il en profite pour lancer un doigt entre les lèvres intimes à la recherche du clitoris. Elle empoigne la verge à pleines mains. Quand ses doigts escaladent la hampe dressée et font glisser la fine peau qui recouvre le gland, il est secoué comme par une décharge électrique. Il se jette sur la jeune bonne. Leurs chaises se renversent et ils se retrouvent sur le plancher. — Holà ! Du calme ! Fais donc attention, j’aurais pu me blesser ! — Tu as mal ? Il est à moitié allongé sur elle et la pelote effrontément. — Heureusement, non. Mais tu es en train de froisser mes vêtements ! Il se calme et l’aide à se relever. — Laisse-moi te les enlever. Ainsi ils ne s’abîmeront pas ! — Pas question ! Grosse déception pour Christophe. Lisette rit sous cape de sa moue de dépit. — Je le fais moi-même ! C’est plus prudent. Le sourire revient sur les lèvres du garçon. Lisette dégrafe sa jupe et l’enjambe. Elle la plie soigneusement sur un fauteuil de la chambre, offrant son postérieur à ses regards concupiscents. Il est aussi beau qu’hier soir dans la cuisine ! Pendant qu’elle retire son tee-shirt en le faisant passer au-dessus de la tête, il s’avance et empoigne les fesses rondes. Elle ne se défend pas, ce geste est dans l’ordre des choses, elle l’attendait. Quand elle est nue, il la tourne, la transporte sur le lit et se jette dessus. A ce stade de leurs rapports, la brutalité du geste ne déplaît plus à la bonne qui enlace le torse de Christophe et le serre contre elle. Sans délai il se glisse entre les cuisses qui s’écartent et plante son dard dans le con qui l’attend. Lisette accompagne les coups de rein en jetant son bassin à la rencontre du pénis qui la transperce. Christophe se sent plein de vigueur. Toute la fatigue de la veille a disparu, il tient la grande forme…
Le vacarme provoqué par la chute des chaises est parvenu jusqu’à la chambre d’Elodie. Fabienne et elle interrompent leurs essayages. — C’est dans ma chambre qu’il y a tout ce bruit ! — Ta chambre ? Tu n’y as pas dormi seule ? — Euh… Elodie regarde Fabienne en coin. Entre les deux jeunes gens, les choses sont plus avancées qu’elle ne l’imaginait. Elle en est satisfaite. — C’est Christophe qui fait encore des siennes. Allons voir ce qui se passe, mais auparavant, remettons les robes dans l’armoire. Fabienne lui passe les vêtements qu’elle range dans la penderie. L’armoire fermée, Elodie se dirige vers la porte.
— Tu y va toute nue ? Tu ne t’habilles pas ? — Bah ! Christophe en a vu d’autre, viens comme ça toi aussi. La jeune fille hésite. C’est la première fois qu’elle pénètrera nue dans la chambre d’un garçon. Mais, c’est sa chambre après tout ! — Allez ! Viens ! Elle suit Elodie.
Les deux femmes s’arrêtent devant la porte close. Le vacarme a cessé, remplacé par des halètements. Inutile de demander l’occupation actuelle de Christophe et Lisette ! Elodie observe Fabienne avec inquiétude. Comment va-t-elle réagir face à « l’infidélité » de Christophe ? La jeune fille lui sourit malicieusement et ouvre la porte sans bruit. L’objet de ses pensées besogne avec entrain une Lisette, nue, jambes écartelées. Elle n’est pas surprise. Elle se doutait bien que Lisette n’a pas préparé le petit déjeuner pour rien ! Elle n’est pas jalouse et pense plutôt à profiter du moment, exactement comme tout à l’heure avec Luc. Elodie la regarde en coin. Fabienne sourit, non elle n’a aucune crainte à avoir. Cette maison est un asile où chacun appartient aux autres. Elles se sourient et entrent, Elodie est rassurée. Elle referme la porte derrière elle. Les deux comparses ne se sont pas aperçus de leur présence et continuent leur sarabande. — Je vois que l’on prend du bon temps ici ! s’amuse Elodie. Christophe sursaute. Il tourne la tête suffisamment pour apercevoir Fabienne. Que va-t-elle penser de le voir faire l’amour avec une autre fille, dans son lit ? Il veut se lever, mais Lisette l’en empêche en le maintenant étroitement serré contre elle. Il tente de se dégager mais ne le peut. Il ne peut même pas retirer sa verge qui se dégonfle. — Qu’est-ce que c’était ce bruit que nous avons entendu ? Vous ne vous êtes pas fait mal au moins ? poursuit Elodie. — Non, c’est simplement Christophe qui s’est jeté sur moi comme s’il voulait me violer. — Et alors ? — J’ai du pour le calmer, accepter de me déshabiller et de me prêter à ses exigences ! — Oh ! Je ne l’ai pas beaucoup forcé. Elle est consentante, je vous assure ! — Je te crois. Aussi je m’en voudrais si vous ne continuiez pas à baiser avec la belle fougue qui caractérise votre jeunesse. Elle s’assied à coté du couple, imité par Fabienne. Qui la première a posé les mains sur les fesses de Christophe ? C’est vrai qu’elles sont mignonnes, reconnaît Fabienne, nerveuses tout en restant potelées ! Malgré les caresses, la présence des deux femmes ôte tous ses moyens au jeune homme. Il n’ose bouger. S’il le fait son sexe quittera Lisette. Mou comme il est, il ne pourra revenir et sa déconfiture sera totale. Pourquoi ne le comprennent-elles pas ? déplore-t-il. Tant qu’elles sont là, il sera incapable de poursuivre ! Ni les papouilles sur le cul ni les mouvements de bassin de Lisette n’y font rien. — Alors, Christophe, en panne ? — Oui Elodie ! Votre présence a un effet déplorable sur ses performances ! Envolée la belle ardeur qu’il manifestait avant votre venue, se désole la jeune bonne. — En voilà des manières ! gronde Fabienne en donnant une tape d’encouragement. Veux-tu bien continuer espèce de garnement ! Il serre les fesses. Elodie fronce les sourcils : — N’imagine pas que nous allons partir ! Nous sommes là et nous y restons ! Si tu ne te reprends pas, nous allons employer les grands moyens ! Elle assène trois claques sonores. — Aïe ! Pas si fort ! — Alors ? Ça ne va pas mieux ? Lisette s’exclame joyeusement : — Si, si ! Ça va mieux, la forme revient ! — Parle pour toi ! Ce n’est pas toi qui reçois la fessée ! Il n’empêche, la bonne a raison. Son sexe grossit et remplit à nouveau le vagin de la jeune fille. Il n’a plus peur et reprend ses coups de rein, oh ! Timidement au début. Encouragée par le succès de sa méthode, Elodie frappe en cadence les fesses du plat de la main, vite imitée par Fabienne. — Allez Christophe ! Allez Christophe ! Allez ! Lisette vibre dans les bras du garçon. Elle voudrait se dégager, le dominer, laisser libre cours à sa libido. Il ne le permet pas. Malgré, ou peut-être à cause des coups qui pleuvent sur son postérieur, il ne change pas de position. Il laboure le ventre de la jeune fille de coups de queue qu’il accompagne de gémissements haletants. La contrainte que le garçon lui impose a un puissant effet érotique sur elle. Elle lève les genoux et tape des talons sur les fesses rougies. Les deux femmes cessent, par force, la fessée, mais cela n’est pas grave, l’essentiel de la médication est réalisé ! Elles se contentent d’admirer la fougue du couple. Elles échangent un regard de triomphe quand Christophe rugit de plaisir et retombe inerte sur Lisette dont l’orgasme a épuisé les jeunes forces.
Elodie pousse le garçon vers Fabienne. Il frotte, doucement, son cul endolori qui le pique. Il n’ose le regarder, il doit être tout rouge ! — Vous y êtes allé un peu fort ! — Peut-être, mais nous sommes trois à avoir vu la manière dont tu as apprécié le traitement. — Oui, les coups lui ont donné une drôle de vigueur ! approuve Lisette. — N’est-ce pas ? — Même que j’ai trouvé qu’il était plus vaillant qu’avant votre arrivée ! — Tu vois ! Il faudra que je demande à Luc de te fesser la prochaine fois que tu voudras me baiser ! — Oh ! Non, pas Luc, il tapera trop fort ! Lisette à la rigu… Il se tait brusquement en remarquant le regard narquois d’Elodie. N’est-il pas entrain d’avouer qu’il apprécie d’être fessé ? La jeune femme sourit sous cape. — On verra, on verra… Fabienne contemple sans mot dire les fesses rouges. Son cul, hier, devait avoir la même allure, peut-être zébré en plus par les lanières de cuir. Christophe se redresse en prenant soin de ne pas heurter son postérieur sensible. Il appuie la tête sur la poitrine de la jeune fille, la joue sur un sein tendre et doux. Fabienne le prend sous sa protection et entoure du bras ses épaules. — Le pauvre chou ! Dire que trois méchantes filles lui ont donné la fessée ! La douceur de ses gestes dément l’ironie des paroles. Les caresses de la main sur sa poitrine parmi les poils rares et sur les petits tétons, sont si agréables qu’il en ferme les yeux. Tout est calme après la folie précédente…
Elodie attire Lisette qui glisse la main entre les cuisses serrées. Elles se cajolent en silence, savourant la paix retrouvée. Tout à coup Elodie sursaute et réveille ses amis qui s’assoupissaient : — Mais, ma parole ! Regardez ! Elle désigne l’entrejambe de Christophe. — Regardez ! Il bande à nouveau ! C’est vraiment le traitement qu’il te faut ! La verge s’est redressée et pointe entre les cuisses. Fabienne, plus émue qu’elle ne voudrait, approche lentement la main, entoure la hampe et fait glisser la fine peau. Christophe est vexé d’être le point de mire. — Et alors ? On dirait que c’est la première fois que vous voyez un sexe masculin en érection ! — Si près d’une éjaculation ? Oui, à part celui de mon Luc, apprécie Elodie. Il rougit de bonheur, fier d’être comparé à son idole. La jeune femme s’adresse aux filles : — Alors ? Qu’en pensez-vous ? Fabienne regarde rêveusement le gland violacé qui surgit et disparaît entre ses doigts. Elle n’a pas l’expérience d’Elodie, mais il lui semble bien que Christophe a récupéré en un temps record : — J’en pense… Je pense… qu’il me donnerait des idées… — Des idées, des idées, je t’en ferai des idées ! marmonne le garçon un peu vexé. Il en a assez d’être un jouet entre les mains de ces trois femelles. Il est temps de reprendre l’initiative ! Il bascule Fabienne sur le drap et se couche dessus. Elle rit sans chercher à se dégager. Elle est heureuse ! Heureuse d’être là, avec ses amis, heureuse que Christophe s’apprête à la posséder devant Elodie et Lisette. Des mains courent sur les fesses sensibles du garçon : — Ah ! Non, plus de fessée, ça suffit ! — Mais non, n’aie aucune crainte. Nous ne ferons que te caresser, n’est-ce pas Lisette ? — Oui, Elodie. Il n’est qu’à moitié rassuré. On ne sait jamais avec ces femmes ! Leurs attouchements légers sont si agréables qu’il décide de leur faire confiance. Il reprend les caresses sur Fabienne qui s’y prête volontiers. Brusquement, il s’arrête conscient d’un manque, d’un absent. — Luc n’est pas là ? — Non, il est parti travailler. Il te manque ? — Non… euh… je… — En es-tu sûr ? — Euh… Oui. Comment leur dire que tout à coup, il s’est vu en imagination… que son rêve serait de baiser Fabienne pendant que Luc derrière l’enc... le sodomiserait. Elodie prise d’un soupçon s’empresse de vérifier. De l’index elle tourne autour de l’anus. Elle sourit de satisfaction au frisson qui agite Christophe. Elle pousse et enfonce le doigt de la profondeur d’une phalange. Il exhale un gros soupir qui surprend Fabienne. Au sourire d’Elodie elle devine à quoi cette dernière est occupée. Sacré Christophe ! Il ne changera pas ! Cela l’amuse et elle serre encore plus le garçon contre elle.
Elodie enfonce et ressort le doigt plusieurs fois. — Que si, il te manque ! La caresse est si douce qu’il se laisserait aller. Par un effort de volonté il parvient à ne pas oublier Fabienne. Il s’installe entre les jambes écartées de la jeune fille et explore le sexe humide. Son doigt est avalé par la chatte ouverte, prête à recevoir ses hommages. — Suis-je bête ! Elodie se lève brusquement. — Lisette prend ma place auprès de Christophe, je reviens tout de suite. Elle se précipite dans sa chambre, ouvre un tiroir et en sort deux écrins. — Pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt ?
La jeune bonne, une fois installée, fouille entre les fesses d’un doigt timide. Après un instant d’hésitation, elle l’enfonce, remplissant la tâche confiée par Elodie. Christophe quelques secondes désemparé par la fuite de la jeune femme, ouvre le cul à la nouvelle intrusion. Il prend sa verge en main et en caresse le sexe de Fabienne. Il sait combien la jeune fille aime ce geste. Elle ronronne, lui sourit et ouvre les genoux pour mieux le recevoir. Comme il tarde, elle agrippe ses reins et l’attire en elle au moment où Elodie revient, les deux boites sous le bras.Le trio se fige, Christophe en appui sur les avant-bras pour ne pas écraser Fabienne. Lisette n’a même pas l’idée d’ôter son doigt du cul. Sous leurs regards inquisiteurs, Elodie pose les écrins sur la table et les ouvre. Elle extrait de leur lit de velours deux parfaites reproductions du sexe masculin. L’une est plus grosse que nature, l’autre plus fine et plus longue. Curieuse, Lisette demande. — Qu’est ce que c’est ? — Ce sont des godemichés, des olisbos. — A quoi ça sert ?… Oh ! Elle a parlé trop vite et s’interrompt confuse, quand la vérité lui apparaît. Elodie prend le plus fin des deux godemichés et un tube de crème qu’elle tend à Lisette. — Enduit le bout de crème, s’il te plaît. Le couple sur le lit est fasciné. Christophe reste figé la queue profondément enfoncée. Fabienne que les préparatifs énervent tout en lui faisant plaisir, masse la verge des muscles du vagin. Le garçon a compris ce qui l’attend. La longueur de l’engin que Lisette badigeonne l’inquiète. — Tu vas me mettre ça dans le cul ? — Tu verras, tu apprécieras. C’est nettement moins gros que le vit de Luc. En effet à le regarder de près, il est plus fin. — Tu… tu… tu feras attention, hein ? — Mais oui, mon gros ! Lisette rends-moi l’instrument et écarte-lui les fesses. La bonne s’empresse d’obéir. Elle a hâte d’assister à l’opération. Fabienne aussi, elle soulève la tête mais ne peut voir ce qui se passe dans le dos de Christophe. Deux mains tirent sur les lobes de son cul. Un doigt enduit de crème le pourtour de l’anus. Il sent l’engin qu’Elodie manipule avec précautions se frayer un passage. Il entre. Ce n’est pas aussi doux qu’une vraie queue mais ce n’est pas désagréable. — Alors, ça fait mal ? — Non, pas du tout. C’est… — Qu’en penses-tu ? Je peux continuer ? — Oui, oui !… Euh… Si tu veux. Avec une rotation, elle enfonce la fausse queue. — Bon, reprends donc ton office, Fabienne s’impatiente. Oui, il est temps qu’il s’occupe de moi, pense la jeune fille. Tous ces préparatifs lui ont mis les nerfs à vif. Il suffit à Christophe de quelques va et vient pour la précipiter au septième ciel. Elodie calque ses mouvements sur la cadence imposée par le garçon.La jeune fille prend son pied. Elle lance son bassin au devant des coups de boutoir du garçon, ne facilitant pas la tâche d’Elodie attentive à ce que le godemiché reste enfoncé et ne sorte pas. Lisette s’approche : — Je peux ? Elodie cède sa place. La jeune bonne manipule l’olisbo avec respect, du bout des doigts. Un mouvement brusque de Christophe la surprend. La queue factice quitte le cul. Elle veut la remettre : — Aïe, tu fais mal ! Elodie reprend la maîtrise des opérations. Elle le remet en place avec habileté et suit à la perfection les mouvements de Christophe. Le rythme imposé s’accélère. Il varie ses coups de rein. Fabienne soupire. Sa tête tourne de part et d’autre. Elle imprime ses ongles sur les épaules du garçon. Il veut lui suggérer de se placer à quatre pattes afin qu’il la prenne en levrette. Trop tard ! Elle gémit, se débat sur le lit, griffe les épaules. Il est fier de la jouissance procurée, tellement fier qu’il en éjacule sur-le-champ, sans pouvoir se contrôler. Fabienne en plein délire n’a même pas senti la semence s’écouler. Encore quelques coups de rein et il s’effondre…
A suivre…
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