Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 0 Commentaire

Après le week-end

Chapitre 4

Erotique
Étouffée, la jeune fille se dégage. Il reste à plat ventre, la respiration haletante. Les couilles du sexe artificiel trônent au ras des fesses. Fabienne appuyée sur un coude peut enfin voir et ne s’en prive pas. Elle pense qu’elle devait offrir un spectacle semblable, hier, avec le martinet dans le cul. Elle se souvient d’une sensation bizarre, pas désagréable, juste un peu gênante, encombrante. Il doit en être de même pour lui. Christophe reprend ses esprits. Il veut s’accroupir et fait une grimace à cause de l’engin fiché dans ses intestins. — Attends ! Ne bouge pas, je le retire. Elodie extrait peu à peu le godemiché. Sa longueur étonne Fabienne. Dire que Christophe l’avait entièrement dans le cul ! Elodie l’essuie avec un coton et le replace dans sa boite sous le regard effaré du garçon. Ce n’est pas possible qu’il ait supporté un tel engin ! Il lui semble plus long que tout à l’heure quand Elodie l’a présenté ! Les deux filles s’empressent autour des godemichés. Curieuses, elles les prennent en main, les caressent. Lisette examine le plus gros sur toutes les faces. — On dirait presque du vrai ! — Montre. Elles échangent les olisbos. Le contact est doux, presque soyeux. Elodie s’impatiente : — Dites, les filles ! Vous êtes de grandes égoïstes ! Vous avez eu Christophe, vous ! Aidez-moi donc à remettre ce jeune homme en condition. Ensuite, vous aurez tout loisir de vous amuser. En riant, elles lâchent les godemichés et se précipitent sur lui. Il persiste à rester à plat ventre, protégeant son intimité. — Peut-être qu’une fessée comme tout à l’heure, le remettra en condition ? Lisette lève la main pour frapper les fesses. — Ah ! Non alors ! Il se retourne vivement, erreur grossière ! Les deux filles se jettent sur son sexe. Après avoir vainement tenté de se protéger, il l’abandonne entre leurs mains et leurs bouches avides. — Ne me chatouillez pas ! Ce n’est pas leur intention. Elodie vient à la rescousse. Les trois femmes patouillent, sucent, pincent le corps qui ne se débat pas beaucoup. Il se prend au jeu. Ses mains ne restent pas inactives et happent au passage, une fesse, un sein ou une cuisse. Au bout d’un moment Fabienne s’écrie : — Ca y est, je crois que ça vient ! — Fais voir, s’écrit Lisette jalouse de ne pas avoir été la première à observer sa résurrection. La petite curieuse vient constater de visu les progrès. La queue s’allonge à vue d’œil sous leurs regards. Elodie s’interpose : — Laissez-le-moi ! Écartez-vous, vous aller lui faire peur ! Christophe se rebiffe. Cela l’énerve qu’on le traite comme une vulgaire marchandise. — Vous pourriez me demander mon avis, non ? — Pourquoi ? — C’est de moi qu’il s’agit ! J’ai bien le droit de dire quelque chose ?
Fabienne déclare d’un ton péremptoire : — Ce n’est pas nécessaire ! Elodie se précipite sur le sexe encore chancelant et le porte en bouche. Il ferme les yeux de plaisir. Elle dépose des baisers sur la hampe, promène dessus sa langue. Le gland s’enfle et pointe hors de la fine peau qui le recouvre. — Enfin ! Le revoilà prêt à l’emploi ! Les deux filles se désintéressent de Christophe. Elodie n’a qu’à s’occuper de lui ! Elles n’ont d’yeux que pour les sosies d’attribut masculin. Lisette a pris le plus gros en main et le contemple perplexe : — Pourquoi les grosseurs sont si différentes ? — Je pense qu’il y en a un pour devant et l’autre pour derrière. Elodie approuve : — Tu as tout à fait raison Fabienne. Une idée traverse son esprit. Elle n’est pas fana de la sodomie, mais là, en présence de ces deux gamines, après avoir vu le plaisir de Christophe, elle a une envie folle de recevoir dans le cul la queue qu’elle tripote entre les doigts : — C’est comme pour moi, je me réserve Luc pour devant et… — Et moi pour le cul ! — Tu as tout compris ! Fabienne lève la tête, un peu surprise. Elodie lui a avoué que la sodomie n’était pas sa tasse de thé. La jeune femme lui sourit, hausse les épaules et monte sur le lit à quatre pattes. Ma foi ! Si cela lui fait plaisir ! Christophe se met à genoux derrière elle. Il caresse les deux globes, passant les mains partout, sur les cotés, devant derrière, entre les jambes. Elle écarte les cuisses pour faciliter l’attouchement…
Les deux filles se désintéressent du couple. Les godemichés sont plus passionnants, surtout pour Lisette. Elle manipule avec gourmandise le plus gros. Ses yeux brillent. Elle meurt d’envie de l’essayer. Elle le présente contre son sexe. Fabienne a peur pour elle, il est si… volumineux. Entre les cuisses, l’engin paraît encore plus imposant. — Ce n’est pas trop gros ?… On peut essayer… Veux-tu m’aider Fabienne ? Puisqu’elle y tient ! La jeune fille lui prend des mains et l’enduit de crème. Elle est généreuse avec la vaseline, car elle se doute que ce sera nécessaire. Elle regarde l’autre godemiché, le petit, enfin, le moins gros. Elle hésite. Oh, puis zut ! Elle le badigeonne également, il n’y a pas que Lisette qui ait le droit de s’amuser ici ! Fabienne s’arme de l’énorme godemiché qu’elle assure dans la main par les boules qui figurent les couilles. — Va sur le lit, ordonne-t-elle à Lisette, et écarte les cuisses. Elodie rampe à quatre pattes pour lui faire de la place. Christophe prend sa queue en main et la présente au cul. Il chatouille l’anus du gland. Il appuie un peu. Les chairs résistent. Il pousse plus fort. Elodie frémit quand il s’enfonce de quelques centimètres. Il reprend appui et pousse encore. La verge glisse et ne s’arrête que lorsque les poils viennent buter sur le cul.
La jeune bonne s’installe cuisses écartées. Sa chatte est minuscule en comparaison du diamètre du godemiché. Christophe n’en revient pas, jamais cela ne rentrera ! Elodie et lui sont fascinés et en oublient leur propre plaisir. Lisette a bien l’intention de se faire embrocher par cette énormité ! Fabienne présente le bout du godemiché à l’ouverture du vagin. Elle a peur pour elle : — Il est trop gros, il vaut mieux renoncer. — Non, je t’en prie, insiste ! — Alors, il faut que tu t’écartes encore plus. La bonne prend les genoux en main. Elle les ramène contre ses bras, prenant d’instinct la position d’une femme qui accouche. La chatte bée, largement ouverte. Fabienne présente le bout face au vagin. — Qu’est ce que tu attends ? Vas-y ! Tous les trois contemplent incrédule la chair élastique de la vulve s’écarter autour de l’énorme queue et l’avaler. Peu à peu l’énorme pieu poussé à petits coups par Fabienne disparaît. Des expressions contradictoires passent sur le visage de Lisette au fur et à mesure de l’introduction. — Ouch ! — Tu as mal ? — Non… non, non ! Tu peux y aller ! Elodie a peur que Fabienne fasse un faux mouvement dont les conséquences seraient désastreuses pour la bonne. La jeune fille opère avec précautions et arrive en fin de course sans encombre. — Pffuuut, c’est gros ! — Veux-tu que je l’enlève ? — Non, non ! Christophe n’en revient pas de la facilité de l’introduction. Cette fille a un con en caoutchouc ! se dit-il. Elodie est rassurée. Elle apostrophe le garçon : — Qu’est ce que tu attends ! Nous n’avons pas que cela à faire ! La verge du garçon a presque glissé hors de l’anus. Il rétablit le contact et à grands coups de rein, butte sans ménagement sur les fesses. Il oublie Fabienne et Lisette et leurs jeux. Plus rien de compte que le cul d’Elodie. Celle-ci lui prend la main et la pose sur son sexe. Il comprend tout de suite et trouve le clitoris qu’il agace du bout du doigt au rythme de la pénétration…
Fabienne retire un peu l’engin de la chatte de Lisette et le renfonce immédiatement. — C’est bon ? — Oh ! Oui, il faut que tu essayes. Va plus vite s’il te plaît. Ce que la jeune fille voit ne lui donne aucune envie d’essayer. Elle augmente la cadence. Elle aimerait rejoindre celle imposée par Christophe mais n’ose aller trop vite par peur d’un accident. Chaque fois qu’elle bute au fond du vagin, Lisette couine un petit cri de plaisir. Elle écarte largement les genoux et projette son bassin à la rencontre du simili sexe. La retenue de Fabienne ne la satisfait pas. Elle empoigne le godemiché et se l’administre elle-même au grand soulagement de son amie. Libéré d’un gros souci, elle contemple le trio sur le lit. Ils jouissent de conserve. Elle reste la seule lucide. Un fourmillement dans le ventre l’énerve. La seule lucide, peut-être, mais elle brûle d’impatience de rejoindre leur folie amoureuse. Elle attrape l’autre godemiché et s’installe cuisses écartées sur le fauteuil. Qu’a dit Elodie tout à l’heure ? Oui, celui-ci est destiné à l’arrière. Elle tente de se l’introduire dans l’anus. Ce n’est pas commode, il faut une aide extérieure, indisponible en cet instant. Tant pis, elle le dirige vers son sexe. Il entre facilement. Elle l’agite avec frénésie, n’ayant pas la crainte de se déchirer. Elle est si excitée que malgré son diamètre réduit, l’engin lui procure un intense plaisir.
La chambre retentit de leurs gémissements, halètements et autres borborygmes. Lisette puis Fabienne s’arrêtent, assommée par l’orgasme. Christophe n’en finit pas. Les deux premières séances avec la bonne et la jeune fille ont laissé des traces. La fatigue l’empêche d’atteindre la jouissance. Enfin il éjacule. Il s’affaisse sur les genoux, son sexe glisse du cul d’Elodie. Celle-ci n’a pas été satisfaite. Elle est un peu dépitée. Il faut se faire une raison ! Il n’y a que Luc qui soit capable de la combler par l’arrière. Fabienne repose son godemiché sur la table. Lisette gît inerte sur le lit, cuisses écartelées, l’énorme engin fiché dans son sexe. Elodie s’approche, et avec des gestes très doux, le retire. Un peu de sang le macule. La jeune bonne soupire : — Oh ! Que c’était bon ! — Peut-être, mais trop gros pour toi ! Tu en seras quitte pour deux ou trois jours d’abstinence ! — Tant que cela ? — Eh oui, ma petite ! Sinon tu risques de gros ennuis de santé ! Le calme est revenu dans la chambre. Chacun récupère. Fabienne se secoue et se lève de son fauteuil : — Il n’est de bonne compagnie que l’on ne doive quitter. Je te remercie, Elodie pour tout ce que tu as fait pour moi, mais je suis obligé de vous laisser et de rentrer en ville. Christophe saute du lit : — Moi aussi ! Ce n’est pas vrai mais il tient absolument à partir avec Fabienne. — Vous ne voulez pas attendre le retour de Luc ? La jeune fille secoue la tête en signe de dénégation. — Non, malheureusement c’est impossible pour moi. — Moi, c’est pareil ! — Vous ne voulez pas rester pour le déjeuner et ne partir qu’ensuite ? — Non, je te remercie, j’ai rendez-vous en début d’après-midi. — Et toi Christophe ? — C’est pareil. — Je comprends et ne vous retiens pas. Mais n’oubliez pas de revenir. Le plutôt sera le mieux. — Où sont mes… Rien, rien ! Ne vous dérangez pas. J’avais oublié que ma robe était là sur la chaise. Qui dois-je remercier de l’avoir repassée, toi Lisette ? — Oui, elle l’a fait hier après-midi pendant que tu reposais. — Merci bien, Lisette. Fabienne se tourne vers le garçon. — Je vais me nettoyer. Profite de l’occasion si tu veux partir avec moi ! Il récupère les affaires apportées par Lisette avec le petit déjeuner et la suit dans la salle de bain. Quand ils sont sortis, Lisette passe un doigt entre ses cuisses et grimace : — Je serais obligée d’attendre trois jours ? — Oui, je pense. On contrôlera demain. Si tu as de la chance, le délai sera raccourci. — Je l’espère. — Quand les deux autres seront partis, nous irons dans la salle de bain et je te donnerai de la pommade dont tu t’enduiras. — Tu ne pourrais pas me la passer ? — Crois-moi, il vaut mieux que ce soit toi qui le fasses, je risque de te faire mal. — Du mal ? En passant de la crème ? — Oui, ma petite, tu le verras par toi-même. La pauvrette est toute désolée. Elodie la cajole contre sa poitrine.
Christophe veut prendre Fabienne dans ses bras. Elle se dérobe : — Non, je t’en prie, je réellement pressée. Son air penaud la fait rire. — Viens avec moi sous la douche… Il s’avance un large sourire aux lèvres. — …Mais, sage ! Je te permets de me laver dans le dos, c’est tout. Je te répète que je suis en retard. — Tes désirs sont des ordres ! Elle est sérieuse. Il comprend qu’il vaut mieux ne pas insister, surtout en prévision de la suite. Il la frotte dans le dos en évitant les attouchements trop précis. Elle fait de même. Il lui prend des mains sa serviette et tamponne les reins, les fesses. Une tape sur les doigts le dissuade d’essuyer entre les jambes. Il se le tient pour dit. Il lui tend la serviette et présente son dos qu’elle sèche. Il se retourne mais Fabienne refuse de continuer. Tant pis ! Il éponge son ventre tout seul !
Ils reviennent habillés dans la chambre. Lisette est toujours pelotonnée contre Elodie. Les deux femmes forment un charmant tableau. — Bon, et bien voilà, nous partons. — Vous ne voulez pas rester ? Vous êtes décidés ? — Oui, oui ! Je n’ai que trop tardé ! Vous embrasserez Luc de ma part. — Et de la mienne ajoute Christophe. — Nous n’y manquerons pas, n’est-ce pas Lisette ? — Oui, je l’embrasserai de ta part, Fabienne. — Quand reviendrez-vous nous voir ? — Je ne sais pas, pour moi, dans pas longtemps, la semaine prochaine peut être. Christophe approuve dans son dos : — Oui, la semaine prochaine. — Je retiens le week-end pour vous ? — Non, pas le week-end prochain. Appelle-moi demain soir, je serai fixée. — C’est entendu, je te passe un coup de fil demain soir. A toi aussi Christophe ? — Euh… Je ne sais pas où je serai. Je préfère t’appeler. Si tout se déroule comme il l’espère, ils ne seront pas loin l’un de l’autre Fabienne et lui. — A ta guise. La jeune fille embrasse les deux femmes. Christophe s’avance à son tour et en profite pour chatouiller Lisette qui glousse. — Alors, tu viens ou tu restes ? — Je viens, je viens ! A la porte, elle se retourne pour adresser un dernier baiser à ses amies. Christophe lui emboîte le pas. Elodie attend d’entendre la porte d’entrée se refermer : — Allons dans la salle de bain te traiter. Lisette la suit. Les premiers pas lui arrachent une grimace. — Tu vois, il faut te soigner. Tu as été imprudente. Elle fouille dans l’armoire à pharmacie et lui tend un tube. La bonne le refuse : — Non, je préfère que tu le fasses toi-même. — Je risque de te faire mal. — Je t’en prie. — Bon, assieds-toi sur le tabouret et écarte les cuisses. Les lèvres de son sexe sont rouges et congestionnées. Un filet de sang suinte. Elodie le nettoie avec une éponge naturelle. Ses gestes qu’elle veut le plus doux possible arrachent quelques grimaces, mais Lisette ne se plaint pas. Tout badigeonnant la crème Elodie est préoccupée : — Que penses-tu de l’attitude de Fabienne et Christophe ? — Ils vont se mettre ensemble ? — Tu as remarqué ? — Oui, Christophe surtout. Il n’a d’yeux que pour elle. — Tu exagères, il t’a bien fait l’amour tout à l’heure. — Oui, mais tu as vu comme moi comme il était heureux quand il l’a prise dans ses bras. — Ces deux là, se sont découverts ce week-end. J’espère que cela va marcher entre eux. Mais Christophe est si jeune. — Tu sais, maintenant, la différence d’âge entre garçon et fille n’a plus beaucoup d’importance. — Tu as peut-être raison. N’empêche, Christophe m’entendra s’il ne rend pas Fabienne heureuse. La toilette se termine. — Au travail ! Va enfiler ton jeans ! Je t’aide à faire le ménage ce matin. Tu rangeras cet après-midi pendant que je ferai un saut au journal…
Elodie est rentrée avant Luc. La maison est propre et nette. Lisette a bien travaillé. Elle vient juste de la féliciter quand son mari s’encadre dans la porte d’entrée. Elle se précipite pour l’embrasser. Il jette un coup d’œil aux alentours, il n’y a que Lisette en courte jupette qui attend son bon vouloir. — Notre visite n’est plus là ? — Non, ils sont partis ce matin. — Tant pis, on se passera d’eux, n’est-ce pas ma jolie ? Il fourrage sous la jupe de la bonne. — Aïe ! Il s’arrête étonné de la réaction. — Tu sais, Luc, explique Elodie, cette petite dévergondée a fait des folies ce matin et sa chatte est indisponible pour deux ou trois jours. — Comment cela ? — Elle n’a pas pris de précautions en essayant mon gros godemiché ! — C’est vrai ça, Lisette ? — Oui, malheureusement. — La gourmande ! — Oh ! Oui, je suis bien punie ! Luc soulève la jupe et fourre son doigt derrière, entre les fesses de la bonne qui se trémousse. — Je constate que l’autre porte est intacte n’est-ce pas ? — Oui, elle n’a pas été utilisée ! — Tout n’est donc pas perdu ! Il rabat la jupe et donne une petite tape sur le tissu. — Bon ! Et si nous allions manger maintenant ? Luc les entraîne vers la table…
A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live