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Après le week-end

Chapitre 7

Erotique
Christophe écarte le chemisier sur la poitrine de Lisette. — Non, non. Je n’aime pas que mes seins soient aspergés. — Pourquoi ne mets-tu pas un tablier ? — Un tablier ? La suggestion étonne la bonne. Elle s’attendait plutôt à ce qu’il lui demande de se déshabiller. — Oui, un tablier… comme la dernière fois. Son visage s’éclaire : — Ah oui ! Comme la dernière fois ! Elle attrape le tablier suspendu et fait mine de le passer autour du cou. — Eh là, pas si vite ! Son sourire révèle à Christophe qu’elle se moque de lui. — Mais oui, mon gros, je te taquine. Déshabille-moi s’il te plaît. Cet ordre lui plaît ! — Attention, plie bien mes vêtements sur une chaise. Il s’exécute. Elle est charmante, vêtue du seul tablier, les pointes roses des seins de part et d’autre du plastron. — Voilà, tu es prête. — Toi, non ! Elle se jette sur le garçon. En un rien de temps ses habits ont rejoint la chaise. — Nous sommes prêts. Dis, tu m’aideras à essuyer ? — Cela fait partie de mes attributions n’est-ce pas ? Elle reprend place contre l’évier. Il passe la main entre ses cuisses. Les poils qui couvrent son sexe sont humides. L’impatience de la jeune bonne égale la sienne ! Il y trempe les doigts. Lisette ronronne. — Ça ne te fait pas mal ? — Oh non! — Tu as bien récupéré alors ?… Oui, explique-t-il devant le regard d’incompréhension qu’elle lui jette, tu avais la chatte congestionnée quand nous sommes partis l’autre lundi. — Ah ça ? Pas de problème c’est guéri.
— Je suis content de l’apprendre. Il promène le bout de sa verge sur les rondeurs et dans la raie. — Oui, caresse-moi ! Il insiste, frotte la hampe sur la chatte. Lisette bouge le postérieur à la rencontre de l’engin qui glisse contre son sexe. Il ressort une verge trempée et la positionne face à l’anus. Il appuie, mais elle se dérobe : — Non, pas là ! Pas tout de suite. Le ‘pas tout de suite’, est prometteur ! Il accepte d’attendre et reprend la caresse sur le sexe. — Oui, comme ça ! Elle serre les cuisses emprisonnant la queue. Les doigts de Christophe titillent les tétins roses. Ils sont tout raides et fripés d’excitation. Il pistonne deux ou trois fois. Les poils agacent son gland, ce n’est pas très agréable pour lui. Par contre Lisette apprécie. Elle murmure à chaque coup : — Oui… Oui… Oui… Si cela continue, il va décharger avant de la pénétrer ! Il n’en est pas question ! Il recule et lui écarte les jambes. Lisette appuie le ventre contre la cuvette de l’évier. Elle tend le cul tout en déclarant : — Non, pas là… peut-être plus tard. Oui, il attendra tout à l’heure et saura le cas échéant lui rappeler sa promesse ! Il empoigne son engin et le guide face à l’entrée du vagin. — Et là ? Il pousse sans attendre une réponse. Lisette exhale un soupir de satisfaction : — Ahhh ! Christophe ponctue les pénétrations d’une exclamation. — Hein que tu aimes ma grosse bitte ! — Ouiiii ! — Hein que tu aimes te faire baiser ! — Ouii ! — Hein que tu vas prendre ton pied ! — Oh oui ! Jamais il ne se permettrait ces obscénités avec Fabienne. Mais la jeune bonne est plus tolérante ! N’empêche ! Il ne doit pas la décevoir. Il maintient les hanches, s’enfonçant plus profond à chaque coup de rein. Leur dialogue se réduit à des onomatopées arrachées par le plaisir : — Ahh !… Ahh ! — Oui !… Ouii !… Ouiiii ! Elle se cramponne au rebord de l’évier. Elle tient toute seule. Il peut la lâcher et s’occuper de ses seins et de son sexe. — Oh oui, ton doigt ! — Tu aimes ? — Oui… Ouiiii… Ouuui !… Arrghh ! — Tu aimes que je te baise ainsi ? — Ouiiii… Ouuui ! Chaque poussée, la soulève sur la pointe des pieds, puis elle redescend sur la verge qui la transperce. Leurs poils sont trempés et un clapotis se mêle à leurs soupirs. Il est infatigable, capable de tenir ainsi des heures… Il titube, victime d’un petit éblouissement. Pendant une fraction de seconde il s’est imaginé tenir ainsi Fabienne. -Arrghh ! Lisette se redresse brusquement, les bras raidis, tremblant de tous ses membres, la tête relevée. Il est fier de lui ! Elle succombe à l’orgasme pendant qu’il est en pleine possession de ses moyens ! Quel plaisir de la faire jouir, de la sentir vibrer sous ses coups de reins. -Arrghh !… Arrghh !… Aaahhh ! La jeune fille mollit dans ses bras. Il la serre contre lui, fiché en elle. Sa queue s’agite de mouvements spasmodiques. Il patiente quelques instants avant de continuer. C’est qu’il n’a pas joui, lui ! Les contractions du vagin se calment. La respiration de Lisette retrouve sa régularité. Christophe s’apprête à reprendre sa danse, mais la jeune bonne se décroche. — Aïe ! — Qu’est-ce que t’as ? — Oh ! C’est rien. Elle regarde le sexe. Il lit dans ses yeux la surprise de le voir encore raide. Une lueur coquine s’allume dans son regard, elle s’agenouille : — Le pauvre chou ! Je lui ai fait mal ? Elle attrape la hampe d’une main et les bourses de l’autre. — La pauvre chose qui n’a pas eu le temps de jouir ! -Arrghh ! Seule réponse qu’il a pu donner, car en même temps elle tirait sur la peau, découvrant le gland. — Elle est toute mouillée cette pauvre queue, trempée de m’avoir procuré tant de plaisir. Les mains de Lisette s’activent. — Elle mérite bien un traitement de faveur. Ses lèvres se posent sur le sommet. — Aaahhh ! — Il aime ça ton maître hein ? Elle enfourne le gland et le suce avec application. Il farfouille dans sa chevelure. Le sperme monte dans la tige. Il hésite, veut se dégager pour ne pas infliger sa semence. Lisette résiste et amplifie sa caresse s’aidant des doigts à la base de la hampe. Il ne peut empêcher l’écoulement. — Ahhh ! La jeune bonne ne se retire pas et reçoit les jets dans la bouche. — Ahhh ! Consciencieusement, elle pompe jusqu’à la fin, jusqu’à ce que le membre ne soit plus qu’une limace molle entre ses doigts. Elle le regarde avec fierté, une goutte à la commissure des lèvres. Elle se redresse et crache dans l’évier. — Excuse-moi, je n’ai pas pu tout avaler. Mu par une inspiration subite, il l’enlace et plaque les lèvres sur sa bouche. Il a envie de connaître le goût de son sperme ! — Aide-moi à terminer la vaisselle, tu me dois bien ça ! Il attrape le torchon qu’elle lui désigne et essuie les verres et les assiettes. Il sourit de voir les fesses remuer, encadrées par le tablier. Oui, c’est décidé, il demandera, exigera que Fabienne fasse la vaisselle dans cette tenue !
Le travail terminé, Lisette suspend le tablier. Il commence à enfiler son slip. — Ce n’est pas la peine. Allons prendre le soleil à la piscine. — Comme tu veux, mais je n’ai ni maillot de bain… — Pourquoi faire ? — …Ni serviette. — Je t’en prête une, viens. Leurs vêtements sur le bras ils sortent de la cuisine. Personne au salon. Lisette ramasse les habits que Fabienne et Elodie ont semés en montant : — On peut dire qu’elles étaient pressées ! A l’étage, elle plie les vêtements en deux petits tas devant la porte. — Tu ne rentres pas leur apporter ? — Laisse-les tranquille. Il colle l’oreille au battant. — N’as-tu pas honte, petit curieux ? — Non. Des soupirs lui parviennent. Tout va bien, elles en ont encore pour un bon moment. Il suit Lisette dans la chambre de la bonne où ils déposent leurs vêtements.
Elle lui tend un drap de bain et dévale l’escalier. Il court derrière elle et ne la rattrape qu’au bord de la piscine. — Je t’ai eu ! — La belle affaire ! C’est parce que je l’ai voulu ! — Oh ! Devant tant de mauvaise foi, l’indignation étouffe Christophe. D’un baiser il clôt cette bouche menteuse puis prenant la jeune bonne à bras le corps, l’expédie dans l’eau. — Hiiii! Il plonge pour la rejoindre. La natation leur fait du bien. Rafraîchie, Lisette s’étale sur le dos, impudique. — Passe-moi de la crème solaire s’il te plaît. — De la crème ? Tu n’en as pas apporté ! — Pas la peine, ouvre le coffre… là… oui. Prends un tube… Non, pas celui-là… Oui, c’est le bon. — Retourne-toi que j’enduise le dos. — Après, je suis trop bien ainsi… A sa guise. Il dépose de grosses noisettes de crème solaire sur les épaules, la pointe de seins, le nombril, les cuisses.— Hi !… Hi !…L’onguent frais la fait frissonner. Elle est adorable constellée ainsi de points blancs. — Eh ! Je t’ai demandé quelque chose, a quoi te rêves ? Il s’attelle à la tâche et étale la crème sur le corps. Aucune partie accessible n’échappe à ses doigts. Elle ferme les yeux. Il termine par une caresse des poils pubiens, et une exploration de sa fente. — Inutile de mettre de la crème là ! Passe-m’en dans le dos maintenant. Elle se retourne sur le ventre. De nouveau il la parsème de petits tas blancs, avant de les étaler sur la peau. Il commence par les épaules, descends le long des reins, saute aux cuisses pour remonter au fessier. Elle remue, écarte les cuisses. Il devine, à moitié caché par les poils, le petit trou brun. Dans la cuisine, elle a bien dit « plus tard ». Il est peut-être temps ! Il passe le doigt dessus. — Mmmh ! Lisette accepte ! A votre disposition, mademoiselle ! Il reprend le tube et pose sur l’anus une noisette de crème. — Mmmhaaah ! De l’index il l’étale et, sans préavis, enfonce une phalange. — Ahhh ! Le désir du garçon devient impérieux. Sa verge, réveillée par les caresses prodiguées au corps de Lisette lui fait mal d’être tendue et raide. Il se place entre les cuisses qu’il écarte sans ménagement. Il soulève son ventre. Elle comprend et s’agenouille les fesses pointées et écartées. Il guide son membre et le promène sur la rosette brune. A son contact le gland se couvre de crème. Lisette remue le cul à sa rencontre. — Écarte bien mes fesses, s’il te plaît, ne me fais pas mal. Loin de lui cette idée. Il tire avec les paumes, sur les deux globes. L’anus bâille et le gland pénètre de quelques millimètres. — Tu le sens ? — Oui ! — Je peux pousser ? — Vas-y !… Ouch ! Sous son brutal coup de rein, la queue est plus qu’à moitié entrée. Il suspend son effort : — T’ai-je fait mal ? — Non, vas-y ! Il la besogne ferme. Elle résiste à ses assauts, lançant son cul à sa rencontre. — Car… res… resse… moi… en… en… mê… Même… temps. Il glisse les mains sous le ventre. Les seins qui pendent et son sexe reçoivent la visite des doigts pendant que sa verge pistonne le sphincter…
Elles n’ont pas tenu la comptabilité de leurs orgasmes successifs. Ni l’une ni l’autre ne se souviennent d’avoir autant joui avec une femme. Elodie, fatiguée, est fière. Elle a eu raison de la résistance de Fabienne qui, comblée s’est assoupie. Son amie la contemple avec tendresse, dormir. Elle ouvre les volets. Dehors le soleil brille. La jeune fille ouvre les yeux, clignant des paupières dans la lumière. — Allons rejoindre les deux jeunes à la piscine. — Je n’ai pas envie de bouger. — Secoue-toi, tu iras mieux après un bon bain. — Je n’ai pas de maillot. — Parce qu’il t’en faut un ? Devant la porte elle découvre leurs affaires pliées sur deux piles. — C’est gentil de la part de Lisette. — Quoi ? — Elle a ramassé nos vêtements et les a bien rangés là. Fabienne au souvenir de leur frénésie rougit comme une gamine prise en faute. Qu’est-ce que Lisette et Christophe ont pensé d’elles ? A la réflexion, elle s’en moque, tout comme elle se moque de déambuler nue dans cette maison. Elodie dépose les piles sur le lit. — Nous viendrons nous changer ici après le bain…
Christophe ne va pas résister aussi longtemps que dans la cuisine. Déjà les prémices de l’éjaculation agitent sa queue. Résister, résister ! Non ! Il n’en peut plus ! — Ahhh ! Les mouvements de Christophe diminuent, mais Lisette compense en jouant du bassin. Il arrive à conserver une raideur suffisante. La jeune fille s’empale seule sur le membre maintenu rigide par des trésors de volonté. Leurs gémissements accueillent les deux jeunes femmes. Elodie scrute le visage de Fabienne. Non, elle n’est pas contrariée, tant mieux. — Cette Lisette, elle aime donc se faire posséder dans le cul ! Luc ne lui suffit pas ! Il faut dire que Christophe se débrouille bien n’est-ce pas ? Oui, il se débrouille bien ce petit cochon, pense la jeune fille. Quand aura-t-elle le courage de lui offrir cette étreinte et non plus de se la faire voler ? Le couple en action n’a pas entendu venir les nouvelles arrivantes. Lisette rugit son plaisir au soulagement de Christophe qui fatigue de tenir le coup. — Ahhh !… Aaaah !… Aaahhhhouiiiii ! Stoïquement il patiente qu’elle s’affaisse, pour basculer sur le coté, hors d’haleine, la pinne congestionnée. — C’est très bien Christophe ! Un bon point pour toi ! Il ouvre les yeux, Elodie le domine, flanquée de Fabienne. Qu’est-ce qu’elle a à le regarder ? Serait-elle jalouse ? Non, c’est autre chose, mais il est trop fatigué pour approfondir. Les deux femmes sautent à l’eau. — Venez nous rejoindre, cela vous fera du bien ! Le conseil est bon. Ils s’amusent tous les quatre dans le bassin, soulevant des gerbes d’eau qui scintillent dans le soleil…
A suivre…
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