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Arnaud

Chapitre 7

Travesti / Trans
7- DéfloraisonArnaud était nu lui aussi et avait débarrassé la table basse. Seule la bouteille de champagnes attendait dans sa glace à coté du canapé.
— vous êtes superbes, dit-il en les voyant s’avancerIl embrassa Hélène puis Marysa avant de revenir à Hélène. — je te l’ai dit ma chérie, il te faut apprendre à ne pas être jalouse. — oui mais ça va être difficile. — je te fais confiance. Je sais que tu vas y arriver. Arnaud l’embrassa encore, se collant à elle. Il savait que le contact de leur corps électrisait Hélène. Marysa les regardait s’aimer et attendait son tour. — tu montres à Marysa comment tu me fais du bien. — oui mon chéri souffla Hélène. Tentant d’oublier le regarde Marysa, Hélène s’abandonna au membre d’Arnaud, membre qui la rendait folle de désir et de plaisir. — c’est le moment, dit Arnaud en se dégageant de l’étreinte. Viens près de la table basse et mets-toi à quatre pattes. Hélène se mit en position sur les coussins qui atténuaient la dureté du parquet. Elle était inquiète. Compte tenu de la taille du sexe de son amant, il y avait de quoi.
Arnaud versa du gel dans la raie des fesses et commença à caresser le petit trou encore fermé. Lentement, celui-ci réagit et tout aussi doucement, il introduisit son index. Juste un peu, pour habituer Hélène. Au bout de plusieurs minutes, celui-ci entra totalement et coulissait sans peine. Arnaud introduisit un deuxième doigt. Puis bien après un troisième. Malgré l’avertissement de Marysa, Hélène fut surprise de la douceur de son amant. Il l’avait préparé pendant de longues minutes et elle trouvait que c’était bon, très bon même.
Délicatement, il retira ses doigts et s’approcha. — c’est le moment de vérité, pensa Hélène. Elle sentit le gland se poser sur son œillet dilaté, elle le sentit entrer, puis ressortir. Tout comme il l’avait fait avec ses doigts, c’est avec une infinie douceur que son sexe pénétra, millimètre par millimètre, son fondement. Sans qu’elle s’en aperçoive réellement, son sexe entier était en elle. — ça va ma chérie demanda Arnaud. — oui, continue, dit Hélène — mais je suis en toi ma chérie. Arnaud bougea un peu, déclenchant un gémissement chez Hélène.
— oh oui, c’est bon. Prends-moi, fais-moi l’amour.
Arnaud la saisit par les hanches et doucement il commença les va et vient dans son conduit. Marysa les regardait en se caressant. — oh oui, c’est bon, gémit Hélène. Ne t’arrête pas. Arnaud glissait sans problème variant la cadence et l’amplitude de ses mouvements. Hélène gémissait de plus en plus. Elle s’étonnait à chaque seconde de prendre un tel plaisir dans un acte que la morale interdisait encore quelques années plus tôt.
Arnaud la pilonnait de plus en lus fort et Hélène acceptait le traitement en criant son plaisir. Arnaud explosa et jouit dans le préservatif, le sexe enfoncé profondément dans le conduit anal. Il s’allongea sur Hélène, finissant d’éjaculer. — c’était trop bon, souffla Hélène. Comment ai-je pu ignorer un tel plaisir. Je t’aime Arnaud. Son amant se retira délicatement. Hélène se retourna, enleva le préservatif et suça le membre poisseux. — je vois que tu as bien retenu mes leçons, dit Marysa. Je te félicite. — merci ma tante.
Hélène les regarda tour à tour, incrédule. — tu es la tante d’Arnaud ?— eh oui. Nos mères sont sœurs. — et tu as couché avec ton neveu ? — ben oui, pourquoi ? — ca ne se fait pas, dit Hélène choquée. — allons ma petite, ne sois pas aussi prude. Il ne s’agit que de plaisir. Rien d’autre. Bon, ce n’est pas tout mais vos galipettes m’ont mise en appétit. Hélène, tu me montres ce que tu sais faire avec une femme. Hélène se rembrunit. — ne me dis pas que … demanda Marysa. — si, avoua Hélène penaude. Je n’ai jamais eu de rapport sexuel avec une fille. — tu préfères les garçons alors ? Pourquoi toute cette comédie ? — elle n’était pas attirée par les garçons avant de me rencontrer, intervint Arnaud. C’est juste qu’elle n’a jamais trouvé la bonne personne. — ah bon. Et bien ce n’est que mieux. Viens près de moi.
Marysa approcha ses lèvres de celles d’Hélène qui se laissa faire. Elle lui rendit son baiser embrassant Marysa comme elle embrassait Arnaud. Marysa prit sa main qu’elle posa sur son sein. Hormis sa fausse poitrine, elle touchait enfin les seins d’une femme, des seins qui avait perdu un peu de leur fermeté mais qui restait doux, sensibles. Hélène vainquit ses dernières réticences et caressa Marysa comme elle caressait Arnaud. Homme, femme, pourquoi faire une différence.
Naturellement, elle abandonna la bouche de son initiatrice et s’occupa de ses tétons. A la différence de ceux d’Arnaud, ceux-ci grossirent sous sa langue. Marysa gémissait d’approbation, incitant Hélène à continuer. Sa main avait atteint la toison pubienne mais au lieu de trouver un membre, son doigt se perdit entres les lèvres humides. Marysa se cambra sous la caresse.Le doigt trouva le clitoris et vu les réactions de Marysa, il décida de jouer avec. La langue se dit que le jeu du doigt semblait être bien amusant et décida de le rejoindre. Elle suivit le sillon poisseux et trouva le bouton sensible. — oh putain, lâcha Marysa en se cambrant à nouveau et en posant ses mains sur la tête d’Hélène. Tu m’avais dit qu’elle était douée mais je n’imaginais pas que c’était à ce point. Hélène n’entendit pas les commentaires de Marysa et continuait de jouer avec le clitoris et de boire le jus qui coulait de la fente. — oh, j’en peux plus, dit Marysa, prends moi. Hélène s’éloigna du sexe de Marysa. Visiblement, elle était dans un état second, dans un autre monde. Marysa lui mit un préservatif, se cala dans le canapé et écarta les jambes. — viens ! Instinctivement, Hélène se plaça devant l’entrée de de la grotte. Marysa la prit par les hanches et l’attira en elle. Le sexe court d’Hélène entra sans problème. Elle reprit ses esprits, réalisant qu’elle avait pénétré une femme, elle fit l’amour à Marysa. Mais l’excitation était telle qu’elle éjacula rapidement. — je suis désolée, dit Hélène, triste de ne pas pouvoir aller plus loin. — c’est rien ma chérie, c’est même normal la première fois. N’est-ce pas Arnaud ? Et puis, ce n’est pas tout les jours qu’on subit un double dépucelage. Arnaud servit une coupe de champagne à tous et se reposèrent quelques minutes. — Arnaud t’a sucé ? demanda Marysa. — non, jamais. — alors je vais m’occuper de toi.
Marysa mit son sexe mou et poisseux en bouche. Rapidement, il prit une nouvelle vigueur. Marysa lui remit un préservatif et se positionna en levrette. Hélène la pénétra doucement et lui fit l’amour. Plus longtemps cette fois. Elles changèrent de position, où ce fut Hélène qui s’allongea sur le dos, Marysa la chevauchant. Elles inversèrent les rôles, Hélène s’allongeant de tout son long sur Marysa pour l’embrasser lui faire l’amour. Pensant à cette même position qu’elle prenait avec Arnaud, le plaisir monta rapidement et à nouveau, elle jouit en elle. — c’est pas mal pour un début ma belle. Tu as encore une belle marge de progression.
— j’ai encore envie de toi, dit Arnaud. Tu veux ? — oh oui mon chéri. Prends-moi encore. Hélène s’allongea sur le dos, près de Marysa. Arnaud cala ses jambes sur ses épaules et avec toujours autant de douceur, il la pénétra. Hélène savourait la pénétration. Son membre épais l’emplissait de bonheur. Comme c’était bon de sentir sexe coulisser en elle. Marysa l’embrassait tout en masturbant son sexe mou. Hélène avait sa main dans la vulve dégoulinante de Marysa. Hélène gémissait. Arnaud accélérait. Marysa les interrompit brutalement. — et moi ? Arnaud se retira. Hélène allongea sur Marysa en la pénétrant et Arnaud reprit sa place qu’il venait de quitter. Les mouvements d’Arnaud suffisaient à faire bouger Hélène dans la chatte de Marysa. Les deux femmes s’embrassaient à bouche que veux-tu. Dans un râle, Arnaud libéra sa jouissance, tout comme Hélène. Ils restèrent tous les trois dans cette position. Hélène couvrait de baiser Marysa. Si elle était éperdument amoureuse d’Arnaud, elle admettait que faire l’amour avec une autre personne n’était pas mal non plus. Elle comprenait maintenant les motivations de son amant.
Ils terminèrent la bouteille de champagne qui avait perdu sa fraicheur et, après une douche rafraichissante, allèrent se coucher tous les trois dans le lit king size de Marysa.
C’est dans les bras de Marysa qu’Hélène se réveilla en premier. Doucement, elle se glissa en bas du lit se rendit à la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Lorsqu’elle revint avec le plateau et le café fumant, elle trouva Arnaud en train de besogner sa tante en levrette. — bonjour ma chérie, dit Marysa. Tu nous rejoints ? Elle embrassa Arnaud — bonjour mon amour, tu vas bien ? lui demanda-t-elle— comme tu vois. Hélène embrassa Marysa et s’allongea pour se faire sucer.
— arrête-toi, demanda Marysa à ArnaudCelui-ci obéis et se retira. Marysa vint s’empaler sur le sexe d’Hélène. — c’est bon, tu peux revenir. Nouvelle expérience pour Hélène. Tout aussi divine que celles de la veille. Elle sentait le sexe d’Arnaud à travers la fine paroi qui séparait les deux orifices. Elle avait l’impression qu’il lui faisait l’amour.Marysa était à cent lieux des considérations d’Hélène et se faisait pilonner en bonne et due forme, incitant Arnaud à aller plus loin, plus vite, plus fort. Son orgasme la fit s’écrouler sur Hélène qui sur le moment en eut le souffle coupé.— pfiouu, y avait longtemps qu’on ne m’avait pas ramonée comme ça. Tu devrais venir plus souvent mon neveu.Hélène fut surprise du langage cru, presque vulgaire de Marysa, elle qui semblait si raffinée dans ce grand appartement de luxe.
La journée du dimanche fut paisible. Ils firent le tour du lac du bois de Boulogne. Puis rentrèrent pour préparer la valise d’Hélène. Ou plutôt les valises. Heureusement qu’Arnaud avait une grosse voiture car elle se voyait mal rentrer avec tout ça par le métro.Arnaud la ramena chez elle, à Chatou et l’aida à monter les valises. Puis il la laissa. — tu ne restes pas ? demanda-t-elle, des trémolos dans la voix— non, pas ce soir. On doit se reposer. Et toi, tu dois réfléchir. — à quoi ? — tu sauras très vite. Ils s’embrassèrent longtemps puis Arnaud prit congé. Hélène pleurait en silence. Elle avait vécue une semaine merveilleuse, semaine qui s’était terminée en apothéose avec la perte de sa, ses virginités.
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