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Un arrangement très particulier

Chapitre 4

Hétéro
Après avoir sonné à la porte, un homme vint leur ouvrir. Cet homme était le maître de lieux. Physiquement, il ressemblait beaucoup à l’acteur dans le film X relatant les exploits de l’ex-patron du FMI à New York. Film dont le titre évocateur n’était en fait que les initiales du personnage, mais dont la lettre du milieu avait été remplacée par un X. Cet homme était en habit de soirée, et le hall d’entrée de sa maison semblait avoir été décoré à la manière de Renato, ce personnage du film « La cage aux folles ». Il y avait un certain nombre de statues en marbre blanc représentant des hommes nus, pour la plupart sans feuille de vigne. Heureusement que Richard l’avait prévenue : ça collait parfaitement au personnage.
— Ah, mon cher Richard ! Comment vas-tu ?— Très bien, Louis.— Mais dis-moi, qui est cette charmante demoiselle qui t’accompagne ?— Je te présente Julia. Elle partage mon existence.— Mademoiselle, nul doute qu’avec une tenue aussi magnifique que la vôtre, vous allez faire tourner bien des têtes ! lui dit-il en lui faisant un baisemain.
Même si tout ce groupe semblait prendre certaines libertés avec la gent féminine (et masculine pour l’un d’eux), tous semblaient être issus de milieux plus qu’aisés, polis, courtois et galants. Tous sauf un, car de loin on entendait une grosse voix retentir, proférant des propos plus que grivois.
— Ah mince, Charles-Édouard commence à faire des siennes. J’espère, mon cher Richard, qu’il ne fera pas d’esclandre comme ce fut le cas chez toi lors de notre dernière soirée.— Je l’espère aussi.— Antoine, débarrasse nos invités et amène-les au salon, ordonna-t-il à un jeune homme d’une vingtaine d’années avant de lui donner une claque sur les fesses.
Visiblement, Julia venait de deviner que ce jeune homme était son mignon ; et tout comme elle, il jouait les domestiques. Avant de rejoindre les autres convives, elle demanda à utiliser les toilettes, et c’est en s’y rendant qu’elle entendit des soupirs étouffés. Poussée par la curiosité, Julia arriva aux cuisines où leur hôte, le fameux Louis, était en train de galocher son cuisinier avant de le mettre à genoux pour se faire sucer.
« Si toute la soirée est comme ça, ça promet… » pensa-t-elle. Après avoir fait ce qu’elle avait à faire, en repassant devant la cuisine, elle put apercevoir le cuisinier penché en avant, en appui contre la table, et Louis en train de lui besogner l’anus avec entrain. Elle ne savait pas pourquoi, mais cette scène l’excitait. Durant un instant elle s’imagina à la place du cuisinier, avec Richard en train de s’activer sur son entrejambe. Elle reprit ses esprits quelques secondes plus tard, puis elle rejoignit les autres invités. C’est en retournant auprès de Richard que Julia fit la connaissance d’un couple : Henri et Anaëlle, avec qui elle sympathisa. Anaëlle était une belle femme à la poitrine généreuse, un peu comme elle, et une certaine complicité naquit entre les deux femmes.
La soirée commença par un somptueux dîner durant lequel certaines jeunes filles accompagnant ces vieux crocodiles se glissèrent sous la table après avoir dit : « Oh zut, j’ai fait tomber ma fourchette ! » Quand Julia constata le temps que ces demoiselles mettaient pour retrouver leurs couverts, elle avait bien deviné ce qu’elles avaient pu faire à leur partenaire sous la table pour que leurs visages virent au rouge. Certes, cette soirée sentait la luxure, mais une luxure discrète et raffinée. Rien à voir avec une partouze de campagne où les gens s’agglutinent les uns aux autres de manière vulgaire, comme des animaux. La seule ombre au tableau était cet homme : Charles-Édouard. Ce gros mal élevé au vocabulaire grivois était venu avec trois jeunes femmes qui semblaient faire la tronche en continu. L’une d’elle avait passé tout le repas sous la table. Besoin de décrire ce qu’elle y faisait ? Les autres avaient à peine touché à leur assiette car c’était, prétendait-il, lui qui devait les autoriser à manger. Une fois le repas fini, Julia les invita discrètement à se rendre aux cuisines avec la complicité de leur hôte qui leur offrit, à l’abri des regards, de quoi manger.
Puis arriva le moment du concours. Chaque jeune femme présente devait défiler devant ces messieurs, en robe de soirée d’abord, puis topless. Chaque « Maître » (appelons-les comme ça) votait et donnait des notes, sauf sur celle qui avait franchi le perron avec lui. Ainsi, Richard ne voterait pas pour Julia. Lors du défilé en robe de soirée, les notes étaient mitigées. Toutes étaient à égalité, sauf pour les accompagnatrices du goujat de la soirée qui ne semblaient pas à l’aise. Tout se décida au moment du défilé topless, car les poitrines gonflées de Julia et d’Anaëlle écartèrent toutes les autres candidates. Il fut décidé d’un commun accord de les déclarer ex-æquo.
Alors que tous les félicitaient, on entendit les trois candidates amenées par Charles-Édouard se faire réprimander par celui-ci. En fait, il était venu avec trois filles pour avoir trois fois plus de chances de gagner, mais ça n’avait pas marché. Après s’être calmé, ils revinrent tous les quatre pour féliciter les gagnantes. Lorsqu’il fut en face de Julia, Charles-Édouard l’embrassa pour la féliciter mais en profita pour lui toucher les seins, ce qui lui valut une belle baffe de la part de Julia qui lui répondit : « Pas touche : chasse gardée ! »
Julia venait de faire ce que tout le monde rêvait d’accomplir, y compris ses soumises. Cet acte lui valut plus tard des compliments d’admiration discrets de la part de tous les invités. Cet homme expliqua son geste par un commentaire bateau : il voulait savoir si ses seins étaient vrais. Maintenant, il le savait ! Vexé de s’être fait humilier de la sorte, il prit congé, emmenant avec lui ses trois soumises qui furent ravies de l’avoir vu se faire gifler.

— Monsieur Richard, comment ces filles peuvent-elles accepter d’être traitées ainsi ?— Ça, c’est une question que nous nous posons tous. Pourtant fut un temps où il n’était pas comme ça.
La soirée reprit, et les deux gagnantes s’isolèrent pour discuter. Anaëlle, étant au courant de la situation de Julia par ce que son mari lui en avait dit, ne grilla pas l’histoire du gel-douche. Richard étant un ami, elle ne vouait pas s’immiscer dans ses affaires.
— Alors comme ça, Anaëlle, vous êtes l’épouse d’Henri ?— Oui. Sa première épouse est décédée alors que j’étais sa domestique. Il m’a séduite, et se pensant stérile quand on a commencé notre fougueuse relation, on ne faisait pas attention, et je me suis très vite retrouvée enceinte. — C’est une belle histoire.— Oui. Henri et Richard sont des amis de longue date. Depuis que je le connais, je ne l’ai jamais vu manquer de respect à qui que ce soit.— C’est vrai ; je l’ai remarqué aussi. Et quand il promet quelque chose, il le fait.— Et vous ? Comment vous êtes vous rencontrés ?— Ma famille a de gros problèmes d’argent, et je travaille pour lui pour rembourser la dette qu’il a rachetée.— Je vois. Je suppose qu’il vous accorde des primes supplémentaires en fonction de votre « bonne volonté » ?— On peut dire ça. Il semblerait que vous le connaissez mieux que vous ne le dites.— J’ai parlé avec ses précédentes petites amies. Aucune n’a regretté ses relations avec lui. J’imagine qu’il doit être un bon amant ?— Ça ne vous regarde pas.— Excusez-moi si je vous ai choquée.— Ce n’est pas ça. C’est juste que je lui fais du bien, certes, mais on ne couche pas.— Je vois. C’est un accord entre vous, alors ?— Exactement. — Richard est un homme généreux. Plus vous serez gentille et attentionnée avec lui, plus il le sera avec vous. Même s’il ne le montre pas, il cache une solitude affective.— J’essaie de lui rendre son existence la plus agréable possible…
Les deux femmes parlèrent de tout et de rien. Henri demandé à sa femme de décrire Richard d’une manière plus que flatteuse, sans pour autant lui casser son coup. Pour cela, Anaëlle avait sorti la brosse à reluire.
Plus tard, Alors que tous ces messieurs discutaient dans le salon, Richard fit appeler Julia.
— Vous m’avez demandée ?— Oui. Vous qui êtes nouvelle dans notre petit cercle très fermé, que pensez-vous de Charles-Édouard et de son attitude ?— Officiellement, ou officieusement ?— Soyez sincère.— C’est un gros porc dégueulasse. Je ne comprends même pas pourquoi ses filles ne se rebellent pas.— Et que pensez-vous de notre petit club ?— J’ai été un peu choquée au début, je dois l’avouer. Mais apparemment, vous êtes très respectueux de celui ou celle qui vous accompagne. Chacun semble y prendre du plaisir et s’épanouir dans cette relation qu’il a avec son partenaire.— Vous voyez, Messieurs ? Je vous avais dit qu’elle était intelligente en plus d’être belle comme un cœur. Maintenant, si cela ne vous dérange pas, ces messieurs aimeraient vous voir à l’œuvre. Accepteriez-vous de me gratifier devant tout le monde d’une de ces fellations dont vous avez le secret ?— C’est que je n’aime pas avoir du public pour ça...— Je ne vous oblige en rien à le faire. Si vous ne le voulez pas, ce n’est pas grave.— Je veux bien faire l’effort.— Parfait, dit-il en commençant à déboutonner son pantalon.
Julia se mit à genoux et prit le sexe de Richard en bouche, sous le regard curieux des autres invités.
— Voyez, Messieurs, avec quelle dextérité elle s’applique. Contrairement à notre ami qui est parti vexé, en la respectant et en lui laissant le choix, elle finit naturellement par me faire plaisir. Chacun de nous est satisfait.— Elle te coûte cher ? demanda l’un des invité.— Je la rétribue à hauteur de ses prestations.— Et au lit, elle est comment ?— Ah, ça, nous n’en sommes pas là. Ce n’est pas à l’ordre du jour. Peut-être choisira-t-elle un jour de s’offrir à moi. Je ne le sais pas. Pour l’instant, je me contente de ce qu’elle m’offre généreusement. Je ne souhaite pas la brusquer.
Par cette phrase, Richard souhaitait faire passer un message. Après avoir réussi à se faire sucer, il souhaitait faire de Julia celle qui partagerait son lit. C’est avec un sourire amusé que Louis, le maître des lieux, considéra cette situation.
— Qu’y a-t-il, Louis ? Une remarque ?— Vous me faites rire tous, avec vos femmes. Vous usez d’artifices pour les séduire, et après vous êtes obligés de vous réfréner pour ne pas les engrosser. Moi, avec Antoine, je peux l’enculer à loisir quand je le veux sans risquer la moindre surprise.— Louis, je te signale que nous aussi nous pouvons le faire. — Oui, mais encore faut-il les en convaincre. Au moins avec un homme, il n’y a aucune ambigüité. Et puis, loin de moi l’intention de rabaisser vos talents, Julia, mais pour avoir comparé les deux, je sais qu’un homme a plus de maîtrise quand il s’agit de faire jouir un autre homme avec la bouche.— En es-tu certain ?— Absolument.— Messieurs, je vous propose de le faire mentir.
Il fit claquer ses doigts et reprit :
— Mesdames ? Arrêtez- vous, Julia. Mesdames, je vous propose un concours de fellation. Celle qui sucera le plus longtemps sans faire jouir son homme gagnera. Qu’en dites-vous, Messieurs ? Nous n’allons pas le laisser rabaisser ainsi la gent féminine !
C’est avec un « oui » unanime que le concours se mit en place, à l’initiative de Richard. Chaque soumis(e) prit place entre les cuisses de son Maître, et au top départ chacun(e) se mit à l’œuvre. Très vite, deux d’entre eux furent hors course. Puis vint le tour d’un homme accompagné de sa secrétaire dont il avait fait sa maîtresse entièrement soumise, puis ce fut à un autre homme – un professeur à la Sorbonne qui était venu avec une de ses étudiantes – de se vider les bourses dans la bouche de son accompagnatrice. Il ne restait plus que Richard et Julia, Henri et Anaëlle, et Louis et Antoine. Malheureusement pour Julia, ayant commencé avant les autres, elle ne put empêcher Richard de lui inonder la bouche de sa semence. Le sprint final fut remporté in extremis par Anaëlle.
— Anaëlle, vous faites honneur aux talents des femmes en la matière ! déclara Richard.— Je l’admets ; vous êtes douée. En espérant prendre ma revanche un jour ? répondit Louis en admettant sa défaite.— Avec plaisir. Je pense pouvoir dire que tout le monde a apprécié cette petite compétition.
La soirée continua, puis un à un les convives prirent congé pour rentrer chez eux. Sur le trajet du retour, Richard demanda son avis à Julia.
— Alors, comment trouvez-vous notre petit groupe ?— Insolite et intéressant. Hormis un élément perturbateur, vous êtes tous très sympathiques.— Vous avez été très bien vous-même. Malheureusement, la prochaine fête du genre se tiendra dans quelques mois… chez Charles-Édouard.— Ah ! Il va falloir se faire violence, alors.
Même si elle fut étonnée par cette soirée, Julia l’avait globalement appréciée. Elle s’était fait une amie en la personne d’Anaëlle ; Anaëlle, qui après avoir sorti la brosse à reluire, avait fait un clin d’œil à Richard et Henri comme pour signifier « C’est bon, j’ai fait ta pub. » Un détail avait cependant dérangé Julia. Non, ce n’était pas la grossièreté et le manque de respect de Charles-Édouard. C’était plutôt cette pensée qui lui avait traversé l’esprit quand elle avait vu Louis en train de sodomiser son cuisinier personnel. Durant un moment, elle s’était imaginée, elle, à la place du cuistot, et Richard en train de la prendre. Commençait-elle à avoir du désir pour lui ?
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