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l'Asservissement

Chapitre 2

SM / Fétichisme
La suite de récit est un mélange de vécu (voir autostop) et de fantasmes sans doute découlant des conséquence psychologiques de l’histoire précitées. les chapitres suivants sont sans doutes plus poussés et relèvent d’un pur fantasme...

La relecture de mon contrat n’étais pas non plus faite pour me rassurer, ainsi je n’avais plus aucun droit mis à part celui d’obéir aux ordres reçus, je ne pouvais pas non plus le résilier pour tout arrêter et reprendre la liberté car si je devais être vendu ou cédé je doute fort que mes nouveaux propriétaires m’accordent une quelconque libération.
La journée du dimanche est tout aussi longue avec les mêmes angoisses que pendant la nuit c’est horrible de tourner en rond nu en espérant qu’il vienne vite je regarde souvent la pendule j’essaie de penser à autre chose en regardant la télé, au bout de 5 minutes j’arrête car rien ne m’intéresse, je ne mange pas je n’ai pas faim. La nuit commence à tomber je vais devoir aller travailler demain avec cet objet métallique, non je ne veux pas, ce n’est pas possible. Je finis par passer un épais peignoir en tissu éponge. J’en ai marre de me promener nu dans la maison. Est ce une forme de défi ?ou une sorte de révolte puérile. Ca ne change rien, pas un signe de sa part, la nuit me paraît encore plus éprouvante et longue que la précédente. Je cherche une bonne raison pour ne pas aller travailler demain. Finalement je pense avoir la solution j’appellerai mes collègues demain matin pour leur dire que je suis souffrant, cela me laisserai un peu de répit et même si je retarde seulement l’échéance je retiens cette solution. Et un peu rassuré je finis par m’endormir un peu me réveillant parfois en sursaut à cause du BS.
Le lundi matin j’attends 9 heures pour appeler mon travail, pendant que je téléphone je vois par la fenêtre, passer une voiture de SOS Médecins, et tandis que je termine ma conversation téléphonique avec la secrétaire, j’entends sonner à la porte. C’est sans doute le médecin qui cherche une adresse. Je resserre les pans ainsi que la ceinture de mon peignoir et va ouvrir.
Lorsque j’ouvre la porte la porte, je reçois une gifle monumentale qui me fait reculer de plusieurs pas en arrière. Le retour à la réalité est des plus brutal.
Il m’interpelle et me dis :
« J’étais certain que tu me désobéirais Slave 1852. Ne devais tu pas être à poil en permanence même pour m’ouvrir ? Je pense qu’il va falloir te briser complètement pour te faire obéir ».
Complètement éberlué, la joue brûlante je le regarde ne comprenant pasNouvelle gifle
«T’es sourd? mets toi à poil »
Tête basse, j’enlève le peignoir, c’est sûr il va vérifier le BS
Sur un signe je m’agenouille devant lui genoux écartés, comme il me l’a appris, d’au moins quarante centimètres, ainsi qu’il l’exige.
J’essaie de lui expliquer que je ne pensais pas que c’était lui qui sonnait à ma porte, que je croyais que c’était le médecin de SOS Médecins qui cherchait une adresse, et que c’était pour cela que j’avais enfilé à la hâte ce peignoir afin d’être à peu près décent pour ouvrir. Je vois bien qu’il ne croit pas un seul mot de ce que je lui racontes. Surtout lorsqu’il ajoute :

« Arrêtes de me prendre pour un con, le tissu de ton peignoir est trop imprégné de la chaleur de ton corps pour arriver à me faire croire que tu viens juste de l’enfiler »
Tel un gamin pris en faute j’ai l’impression de me vider de mon sang je dois être tout pale. Je suis pris en flagrant délit de désobéissance et de mensonge. Je n’en mène pas large. Pour essayer de changer de sujet, je lui explique que ne le voyant pas venir me libérer du BS , je venais de téléphoner à mon travail pour leur dire que je ne viendrais pas travailler aujourd’hui car je suis souffrant. Il me regarde à demi amusé et me dit :
«Slave 1852, tu es quand même un sacré menteur, tu n’arrêtes pas de raconter des salades. Je vais te faire passer ce besoin du mensonge, Moi je ne te mens pas, je peux te dire que je suis médecin et que c’est moi qui travaille pour SOS Médecin. Vu tes précédentes incartades ce n’est pas la peine de me dire que tu n’as pas essayé de retirer le BS je ne te croirais pas, et je n’ai même pas besoin de vérifier pour en avoir la preuve. Cela se voit sur ton visage».
D’un coup le ciel me tombe sur la tête, c’est un médecin et en plus il voit aussitôt si je dis la vérité ou pas. Je pense d’un seul coup que je viens très sérieusement d’aggraver mon cas.
Je murmure tête basse, avouant en espérant être pardonné, dans un souffle :« Oui, c’est vrai Maître j ‘ai essayé de l’enlever, je n’ai pas pu et j’ai même cassé un couteau. Je mérites d’être sanctionné »
Il me dit alors :
« Ton mensonge pour le travail me donne une idée, bien que je pourrais t’obliger à aller travailler, puisque tu as dit que tu étais souffrant je vais te faire un arrêt de travail comme cela de ce côté-là tu seras en règle. Je vais également te faire faire un certificat d’hospitalisation, ainsi je vais t’avoir à mon entière disposition pour te faire suivre un sévère dressage, qui je l’espère, portera ses fruits. Va chercher ta carte vitale pendant que je remplis les divers documents pour ton employeur ».
Je ne comprends pas tout, mais je vais chercher la carte vitale et la lui rapporte, il est au téléphone. Je surprends juste la fin de la conversation.
«Vous lui mettrez la tenue complète C C+, M P +, M C+ s’il proteste ou se rebelle n’hésitez pas à le punir. Ensuite vous le conduirez à l’annexe, Maria doit avoir déjà préparé le cachot. N’hésitez pas à sévir durement s’il se rebelle. J’ai d’autres consultations à faire vous le laisserez là-bas à m’attendre devant, je compte sur vous.».
Quand il a terminé sa communication, il me dit qu’il a contacté une ambulance pour que l’on vienne me chercher. Très professionnel il m’ausculte, écoutant avec attention mon rythme cardiaque, prenant ma tension, regardant l’étirement de mes bourses par le port prolongé du ballstretcher, semble satisfait. J’ai également droit à une prise de sang qu’il met dans trois petits tubes sans doute destinés à un laboratoire. Au vu de ses observations il prépare une seringue et me fait une piqûre. Je ne sais pas ce que contient la seringue mais j’ai l’impression, bien que je reste totalement lucide, de n’avoir plus aucune force, ni aucune volonté. Je comprends ce qu’on me dit et réagis tel un automate, j’exécute les ordres donnés sans la moindre résistance. C’est sans doute un anesthésiant assez puissant, j’ai déjà eu ce type d’anesthésie pour une lithotritie avec des ultra sons.
Avant de repartir il me fait agenouiller juste derrière la porte d’entrée pour attendre les ambulanciers. J’essaie de repenser à sa phrase concernant la tenue complète mais le produit est trop puissant pour que je puisse m’en souvenir et peut être que j’ai mal entendu. Lorsqu’on sonne, je me lève et vais leur ouvrir simplement vêtu de mon BS et retourne prendre ma position agenouillée.
L’un deux m’interroge :
« C’est vous Slave 1852 ? »
Avec une hésitation je réponds :
« Oui , je dois être hospitalisé, les papiers sont posés sur la petite table »
Son collègue apporte un brancard pendant qu’il complète les papiers de prise en charge.
On me fait mettre debout, je me relève, l’un deux prend l’objet métallique pendant entre mes cuisses, dans ses mains, le regarde je l’entends dire :
« Oui c’est bien celui qu’on doit emmener puisque son nom est « SLAVE 1852 » comme on nous l’a indiqué ».
Lorsqu’on me fait allonger sur le brancard et qu’ensuite on me conduit dans l’ambulance, je ne sais même pas si mon corps était recouvert d’un drap pour cacher ma nudité à la vue des éventuels passants.
Pendant le trajet, l’ambulancier qui ne conduit pas me fait asseoir, c’est un grand noir, sans doute antillais à la voix douce et chantante et très souriant. Il me fixe autour du cou un large et lourd collier d’acier bruni qu’il referme à l’aide d’un cadenas. Mes poignets et mes chevilles sont également parés de lourds bracelets d’acier puis reliés entre eux par de grosses chaînes et refermées par d’imposants cadenas. Je me suis laissé poser les fers sans la moindre résistance, un peu comme s’il agissait d’un film et que je n’étais pas du tout concerné par cela. Il me sourit exhibant de grandes dents blanches. Voyant mon regard interrogateur il m’explique hilare :
« Je n’ai pas les clefs des cadenas, j’espère que ton patron les a sinon tu vas rester comme ça jusqu’à la fin de tes jours, ou alors il aura bien du boulot pour scier tout ça. Plus sérieusement ce sont d’authentiques pièces de collection datant de l’époque de la traite négrière, où vous, les blancs, emmeniez nos ancêtres en esclavage vers le nouveau monde. A l’époque les cadenas n’existaient pas et les fers étaient refermés par des rivets, autant dire qu’on ne pouvait plus les enlever. Ce serait un juste retour des choses si je pouvais emmener chez moi un esclave blanc on pourrait bien rigoler à notre tour en le torturant »
Jusqu’à la fin du trajet, l’ambulancier qui m’avait posé les fers, m’a fait prendre plusieurs postures pour offrir mon corps en toute impudeur faisant parfois bouger le BS me provoquant des douleurs malgré mon état second qui peut à peu reprend lentement conscience de sa situation. Je commençais à le trouver sympathique et s’il avait sollicité une quelconque faveur de ma part je la lui aurais sans doute accordée.
Lorsque le véhicule s’arrête, l’ambulancier me dit :
«On sait bien que tu n’es pas vraiment malade, donc c’est a pied que tu dois rejoindre ton lieu d’hospitalisation ou plutôt, devrais je dire, de détention… »
Il fixe alors à l’anneau du collier avec un autre cadenas une grosse chaîne puis en tirant dessus me fait descendre du véhicule. Nous sommes sur une toute petite route au milieu d’une forêt devant l’entrée d’un chemin forestier, il tire sur la chaîne, je le suis à petits pas car l’entrave des chevilles est un peu courte. Cela fait vraiment une drôle de sensation marcher ainsi ou plutôt d’être tiré nu, entravé, en essayant de suivre les pas imposés par celui qui me conduit. J’ai encore du mal à comprendre que je suis conduit tel un prisonnier. Parfois un cailloux, ou une petite brindille me pique les pied nus ce qui ralenti mon pas et rapidement je sens la chaîne se tendre pour me faire avancer, à plusieurs reprises je trébuche et tombe à plat ventre sur le sol ne pouvant me protéger avec mes mains entravées derrière le dos. Cela commence à l’agacer un peu, et je le vois casser une petite branche de noisetier .Pour m’encourager à me relever plus vite il me cingle à plusieurs reprises. Les coups sont sévèrement appuyés m’arrachant cris et larmes. Le chemin me parait long je ressens les coups reçus, je me demande bien quand va-t-on arriver ?lorsque je pose une question il ne me répond pas se contentant de chantonner l’air indifférent comme s’il conduisait un esclave pour une vente. Mais au bout de la chaîne l’esclave c’est moi. A la suite d’une nouvelle chute, et avant que je parvienne à me relever, il tire brutalement sur la chaîne me traînant sur le sol vers le bas côté du chemin où de hautes orties avaient poussées. En me cinglant durement il m’oblige à me rouler dedans. Le ventre, le dos les bras et même les recoins les plus intimes de mon corps subissent les urticantes morsures. C’est horrible cela me pique de partout, je suis secoué de tremblements convulsifs. Quant enfin il me permet de me relever et me fait revenir vers le milieu du chemin, je pleure comme un gamin. Je lui promets, s’il se montre moins dur avec moi, de lui faire quelque chose de doux avec ma bouche et même d’accepter qu’il me pénètre. Cela le fait bien rire et il me dit goguenard :
«Dans la position où tu es, je n’ai pas besoin d’avoir une autorisation de ta part, pour faire ce que tu me proposes avec veulerie. Je peux te prendre de force quand je le veux et comme je le souhaite et tu n’aurais rien à dire. J’ai reçu des ordres, je les exécute. Ton maître sera quand même avisé que tu as cherché à me corrompre »
J’ai beau lui demander, de ne rien dire et d’oublier mes paroles, il reste inflexible et je reçois de nouveaux coups de baguette.
Nous arrivons enfin devant la maison, il y a une partie gravillonnée où des voitures peuvent stationner et aussi une sorte de petite pelouse ou l’herbe est bien tondue. C’est là que je suis amené. Il me fait prendre la position agenouillée puis accroche la chaîne qui lui servait à me faire avancer à un anneau fixé au sol
Il me dit en souriant :
« Bon courage petit esclave blanc, j’écris le rapport complet et détaillé de ton transfert jusqu’ici, à l’intention de ton maître et je repars »
Quelques minutes plus tard il revient près de moi, me donne une grosse claque sur les fesses et colle bien en évidence une enveloppe marquée simplement « Maître Laurent »
Je le regarde repartir, il a l’air joyeux et semble chantonner, tandis que moi je me retrouve seul dans un lieu inconnu, ne sachant même pas ou je me trouve, le trajet depuis mon domicile à t il duré une heure ? je n’en sais rien. En tout cas je sais que l’anesthésiant que j’ai reçu ne fait plus effet car je sens encore bien les coups de baguettes que j’ai reçus ainsi que les orties. Je commence à regretter amèrement d’avoir signé un contrat. Je ne pensais pas que cela irait aussi loin. Parfois un rire nerveux me secoue, je me dis que ce n’était pas la peine de m’attacher car je ne risque pas de me sauver. Vu mon total dénuement, je suis parti de chez moi sans rien. Pas d’argent, pas de papiers, pas de vêtements le premier qui me trouverait à errer avec mes chaînes au bord d’une route me ferait interner en psychiatrie.
Je commence à trouver le temps long, c’est le silence de la campagne troublé de temps en temps par quelques chants d’oiseaux, on entend parfois au loin un voiture qui passe. Je voudrais savoir quelle heure il est, mais le ciel est tellement couvert qu’on ne voit pas même pas le soleil. J’ai l’impression de m’ankyloser à rester à genoux depuis si longtemps je ne peux même pas me relever car en fixant la chaîne au piquet il en a considérablement réduit la longueur. Je peux tout juste poser le front contre le sol ce qui me donne une vision sur le BS qui m’étire les bourses avec le rappel de la fatidique mention « Slave 1852 ». Par contre quand je suis dans cette position je sais que j’offre une vision des plus indécente en présentant entre mes fesses ouvertes un anus qui pourrait bien tenter certain. Heureusement il n’y a personne pour profiter du spectacle que j’offre, alors je me laisse un peu aller essayant de me reposer un peu. Souvent je sursaute dès que j’entends dans le lointain le bruit d’une voiture, je sens le son du moteur augmenter au fur et à mesure quelle se rapproche puis décroître lorsqu’elle s’éloigne.
Combien de temps suis-je restée ainsi? Je n’en ai pas la moindre idée. J’ai du mal m’expliquer les réactions de mon corps sous les coups et le trouble qui m’envahit le bas ventre à l’idée que je ne peux plus rien retirer à cause des cadenas. Serais je masochiste au point de vouloir vivre ainsi de manière définitive ? Rien que d’y penser je ressens mon bas ventre se nouer envahi d’un délicieux trouble
Un bruit de moto se fait entendre, le son augmente, je sens bien qu’elle remonte le petit chemin pour venir jusque là. Elle est toute proche, puis je la vois passer au ralenti sur le gravier et contourne la maison. Une fois derrière le moteur s’arrête. Qui est ce ? je ne le sais pas car son pilote portait une intégrale combinaison de cuir et la visière de son casque était baissée.
C’est impossible qu’il ne m’ait pas vu, compte tenu de l’indécente vision que j’offrais. Je ne pouvais qu’attirer l’attention. En tout cas on ne m’a pas prêté plus d’intérêt que je si je n’existais pas. Je ne vois rien bouger du côté de la maison et un angoissant silence m’entoure. C’est encore pire de savoir qu’il y a quelqu’un tout près, qui reste complètement indifférent à vous. Le temps me paraît de plus en plus long. Il me semble avoir entendu sonner trois heures sans doute au clocher d’un village proche, mais c’est pareil je n’en ai aucune certitude. Je réfléchis à cela me disant que l’ambulance à du venir me chercher vers les 10 heures du matin, en supposant que le trajet ait duré une bonne heure et qu’on a peut être fait une demi heure de chemin à pied ça doit bien faire plus de trois heures que je suis enchaîné devant cette maison. Je me demande pendant combien de temps encore cette attente va-t-elle durer.
J’en suis là de mes réflexions et complètement ankylosé, lorsque j’entends une voiture venir dans le chemin, je prête l’oreille, me demandant qui peut bien venir par ici ? et la vue que je vais encore offrir à un inconnu. Lorsque je vois la voiture de SOS Médecins se ranger devant la maison je pousse un soupir de soulagement surtout que c’est mon Maître qui descend du véhicule et que je le vois s’avancer vers moi. Je suis presque content de le voir venir. Il commence par prendre l’enveloppe et prend connaissance de son contenu en souriant puis il détache la chaîne et me fait relever.
Il me fait tourner sur place, me regarde puis me dit :
«Je vois que tu as de bien jolies marques, Slave 1852, si je comprends bien tu as encore du ne pas être très docile. C’est à croire que tu le fais exprès, tu dois quand même être sacrément maso pour rechercher les punitions ,si j’en crois le rapport que je viens de lire Heureusement que tu es là pour être éduqué, Slave 1852, il va falloir qu’on te lave car tu es bien sale on dirait que tu t’es roulé dans boue. J’aurais du indiquer à Wamba qu’il te lave, tu aurais eu le temps de sécher à l’air».
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