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l'Asservissement

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Un long frisson me parcourt l’échine. Il tire sur la chaîne je le suis derrière la maison. Je n’ai pas rêvé il y a bien une moto. Je suis devant un petit bâtiment ancien sans doute une ancienne étable jouxtant la maison. A côté de la porte se trouve un tuyau d’arrosage avec une brosse accrochée à un clou. Il sort son portable dit simplement :
« Maria tu peux venir laver l’esclave »
Quelques secondes plus tard une jeune femme brune apparaît vêtue d’une blouse blanche. Ils échangent quelque mots entre eux je me doute que c’est à mon propos puis mon maître me laisse seul avec la femme.
« Bienvenue au pavillon du récalcitrant » me dit elle
« Tu dois certainement être un cas difficile. A ma connaissance il y a une douzaine d’année un jeune homme à été placé ici. Au bout de 3 jours, il était devenu aussi souple qu’une carpette que le docteur l’a renvoyé chez son maître. Depuis personne n’a été admis ici. Je te préviens que conformément à l’article 9 de ton contrat j’ai les mêmes droits sur toi que ton maître. C’est bien compris Slave 1852 »
« Oui madame »
Elle déroule le tuyau d’arrosage et commence à m’asperger généreusement, l’eau est glacée je crie , je lui demande d’arrêter. Quand elle s’arrête enfin elle se saisit de la brosse en chiendent et me frotte le corps de partout avec étant encore plus minutieuse sur mes points les plus sensibles. C’est affreux ça me pique ça me cuit surtout aux endroits ou les orties se sont montrées particulièrement urticantes et ou la baguette avait laissé de larges estafilades. Je vois bien que mes cris ne servent à rien elle continue méthodiquement son brossage.
« Tu seras lavé de cette façon au moins une fois par jour. Lavage - Brossage - Rincage avec de l’eau froide » me dit elle tandis qu’elle me rince avec le jet dont elle a sensiblement augmenté la pression Impossible d’échapper au jet glacé. La toilette terminé je reste quelques instants dégoulinant à grelotter dehors tandis quelle range méthodiquement le matériel puis me fait entrer dans le bâtiment »
C’est un local pas très grand et éclairé avec des tubes au néon et divisé en deux parties séparée par une grande grille métallique aux épais barreaux distants d’une vingtaine de centimètres sur toute sa longueur. Une porte ouverte du même style la complète. Je comprend que cette partie doit être une sorte de cellule Elle fait à peine deux mètres de large . On peut voir fixé sur le mur de pierre apparente une sorte de bas flanc sur lequel repose un matelas avec une couverture, des anneaux son fixés à diverses hauteurs sur les murs. On y voit aussi dans cette pièce une grande glace murale, et posées à même le sol de terre battue deux gamelles. Par contre ce qui retient mon attention c’est l’écriteau fixé sur la grille. Car en grosse lettres y est écrit « SLAVE 1852 »
Elle ouvre la porte, et tirant sur la chaîne me fait entrer dans la cellule, j’ai un mouvement de recul je tire en arrière non je ne veux pas aller la dedans. Je pique une véritable crise de nerfs. Finalement elle parvient à me faire entrer et me déséquilibrant me fais tomber sur le sol. Elle ressort précipitamment et referme la grille en la cadenassant me laissant seul criant, hurlant de rage .
Quand elle revient accompagnée de mon maître je suis toujours par terre sanglotant ce qui me vaut mille moqueries de leur part en me voyant chialer comme une gonzesse. Munie d’une cravache elle m’en assène à la volée plusieurs coups, j’en reçois un sur la joue, j’essaie de bouger pour éviter les coups mais ce sont mes tétons qui se trouvent atteint, quasiment en même temps j’en reçois un autre sur mon gland décalotté en raison des mes mouvements désordonnées et du ballstretcher qui étire la peau à contre sens
J’entends Maria me dire :
« Si tu en veux encore, tu n’as qu’à demander »

Après cette sévère correction, Mon maître m’ordonne de me mettre à genoux face à lui et me demande le pourquoi de cette rébellion, je lui explique tant bien que mal qu’il m’avait dit que je serai hospitalisé , or je me retrouve enchaîné dans un cachot.
Après avoir m’écouté. Il me dit :
« J’ai bien vu à la vidéo ta nouvelle rebuffade, en me montrant une caméra que je n’avais pas encore remarqué, ainsi que ton manque d’enthousiasme pour rentrer dans ce petit local. Ce qui me déplait plus que tout c’est la façon dont tu as essayé de bousculer Maria et elle a bien eu raison de te corriger . Je te rappelle que selon l’article 13 de ton contrat, tu n’as plus aucun droit»
Il m’explique ensuite qu’effectivement, il m’avait dit ça, mais qu’en fait je suis ici en détention pour une durée indéterminée afin d’être totalement à sa disposition et dressé. Le terme hospitalisation c’est pour les formalités administratives et pour l’employeur. Je lui dis alors qu’il m’avait également dit que qu’il n’était pas très branché dans les rapports sado maso. Alors sans se démonter il m’explique calmement qu’en fait il possède une très sérieuse et longue expérience dans ce domaine, il m’avait dit cela pour ne pas m’effrayer lors de nos précédentes rencontres. La journée du samedi avait été pour lui un véritable déclic car il avait vu en moi un sujet intéressant qu’il pourrait éduquer à sa guise et en repousser sans cesse les limites car il avait vite compris que, souvent je désobéissais pour être par la suite mieux puni.
Me voyant un peu calmé et rassuré il s’approche au plus près de la grille ouvre sa braguette puis passant son sexe entre les barreaux m’ordonne de le sucer, sans se soucier de la présence de Maria qui me regarde la cravache à la main l’œil mauvais.
Cela me gène qu’une tierce personne me regarde faire ça, mais sans doute pour montrer ma bonne volonté ou tenter d’adoucir un peu mon sort je le prends en bouche, le suce dévotement avec une certaine application. A cet instant plus rien n’existe ni mes chaînes ni le cachot, les sensations éprouvées dans mon bas ventre remontent, j’ai envie d’être pris, d’être défoncé sauvagement. Je m’arrête et le sollicite il me fait non de la tête je reprends mon travail de succion frustré quelque part, et tandis qu’il se répands en jets épais dans ma bouche, j’avale sa semence.
En remettant de l’ordre dans sa tenue il me dit
« Slave 1852, comme tu t’es encore rebellé, j’avais fait mettre dans ta cellule un matelas, pour que ce soit plus confortable mais tu ne le mérites pas, donc tu vas le retirer du bas flanc et donner le matelas à Maria. Tu dormiras sur la planche nu et enchaîné peut être qu’après une nième désobéissance, un jour tu auras le droit de dormir dans des orties... ».
Je me relève et tire tant bien que mal avec mes mains menottées dans le dos le matelas, je n’y arrive pas . Maria pénètre dans le cachot et le retire puis referme la grille. Ils s’en vont me laissant seul. J’essaie de m’allonger comme je peux sur la planche mal rabotée, pour me reposer un peu et tenter de remettre un peu d’ordre dans mes idées.
Mon repos est de courte durée car Maria revient, elle verse de la nourriture dans une gamelle et me demande de prendre la position du chien qui mange dans sa gamelle, m’expliquant que pendant la durée de mon séjour ici je devrais prendre mes repas de cette manière. Je commence à manger lentement, attrapant avec difficulté les bouchées. Pendant que je mange, elle se place derrière moi, j’imagine ce qu’elle peu voir et j’en rougis de honte. Ce mélange de sensations m’excite, elle s’amuse a me tapoter la raie avec sa cravache, ce n’est pas douloureux c’est même assez agréable au point que je semble palpiter de ce côte ce qu’elle ne manque pas de remarquer et de me dire crûment
« Ben mon salaud, on dirait que tu ne peux pas te passer d’avoir quelque chose dans le cul, heureusement que ton maître m’a demandé de te mettre un plug pour dormir ».
Le repas terminé elle me mets le plug dans la bouche, puis le retire, passe par derrière moi et me l’enfonce sans douceur, elle me le retire puis reviens me le mettre dans la bouche et le remets en place. Elle fait comme ça une bonne vingtaine fois je commence à apprécier ce jeu mais elle s’arrête après l’avoir laisser bien enfoncé en moi. Ensuite elle détache la chaîne qui maintenait mes poignets dans le dos. J’en éprouve presque un sentiment de liberté à retrouver l’usage des mes bras de mes mains. Même si ensuite elle les cadenasse à nouveau la chaîne reliant mes poignets par devant. Elle vérifie que tout est en ordre s’assure que si elle m’en donne l’ordre je peux placer mes mains sur la tête. Puis debout devant elle, elle m’ordonne de me masturber lorsque je suis en érection elle me fait mettre un préservatif puis reprendre ensuite ma caresse. Je sens mon anus se contracter autour du plug, je ferme les yeux toutes les images de la journée s’entrechoquent dans ma tête. J’éjacule rapidement dans le préservatif. Elle me fait avaler deux tranquillisants, sans doute prévus par mon maître, pour avoir un peu moins de stress puis retire le préservatif. Avec ses doigts elle enlève les dernière gouttes de sperme restant au bout du gland et me les fait lécher. Elle m’enfonce ensuite le préservatif dans la bouche en me disant :
« Tu as de la chance slave 1852 tu as droit à un chewing-gum pour aller dormir. Mâches le bien. Je vais maintenant te fixer un étui autour de ton sexe comme ça tu ne vas pas pouvoir te toucher ; d’ailleurs il est prévu dans ton programme qu’il va être tellement réduit qu’il ne te servira plus à rien. Tu vas devenir juste une bouche et un cul pour que les hommes se vident les couilles dans toi »
Tandis qu’elle enserre mon sexe dans une sorte de petit étui en métal assez serré, je mâchonne le préservatif.
Subitement elle me fait face et me demander de me présenter
Un peu interloqué par cette demande je lui dis :
« Je m’appelles Pierre M.. j’ai .. »
Je reçois immédiatement un coup de cravache
« Non Pierre M.. n’existe plus »
Je reprends en essayant de m’inspirer de ce qu’elle vient de me dire
« Je m’appelle Slave 1852, je suis détenu ici dans un cachot parce que je mérite d’être totalement dressé et dépersonnalisé pour devenir juste une bouche et un cul pour que les hommes viennent se vider les couilles en moi »
Elle me réponds:
« C’est très bien, désormais c’est ainsi que tu devras te présenter à tout ceux qui viendront te rendre visite ou lorsque ton maître te le demandera et tu devras en plus me dire cette phrase à chaque fois que je viens pour m’occuper de toi ».
Puis elle me fait allonger sur la planche, fixes la chaîne à un anneau et s’en va laissant la lumière allumée
Malgré les neuroleptiques, mon sommeil est des plus agité, plusieurs fois je me réveille en sursaut, trempé de sueur, les fers de mes poignets et des mes chevilles attestent de ma nouvelle condition. Ce n’est pas un rêve et la dureté du bois sur lequel je suis couché me fait plutôt prendre conscience que j’ai peut être intérêt à faire certains efforts si je veux avoir des conditions un peu moins difficile. Je repense à ce que Maria m’avait dit en parlant du jeune homme qui avait fait un séjour ici et qui n’étais resté que trois jours en devenant totalement soumis, je me demande bien ce qu’on avait bien pu lui faire, je voudrais bien que mon séjour soit le plus bref possible car en même pas une journée, je crois avoir eu tout ce qui pouvait être pire à subir mais paradoxalement, je n’ai pas l’intention de me laisser faire, je sais qu’il ne me briseront pas aussi facilement.
Le lendemain , mais est ce le lendemain ? je suis tiré de mon sommeil par mon Maître qui est venu me rendre visite dans mon cachot. Mal réveillé je tombe du bas-flanc. Lorsque je réalise qu’il est devant moi je prends la pose à genoux. Il force mes lèvres avant de s’introduire dans ma bouche. Il na pas besoin de parler pour que je comprenne que je dois le sucer . Je voudrais qu’il remplace le plug que Maria m’as enfoncé avant de dormir. par son sexe je voudrais avoir quelque chose de vivant en moi au lieu de cet objet inerte qui simplement me dilate, même si lorsque je me contracte dessus cela me procure des sensations étranges. Je pense à cela tout en le suçant il semble bien apprécier mes caresses buccales et assez vite se vide dans ma bouche. J’avale le tout, puis de ma langue nettoie et gobe les dernières gouttes. Il se rajuste et sans dire un mot., sort de sa poche un ballstretcher et profitant de l’allongement de la peau déjà procuré par le premier tire sur les bourses sans ménagement et le fixe juste au dessus de celui qui était déjà en place. Je serre les dents pour de pas crier et le supplier j’essaie de rester digne malgré les larmes qui perlent au coin de mes yeux. Il me dit alors
« Je crois bien que je vais arriver à un allongement idéal et bientôt tu pourras sans doute être ferré d’une manière un peu plus originale. »

Je regarde son sourire énigmatique, je sais qu’il n’en dira pas plus. Il referme la cellule et s’en va me laissant frustré, privé de plaisir avec un poids supplémentaire, car ce second BS me paraît tout à coup bien pesant. Ainsi Maria avait donc raison lorsqu’elle disait que je serai dressé afin que ma bouche et mon cul soient mis à la disposition des hommes qui viennent se vider en moi..

Je perds peu à peu la notion du temps, dès que Maria vient auprès de la grille je me lève et me présente les mains derrière la tête, exhibant mon corps en tournant sur moi même, puis lorsque que suis tourné j’offre indécemment le plus secret de moi même parfois vide, l’œillet palpitant, parfois garni de son plug. Je dois réciter ma phrase de présentation :

« Je m’appelle Slave 1852, je suis détenu ici dans un cachot parce que je mérite d’être totalement dressé et dépersonnalisé pour devenir juste une bouche et un cul pour que les hommes viennent se vider les couilles en moi ».

C’est devenu un véritable rituel, Si j’oublie la présentation Maria me la rappelle vigoureusement à coup de cravache. Je suis parfois brutalement tiré de mon sommeil et dès que je me lève je dois me présenter ainsi. Cela devient presque du lavage de cerveau car je me présente ainsi dès qu’on vient me rendre visite. Mon maître semble d’ailleurs apprécier l’initiative de Maria et se délecte visiblement de la phrase que je prononce a chacun de ses passages avant qu’il ne force me ma bouche pour que j’avale son jus.

Pour me désorienter davantage je subis le lavage de manière irrégulière, parfois c’est en plein jour que je suis copieusement arrosé avec le jet d’eau froide et brossé à la brosse de chiendent , parfois c’est en pleine nuit que je suis traîné dehors pour être lavé. Je deviens peu à peu incapable de savoir depuis combien de temps je suis enfermé ici.Petit à petit ma dépersonnalisation physique se mets en place. Maria me fait régulièrement des injections dans les tétons, je ne sais pas ce que contiennent les seringues mais au fil du temps les tétons grossissent progressivement jusqu’à atteindre le diamètre de mes pouces et sont hyper sensibilisés et sont parfois ornés de pinces à linge qui m’arrachent des hurlement de douleurs. Je n’en devins que plus servile pour ne pas subir ces affreuses morsures. C’est ainsi que j’ai demandé d’avoir le crane complètement rasé. Je crois bien que l’on pouvais se passer de mon avis mais pour mon maître il devait y avoir une saveur particulière à ce que je fasse moi-même cette démarche. J’ai ainsi continuer à descendre l’escalier de la déchéance en demandant, sur les conseils de Maria, de porter des anneaux aux tétons et à être marqué de manière définitive. Ma requête fut transmise à mon maître et resta quelques temps sans réponse. D’ailleurs il ne venait plus se vider régulièrement dans ma bouche. Par contre Wamba, ‘l’ambulancier venait de plus en plus souvent et à chacun de ses passages il ne manquait jamais une occasion de se moquer de moi en m’appelant « petit esclave blanc », et ,de noter les transformations qui s’effectuaient peu à peu sur mon corps.
Par contre, il était beaucoup plus gros que mon maître et à chaque fois qu’il forçait ma bouche j’avais beaucoup de difficultés car il me distendait totalement les mâchoires et ne pénétrait dans ma bouche que de quelques centimètres si bien qu’après s’être un peu amusé à me forcer ainsi il s’enfonçait sans ménagement dans mon anus me donnant à chaque fois l’impression d’être déchiré. Ces séances de sodomies étaient longues et éprouvantes petit à petit je parvenais même à éprouver une sorte de plaisir à être pris de cette manière. Dès qu’il s’en apercevait il stoppait ses mouvements ou se retirait rapidement pour venir se vider dans ma bouche et je devais bien évidemment tout avaler. Ensuite il repartait me laissant pantelant, gémissant de frustration. Il avait certainement des ordres pour agir ainsi.

Parfois, Maria libérait mon sexe de l’étui métallique dans lequel il était enfermé, elle m’obligeait alors à me masturber devant elle jusqu’à ce que je jouisse. Au début cela me gênait puis cela devint une sorte d’habitude je le faisais mécaniquement cela faisait balancer les ballstretchers en étirant davantage la peau des bourses. Lorsque je parvenais à l’éjaculation elle recueillait ma semence dans ma gamelle de chien puis m’obligeait parfois à la consommer sur le champ ou d’autres fois mélangée à ma nourriture. Je devais lécher sur le sol de terre battue les gouttes de liquide qui s’étaient échappées.
Un jour après le passage de Wamba, alors que restais agenouillé, pleurant de frustration, je ne sais pourquoi Maria eut semble t il pitié de moi, je devais avoir l’air lamentable. Elle décida me remettre mon plug, tout en introduisant à la base de l’engin son index et tandis qu’elle effectuait avec l’objet de petits va et vient, le bout de son doigt où plutôt son ongle titillait juste à l’entrée anale un petit point sensible dont j’ignorais l’existence, elle semblait bien habile et cela diffusait en moi des sensations jusque là inconnues, déclenchant dans mon bas ventre une sorte de houle annonciatrice d’une grande tempête. Je sentis alors le plaisir monter en moi de manière intense et fus rapidement balayé par un violent orgasme, me vidant totalement expulsant le plug sans crier gare ainsi que des matières bien odorantes.
Dans un brouillard, après l’extase, je l’entendis me dire" C’est bien Slave 1852 tu jouis comme une fille, désormais tu ne devras plus jouir que de cette façon "

a suivre...
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