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l'Asservissement

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Un nouveau chat pire que les trois précédentsMais seul B A D sait ce que vaut ce moment

    Le temps s’écoulait lentement, les journées me paraissaient bien longues, surtout lorsque je ne voyais pas mon maître. Parfois il passait pour voir comment je me débrouillait, se délectant visiblement du spectacle que je lui offrait, en me faisant brutalement prendre par des inconnus auxquels je devais rituellement m’annoncer en prononçant la traditionnelle phrase de présentation. Parfois Maria, pour me tester me demandais si je connaissais Pierre M.. je lui répondais, pour éviter les corrections, que je ne savais pas de qui il s’agissait.
    Combien en ai-je sucé ?, combien m’ont pénétré ?, je ne saurais le dire parfois il me semblait que dans la même journée c’était un défilé permanent, j’avais l’impression de faire de l’abattage et à force d’avoir les mâchoires ainsi distendues mes prestations buccales n’étaient pas toujours de qualité. Les visiteurs déçus s’en plaignaient auprès de Maria qui restait toujours présente pendant mes ébats. Dès qu’elle recevait une réclamation je recevais alors, séance tenante, une sévère correction au martinet et a la cravache Je devais ensuite me remettre à l’ouvrage et m’appliquer à satisfaire de ma langue l’inconnu. De l’autre côte ce n’était guère plus billant cela me brûlait, me cuisait, j’avais les muqueuses à vif, et j’en venais à solliciter une pénétration pour me calmer.
    Mon maître aimait visiblement que Wamba me prenne comme une chienne, Quand il s’acharnait sur mon fondement, je n’avait aucun plaisir tant j’avais l’impression d’être déchiré par son énorme sexe qui m’arrachait de véritables hurlements. Alors pour étouffer mes cris il introduisait son phallus dans ma bouche, et dévotement je le suçais, le pompais avec une telle avidité que parfois j’en arrivais à oublier ce qui me limait sans vergogne l’anus. Quand enfin il s’épanchait dans ma bouche en de longs jets saccadés, je recevais cela comme une précieuse offrande que j’avalais avec délice. Lorsque repus, mon maître et Wamba me laissaient pantelant, Maria me conduisait dehors pour me laver, souvent je grelottais sous le jet glacé mais j’étais dans un tel état d’hébétude, je j’arrivais à trouver ça bon et à me sentir propre.
    C’était ensuite le retour vers la tiédeur du cachot ou je me laissais enchaîner sur le bas flanc. Parfois j’avais l’anus garni du plug pour dormir, je trouvais que c’était une bien étrange sensation que de se sentir ainsi rempli surtout lorsque je devais le garder longtemps en moi. Peu à peu je prenais goût à sentir cet objet au creux de mes reins. Parfois j’étais simplement entravé pour dormir et je n’avais le droit d’avoir le plug. Je n’osais pas le réclamer, mais j’avais alors cette horrible sensation de vide qui m’était alors intolérable. Je ne sentais pas le plug ni sa large base qui m’écartait certainement de manière très obscène les fesses. Généralement pendant ces longues périodes solitaires je pleurais de frustration et j’étais content voir venir mon Maitre ou Maria et même si je devais subir de mauvais traitements de leur part je n’avais pas le sentiment d’être abandonné dans mon cachot.
    J’en étais là de mes réflexions lorsque mon maître vint me rendre visite. Dans sa main il tenait les clés des ballstretchers. Par pur réflexe je m’agenouillais devant lui prêt à le prendre en bouche, mais il me fit me lever, et à ma grande surprise il me libéra des ballstretchers. Je ne comprenais pas pourquoi, cela faisait si longtemps que je traînais ces fers entre mes cuisses. J’avais tout à coup l’impression de ne plus rien avoir entre les jambes je ne sentais plus ce poids ni ce balancement. C’était vraiment étrange comme sensation, on pourrait dire à un degré moindre, que c’est un peu comme après un arrachage de dent et que lorsque l’on passe la langue à cet endroit on ressent une sorte de vide. Mon temps de réflexion fut cependant d’assez courte durée, car prenant à pleine main mes testicules il examina avec attention l’étirement de la peau des bourses, puis me regardant droit dans les yeux déclara :
« C’est vraiment parfait Slave 1852, je vais pouvoir maintenant placer le BS comme je le souhaite »
    Ne pouvant soutenir son regard métallique, je baissais le yeux murmurant : « Faites comme vous le souhaitez, Maître » Il me répondit alors : « Je vois que tu as fait quelques progrès, tu deviens raisonnable ,grâce au régime que je t’ai imposé, et maintenant tu es une bonne suceuse de bites »
    Il appela ensuite Maria, celle-ci, maintenait mon sexe enserré dans son étui vers le bas, tandis qu’après avoir passé de part et d’autre de mon engin rabougri mes testicules, il refermait sur la peau de mes bourses distendues le ballstretcher de 400 grammes. Il se recula pour mieux regarder ce que cela donnait. Dans la grande glace qui ornait mon cachot je ne pouvais que constater le résultat et cela me troublait en même temps de voir mon sexe ainsi enfermé avec cette position « anormale » du BS qui vous maintient les testicules en dessus. J’ai vraiment l’impression de plus avoir d’attributs masculins car plus rien ne se balance entre mes cuisses. J’ai honte de moi, je suis un mâle asexué sans pour autant être féminisé, mais que l’on utilise sans vergogne comme une femelle voire comme une simple objet.
    Les jours qui suivirent furent à nouveau consacrés à une sorte d’abattage, où je me devais de satisfaire tout ce qui se présentait avec ma bouche ou, pour ceux qui le souhaitaient s’épancher dans mes reins. Perdant peu à peu tout notion tout sens du discernement. Ainsi dès qu’un homme entrait dans mon cachot je n’avais qu’une pensée : le sucer, me faire prendre…

    Un jour au petit matin, Maria pénétra dans le cachot et munie des clefs des cadenas commença à me retirer un à un tout mes fers, le collier du cou, les lourds bracelets qui ornaient mes poignets et mes chevilles ainsi que leurs chaînes, à l’exception du BS nouvellement positionné. Je me demandais bien ce qu’ils leur passaient par la tête. M’avait on vendu ? allait on me rendre la liberté, me faire rentrer chez moi. Maria comme à son habitude ne répondait pas à mon questionnement. Je me demandais même si elle n’éprouvait une sorte de plaisir machiavélique à me laisser mijoter dans mon bouillon de questions.
    Elle me fit sortir j’eus droit à mon habituel lavage au jet d’eau puis après un rapide séchage, elle me mit autour du cou un large collier de chien en cuir auquel elle accrocha par un mousqueton une lourde laisse métallique. Elle me fit ensuite monter dans une sorte de camionnette sans vitres. Il y avait une couverture je m’agenouillait dessus tandis qu’elle verrouillait les portes. J’entendis le véhicule démarrer, je ne sais pas qui conduisait et cela m’inquiétais davantage. Ou allait on ? qu’allais je subir ?
    Après une bonne heure de route, je compris que nous étions arrivés en ville , laquelle ? je ne sais pas mais vu la distance parcourue entre deux arrêts soit il y a beaucoup de feux rouges soit ça bouchonne pas mal.     La voiture s’arrête enfin et la porte arrière s’ouvre, je suis totalement nu à l’exception du ballstretcher et du collier de chien. J’essaie de regarder autour de moi nous sommes dans un parking souterrain, il me semble reconnaître les lieux, c’est là que je range ma voiture quand je viens travailler..
    Elle sort d’un sac des babouches qu’elle me fait mettre aux pieds, puis me fait enfiler une sorte de djellaba. Ca me fait tout drôle de porter un vêtement car je me suis habitué à la nudité totale. Le tissu est pourtant fin, j’ai peur que l’on puisse voir mon corps par transparence. Je ne vais pas me trimballer comme ça en ville, on risquerai de me reconnaître, même si j’ai le crâne totalement rasé désormais. A mon grand soulagement, et avant que je proteste, je vois que Maria a prévu un voile qui, une fois posé me masque totalement le visage ne laissant juste qu’une fente pour les yeux. Je me regarde dans le rétroviseur, je ressemble à ces femmes totalement voilées que l’on croise parfois dans la rue. Je n’en reviens pas de cette métamorphose.
Nous sortons du parking puis circulons dans la ville en passant pas très loin de mon bureau. Je suis Maria pas complètement rassuré, je ne peux m’empêcher de regarder les fenêtres de l’entreprise où je travaille, je vois la secrétaire qui fume en regardant le mouvement de la rue. Je ne peux m’empêcher de baisser la tête craignant que l’on me reconnaisse.

    Maria marche lentement s’arrêtant devant chaque vitrine, semblant prendre un malin plaisir à faire durer cette « promenade ». Je suis vraiment mal à l’aise, me demandant si dans toutes les « femmes voilées » que j’ai pu croiser ça et là, il n’y avait pas eu parfois des « esclaves males déguisés ». C’est vrai que cela change de beaucoup le regard que l’on peut avoir sur des civilisations différentes et de notre morale judéo chrétiennes avec tous ses tabous, ses préjugés.
    C’est ainsi que nous parvenons, en serrant des fesses pour ma part, à « l’Institut Oriental » cela me fait paniquer car je n’ai jamais mis les pieds dans cet endroit mais je sais que certaines collègues de l’entreprise viennent ici pour se faire faire des séances d’U.V., ou d’épilation. Pourvu que…
    Maria rentre dans l’établissement, je la suis heureusement que je suis voilé car je doit être cramoisi une personne nous accueille et Maria annonce qu’elle vient pour un rendez à vous qui à été pris par Laurent. L’hôtesse consulte sont agenda et nous conduit dans une petit salon confortable, un peu à l’écart de la salle d’attente réservée aux clients habituels elle ajoute sentencieuse : « Ici, vous pourrez la mettre à l’aise, la clientèle de cette pièce est triée sur le volet »
    Nous pénétrons donc dans la pièce, il n’y a pas grand monde, je remarque deux hommes qui encadrent une jeune fille entièrement nue, sa petite poitrine blanche porte encore les stigmates de récentes corrections. Dans un autre coin il y a une grande femme brune à l’air hautain avec agenouillée à ses pieds, également nue, femme mure un peu blonde coiffée comme une punk avec une pointe de crête rouge. Mais ce qui attire mon attention c’est de voir ses seins lourds avec leurs tétons transpercés par de. grosses épingles de nourrices. On devine que cela vient d’être fait car des gouttes de sang à peine sec s’étalent telles de petits étoiles sur sa peau blanchâtre Les larmes que cela a du lui arracher ont fait couler son rimmel sur ses joues accentuant son regard défait.
    Je sens bien que dans ce climat pesant Maria n’est pas très à l’aise, elle avait marqué un bref temps d’arrêt en voyant la femme brune. Visiblement elle la connaissait. Pour se donner une contenance elle m’ordonna de manière assez ferme de retirer ma djellaba , de conserver mon voile et de m’agenouiller comme les autres à ses pieds. Ce que je fis évidemment. Je sentais les regards tournés vers moi la jeune fille semblait éprouver du mépris sans doute raciste sur les bord et de surcroit ne pouvant certainement pas comprendre qu’un homme puisse être esclave. Heureusement je n’ai pas eu à supporter son regard réprobateur ni ses soupirs trop longtemps car l’hôtesse est assez vite venue la chercher.
    Par contre je lisais dans les yeux de la femme blonde je lisais une sorte d’envie elle regardait pleine de désir le collier de chien ainsi que la laisse et aussi le ballstretcher. Je me suis fait la réflexion qu’elle voudrait certainement vivre comme moi totalement nue, asservie, ferré et dépersonnalisée.... Sans doute une bourgeoise en mal sensations fortes.
    Les deux hommes se trouvant libres, puisque leur protégée était prise en charge demandèrent à Maria si je pouvais les soulager. Elle leur signifia son accord, et ils ne se firent pas prier pour investir à tour de rôle mes reins. Pendant que je subissais leurs assauts la femme blonde en profitait pour se toucher subrepticement.
    L’hautaine femme brune avait le regard fixé sur Maria qui malgré elle baissait les yeux et engagea assez vite la conversation. Je ne percevais pas tout, mais je comprenais une certaine moquerie dans ces paroles.

    Le style était plutôt ironique et en quelques mots je compris que Maria ne se situait pas très bien, esclave avec les femmes, maîtresse avec les hommes, du moins essayait elle de s’en persuader. J’appris plus tard que cette femme s’appelait Catherine et qu’elle avait bien envie de reprendre l’éducation de Maria.
La jeune fille revint les yeux rougis elle était maintenant totalement épilée le pubis couvert d’une multitude de petits points rouges laissant apparaître une longue fente encadrées de lèvres charnues. Les deux hommes repartirent avec la jeune fille simplement vêtue d’un court ciré noir tout juste fermé à la taille par une ceinture.

    Ce fut ensuite au tour de la femme blonde d’être prise en charge par les hôtesses tandis que Catherine continuait sa perfide discussion avec Maria que je voyais de plus en plus mal à l’aise. Parfois leur conversation était interrompue par les hurlements de cette femme blonde.
Que se sont elles dits pendant que je subissais à mon tour l’épilation, je l’ignore. Je suppose cependant que Catherine lui aura vanté les mérites de l’esclavage sous sa coupe en lui montrant sans doute, le degré d’obéissance qu’elle avait réussi à obtenir avec sa bourgeoise.
    Je subis une longue et minutieuse épilation des orteils jusqu’au cou et devant comme derrière. Pour cette opération on me retira le BS ainsi que l’étui dans lequel mon phallus était enfermé depuis si longtemps. Lorsque je criais un peu trop j’étais fouetté ou giflé selon la position que l’on m’avait fait prendre. Le mélange cire et miel est assez efficace, mais il semblerait qu’il faudra que je reviennes pour plusieurs séances, l’ultime devant se faire au laser pour que cela devienne définitif.

    Pour me récompenser et avant que l’on remette en place l’étui phallique ainsi que le BS on m’introduisit le pénis dans une sorte de trayeuse. Les mouvements vibratoires et l’aspiration permanente provoquée par cette machine qui me fis éjaculer plusieurs fois de suite on fit durer ce supplice jusqu’à ce que cela devienne vraiment très douloureux. J’avais l’impression d’avoir les glandes séminales en feu. Ensuite on me fit boire mon jus âcre ,
    J’étais complètement vidé incapable d’aligner deux pensées à la suite Ca me picotait de partout j’avais l’impression d’être un poulet que l’on venait de plumer. Une fois rhabillé en femme musulmane nous sommes retournés au parking, marchant dans les rues au milieu des passants indifférents
    Pour le retour je suis resté vêtu et voilé à l’avant du véhicule sur le siège passager, à côté de Maria qui ne disait rien mais qui avait l’air sérieusement ébranlée par sa rencontre, elle était toute pale et sa lèvre tremblait par instant
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