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Chapitre 4

Erotique
« Ce que fit le quatrième » « Lahirette, lahirette, » « Ce que fit le quatrième »« N’est pas dit dans la chanson (bis) »

…Jeanneton tire sa carriole sur le chemin. Elle est encore flageolante sur ses jambes. Quel après-midi! D’abord Jean-Luc et ses baisers, puis Jean-Louis et ses caresses sur les seins, Jean-Marc et ses baisers sur… Jeanneton rougit. Elle ne pensait pas, n’aurait jamais eu l’idée qu’on puisse l’embrasser là, entre les jambes. Elle doit s’arrêter et s’appuyer sur sa carriole pour ne pas tomber au souvenir du plaisir qui l’a secouée. Et enfin Jean-Paul… Dire que jusqu’à ce jour elle appréhendait l’introduction d’un sexe masculin! Par deux fois il l’a fait jouir. Pour ne pas crier, elle avait mordu la chemise du garçon. Elle connaît maintenant le grand frisson et n’aspire qu’à le retrouver. Les quatre jeunes hommes resteront-ils dans les parages? — Je suis pareille à mes copines, sourit-elle. Je pense plus qu’à courir les garçons… Non pas tous les garçons, seulement ces garçons là! Elle est trop heureuse et veut faire partager son bonheur. — Et si j’allais les retrouver? Elles ne sont pas loin. Au lieu de prendre la direction du village, elle tourne vers le champ à Jules, où elles ont mené le troupeau de chèvres. Jeanneton danse presque en les rejoignant. — Qu’est-ce que t’as? interroge Suzon. C’est de couper les joncs qui te rend si joyeuse. — Figurez-vous… Les trois filles entourent leur amie et écoutent avec intérêt son récit…
— Mais où est passée Suzon? remarque Lison au bout d’un moment. — Je sais pas, avoue Fanchon. Dis Jeanneton, tu crois qu’elle est allée… — Peut-être. Elle est un peu jalouse mais sait bien qu’elle ne peut pas conserver l’exclusivité des quatre jeunes gens. Les deux autres filles vexées de ne pas avoir été aussi rapide pressent Jeanneton de questions…

« Si vous le saviez mesdames »« Lahirette, lahirette, »« Si vous le saviez mesdames »
« Vous iriez couper des joncs (bis) »

— Elle est charmante cette Jeanneton, déclare Jean-Paul en suivant la jeune fille des yeux au moment où elle quitte le petit bois en traînant sa carriole. — Elle avait l’air heureuse de son aventure, renchérit Jean-Luc. — Pourvu qu’elle nous fasse une bonne publicité, moi aussi j’ai envie de baiser, déclare Jean-Marc. — T’es pas le seul, approuve Jean-Louis. Jean-Luc secoue la couverture pour la débarrasser des brins d’herbe et la plie sous son bras. — J’espère que nous n’aurons pas trop longtemps à patienter… Attendez… Oui, regardez, une fille qui vient! A ton tour de démarrer, Jean-Paul. Celui-ci reste seul dans la clairière au moment où Suzon débouche. La jeune fille stoppe étonnée. Jeanneton avait parlé de quatre garçons. Se serait-elle trompée d’endroit? Le jeune homme ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Il s’approche et la salue bien bas. — Bonjour mademoiselle. Quelle bonne surprise de rencontrer une aussi agréable personne en ce bois que je croyais inhabité. — Euh…— Je m’appelle Jean-Paul et vous? — Suzon. — Suzon? Quel joli nom! Il vous va à ravir! Que faites-vous dans ce village mademoiselle Suzon ?… Quelques minutes plus tard, il quitte les lèvres de la jeune fille et la place entre les mains de Jean-Luc. — Au revoir, ma toute belle, mon ami Jean-Luc ici présent saura vous faire vibrer comme moi. Suzon s’accroche au cou du nouveau venu et colle ses lèvres sur sa bouche. Il ne met pas longtemps à la coucher sur la couverture et à dénuder sa poitrine. La jeune fille sourit aux anges. Son ravissement s’accroît lorsque Jean-Louis soulève jupe et jupons pour embrasser son sexe. Jeanneton n’avait pas menti! Ces garçons sont formidables! Comme son amie auparavant, elle éprouve un premier orgasme clitoridien, sensation inconnue jusqu’alors. — Aaaaah! Baisez-moi! — C’est le travail de Jean-Marc, s’excuse Jean-Louis qui se lève pour laisser la place au quatrième larron. Celui-ci a à peine le temps de dégainer son sexe que Suzon l’attire en elle. Elle ne se contente pas de subir! D’un coup de rein elle retourne la situation et se retrouve à califourchon sur le jeune homme. Elle donne libre cours à sa boulimie de sexe et chevauche son pourfendeur avec ardeur…
Dans le champ de Jules, Fanchon ne cache pas son impatience. Elle regarde si Suzon réapparaît sur le chemin. — Ah ! Enfin! Elle se lève et rejoint son amie. — Alors? — Super! Jeanneton n’a pas menti. Fanchon court vers le petit bois. Elle débouche dans la clairière au moment où Jean-Marc termine de se réajuster. Il s’approche de la nouvelle venue. — Comment vous appelez-vous belle inconnue qui venez me surprendre? — Fanchon, répond celle-ci qui regarde avec inquiétude les trois autres garçons. — Ne faites pas attention à eux, ils ne nous gêneront pas, n’est-ce pas vous autres? Vous vous appelez Fanchon? Quel joli nom! Il vous va à ravir! Que faites-vous dans ce village mademoiselle Fanchon?…
Jean-Paul vient à peine de céder la place à Jean-Luc qui commence à soulever le jupon de la jeune fille lorsque Lison se pointe à la lisière de la clairière. La jeune fille n’a pas eu la patience d’attendre le retour de Fanchon en compagnie de Jeanneton et Suzon toutes pleines de leur aventure, pour bénéficier à son tour des services des jeunes gens. Un instant interloqué Jean-Paul comprend qu’il doit modifier l’ordre de passage. Pas question que cette nouvelle proie attende que Jean-Louis ait baisé la précédente! Il se précipite et entraîne la nouvelle venue dans un coin isolé de la clairière. — Comment vous appelez-vous belle inconnue? — Euh… Qu’est-ce qu’il lui fait? s’étonne Lison en voyant Jean-Luc la tête entre les cuisses de Fanchon. — Laissez-les donc s’amuser et dites-moi plutôt comment vous vous appelez. — Lison, répond-elle en cherchant à voir le couple allongé. — Lison? Quel joli nom! Il vous va à ravir! Que faites-vous dans ce village mademoiselle Lison? Celle-ci reste imperméable à son discours et cherche à deviner ce que font Fanchon et le garçon. Jean-Paul presse le mouvement et colle un baiser ventouse qui, enfin, retient l’attention de la jeune fille. Pendant qu’il embrasse savamment la belle, il cherche des yeux qui doit venir le remplacer. Personne en vue. Il ne peut éterniser les embrassades aussi décide-t-il de passer à l’étape suivante, le pelotage de la poitrine. — Zut, murmure-t-il, on n’a qu’une couverture et elle est occupée. Tant pis! — Qu’est-ce que tu dis? — Tu embrasses bien tu sais! — Mieux que mes amies qui sont venues avant moi? Pourquoi, pense-t-il, les filles veulent à tout prix être les meilleures en tout? Il choisit un coin où l’herbe sèche prédomine et pour ne pas avoir à répondre, il bâillonne sa conquête d’un baiser supplémentaire. — Aah! Lison est essoufflée. Il en profite pour la coucher sur l’herbe. Il défait les lacets qui maintiennent le corsage et dégage les seins. Ceux-ci sont très beaux, décide-t-il, et supportent la comparaison avec ceux de Jeanneton et de Fanchon. Pour Suzon, il ne peut dire, ne les ayant pas bien vus. La jeune fille ferme les yeux, ravie de cette caresse qu’elle a déjà expérimentée avec Fanchon dans l’ombre complice d’une remise. Jean-Paul se lasse de ces attouchements pour gamines. Il se prépare à entamer la troisième étape lorsque Jean-Marc lui tape sur l’épaule. — A-t-on tour, déclare-t-il en se levant sous l’œil étonné de Lison. Jean-Marc ne lui laisse pas le temps de réagir. Un baiser sur la bouche, un pelotage des seins calment la jeune fille qui accepte le changement de partenaire. Quelques minutes plus tard elle comprend ce que le garçon vu tout à l’heure avec Fanchon faisait. Que c’est bon! Comment convaincre ses amants de pratiquer cette caresse divine? Ce ne sera pas de la tarte! Peut-être avec Fanchon? Pourquoi pas en se caressant mutuellement? Ces pensées coquines la conduisent à son premier orgasme de l’après-midi, vite suivi par un second éprouvé entre les bras de Jean-Luc qui est venu relever son copain…
Elle rabat sa jupe et s’assied. La clairière est déserte. Fanchon a disparut ainsi que les trois autres garçons. Lison tend la main. Jean-Luc l’aide à se mettre debout. — Euh… Je dois partir… Vous direz au revoir de ma part à vos amis? — Je n’y manquerais pas. Notre rencontre a été fort agréable. J’en garderai un souvenir ému, j’espère qu’il en sera de même pour vous. — Euh… Je vous oublierai pas. Lison époussette sa jupe et ôte quelques brins d’herbe qui s’étaient accrochés. — Ben… au revoir. — Au revoir mademoiselle Lison et peut-être à une prochaine fois.
Elle a hâte de quitter la clairière et retrouver ses amies. Elle marche d’un bon pas. Elle a la surprise de voir les trois jeunes filles sur le chemin du retour vers le village, qui tirant une carriole qui poussant les chèvres. Lison se rapproche de Fanchon. — Dis? Y en a un qui t’a caressé la poitrine? — Oui? — T’as aimé? — Oui, mais je préfère quand c’est toi. — Moi aussi. Elles cheminent quelques instants silencieuses. — Dis? continue Lison. Il t’a léché le… euh… Moi j’ai bien aimé. — Oui, moi aussi. — Dis?… On pourrait pas le refaire entre nous ? — Oh! C’est sale! — Tu disais pas que c’est sale quand c’est lui qui le faisait tout à l’heure. — Euh… T’as raison. — Alors? — Qu’est-ce que vous manigancez? s’inquiète Suzon. De quoi vous parlez? — Des garçons. Je disais à Fanchon que ça m’avait bien plu. — A nous aussi, déclare Suzon. N’est-ce pas Jeanneton? L’interpellée ne répond pas perdue dans ses pensées. Lison se penche à l’oreille de Fanchon. — Alors qu’est-ce que t’en dis? Les deux filles se serrent la main. Elles se sont comprises.
Jeanneton repense sans cesse à son après-midi. Quelle jouissance! Comment retrouver ce plaisir? Ce ne sont pas les garçons du village qui sauront être aussi habiles! Justement les chèvres les conduisent à proximité du bosquet qui a vu leurs débordements. Sa décision est prise. Tout à coup, elle lâche le timon de sa carriole et fouille fébrilement dans les brassées de joncs. — Zut! — Qu’est-ce que t’as? interroge Fanchon. — Ma faucille! J’ai oublié ma faucille! Il faut que je la retrouve sinon qu’est-ce que je vais prendre par ma mère! — Tu veux qu’on t’aide à la chercher? — Non, non, je vais retourner à l’étang je crois savoir où je l’ai laissée. Rentrez vos chèvres. Je vous retrouve ce soir après le repas. A tout à l’heure! Jeanneton abandonne ses amies et s’enfonce dans le petit bois. — Pourvu qu’ils soient encore là, murmure-t-elle…
(Suite au prochain couplet)
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