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J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes.

Chapitre 8

Retour triomphal

Zoophilie
Mais les choses tournent rarement comme on le prévoit.
J’entrai dans la cour du château. J’étais à peine descendue de voiture qu’Adalbert déboula à toute vitesse et me sauta dessus. Il m’accueillait avec une joie visible. Ses lourdes pattes, qu’il posa sur mes épaules me forcèrent à reculer. Je m’appuyai contre le capot de la voiture et, finalement m’y étendis permettant au chien de se coucher sur moi, tant pis pour la peinture de la carrosserie sur laquelle grincèrent les griffes de la bête.
Le moteur était brûlant et la bite du chien aussi que je sentis palpiter contre mes cuisses. Je n’eus qu’à les écarter et l’animal s’enfonça sans hésiter, en trouvant sa cible du premier coup.
Ah la vache que c’était bon ! Mais il glissait sur le capot et je devais me cramponner à lui pour le maintenir. J’étais complètement collée à son poitrail, pleine de sueur. Une deuxième bite canine dans la journée... queues du bonheur !
Les mouvements du chien étaient rapides et il me mettait la boîte à bonheur en feu. Je jouis une première fois très rapidement, bien longtemps avant lui, de sorte qu’une fois l’orgasme passé, j’eus le temps de réfléchir. Il n’y avait personne. Stefan n’était pas venu à ma rencontre. J’étais passée devant la conciergerie du château où je n’avais pas perçu âme qui vive. Mais il était déjà tard et nos vieux gardiens étaient sans doute déjà au repos.
Même si l’orgasme était passé, le chien continuait à me faire du bien et je me caressais les nichons, en passant mes mains entre mon corps et le sien, pendant qu’il me pinait tout en le rattrapant quand il dérapait trop.
J’étais déjà remplie de son jus, d’un pré-sperme abondant, et bien partie pour un deuxième orgasme quand j’entendis un bruit de voiture. Les pneus crissaient sur le gravier de l’allée. Je ne pouvais pas bouger. Il ne me restait plus qu’à souhaiter que ce fût mon futur époux sans quoi la situation risquait d’être gênante. Mais à cette heure tardive, qui pouvait-ce être d’autre ?
Et pourtant, quand la voiture fut à ma hauteur, sa couleur jaune et son gabarit me la désignèrent comme celle de l’employé des postes. Je me demandai bien ce qu’il pouvait faire à cette heure où l’honorable corporation de ces zélés fonctionnaires a, d’habitude, regagné son logis.
Il m’était absolument impossible de me dégager. Le chien n’était pas au bout de ses peines et tapait de toute sa masse au fond de mon vagin.
Le conducteur avait contourné ma voiture par la droite et s’était garé devant les degrés du château, de sorte que, comme j’étais allongée sur le côté gauche du capot, il ne m’avait peut-être pas vue. Mais, en sortant de son véhicule, la masse imposante du chien ne put lui échapper.
Je le vis rester debout, l’air des plus perplexes.
Je fis donc ce que j’avais fait avec mon presque mari la première fois, quand il m’avait surprise en train de sucer son poney, je pris l’air le plus naturel du monde et lui fit signe de la main pour qu’il approche.
Comme il ne bougeait pas, je dus insister.

— S’il vous plait monsieur... vous pouvez venir ?
Il avait enlevé sa casquette et s’essuyait le front. Mais à part cela il était aussi fixe qu’une statue.
— S’il vous plait... insistai-je— Oui ? Oui ! Madame veut ?— Approchez... approchez...— Mais... et le chien...— Il ne va pas vous mordre, il est bien trop occupé pour cela, vous voyez bien... moi par contre... vous mordre.... en tout cas vous manger... ne serait-ce qu’un bout...
Alors le type vint au plus près. Il était jeune. Sa petite moustache blonde essayait avec peu de succès de le vieillir un peu.
— Vous voyez, mon chien est très affectueux.— En effet, je vois ça... Mais ce ne serait pas plutôt le chien de Monsieur le comte que je reconnais là ?— Si fait, si fait... mais je suis la fiancée de Monsieur le Comte.— Ah, c’est vous la nouvelle Madame... On m’avait bien dit que vous étiez bien jolie....— Mais que faites-vous ici à cette heure ?— J’avais un colis pour Monsieur le Comte, mais quand j’ai voulu le déposer, Monsieur le Comte était parti alors j’ai laissé un avis de passage et Monsieur m’a invité à venir ce soir en fin de tournée. Il m’a dit que je pourrai faire connaissance avec sa promise...— Vous êtes nouveau ici ?— Oui pour l’emploi, mais autrement je suis né dans le village voisin, là où il y a le bureau de poste.
Pendant toute cette conversation, il était resté à distance et à contre-jour de sorte que je ne pouvais voir si son pantalon de toile était tendu.
— Dites... est-ce que vous bandez ?— Si je bande ?— Oui !— Madame veut dire maintenant ?— Oui, maintenant.— Madame veut voir ?— Bien volontiers.
Et il baissa son pantalon.
Je fis basculer la tête du chien, qui n’était en rien perturbé dans son coït par cet intrus qu’il semblait d’ailleurs reconnaître, sur mon côté droit pour me rapprocher de la bite du facteur. Encore une très belle pièce ! Elle avait la forme d’un bec de théière, mais en plus épais, proche du corps à le toucher puis recourbée vers l’extérieur dans sa partie supérieure.
Je commençai à la sucer.
— Tiens, elle a un drôle de goût votre bite là !— Que Madame m’excuse, mais je n’ai pas eu le temps de rentrer chez moi me doucher... Je ne pouvais pas prévoir...— OK, OK, la sueur et un petit goût de pisse d’accord, mais t’as déjà juté aujourd’hui toi !— Madame n’est pas ma première visite...— Ah, tu as une maîtresse sur le parcours ?— Ça dépend des jours, de la présence du mari ou du père... pour les femmes, les occasions de se distraire ne sont pas légion ici.— Je ne suis pas de cet avis.... la preuve... Y’a longtemps que tu as découillé ?— La dernière fois, deux heures à peu près... aussi je ne suis pas sûr d’être très performant.— La dernière fois... tu as tiré combien de coups dans la journée ?— Madame est le troisième ! Mais de loin le plus joli et le plus excitant ! Et, je peux vous poser une question ?— Vas-y !— Le chien... c’est bon ? C’est pas la première fois que je le vois faire et...— Tu l’as déjà vu ?— Oui, sur ma tournée... on voit de tout, untel qui saute ses biques.... unetelle, femme mariée, plus âgée que Madame... avec son berger belge... je l’ai vue par la fenêtre... mais j’ai rien dit.— Faudra que tu me la présentes !— Oh, non, son mari vous tuerait s’il savait. C’est un violent le Grégoire, surtout quand il a bu !
Nous étions là depuis cinq à six minutes, moi toujours pompant, le chien toujours poussant quand le facteur se retira précipitamment et remonta son futal.
— Quelle mouche vous pique ?— Voilà la voiture de Monsieur le Comte ! Il n’est pas seul. Pourvu qu’il n’ait rien vu... Mon dieu, qu’est-ce que je vais bien pouvoir raconter !— Tu racontes rien ! Tu remets ta queue où elle était et quand le chien aura fini, y’en aura pour tout le monde ! Qui est avec lui ?
La voiture arrivait.
— C’est le maire.— Tant mieux, plus on est de fou !
Mais malgré mes encouragements, le facteur s’était écarté... pas convaincu sans doute par mes promesses et redoutant l’ire d’un fiancé jaloux.
— Eh bien dites-donc monsieur le maire, voyez qui est arrivé ! dit mon mari en descendant.— Bonjour Madame la Comtesse. Je vois que vous étiez attendue...et accompagnée..— En effet. J’espère que vous restez un peu avec nous.— Avec la permission de monsieur le comte... Je bande déjà.— Bandez, bandez, ne vous gênez pas !— Mais et notre facteur ? dit mon mari.— J’étais en train de le sucer justement, mais vous lui avez fait peur.— Tant pis pour lui, je prends sa place...il y a tellement longtemps !
Et c’est ainsi que je pris la bite de mon futur époux dans la bouche. Elle était chaude et sentait l’homme.
— Ah putain, c’est trop bon ! Qu’elle est bonne ta bouche, hmmm, comme tu pompes bien ! Aaaah.... Comment ai-je pu réussir à me passer de toi si longtemps.... tiens, bouffe mes grosses couilles salope... t’attends que ça ! Pousse-toi le chien !
Mais le chien n’était pas disposé à céder le moindre pouce de terrain. Le coït durait, durait et durait encore. Le chien était increvable, manifestement chargé de libido qu’il n’avait pas pu satisfaire pendant mon absence et à laquelle il se concentrait pour lors tout entier. Ses mouvements de reins avaient la régularité de la trotteuse d’une montre et martelaient ma chatte dans un tic-tac jouissif, un égrenage des minutes rapide, mais de plus en plus douloureux.
Mon corps s’ankylosait. Mes jambes devenaient lourdes et mon cou, à force d’être tourné vers la gauche pour sucer le jonc de mon mari, commençait à me faire mal.
Ma sueur dégoulinait sur le capot de la bagnole que mon corps déformait et je me demandai s’il reprendrait sa forme, comme mon propre capot, déformé par la bite du chien qui l’emplissait, le défonçait et l’élargissait outre mesure.
Le maire commença à se masturber en nous regardant et le fonctionnaire, en voyant l’édile si à l’aise, ressortit sa belle bite. C’est du moins ce que je conclus de leur discours car je ne les voyais pas. Le maire vantait les proportions de son administré en soulignant qu’il n’était pas surpris de la flatteuse réputation que l’organe postal avait acquis dans le village. Le fonctionnaire, quant à lui, ne tarissait pas d’éloges sur les grelots poilus du premier magistrat de la commune, grelots dont la rondeur et la grosseur auraient pu faire illusion au salon de l’agriculture parmi les reproducteurs bovins.
Pendant ce temps, le chien allait et venait et le bout de mes seins, perpétuellement excité par son poitrail qui les caressait et les frottait de son poil ras et dur, chauffait comme l’extrémité d’un fer à souder. Je ne pouvais pas me libérer de cette étreinte qui, en définitive, se montrait pénible et fastidieuse jusqu’au moment où le chien éjacula.
À ce moment, la bite me parut gonfler démesurément, les mouvements s’accélérèrent et un intense plaisir me submergea. La fatigue et la chaleur disparurent d’un coup, je libérai la bite de mon mari de mes lèvres goulues et je serrai le chien de toutes mes forces en hurlant de plaisir, attendant les flots se semence qui ne manquèrent pas de fuser longuement et puissamment. Autant s’accoupler avec un karsher !
Les hommes assistèrent ainsi à l’orgasme et au lâcher de sperme qui s’en suivit. Puis le toutou se débloqua assez vite, sortit sa trique dégoulinante du trou. Je fus aussitôt emmenée à l’intérieur, soulevée, kidnappée plutôt, et portée dans ma chambre.
Sans avoir attendu que je me lave un peu, les mecs étant las d’avoir espéré si longtemps le bon vouloir de mon vigoureux amant animal, assistèrent mon mari qui me jeta violemment sur le lit. Et comme si j’avais été une femme que long prend après avoir fait le siège d’une ville pendant de longues semaines ils se ruèrent sur moi comme si j’avais été une prise de guerre.
Plantant à nouveau son zob dans ma bouche, mon promis ordonna :
— Ah vous Bertrand !
Il ne se fit pas prier et grimpa sur le plumard. Ma chatte dégoulinait encore, mais cela ne le rebuta pas. Il enfonça son braquemart immédiatement. C’était bon.
L’autre mec se coucha sur le côté pour me caresser les seins et mettre son sexe tout dur à portée de ma main.
Puis après m’avoir besognée quelques minutes en silence, on me demanda :
— Alors ma chérie, raconte-nous ! Tu n’étais pas impatiente de nous voir ?— Oh que si ! J’ai mouillé tout le long du chemin, heureusement que j’ai trouvé de quoi me satisfaire !— Vraiment, raconte !— Vous ne me croirez jamais !— Vas-y !— Eh bien....Ouh ! Doucement facteur... Vous y allez fort ! On la sent bien au fond votre queue là... calmez-vous... C’est une impasse... elle n’ira pas plus loin...— Que... Madame... m’excuse... mais sa chatte... est trop bonne et...et ça glisse tout seul...— Eh bien donc, j’ai rencontré et baisé un entrepreneur charpentier et ses deux employés, un vieux curé et son chien, deux hommes du cirque et leur singe... Huit bites en tout ! Plus d’une bite au 100.— Pas possible. Je ne te crois pas !— Et si ! Parole d’honneur ! Que veux-tu, j’attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. La preuve, quand je suis arrivé ici, le chien m’a sauté dessus.— Ça, c’est vrai, Madame la Comtesse fait bander dès qu’on la voit ! Faudrait pas qu’elle aille au cimetière... les pierres se soulèveraient à son passage, précisa le maire.— Et c’était comment le singe ?— Violent, rapide, mais petite bite. Très décevant au final. Par contre les proprios étaient bien montés ! J’ai même pensé à les inviter à la noce !— À propos de noce, il va falloir décaler un peu!— Ah non ! C’est pas vrai pourquoi ?— Rien de grave... et puis cela ne nous empêchera pas de niquer en attendant tout de même.— Certes, mais je suis déçue quand même... Qu’est-ce qu’il y a ?— Attends, attends....On finit de te sauter et je te raconte.— OK, mais envoyez la purée sans tarder car là, je commence tout de même à saturer un peu.
Ils s’appliquèrent donc à me satisfaire par tous les trous rapidement, réussissant en une harmonie remarquable à cracher leur sauce presque simultanément, au creux de mes seins.
Après avoir bien nettoyé la bite du maire et celle du facteur du bout de ma langue, ils prirent congé et nous nous retrouvâmes, seuls avec mon futur, à préparer notre partouze de noces.
À suivre
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