Je suis en compagnie de ma nièce Flora, et de sa copine Audrey. Les parents d’Audrey ont baisé avec ma nièce, et m’autorise à baiser avec leur fille. Je viens d’avoir l’accord de sa mère pour réaliser son envie de faire l’amour avec des chiens, comme Flora et moi même l’avons fait récemment.Je rappelle JC, mon pote du sex-shop et propriétaire de deux grands chiens, pour lui confirmer notre venue. Il est ravi, me confirme à son tour que son voisin sera là avec deux chiens lui aussi, mais tient auparavant à fixer les règles pour qu’il n’y ait pas de malentendu:Comme pour la fois précédente c’est lui décide des séances. On était cinq (2h, 1f, et 2 chiens), on sera neuf (3h, 2f, et 4 chiens), mais il veut tout planifier. Les filles devront être obéissantes, dans la limite du tolérable, et surtout être aussi gentilles avec lui et son voisin, qu’elles vont l’être avec les chiens. On est chez lui à quatorze heures, et on fait les présentations. On est au salon, JC et Francis s’installe sur le canapé et invitent les filles à s’agenouiller entre leurs jambes, à défaire leurs frocs, et s’occuper de leurs paquets. Les pantalons et dessous sont aux chevilles, puis enlevés pour qu’ils puissent ouvrir à nouveau les jambes, et mieux s’offrir. Les filles les pompent, je suis seul la queue à la main, et JC me fait venir derrière lui. Il ouvre la bouche, agite sa langue, et je lui offre ma queue. Francis est tout proche, puisque je suis entre eux, et nous fixe d’un air envieux. JC libère mon sexe, et se lance dans ses grandes tirades obscènes:— Donne lui ta bite à sucer à ce salaud, c’est une pute comme nous, qui adore la queue. Oui, c’est bon, regarde comme il te pompe cet enculé. C’est une bonne suceuse, comme toi, comme ta nièce et son amie.Puis il s’adresse à Audrey:— Humm, tu es bonne petite salope, aussi bonne que ta copine. C’est bon des jeunes putains qui aiment la bite des vieux. Pompe salope, pompe. Je sais que tu veux nos chiens, mais d’abord tu vas me soulager les couilles. Tu as envie du sperme de chien, alors tu vas bouffer le mien d’abord si tu le veux.Puis il s’adresse à Flora:— Et c’est pareil pour toi salope, tu vas vidanger mon copain si tu veux du chien.......................Les filles sont obéissantes, et s’activent sur leurs queues, pour obtenir les chiens, mais aussi parce qu’elles aiment le jus d’homme. JC ne dit plus rien, retire mon sexe de la bouche de son pote pour me sucer, puis ils me turlutent tous les deux en même temps. Les filles sont efficaces, ils vont jouir et ils leurs reparlent d’une même voix:— Ouiii, je viens, je viens salope. Prends tout putain, et bouffe, avale, ne perds rien. Humm, oui, tu es une bonne. Quand je pense à ton âge, je n’ose imaginer la cochonne , la truie, que tu seras dans quelques années. Avale salope, avale, avale.........................Ils ont jouis tous les deux, et nos petites chiennes se déshabillent tandis qu’ils vont chercher les chiens. Ils reviennent avec deux chiens, et chacun suce le sien pour le mettre en condition et en confiance. Je n’ai pas encore jouis, et je profite de ce que mes minettes soient libre, pour me branler sauvagement et leur offrir ma sauce qu’elles engloutissent goulûment. Ils passent très vite le relais à nos deux chéries pour qu’elles ne soient privées de rien. Elles ont chacune leur gros toutou, leur grosse queue, leur beau sucre d’orge coulant. On les laisse se donner du bon temps, et on va s’en donner entre hommes. On a les trois la bite molle, et on va se la redresser. On est debout, collés, mais avec un œil très intéressé sur nos deux salopes qui bouffent et surtout boivent du chien.On se caresse, on s’embrasse, on se tripote entre les cuisses. Je m’adresse à JC:— Ces couilles! ces couilles que tu as mon salaud! j’ai beau les connaître par cœur, elles m’émerveillent à chaque fois. — Ne te gênes pas si tu veux bouffer, elles sont en libre service.Je m’accroupis, pour me délecter de sa paire de boules. Je les embrasse, les lèche, les suce, les gobe. Francis me rejoins, et lui broute les testicules en même temps que moi. On a chacun une de ses grosses prunes en bouche, Nos lèvres se touchent, nos langues se touchent, et on se roule une pelle. On continue à engloutir ses énormes couilles pendantes, et on se branle réciproquement, tandis que JC se branle en solo.Les filles continuent leur récolte, à raison d’une bonne giclée toutes les minutes. Elles avalent tout sans perdre une goutte, sans parvenir à assouvir leur soif de sperme. Seules les couilles vides de leurs partenaires à quatre patte vont mettre faim à leurs fellations très gourmandes. JC et Francis ramènent les chiens, et on va passer à la suite, telle que l’a envisagée notre hôte. Après la séance pipe, voici la séance sodomie. Nos petites enculées vont se faire monter par les deux autres chiens, mais avant elles vont devoir subir les assauts de leurs maîtres.Elles sont debout, penchées en avant, et ils leur broutent le cul, les doigtent, leur fourrent la langue, pour les préparer. Ils se lèvent et vont les prendre en levrette. Leur chatte est dégoulinante, et ils vont y faire un passage rapide pour se lubrifier le manche, avant de les sodomiser. Ils sont excités par ces belles pouliches en chaleur, et ils les matraquent à grands coups de reins. Et quand leurs reins sont fatigués, ils les saisissent fermement par les hanches pour les faire coulisser sur leur colonne. Elles sont prêtes, ils vont chercher les chiens et les préparer, tandis que j’en profite pour enfiler moi aussi le cul de nos deux vicieuses. Elles sont maintenant à quatre pattes, et ils vont aider les chiens à les monter. Ils sont bien ancrés, impossible de s’en défaire tant qu’ils n’auront débander. Elles vont s’en prendre plein le cul, se faire remplir, comme elles l’espéraient.On les regarde se faire saillir, mais ça nous donne envie. Aussi on va s’enculer, se trouver à tour de rôle en sandwich entre les deux autres, enculé et enculeur en même temps.Les chiens en ont fini avec leur fausses chiennes, plus chiennes que des vraies. Ils se retirent et leurs maître s’empressent de les ramener avant qu’ils ne lèchent le cul des filles pour bouffer leur propre sperme. JC et Francis reviennent , font relever nos deux putains qui n’ont pas bougé, et les embrochent sauvagement. Ils les défoncent, et grognent comme des porcs quand ils éjaculent dans leur trou déjà emplis de foutre. Ils se retirent pour se faire nettoyer. Ils ont du sperme partout, le leur mais surtout celui des chiens. Ils en ont sur la queue, les couilles, les cuisses, le bas ventre, et elles lèchent tout avec application. Leurs culs sont libre, et j’en profite pour les tringler toutes les deux, et décharger dans le fion d’Audrey. Je me sais nettoyer à mon tour par nos deux coquines, tandis que JC son pote s’attable pour leur vider le cul de toutes les sauces qu’ils ont encaissé, et avaler tout comme des chiens. Francis rentre chez lui comme prévu. et JC nous fait rester pour un plan pisse, comme également prévu. Il pleut légèrement, mais il a un grand barnum qui nous met à l’abri du mauvais temps et des regards indiscrets. On a tous la vessie bien pleine, et on a hâte de se soulager. On laisse les filles se libérer les premières. Elles montent sur la table de jardin, et nous pissent dessus et dans la bouche, à l’un et à l’autre. On remonte leur jets vrillés jusqu’à leurs vulves, et on boit directement à la source.Elles nous ont bien arrosés et abreuvés mais gardent des réserves pour elles. Elles s’allongent pour un 69 de mouille et d’urine, tandis qu’avec JC on se pisse dessus à tour de rôle, sur la gueule, dans la bouche. La séance pisse est finie, et JC nous propose ses deux chiens qui ont dû reprendre des forces. Flora et Audrey s’empressent de les sucer tandis que je m’attable à dévorer les couilles de leur maître. Ma nièce semble envieuse, et me propose d’échanger les places. Audrey aussi a envie de ces couilles impensables, et on se relaie à trois, pour gloutonner ses valseuses, et sucer les chiens. Cette dernière séance prend fin, et on rentre à la maison. C’est la fin d’après midi, on prend une douche, je prend l’apéro pendant que les filles prépare un repas rapide. On dîne en parlant de notre merveilleuse après-midi, puis on va se coucher. Ma nièce dort seule au canapé lit, pour me laisser en compagnie d’Audrey, dans ma chambre. Une bonne nuit en perspective.
