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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche

Chapitre 1

Hétéro
Bah ouais quoi ! C’est pas parce qu’on est gros et moche qu’on n’a pas le droit de baiser …. Et pas que des boudins. Oui je sais, je suis agressif et je m’en excuse. Mais en même temps quand on connait ma vie …..
Moi c’est Victor Grimbert. Bon là quand on me voit, j’ai passé le demi-siècle, je suis marié, j’ai deux enfants : un fils et une fille âgés de quatre et deux ans, oui je sais je m’y suis mis tard mais pour en arriver là … mon dieu quel parcours ! Déjà, Il faut dire que je gagne super bien ma vie. C’est sûr que ça aide pour se serrer des gonzesses mais quand j’étais jeune, c’était loin d’être facile.
J’ai toujours été enveloppé, depuis toujours. Il faut dire qu’avec un père pâtissier qui nous ramenait souvent des petites douceurs à la maison, ça n’aidait pas pour faire un régime. Ma mère était institutrice et directrice de l’école communale du village où j’habitais. Un jour, elle a eu la mauvaise idée de m’inscrire dans son école pour des raisons pratiques. Résultat, je l’ai eu comme directrice d’école et comme instit durant la dernière année de primaire, la pire. D’après vous qui servait de punchingball dans la cour de récréation quand les élèves se faisaient punir par ma mère ? C’est Bibi (pas la chanteuse black des années quatre-vingt, je parle bien de moi). Il faut dire que beaucoup pensaient, à tort, que j’étais favorisé. Bien au contraire. Les autres, au moins, pouvaient se permettre de ne pas faire leurs devoirs. Moi non, car j’avais constamment l’œil de Moscou sur le dos. Voilà pourquoi je n’aimais pas l’école étant gamin et que j’étais mal dans ma peau (c’est surement pour ça que je mangeais autant pour compenser).
Quand je suis passé au collège, J’ai cru que ça allait être une délivrance … Raté ! C’est la période de l’âge con. Des remarques sur mon physique j’en ai eu et même de la part du prof de sport pour qui j’étais le gros sac de service, que si j’étais comme ça c’était de ma faute et qu’il fallait que je me bouge le derche (celui-là si je le recroise …..). Quelque part il n’avait pas forcement tort dans une certaine mesure mais il y a une autre manière de le dire que par l’humiliation publique.
En classe, j’étais partisan du moindre effort (ça m’a valu un redoublement d’ailleurs) pourtant un prof avait remarqué mon mal être un jour. Lors d’une réunion parent prof, il eut une longue conversation avec ma mère qui s’était bien demandé pourquoi j’étais constamment isolé et sans ami. Elle savait que j’avais des facilités, mais ne s’expliquait pas ma situation. Un jour, voulant se rassurer, elle m’a amené voir un toubib qui m’a fait passer des tests. A l’époque, Je n’avais pas compris que c’était des tests de QI. Elle voulait savoir si j’avais des problèmes de ce côté-là et fut rassurée quant au résultat : j’avais obtenu un score de cent vingt à quatorze ans. Elle m’a alors aidé au niveau scolaire mais différemment. Elle m’avait aussi motivé pour aller au lycée. Là-bas, les élèves sont moins cons, elle était persuadée que ça allait mieux se passer et elle a eu raison. Une fois sorti du collège, plus ça allait plus j’obtenais de meilleure notes. A tel point que je fus souvent en tête de classement au lycée.
Par rapport à ce que fut ma scolarité et ce que j’avais subis, j’avais un désir caché de vengeance. Je voulais être riche et puissant. A cause de mon physique, avec les filles c’était : « t’es gentil mais je ne veux pas gâcher notre amitié ». Secrètement, je pensais : « Mais je m’en tamponne les balloches moi de ton amitié, je ne demande que ça, de tout gâcher et dans toutes les positions ». C’est en Terminale que j’ai sauté le pas (et pas que le pas). En première je m’étais inscrit en G2 (aujourd’hui appelé STT), avec économie, droit, comptabilité, … je visais les métiers de la finance et de la banque. Dans ces domaines ainsi qu’en math, j’avais de très bonnes notes. Il faut dire qu’à l’époque on n’avait pas internet ni les ordinateurs. C’était la fin des seventies et ça suffisait. Maintenant on demande de faire S de grandes écoles, …. Pourquoi faire S ? Franchement, personne ne va faire de chimie dans un bureau bancaire.
En première, il m’était arrivé que j’aide des filles que je trouvais charmantes, dans l’espoir qu’elles aussi deviennent « gentilles » avec moi. J’ai vite arrêté comprenant que je n’aurais rien de plus d’elle qu’un bisou sur le front. C’est en septembre, l’année de ma terminale, que j’ai eu la mauvaise surprise de voir débarquer, dans ma classe, Gladis.
Cette fille, je la connaissais avant. Elle a été une des instigatrices de mon cauchemar scolaire en primaire et au collège. Certes, elle était un peu plus aimable au lycée mais j’avais quand même en tête l’image de la garce qui m’avait fait tant de mal à l’époque. J’ai très vite compris que si elle était venue dans cette filaire, c’était parce qu’il n’y avait plus de cours de science, matière dans laquelle elle était nulle, et que les coefficients en philo et en français était bas. Elle de son coté, elle m’avait reconnue et avait bien vu que j’excellais dans certaines matières. Elle eut alors l’idée de tenter de m’exploiter. Elle me croyait aussi naïf et influençable qu’avant, elle allait comprendre qu’elle s’était trompée.
Tout a commencé un peu avant les vacances de Noël, elle a trouvé un moment pour venir me parler et elle m’a dit qu’elle était prête à me payer pour que je lui fasse ses devoirs à rendre. Elle qui pensait que ça allait marcher fut surprise de ma réponse. Je lui ai bien fait comprendre que son fric ne m’intéressait pas mais elle n’arrêtait pas d’insister encore et encore. Alors, je lui ai balancé à la figure qu’avec tout ce qu’elle avait contribué à me fait subir durant des années, il allait falloir plus que du fric pour me convaincre. Honnêtement je n’avais aucune intention de l’aider. La voir s’enfoncer dans la merde un peu plus chaque jour me suffisait. Voyant que je ne cèderai pas, elle m’a posé la question qui tue : « qu’est-ce que tu veux en échange de ce service ? ». J’en avais marre et, pour qu’elle arrête de me harceler, je lui ai fait comprendre que la seule chose qui me ferait changer d’avis serait qu’elle accepte de coucher avec moi pour chaque service rendu.
Elle fut choquée par ma proposition. Moi, de mon côté, je n’attendais qu’une chose : qu’elle refuse et me lâche la grappe. C’était d’ailleurs pour ça que je lui ai proposé quelque chose qui l’aurait découragé. J’imaginais qu’elle en serait tellement dégoutée qu’elle partirait sans demander son reste et c’est ce qu’elle a fait. Les vacances de Noël sont passées et comme le disait la chanson : « J’ai bien bouffé, j’ai bien bu, j’ai la peau du ventre bien tendue. Merci petit Jésus ». Ce n’est que quelques semaines après la rentrée que, à ma grande surprise, je fus invitée à une fête qu’elle donnait chez elle. Je ne me suis pas méfié et j’y suis allé.
J’étais arrivé un peu en avance par rapport à l’heure prévue. Quand elle m’a ouvert la porte, elle était avec une tenue un peu légère à mon gout et elle m’a fait m’asseoir sur le canapé. On a commencé à parler de tout et de rien et je la sentais qui commençait à me coller d’un peu trop prêt. Prétextant qu’il faisait trop chaud, elle a commencé à défaire les boutons de son chemisier et sentant ma gêne, elle a pris ma main pour la coller sur sa poitrine.
J’avais le cœur qui battait car pour la première fois je touchais le sein nu d’une femme. C’est là qu’elle m’a dit « si tu ne dis rien à personne, je suis prête à accepter ta proposition ». Merde ! Moi qui n’avait pas prévu qu’elle dise oui …. « Eh mais attend une minute ! T’es vraiment le roi des cons si t’en profite pas. Elle est d’accord et super bien gaulée, va z y fonce ! » Me suis-je dit, assis sur le canapé avec une fille à la poitrine dénudée blottie contre moi.
Elle s’est alors mise en face de moi m’a retiré mon pantalon et elle a marqué un temps d’arrêt devant mon bide flasque et gras. Après quelques secondes d’hésitation, elle s’est quand même penchée pour me sucer.
Pendant que je sentais ma queue prendre du volume dans cette bouche qui s’occupait de moi, j’avais bien compris qu’il n’y avait aucune fête de prévue. Tout ça c’était un prétexte pour m’attirer à l’abri des regards chez elle alors que ses parents n’étaient pas là. Cette fille avait une réputation à tenir et visiblement elle ne voulait pas qu’on sache ce qu’elle faisait pour s’adjoindre mes services. Moi je m’en foutais, j’avais le beau rôle dans l’histoire. Sauf que je me suis souvenu que j’allais devoir lui faire ses devoirs à rendre. « Bof, j’ai qu’à faire les mêmes que les miens mais en rajoutant des fautes et des mauvaises réponses » me suis-je dit.
Quand elle m’a senti suffisamment prêt elle m’a entrainé dans sa chambre à l’étage. Comme je m’y attendais, c’était une chambre rose bonbon avec des posters des chanteurs à minettes sur tous les murs. Visiblement elle voulait terminer cette affaire au plus vite. Elle m’a plaqué sur le lit et s’est assise sur moi. Elle avait deviné que j’étais puceau et avait pris les choses en main. Elle se déhanchait en poussant des petits soupirs pendant que moi je profitais de ses seins. Je n’ai pas mis longtemps à lâcher la sauce. Dès que j’ai senti que ça allait partir je le lui ai dit, elle s’est retiré, m’a fini à la main, m’a nettoyé l’ustensile et m’a pris entre quatre yeux « Alors maintenant tu vas me faire les devoirs à rendre. T’auras droit à la même chose pour chacun d’eux ». Vu que cette situation allait me permettre de coucher avec une des plus belles filles du lycée, je n’ai pas dit non. J’y trouvais mon compte. Toutefois elle n’a pas été contente de la note de son premier devoir. Je lui ai alors dit que passer d’une note de quatre à seize d’un coup aurait été suspect. Il fallait que ce soit progressif. Moi ça me donnait l’occasion de la motiver pour qu’on se voie plus.
Les profs des matières pour lesquels je lui faisais ses devoirs ne voyaient rien. Elle avait ses bonnes notes (en tout cas de meilleurs) et moi je couchais. Plus tard, elle eut l’idée de me proposer de copier sur moi lors des devoirs sur table. Moi je m’en foutais, j’avais juste à laisser ma feuille plus en évidence sur la table. C’était juste à elle de ne pas se faire gauler. Quand ses copines lui demandèrent pourquoi elle se mettait à côté de moi, elle leur répondait qu’elle le faisait uniquement pour tricher sur moi car j’étais soit disant trop con pour ne pas cacher mes réponses. Les profs me connaissaient et savaient que si quelqu’un devait tricher, ce ne serait pas moi. En échange de mes réponses, elle m’avait promis une « petite douceur ». Comprenez par-là, une petite pipe discrète aux toilettes. D’ailleurs à ce propos, une fois on s’est fait surprendre par un pion mais il ne nous a pas dénoncés …. A condition d’y avoir droit lui aussi.
Entretemps ma mère a eu la désagréable surprise de trouver, un jour, une marque de rouge à lèvre sur un de mes slips. Le soir même, c’est mon père qui est venu me parler. Je pensais me prendre une bonne avoinée mais au contraire, il était fier que son fils soit devenu un homme. Ma mère avait peur que son « petit poussin » se soit fait dévergondé par la dernière des trainées et …. Elle n’était pas si loin de la vérité.
Cette situation a durée jusqu’au BAC. Cette fille pensait que cette situation allait l’aider mais moi je savais qu’il n’en était rien. A la fin de l’année, il y avait l’examen et là, elle serait seule devant sa copie, personne pour répondre à sa place, finie les antisèches que je lui faisais parvenir durant certains devoir en échange de tester certaines fantaisie avec elle au lit ou d’une pipe rapide au détour d’un couloir sombre. Pour moi c’était ma vengeance. Ok cette fille m’avait pris du temps pour ses devoirs, moi je couchais une à deux fois par mois avec elle (minimum) mais au final ce n’est pas ça qui allait lui faire avoir son BAC. C’est à la fin de l’année que je le lui ai dit. Je venais de la prendre bien comme il fallait en levrette. On avait fait ça dans le lit de ses parents et c’est au moment de se rhabiller qu’elle m’a demandé « comment on fait pour le BAC ? ». Je l’ai alors remercié pour tous ces délicieux moments en sa compagnie mais que je n’allais pas prendre le risque de me mettre dans la merde pour elle lors de l’examen. Comprenant qu’elle s’était bien fait avoir, elle voulut me menacer mais je lui ai gentiment rappelé que dans l’histoire c’est elle qui passerait pour la salope de service. Je suis parti en lui laissant sur la table son dernier devoir. Elle ne m’a plus jamais adressé la parole.
Comme prévue, j’ai eu mon BAC. Pour la mention « bien », c’était la surprise. Comme je le pressentais, Gladis ne l’a pas eu sur le moment mais elle est quand même allée au rattrapage où elle l’a eu, on ne sait comment. D’après un autre camarade de classe, il l’aurait vu ressortir de la salle, elle était la dernière de la journée et elle réajustait sa jupe. En jetant un coup d’œil dans la salle, l’examinateur, qui était un gros type moche qui ne devait tirer son coup une fois par année bissextile, avait le sourire aux lèvres, sa boucle de ceinture défaite et on voyait la couleur de son slip par sa braguette encore ouverte. Avait-il inventé cette histoire où non ? A-t-elle usé de ses charmes avec son examinateur ? Je n’ai jamais su mais je m’en foutais.
Moi de mon côté, je devais préparer ma rentrée de septembre. Je m’étais inscrit dans une école prestigieuse à Paris pour laquelle j’avais réussi brillamment le concours d’entrée. Mes parents ayant du mal à suivre financièrement, mon père m’avait confié à mon oncle, son frère cadet. Il était photographe et allait avoir besoin de petites mains au quotidien. J’allais donc avoir le gite, le couvert, déduit du salaire qu’il allait me verser et avec le reste, j’allais pouvoir économiser ou aider mes parents. Tonton, je le connaissais à peine. Lui, allait bénéficier de main d’œuvre bon marché. C’est à contre cœur que ma mère m’a laissé partir. Déjà parce que c’était la première fois que je m’éloignais autant et surtout parce que ma mère n’appréciait que moyennement son beau-frère. A ce moment-là je ne savais pas pourquoi. Plus tard j’ai compris qu’elle n’aimait pas ce côté vieux gars, éternel ado qu’il avait.
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