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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche

Chapitre 5

Hétéro
Des soirées comme celle-là, durant ma carrière, il y en a eu plein. Quand un client voulait négocier, renégocier les contrats de ses placements financiers ou encore juste nous encourager à faire mieux en nous payant des vacances, on était invités dans des hôtels de luxe avec une fille dans chaque chambre pour nous « tenir compagnie ». A l’époque, le terme d’escort girl n’était pas connu. De plus, contractuellement, rien ne les obligeait à nous suivre au lit. Officiellement elles étaient là pour le diner d’affaire mais chacune d’elle savait que nous serions satisfaits d’elle si elles le faisaient. Client satisfait = rappel pour de nouveaux contrats pour elle. Malheureusement ces soirées restaient trop peu nombreuses, à peine quelques une dans l’année. J’ai passé quelques années comme ça à me contenter de rapports clandestins avec les danseuses d’un club de striptease lors de shows plus que privés et ses soirées « commerciales ». Heureusement, lors d’une de ses soirées, au début des années quatre-vingt-dix, ma partenaire du soir me donna sa carte de visite. Peut-être le faisait-elle dans l’espoir que je reprenne contact avec elle plus tard ? Sur cette carte, il y avait le nom de son agence. Je me suis dit que je ne risquais rien à y aller.
J’ai rencontré la responsable qui m’a fait l’éloge de ce nouveau concept venu des States que l’on appelait « Escort Girl ». Elle a aussi tenté de bien me faire comprendre que, dans son agence, on ne faisait pas de prostitution. On proposait juste les services de jeunes gens, hommes et femmes, pour une sortie, briser la solitude, …. D’après elle, ce que font les employés après leur prestation ce n’est pas son problème. Je sentais quand même de l’hypocrisie dans son discourt. Je n’étais pas dupe non plus de son petit manège. J’avais envie de lui dire « Eh connasse ! Cent trente ce n’est pas que mon poids. C’est aussi mon QI alors arrête de me prendre pour un abruti ». Elle me voyait comme un type obèse avec des moyens, ayant besoin de l’affection d’une femme et qui ne couchait que tous les trente-six du mois, ce qui n’était pas si faux d’ailleurs … en tout cas gratuitement. Elle me proposa une soirée à l’essai à tarif préférentiel. Rendez-vous fut pris avec une jeune fille choisis selon mes gouts. On devait se retrouver dans un lieu public, j’avais prévu de l’emmener au restaurant et ensuite chez moi. Quand j’ai parlé de mon métier, de mes revenus et que je lui ai dit que si les tarifs me convenaient tout comme la soirée j’envisagerais de revenir régulièrement, j’avais l’impression qu’elle allait se transformer comme le loup de Tex Avery avec des dollars dans les yeux. Si je prenais un « abonnement » chez eux, elle me promit une formule à tarif avantageux.
Le soir du rendez-vous, je suis arrivé en avance. J’avais mis mon plus beau costume et j’avais mis un œillet à ma boutonnière, signe distinctif qu’on avait convenu. C’est au loin que j’ai vu arriver une jeune femme blonde absolument sublime mais en passant devant moi, elle ne s’arrêta pas. Je la voyais regarder partout puis elle revint vers moi.
— Excusez-moi, c’est vous Victor ?— Oui c’est moi.— Excusez-moi d’être passé devant vous mais je pensais ….— Vous ne m’imaginiez pas comme ça ?— Non. Vous m’aviez été décrit comme un jeune golden boy trentenaire …— …. Ce que je suis.— Je vous imaginais plus ….— Mince ? Beau ? Sportif ?— Si on veut. J’espère que je ne vous ai pas blessé ?— Non rassurez-vous. En tout cas, vous, vous êtes magnifique. Lui ai-je dit en lui faisant un baisemain.— Merci ! Vous êtes ….. gentil.— Bon, j’ai réservé dans un très bon restaurant pas loin. On y va ? lui ai-je demandé en lui tendant mon bras.
Nous avons passé une très bonne soirée au restaurant. Toutefois j’avais bien vu que je ne semblais pas lui plaire. De plus, la prestation ne parle que d’un accompagnement. Si à la fin du repas, elle décidait de partir, elle en avait le droit. Il me fallait donc trouver un moyen d’attirer son attention. L’humour a été très utile pour détendre l’atmosphère. Elle était cultivée et je lui ai bien montré que c’était aussi mon gars, au cas où elle me prenne juste pour un bourrin qui ne cherche qu’un coup d’un soir. Ensuite, j’ai eu l’impression qu’elle avait été mandatée par sa patronne pour me soutirer des informations : genre « comment vous avez connu l’agence ? Qui vous en a parlé ? Qu’y cherchez-vous ? Avez-vous des liens avec la police ? ». Je lui ai servi mon histoire version Remi sans famille : le petit gros rejeté de tous qui cherche des amis puis plus tard une femme pour un moment d’affection …. Elle semblait émue et elle avait bien compris que je n’étais pas un tordu mais juste quelqu’un qui cherchait un peu de compagnie même tarifé mais avec un certain standing.
Après le repas, je l’ai amené à ma voiture, une magnifique berline Allemande avec toute option. Elle a bien compris que je pouvais être un gros client chez eux et que je disposais d’un bon salaire avec, en plus, un bonus annuel qui n’est pas à négliger. Une fois dans ma voiture, elle m’a dit : « et si on buvait un dernier verre ? …. Chez toi ? ». Quand j’ai entendu ça, j’ai bien compris le message. Ça voulait dire « ce soir c’est cadeau de la maison ». Il était clair qu’elle avait été mandatée par sa patronne pour me convaincre de souscrire une carte de fidélité. Pour cela, elle devait avoir carte blanche. Qu’à cela ne tienne. On a filé chez moi et à peine avait-on franchi ma porte qu’elle m’embrassa et introduisit sa main dans mon pantalon.
Visiblement elle avait mis sa gêne de côté. Elle était douce, câline et n’a pas perdu de temps pour se mettre à genou devant moi avec un sourire coquin pour me sucer. Bon sang ce que c’était bon. Elle savait y faire. Je me suis mis à l’aise jusqu’à ne plus porter que ma chemise. Je l’ai laissé faire un moment et je l’ai arrêté. Je l’ai entraîné dans ma chambre et là, elle a repris les choses en mains … au propre comme au figuré. Je me suis très vite retrouvé allongé sur le dos, elle assise sur moi, ma queue couverte bien au chaud dans sa fente douce et humide et elle qui se déhanchait sur moi. Pendant qu’elle se démenait pour me donner du plaisir mes mains parcouraient son joli corps mais passaient plus de temps à lui caresser les seins.
C’était divin, absolument parfait, mais je voulais savoir jusqu’où je pouvais aller. Alors je l’ai prise par la taille, je l’ai allongé sur le ventre et, allongé sur elle, j’ai positionné ma queue à l’entrée de la porte de derrière. Je me suis penché sur elle pour lui parler à l’oreille.— lors d’une transaction commerciale, j’aime bien explorer toutes les options.— Tout est négociable mon grand.— Parfait ! Alors je passe par l’entrée de service.
Je me suis allongé sur elle et je l’ai sodomisé jusqu’à la jouissance. Elle n’avait pas l’air à l’aise quand je la besognais. Je la voyais faire la grimace mais, après tout, elle se laissait faire alors j’en ai profité. Quand j’en ai eu fini, on est resté allongé l’un sur l’autre à reprendre notre souffle. Ensuite je lui ai proposé de prendre sa douche avec moi et elle a accepté. Si j’avais encore du jus, je l’aurais prise sous la douche mais elle m’avait épongé. On s’est caressé l’un l’autre pendant qu’on se savonnait bref c’était très sensuel. Une fois de nouveau propre, elle s’est rhabillée pour repartir. Je lui ai alors demandé si elle était d’accord pour revenir si jamais je la choisissais. Elle m’a répondu « peu importe le client, je suis là pour lui faire passer un bon moment ». J’ai bien remarqué que, dans chacune de ses phrases, pas une fois elle ne mentionnait le sexe explicitement. Chacune de ses paroles étaient parfaitement préparées avec un vocabulaire ambigu. J’ai donc recontacté l’agence pour souscrire un abonnement : à raison de deux fois par mois, pour mille francs de l’époque à chaque prestation, j’avais une partenaire pour toute la soirée. Enfin bon pour la soirée mais je suis sûr que si je leur donne un petit supplément sous le manteau, elles seront d’accord pour rester et remettre ça durant la nuit. Avec le temps, j’ai connu plusieurs filles de l’agence. Parfois, juste pour délirer, je leur proposais des jeux de rôle : la secrétaire coquine avec son patron, l’étudiante qui a un rendez-vous galant avec son prof, …. Ça changeait de d’habitude.
Bien sûr, au bout d’un moment, certaines de ces filles arrêtaient ce boulot car elles s’étaient trouvées quelqu’un, parfois un de leur client. Ça m’a permis d’en connaitre d’autres. J’ai bien tenté ma chance en leur proposant de faire un bout de chemin ensemble mais aucune n’a voulu. Pour elle je n’étais qu’un contrat comme un autre. Une version polie pour dire « tu baises bien mais t’es trop moche pour que je supporte ta vue au quotidien ». Pffff ! C’était chiant. Quand elle vienne, elle joue la femme amoureuse et câline avec moi mais en fait, tout ça c’est de la comédie, tant pis.
Même si je n’arrivais pas à m’en trouver une en draguant, en allant dans les bars ou en boite, au moins je pouvais coucher. Mes parents s’inquiétaient de me voir seul. Bien évidement je ne leur disais pas que je payais pour un peu d’amour. Quand j’allais les voir, ma mère me faisait souvent l’état des lieux de mon village natal et en particulier de ses anciens élèves et donc de mes ex camarades de classe. Je l’entendais dire « tu sais la fille du boucher, elle vient de se séparer. Si tu voulais, je suis sûr que ….. ». Et je la stoppais net. Ecouter toutes ces histoires, même si c’était chiant, était tout de même jouissif. J’apprenais que certains de mes tortionnaires de l’école avaient du mal à boucler les fins de mois, que certains avaient divorcé, d’autre avaient des boulots peu valorisant, …. Je sais, ce n’est pas bien de se réjouir du malheur des autres mais en repensant à ce qu’ils m’avaient fait vivre à l’époque, je voyais ça comme un retour de bâton. Je me souviens encore de la fois où j’étais aux toilettes et que certains d’entre eux m’avaient renversé un seau d’eau par-dessus la porte ou alors au collège, cette bande d’élève de troisième qui m’avaient chopé dans un couloir et qui s’était amusé à me pendre par les pieds dans un couloir isolé du collège à me secouer comme un prunier rien que pour se marrer. Les savoir en difficulté me faisait sourire et il ne fallait pas compter sur moi pour les aider.
A Paris, j’avais souvent la visite de tonton Jacques. En fait c’était plutôt Adrien qui squattait chez moi. Pourquoi ? Parce que j’avais les dernières consoles de jeu à la mode et une grosse télé. Ces visites de mon cousin qui avait bien grandi ne me dérangeaient pas. On pouvait parler de tout entre nous. On s’est payé de purs délires sur des jeux de sport ou de course ou alors lors de soirée foot-pizza ou encore ciné-burger. Il me racontait tout ce qu’il cachait à son père : les mauvaises notes, le fait qu’il imite sa signature sur le bulletin, … bref le genre de truc que moi aussi j’avais fait. Ces soirées qu’Adrien passait chez moi était aussi, pour ses parents, l’occasion de se retrouver tous les deux. Ils lui ont même fait un petit frère. Quelque part, j’ai aidé Adrien à passer le cap de sa crise d’adolescence et ça Jacques m’en a remercié car il avait du mal à gérer les doléances d’un ado boutonneux du style « je veux un scooter ».
Les années passaient et moi j’évoluais dans mon boulot. Je suis passé chef d’équipe. Ça voulait dire un meilleur salaire, un plus gros bonus et surtout la possibilité de choisir en premier lors de nos sorties rendez-vous avec nos clients. Notre équipe gérait désormais des portefeuilles internationaux. Ce qui voulait dire voyage commerciaux à l’étranger (Chine, USA, Pays arabes,….). Je me souviens de cet Emir du Qatar qui nous avait confié des fonds. Quand nous avons diné avec lui et sa suite dans son palais, il nous avait offert à chacun une des femmes de son harem pour la nuit. Femme, qu’il avait préalablement engrossé lui-même pour éviter qu’un autre ne le fasse. Je me demande encore si la mienne était majeure même s’il m’avait certifié que oui. En chine, l’un de nous étant tombé malade juste avant le voyage, nos commanditaires se sont donc retrouvés avec une fille en trop. Qu’à cela ne tienne ! C’est moi le chef d’équipe, et avec moi, quand il y en a pour une, il y en a pour deux. J’ai passé la nuit à honorer ces deux demoiselles. Ce fut une de mes meilleures nuits ce soir-là. Le lendemain j’avais des petits yeux
En économisant suffisamment, je me suis aussi payé un super appartement à moi, j’étais propriétaire. Fini les loyers ! Ma mère était ravie de ma réussite mais elle se demandait toujours, à l’aube de mes quarante ans : mais quand est-ce que tu vas te trouver une femme ? Elle en était presque venue à l’idée d’envisager que j’étais Gay et que je ne voulais pas le dire. « Rassure toi maman, le Gay dans la famille ce n’est pas moi » et tonton peut en attester.
Et oui ! On a un Gay dans la famille et il hésitait à faire son Coming Out : Mon petit cousin Adrien qui n’est plus si petit que ça car quand je l’ai appris, il venait de fêter son permis de conduire. Avec son père, je l’ai vu grandir. Quand il était ados, et que je le questionnais sur les filles, il éludait la question. Un jour où il était venu dormir chez moi, dans ma chambre d’ami, j’ai vu un magasine dépasser de sa valise. L’avait-il laissé exprès pour que je le trouve ? Voulait-il en parler avec quelqu’un d’autre que ses parents ? Surement car ce fut le sujet de conversation de la soirée suivante. Quand son père l’a découvert il est arrivé un soir à l’improviste mais j’étais en galante compagnie. Je lui ai ouvert la porte et il s’est lancé dans un monologue sur sa découverte d’un magasine avec des hommes nus qui se tripotaient, dans la chambre de son fils.
— Bon écoute, je sais que ça fait un choc mais, excuse-moi de te dire ça….. Tu n’as pas l’impression de gêner ?— Ah …. Euh …. Oui en Effet. Tu as de la compagnie c’est ça ? Répondit-il en constatant le reste de notre diner aux chandelles, la lumière tamisé, les bougies parfumées la musique d’ambiance et le fait que j’étais tout nu sous mon peignoir.— Oui et j’aimerai bien la rejoindre.— Oui je comprends. Tu m’excuseras mais …… Oh Putin, la bombe ! dit-il en voyant la demoiselle qui venait de sortir de ma chambre en robe de chambre qui ne cachait rien de sa silhouette.
Je réajustais l’ouverture de la robe de chambre qui en montrait trop à mon gout. De son côté, Jacques avait buggé. Il tendait la main à la demoiselle pour dire bonjour mais au lieu de la regarder en face, son regard semblait s’abaisser jusqu’à l’ouverture du vêtement. Je l’ai très vite repris en lui indiquant qu’il regardait trop bas. Je me suis excusé auprès de ma copine du moment en lui promettant de revenir car je comptais bien parler avec Jacques. La famille pour moi c’est sacré.
Ce n’est qu’après une longue discussion que je suis rentré après avoir rassuré tonton. Je lui ai promis de retourner le voir le lendemain. Quand je suis rentré chez moi, mon invité m’attendait sur le canapé.
— T’en as mis du temps ?— Désolé, il avait besoin de parler.— Après m’avoir fait poireauter, Si tu veux m’avoir il va falloir m’attraper.— Ah tu veux jouer à ça ? Attend un peu.
On s’est tous les deux débarrassé des fringues qu’on avait remis le temps que je parle avec Jacques et on a enchainé avec une partie de « si je t’attrape, je te baise ». Bien évidement elle ne faisait pas beaucoup d’effort pour courir, je sentais qu’elle pouvait aller plus vite. Elle savait que si je ne l’attrapais pas, je ne la toucherai pas et dans ce cas elle pouvait oublier son cadeau bonus. Malgré ça j’avais du mal à tenir l’allure. On s’est couru après dans tout le salon en rigolant et j’ai fini par l’attraper en simulant une blessure du style »Aïe ! Je me suis cogné le genou contre le pied de la table » dès qu’elle s’est approchée je l’ai attrapé par le bras.
— Je t’ai eu !— Sale tricheur.— Peut-être mais j’ai gagné. Maintenant je veux ma récompense.
Je l’ai prise dans mes bras façon jeune mariée, puis on s’est allongé sur mon gros canapé et ensuite on a joué au docteur. Cette fille c’était une de mes « favorites » de l’agence. Comme toutes les autres, elle était belle, mince avec une plastique irréprochable. Quand on a eu fini nos papouilles, nous étions dans les bras l’un de l’autre et comme elle était la seule à qui je ne l’avais pas fait, je lui ai posé la question qui tue.
— Dis-moi, que dirais-tu si je te proposais de devenir ma petite amie ? Je prendrais soin de toi, tu n’aurais plus besoin de travailler ….— Euh … Ecoute, je ne veux pas te faire de la peine …— Oulah ! Ça commence mal déjà.— Tu es un bon amant. Tu es gentil et généreux mais ….— Mais ?— Mais tout ça c’est un boulot. Tu ne me connais pas en privé. Je ne suis pas la même dans la vraie vie.— Ouais en gros avec moi tu fais semblant. Pourquoi ça ne m’étonne même pas ? Peut-être parce que c’est pareil à chaque fois.— Je ne veux pas te faire de la peine mais tu voulais une femme douce et câline, je te la donne. C’est un rôle de composition.
Bon bah encore une fois c’était raté. Comme avec les autres, je n’étais qu’un contrat comme un autre. « Tant pis ! Je vais me contenter de cette douce illusion. Heureusement qu’elle est loin d’être désagréable ». Ai-je pensé. C’est vrai qu’après toutes ces années, je ressentais un manque et je voulais me caser. Quand j’entendais mais collègues parler de leur gamins, moi aussi j’avais envie d’entendre des petits pieds courir partout chez moi. Pour apprendre ou réapprendre à draguer, je me suis donner les moyens. J’ai essayé le coaching, plusieurs styles de coiffure, de fringue … rien n’a marché. J’ai essayé de perdre du poids mais ça ne durait pas longtemps car je le reprenais aussi sec. Heureusement les années deux mille venaient de commencer et avec elles, internet et les sites de rencontre. Je misais beaucoup dessus.
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