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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche

Chapitre 10

Erotique
Ainsi je me retrouvais avec deux femmes à la maison. Je ne vais pas mentir, coucher avec les deux en même temps, ça n’a pas duré longtemps, quelques jours tout au plus …. Qui a demandé pourquoi ? Bah tout simplement parce que je fatigue, tout simplement. Après j’alternais ou plutôt c’était elles qui alternaient leur place dans mon lit. Tous les soirs, j’en honorais une. Quand je voulais une baise sauvage ou un jeu de rôle (la soubrette qui couche avec le maitre de maison par exemple) j’allais voir Karen. Elle était vicieuse à souhait et elle aimait ça. Au contraire, quand je cherchais quelque chose de plus calme, une nuit de tendresse, c’était vers Carole que je me tournais.
Pour me caser, j’avais dit que j’en choisirais une mais ce n’était pas facile de me décider. Au début je ne me basais que sur le côté sexe. Dans ce domaine, Karen l’emportait haut la main. Même si Carole tentait de rivaliser, elle n’avait naturellement pas la fantaisie de sa sœur. En plus, j’entendais Carole me faire des reproches parfois, dans la vie de tous les jours, alors que Karen me disait souvent « tu as raison mon chéri ! » ou alors « tu es très bien comme tu es ».
J’avoue avoir un peu délaissé la mère de mon fils pendant un temps même si je couchais mécaniquement un jour sur deux avec elle. C’est un jour où je regardais une émission de télé dans laquelle deux invités faisaient un battle de maximes et de proverbes que l’un d’eux me fit amorcer un changement sur ma relation avec les deux sœurs. La maxime était : « l’ennemi parle bien, l’ami parle vrai ». Il fallait y comprendre que ceux qui tienne à toi te diront ce dont tu as besoin quitte à ce que ça ne te plaise pas alors que ceux qui veulent quelque chose de toi flatteront ton égo pour obtenir ce qu’ils cherchent même si ça doit te porter préjudice. Mine de rien, cette phrase m’a fait gamberger. Karen me disait toujours que j’étais le meilleur au lit, elle acquiesçait à toutes mes décisions, bref elle flattait mon égo pour s’assurer que je la choisisse au final. Carole, elle, osait me dire non sur certaines choses et me faisait des commentaires parfois pas très plaisant, notamment sur mon poids. Je me le cachais mais elle avait raison. J’étais trop gros. Mon médecin me l’avait déjà fait remarquer car j’ai eu des ennuis de santé notamment à cause de mon cholestérol seulement le sport, je me décourage vite (je me fatigue vite surtout) et je ne me sens pas le courage d’abandonner les bons petits plats que j’aime manger.
Au fur et à mesure du temps qui passait, Carole gagnait des points. Quand j’ai fait un bilan, je me suis rendu compte que carole faisait plus attention à moi alors que Karen ne faisait que me flatter et ne pensait qu’à elle. Même si elle n’était pas la mère de mon fils et même si elle n’était que sa tente, génétiquement parlant, elle aimait aussi ce petit bout de chou comme si c’était le sien et elle aimait s’en occuper, quand je lui en laissais le temps. Il était évident pour moi, au bout de quelques mois, que mon choix était déjà fait : C’était Carole. Elle tenait à moi disant ou faisant certaines choses qui ne me plaisaient pas mais c’était pour mon propre bien. Elle était aussi, des deux jumelles, la seule avec qui je pourrais avoir d’autres enfants. Malgré tout, au lit elle n’avait pas l’imagination de sa sœur. J’ai alors installé une caméra dans ma chambre et j’enregistrais nos ébats avec Karen. Ensuite, je demandais à Carole de regarder et d’essayer de s’en inspirer pour les nuits qu’elle passait avec moi. Au fur et à mesure, elle s’est améliorée, sans arriver au même niveau que sa sœur mais c’était nettement mieux. Elle avait fini par développer son propre style en striptease et même si elle n’aimait pas ça au début, elle commençait à prendre goût à la sodomie. Le rapport de force entre les deux sœurs commençait à s’inverser. Au lit, elle prenait du plaisir à se lancer dans des petits jeux de rôle. Quand je la prenais en missionnaire et que je la regardais dans les yeux, il y avait dans son regard quelque chose que ça sœur n’avait pas : Le même genre d’étincelle indescriptible que ma mère avait et que mon père m’avait décrite quand elle était tombée amoureuse de lui.
Ce rapprochement, moi et Carole nous en avions conscience même sans en parler ouvertement et au lit, nos ébats fougueux témoignaient de la passion et des sentiments que nous avions l’un pour l’autre. Malheureusement Karen avait aussi remarqué que ma préférence allait vers sa sœur et elle ne comptait pas la laisser remporter la victoire. Des évènements m’ont finalement forcé à faire mon choix plus tôt que prévu.
Ça s’est passé un jour alors que j’étais au travail. Nous avions une réunion avec mes supérieurs et les autres chefs d’équipe. L’un de nous était pressenti pour avoir une promotion et j’avais toutes mes chances. C’est durant cette réunion qu’une des hôtesses d’accueil du service est arrivée en catastrophe. Visiblement une violente dispute avait éclaté entre mes deux femmes. Les cris et les bruits qu’elles faisaient étaient si forts que mes voisins, un couple bourgeois à la retraite, a tenté d’intervenir. Voyant que personne n’ouvrait, ils ont appelé la police et ont essayé de m’appeler. Quand je suis indisponible pour le travail, j’ai un message d’attente avec un numéro relai à appeler en cas de « grosse urgence ». C’est comme ça que l’hôtesse a eu le message. Je me suis excusé auprès de mes collègues, abandonnant toute chance de nouvelle promotion et je suis parti très vite chez moi.
Quand je suis arrivé, les flics étaient déjà là et avaient forcé la porte. Mes deux femmes étaient là, l’une assise sur le canapé et l’autre dans un fauteuil. Curieusement elles étaient habillées pareil ce qui n’arrivait jamais et elle portait chacune des traces de lutte. Carole était plutôt Jeans et T-shirt alors que Karen était plus provoquante avec des minijupes et des chemisiers col ouvert, mettant en valeurs ses formes. Ce jour-là, je les ai retrouvés habillée de la même manière, façon Carole. J’ai bien compris ce qu’il s’était passé. Karen avait surement voulu prendre la place de sa sœur pensant que je ne verrai pas la différence. Une bagarre aurait éclaté entre elle. C’est là qu’un gendarme m’a approché.
— Bonjour, monsieur. Vous êtes M Grimbert ?— Oui c’est moi. On peut me dire ce qu’il se passe ?— D’après ce que j’ai compris ces deux femmes sont votre compagne et sa sœur. Est-ce exacte ?— Oui j’ai découvert l’existence de ma belle-sœur peu de temps après la naissance de mon fils. Elle était en galère et j’ai accepté qu’elle loge ici le temps de trouver autre chose.— Ces deux furies étaient en train de se battre violement. Les voisins ont appelé pour se plaindre et on a dû les séparer. Chacune prétend être votre compagne.
J’étais dans la merde. A cause de ces deux-là, je risquais gros. Il était évident que Karen était derrière tout ça. Elle m’avait bien fait comprendre que j’étais « son mec » et qu’elle ne laisserait personne nous séparer. Carole, quant à elle, était trop timorée et pas assez audacieuse pour tenter de prendre la place de sa sœur sauf si on lui force la main. Moi de mon côté je savais que karen était plus attachée au confort de vie que je lui apportais. C’est alors que je contemplais le désordre et l’état dans lequel les deux sœurs étaient que le gendarme me rappela.
— Monsieur ? Vous êtes avec nous ?— Oui …. Oui, oui je suis là. J’étais juste sidéré de les voir comme ça.— Bon, …. Très honnêtement, nous sommes incapables de faire la différence entre elle. Si elles prétendent toutes les deux être votre femme c’est que l’une essaye de remplacer l’autre : votre belle-sœur.
— Ça me désole mais c’est surement le cas.— Alors dites-moi. Laquelle est votre femme ?
Bon bah il fallait que je choisisse, ne serait-ce pour ne pas me faire taxer de polygame.
— Je vous avouerai que j’ai du mal à les reconnaitre physiquement. Les différences sont plutôt dans l’attitude de chacune.— Ça ne va pas aider. Surtout si celle qui veut remplacer sa sœur a travaillé son rôle.— Ma femme s’appelle Karen. Elle est la mère de mon fils qu’elle a eu par césarienne. Il n’y a qu’à regarder l’acte de naissance …. Attendez …. Le voilà. Ai-je répondu en sortant le papier de mon secrétaire, à quelques mètres.— Parfait ! Mesdames, montrez-nous la cicatrice.
Au moment où j’ai dit que ma femme s’appelait Karen, j’ai vu la vraie Karen afficher un sourire victorieux qui s’est immédiatement dissipé quand j’ai parlé de la cicatrice. Carole de son côté, après un moment de frayeur n’a pas perdu de temps à nous montrer son ventre. Karen essaya bien de faire croire que c’était une cicatrice d’appendicite mais ça ne correspondait pas, anatomiquement parlant. Elle fut menottée et accusé de tentative d’usurpation d’identité et d’escroquerie pendant que Carole fut libérée. Je n’étais pas fière sur le moment mais si elles avaient su se tenir rien de tout ça ne serait arrivé.
Plus tard, à force de crier haut et fort qui elle était, Karen fut internée pour trouble de la personnalité. Tous les papiers et tous les examens médicaux prouvaient qu’elle ne pouvait être que ma belle-sœur. Quand Mon fils est né, Carole est entrée à l’hôpital sous le nom de sa sœur. Même chose pour notre entourage. Sur tous les papiers, même si c’était de Carole dont il s’agissait, le nom qui était mentionné était celui de Karen. Sans donner les noms des deux jumelles, un médecin a fait des analyses de sang et comme l’échantillon de Carole portait encore les stigmates hormonaux de son accouchement, il en a déduis que l’échantillon de Carole était celui de « Karen ». On a convenu alors que Carole allait prendre l’identité de sa sœur. C’était facile pour elle. Elle l’avait déjà fait, ne serait-ce qu’avec moi durant toute une année et elle s’était amusée à le faire quand elles étaient jeunes. Elles se connaissaient par cœur. De son côté Karen, la vraie, n’avait rien pour prouver son identité. Elle ne pouvait pas utiliser son avortement qui l’avait rendu stérile car elle avait fait ça discrètement chez un obscure médecin qu’elle avait payé en liquide et qui n’avait laissé aucune trace dans son dossier médical. Pour tous, Carole allait devenir Karen et inversement aux yeux de tous.
Quand tout fut fini et qu’on est rentré à la maison, on s’est enfermé dans notre chambre et on a fêté ça. Vu les progrès de Carole en matière de jeu sexuel, pendant un temps je me suis demandé si je ne m’étais pas trompé de sœur. Heureusement, la cicatrice était là pour me le rappeler. Plus tard, se faisant passer pour sa sœur, elle est retournée voir ceux qui étaient sensé être ses patrons. Ils étaient au courant de l’histoire car la police les avait interrogés. Elle décida alors de démissionner de ce travail pour éviter de faire des gaffes et griller sa couverture. Elle expliqua cette décision par le choc émotionnel d’avoir été trahi par sa sœur et le besoin de faire un break, de se remettre en question, … Ce qu’ils ont compris. Compte tenu que je gagnais suffisamment, ça ne nous posait aucun problème.
Un jour elle m’a surpris. Je rentrais du travail et je l’ai vu habillé en écolière à couette avec une sucette à la bouche. Sur le coup, je suis resté figé mais j’ai ensuite compris que c’était un jeu.
— Bonjour monsieur ! je suis la baby-sitter que votre femme a engagé— Ah …. Bonjour mademoiselle.— J’ai fait manger votre fils et je l’ai couché. J’attendais votre femme pour qu’elle me paye avant de partir.— Oh … S’il n’y a que ça, je peux vous payer mais ….. que diriez-vous de gagner plus ?— Comment ?— En travaillant plus par exemple.— Je ne sais pas. C’est que je dois rentrer et ….. Vous entendez quoi par travailler plus.— C’est simple. Après vous être occupé de l’enfant, pourquoi pas vous occuper du papa ?— Je ne veux pas d’ennui avec votre femme.— Ma femme ? elle ne reviendra pas avant au moins deux heures. Ça veut dire que nous avons tout ce temps pour mieux apprendre à nous connaitre. Lui ai-je dit en lui caressant la joue.— C’est que ….— Je te donne deux cent euros— Ce n’est pas …— Trois cent— Là n’est pas la question— Cinq cent, en cash et tout de suite— ….. C’est d’accord.
Autant vous dire que durant l’heure qui suivi, L’image de la petite fille sage que trainait ma femme en a pris un sacré coup et dans tous les orifices. Quand on en a eu fini, j’étais en sueur mais elle se sentait prête pour un deuxième round.
— Alors ? C’était comment ? — C’était super lui ai-je dit avec un large sourire.— Prêt à remettre ça ?— Pas tout de suite. Chui crevé.— Oh, allez ! Je suis sûr que t’en as encore sous le pied.— Je te signale que j’ai vingt ans de plus que toi je ne suis plus tout jeune.— L’âge n’a rien à voir. Si tu faisais un peu de sport ….— Ah non tu ne vas pas remettre ça sur le tapis.— C’est pour ton bien que je dis ça. Je n’ai pas envie que notre fils perde son père parce qu’il a eu un malaise cardiaque, un problème de cholestérol ou que sais-je encore.— Tu penses bien que j’ai essayé fut un temps mais je reprenais aussitôt.— Parce que tu manges mal.— Je ne suis pas très courageux la dessus non plus pour le sport. Je fatigue vite.— C’est que tu n’as pas la bonne motivation. Ecoute je peux t’aider moi. Regarde-moi. Comment crois-tu que j’ai retrouvé ma taille de guêpe après ma grossesse ? Je sais comment tu fonctionnes. Il te faut une carotte.— Hein ? Hors de question que tu me mettes le moindre légume dans le cul.— Mais non gros béta. Une carotte au bout d’un bâton, une motivation suffisante.— Et tu proposes quoi ?— Je ne sais pas. Qu’est ce qui te plairait ?
Alors là, si elle accepte ce que j’ai en tête, il se pourrait que je sois super motivé. Au début de ma relation avec Karen (la vraie, celle qui maintenant est internée pour trouble de la personnalité à force de clamer son identité alors que tout prouvait le contraire), je lui avais demandé quelque chose à laquelle elle n’a jamais dit oui. Avec ce qu’il s’est passé je devinais qu’elle voulait rester identique à sa sœur. Maintenant qu’elle n’est plus là, que Carole me demande ce que j’aimerais, c’était le moment.
— Il y a bien quelque chose que j’aimerais.— Va z y— Vois-tu avant de vous connaitre toi et ta sœur, je faisais appel au service d’une agence d’escort.— Ça je le savais— Les femmes que je rencontrais avaient toutes de beaux seins bien gonflés— Je commence à voir où tu veux en venir.— Je veux que tu passes en 95D. J’aime le volume et même si ton 90 C est joli, j’en veux plus.— ….. Si ça peut te motiver pourquoi pas mais je n’ai pas de quoi me payer l’opération ….— Ça c’est pour moi.— Ok, t’auras intérêt à te bouger alors. Je ne te ménagerais pas.— Je suis prêt.— Tu vas souffrir— M’en fout lui ai-je dit avec le regard d’un chien à qui on avait promis son su-sucre— Bon …. OK.
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