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Auto-stop

Chapitre 1

Gay
Mon nom est Maxime, jeune garçon de 18 ans a peine, je suis plutôt petit pour mon age et j’ai un corps assez mince et musclé et des fesses rebondies.
  De nature voyageur, j’ai, dès mes 18 ans, entamé un voyage aux quatre coins de la France en stop, et ainsi je me trouve actuellement dans le sud de la France, à proximité de Toulouse ou je dois aller passer la nuit. C’est ainsi que je me suis retrouvé à 1 h du matin en train de longer une petite route déserte en direction (je l’espérais) de Toulouse.   Aucune voiture ne passais sur cette route, elle n’est pas éclairée et aucune maison ne se trouve a moins de 500 mètres de la route. Je me sent seul au monde, abandonné, j’en ai presque peur !
  Puis, je remarque de la lumière derrière moi, je me retourne et je vois une voiture plein phares rouler tranquillement sur l’asphalte. Bien que pris au dépourvu je lève le pouce car de toute façon je suis perdu. La voiture me vois, et s’arrête a ma hauteur. La vitre se baisse le conducteur me demande ou je vais. Je sursaute au ton de sa voix.
  Il faut avouer que ce type n’a pas un physique des plus plaisants... Il est un peu l’archetype du routier : Gros, poilu, barbe en vrac, ton bourru et manières sans doutes brutales, sa pilosité indique un age assez avancé car, même si en majorité la teinte est foncée, j’y aperçois des poils blancs.
  J’arrive à bégayer ma destination et l’homme me regarde avec des yeux ronds. Il me dis que je vais à l’opposé et explose de rire, je lui dis donc qu’au lieu de rire il pourrait m’enmener. Il arrête de rire et me fixe intensément, tellement que je songe même à partir en courant... Quand le type reprend la parole, sa voix se fait plus douce, ses mots moins agressifs mais par contre pour moi c’est bien plus vexant car c’est le plus sérieusement du monde qu’il me propose de le sucer si je veux qu’il m’emmène.
  Piqué au vif je recule, ce qu’il prend pour un non. Il remonte sa fenêtre et redémarre. Je le vois faire une dizaine de mètres avant de comprendre que c’est ma seule chance pour ce soir. Je me met donc à courir derrière la voiture. De nouveau il s’arrête et ouvre sa vitre. Cette fois-ci il me souris et ouvre la portière, je monte dans la voiture. Le voila qui repart, cette fois-ci je suis dans la voiture. Un moment passe sans que nous nous adressions la parole puis je le voit se détacher la ceinture et se déboutonner le jean avec sa main droite. Je reste interdit devant tant d’audace. Il me demande si je compte le sucer ou si il me laisse sur le bord de la route.
  Dans ma tête c’est un champ de bataille, ma fierté contre l’utilité et mon excitation. Oui je suis excité ! L’engin qu’il a sorti est énorme et semble bien lourd, je l’imagine déjà coulisser dans ma bouche et visitant mon anus. Au diable la fierté, je peux joindre l’utile à l’agréable !
  Je hoche la tête en signe d’approbation et j’attrape sa queue. je la branle quelques secondes puis je descend mon visage vers elle, de plus en plus près. Je sens maintenant la forte odeur de ses parties génitales. Autant de sueur que de sperme et de pisse. Etrangement cela ne me repousse pas, bien au contraire c’est cette odeur qui me pousse a avaler sa bite, me délectant de ce gout de salissure. Je remonte lentement le long de la hampe puis je redescend, je vais et je viens le long de son dard en passant bien ma langue partout.
  Il arrête la voiture sur le bas-côté et recule son siège, me laissant plus de marge de manoeuvre. Je m’applique au maximum, léchant le gland et avalant jusqu’à ma glotte. Son souffle s’accélère, il imprime de légers mouvements de hanches, m’attrape la tête et me donne le rythme. Son gland viens taper deux ou trois fois contre ma glotte puis il passe dans la gorge. Ce type ne me ménage pas il me baise la bouche comme si j’étais une chienne et je ne peux rien faire pour l’en empêcher. Son pénis se contracte, il va jouir, j’essaie une dernière fois de me libérer, mais il est plus fort que moi et m’appuie la tête contre son ventre, la bite bien logée au fond de ma gorge. Les contractions se poursuivent et je sent sons sperme chaud couler dans ma gorge à chaque fois qu’un jet viens tapisser mon oesophage.
  Il me lâche la tête, je peux donc respirer et nettoyer sa verge qui est en train de perdre sa vigueur. je la reprend donc en bouche, m’appliquant bien à enlever toute trace de souillure quelconque. Rapidement il reprend de la vigueur et je sens sa bite se redresser dans ma bouche.
  Le type m’attrape la tête et m’insulte de chienne, il me dis que si j’en veux je vais en avoir plein le cul ! Il me déshabille et se met sur moi, l’engin sur la rondelle prêt à l’exploser. Ne désirant que ça j’avance mon cul vers l’objet de mes désirs, ce que l’homme semble remarquer puisqu’il va donner un grand coup de reins et me le rentrer jusqu’à la garde dans l’anus. Je lâche un gémissement, un pieu comme ça dans le cul ça ne peut pas laisser indifférent, j’ai un peu mal vu la largeur du mandrin, mais c’est de plaisir que je couine.
  Quand il bouge son engin j’ai l’impression que mon intestin est composé uniquement de points G tant la sensation de jouissance irradie mon corps. Je me laisse aller à ce mâle viril, je vois des flash et je sens tout mon être s’embraser.   Plus il me baise, plus il y va vite et fort, je monte, encore et encore... Je ne sais plus du tout qui je suis, ni ou je suis, je n’ai à l’esprit que ma jouissance et la conscience de cette bite que je sent aller et venir en moi.
  Je pense qu’il me fourre des heures et des heures comme ça ! Je suis au paradis, chacun de ses mouvements me propulse plus haut jusqu’à atteindre le sommet...
  Je sent mes muscles se contracter, je jouis ! Une telle jouissance ! J’en ai la tête qui tourne, les étoiles devant les yeux. De puissants jets de foutre viennent ensuite remplir mon cul. Mes contractions on fait jouir mon baiseur dans un grognement animal. Exténués de notre jouissance nous restons ainsi, sa queue en moi, pendant quelques instant, ensuite il se retire, mettant du sperme partout sur le siège et me force a nettoyer sa bite. je passe bien la langue tout autour, puis je lèche le siège et ma rhabille.
  Mon baiseur redémarre la voiture et nous repartons. Il se tourne vers moi et me demande comment je fait pour avoir un cul aussi bon, je lui répond que c’est sa bite qui me fait rêver... Il rigole et me dis que si j’avait refusé j’aurais loupé quelque chose. C’est sur que j’aurai loupé cette queue là pour rien au monde...
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