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L'autostop

Chapitre 1

Divers
Cette histoire bien réelle m’est arrivée l’été de mes 16 ans. J’étais déjà à l’époque assez sportif et bien dimensionné mais je n’avais encore jamais eu d’expérience sexuelle.
Mes parents travaillaient les weekends et me laissaient souvent partir chez des amis. Déjà à cet âge là il nous arrivait souvent de faire la fête toute la soirée chez l’un ou chez l’autre.
J’avais donc passé mon Samedi soir chez un ami. Tout le monde avait passé la plupart de la nuit à boire de l’alcool et à fumé. Le lendemain matin je décidais de rentrer chez moi à une trentaine de kilomètre de là. Une fois n’est pas coutume, j’ai fais de l’autostop. Nous habitions dans des petits villages du sud de la France sans transport en commun et après la soirée, je ne me voyais pas tout faire à pied.
Je n’ai pas eu à tendre le pouce longtemps, une BMW décapotable s’est arrêtée après quelques minutes. J’étais tout excité à l’idée de monter dans une belle bagnole, il faut dire que chez nous c’était plus 4L et 405 breaks. Cerise sur le gâteau c’était une femme qui conduisait. Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était une blonde qui portait une robe rouge. Elle aurait bien pu être ma mère mais qu’est-ce qu’elle était belle et désirable. Je montai sans me faire prié dans la voiture au coté de ma belle conductrice. Ma conductrice me demanda où j’habitais et ce que je faisais tout seul sur la route un Dimanche matin. Je lui expliquai le chemin vers le village où mes parents habitaient qui travaillaient tout le dimanche. Elle ne semblait pas de la région. Je lui expliquai les quelques embranchements et elle fit vrombir le moteur.
Je me souviens qu’elle rapidement dans les petites routes. Elle portait des lunettes de soleil et semblait fixer la route. J’en profitais pour jeter des coups d’œil furtifs sur sa robe. Elle conduisait pied nus. Ses jambes étaient fines et es seins gonflés sortaient tant de son décolleté que je n’arrivais pas à dire un mot. Au bout d’un moment qui sembla duré une minute nous arrivâmes à l’embranchement principal de la route. Elle s’arrêta, l’écran de son GPS indiquait de prendre à droite. Je devais poursuivre à gauche. Après lui avoir expliqué ma route et que je n’aurais surement pas à attendre longtemps un autre voiture elle me déposa sur le bord de la route. Lorsqu’elle fut partie, encore tout secoué de ma rencontre, je m’effaçais sur le bas coté avec une folle envie de me masturber en pensant à ma rencontre. Je trouvais quelques buisson et commença mon affaire. Quelques voitures passèrent et je continuais de me branler. A moitié caché de la route, je me disais que les gens qui aurait l’idée de regardé verraient quelqu’un pisser sur le bord de la route, rien de méchant et j’étais bien trop excité pour aller plus loin.
Un instant après, alors que j’étais sur le point d’éjaculer, j’entendis une voiture se garer à quelques mètres derrière moi. Je rangeais difficilement ma bite en érection pour me retourner et découvrir la BMW et sa splendide chauffarde. Elle m’invita à monter, prétextant qu’elle avais eu quelques remords à laisser un si joli arçon sur le bas coté et qu’un petit détour ne lui ferai pas de mal.
Lorsque je remontais dans la voiture, quelle fut ma surprise de voir que sa robe était tellement remontée sur ses hanches que je pouvais clairement deviner sa petite culotte noire. Je n’en revenais pas. Mon sexe déjà bien sérrédans mon short n’en pouvais plus de gonfler.
Embarrassé je lançais la conversation en la remerciant et en la complimentant sur sa belle voiture puis sur sa robe. Elle m’expliquait que c’était la voiture de son mari qui ne trouvait plus le temps de la complimenté et se pencha pour me faire une bise sur la joue en me disant que j’étais pas mal non plus. Après quelques secondes elle poursuivi en disant « même si tu semble avoir besoin d’une taille de plus pour ton short ». Je restais bouche bée. Je ne pouvais plus m’arrêter de bander. Je n’osais plus parler.
Elle me demanda la route et j’indiquais le chemin jusque chez mes parents. Arrivée à destination, elle gara la voiture, coupa le moteur et enleva ses lunettes. Elle avait des yeux gris et un visage magnifique. « Après ce détour, tu me dois bien un petit café ». Totalement éberluée je l’invitais à rentrer dans la maison familiale. Elle s’installa sur le canapé et je parti faire coulé du café. Je restais affolé dans la cuisine où elle me rejoint. Je l’entendis approcher par derrière. Elle m’enlaça un peu comme une mère enlace son fils pour un câlin sauf qu’après un baiser dans le coup elle me susurra à l’oreille « si tu veux faire l’amour à une vielle c’est maintenant ».
Je n’eu pas le temps de répondre qu’elle glissait sa main dans mon short pour exhiber ma verge. Je ne pouvais plus reculer et je n’en avais pas envie. Elle continua dans sa lancée en se mettant à genoux devant moi pour mettre ma bite dans la bouche en me regardant comme une salope assoiffée de sexe. Je n’oublierais jamais ce regard qu’elle avait. Je ne mis pas longtemps à déversé mon foutre dans sa bouche, elle avala puis se releva en me prenant par la main en me disant qu’elle n’en avait pas finie avec moi.
La suite fut sur le canapé ou elle s’installa robe remontée, jambes et culotte écartées pour jouer avec sa chatte. Ce spectacle intenable me redonna une violente érection et je m’approchais terrifié de cette femme splendide en train de se masturber en gémissant sur le divan de mes parents.
Elle enleva sa culotte, s’allongea m’attira vers elle ma bite entre les mains. Elle la guida avec avidité vers l’entrée de sa chatte. Mon sexe entra d’un coup dans son con chaud et humide. Elle attrapa mes fesses à deux mains et me força a de violents coups de bassin. Ma bite fessait des vas et viens dans sa chatte de plus en plus humide et mon hôte gémissait comme une chienne en chaleur.
Je vidais mes couilles dans sa chatte après un bref moment. Elle se releva avec un beau sourire et englouti ma bite dans sa bouche, il ne fallu pas longtemps pour que ma vigueur revienne. Pendant qu’elle me suçait, ses doits étaient sous sa robe et semblaient disparaître dans son sexe. Lorsque qu’elle eu fini de me sucer je compris que c’était dans son cul qu’elle introduisait un doigt plein de mouille.
Elle enleva sa robe et son soutien à gorge pour exhiber une paire de seins gonflés aux tétons turgescents. Elle se mit à quatre pattes et guida ma queue vers son trou du cul. L’entrée fut un peu difficile, mais lorsque que ma bite fut à l’intérieur je senti une sensation tout à fait différente de sa chatte. Ma bite était serrée et la sensation exquise. Après de puissant coup dans son anus, je déversais le peu de sperme qui me restait pendant que mon invitée couinait comme une perverse. Je me souviens d’avoir sorti ma bite encore un peu sale de son cul, elle vint vers moi toujours à quatre patte et l’avala en me regardant dans les yeux.
Je n’ai jamais revu cette femme, je ne connais pas son prénom mais si elle tombe sur ce site je la remercie encore de m’avoir pris en stop ce jours là.
P.S : Si tu lis ça, belle conductrice , j’ai encore ta culotte à dentelle dans ma chambre. Je me suis longtemps branler avec en pensant à ton regard de salope.
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