Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 106 J'aime
  • 0 Commentaire

Aux enchères

Chapitre 3

Hétéro
Sophia se présenta le lundi matin, à l’heure, à l’entrée de l’agence. Je lui ouvris et la fis entrer. Elle avait respecté scrupuleusement le code vestimentaire que je lui avais imposé. Escarpins noir vernis, des bas noirs semi-transparents, et un ensemble tailleur jupe gris anthracite lui arrivant au-dessus du genou. Son chemisier était blanc et ouvert un bouton trop bas, laissant voir la discrète naissance de sa petite poitrine ferme. Elle avait attaché ses cheveux en arrière, et ses lunettes qui la rendaient très sexy lui donnaient également un air relativement sérieux. J’étais persuadé que jamais je n’allais pouvoir bosser avec cette créature dans les parages. Mon sang ne faisait qu’un tour chaque fois que je posais les yeux sur elle, et mes pensées se focalisaient alors sur le sexe, encore et toujours.
    Je la regardai enlever son manteau, et je repensai à cette fellation qu’elle m’avait prodiguée au bar le jeudi précédent. Comme si c’était hier, je revoyais ses mains fines descendre le long de ma tige dans une caresse d’une volupté saisissante, jusqu’à mes couilles raffermies par la flatterie. J’arrivais encore à sentir ses lèvres douces effleurer mon gland puis l’enlacer dans un filet de salive des plus glissants. Elle m’avait procuré un orgasme d’une rare intensité et s’était montrée particulièrement volontaire pour s’abreuver de mon plaisir, et pour ces raisons, j’étais sûr que ma première inspection de sa vulve serait des plus remarquables.Après lui avoir présenté son bureau, accolé au mien et accessible par une porte privée qui les relie, je voulus lui présenter l’équipe de collaborateurs. J’étais heureux de compter dans mes rangs des employés assez peu attirants et plutôt vieux. Je mettais ainsi toutes les chances de mon côté pour garder notre relation exclusive.
— Bon, écoutez-moi tous, voici Sophia. Elle occupera le poste d’assistante de direction si elle termine sa période d’essai avec succès.
    J’observai un temps d’arrêt pour prendre la température de l’ambiance générale. Il y eut deux réactions complètement opposées. La première fut celle de la comptable plutôt froide. Elle regardait Sophia d’un air étrangement agressif, les sourcils froncés. La lionne allait devoir marquer son territoire afin que la nouvelle n’empiète pas sur ses plates-bandes. Elle scrutait le corps de l’insouciante jeune femme qui souriait toujours, et dans un soupir me prouva qu’elle était follement jalouse. La seconde fut celle des hommes, qui eux avaient certainement les mêmes pensées que j’ai pu avoir lors de ma première rencontre avec mon assistante personnelle. J’allais devoir leur faire comprendre que Sophia était une chasse gardée sans éveiller leurs soupçons à notre sujet. Sophia s’avança pour saluer toutes les personnes présentes dans la salle, et entama la tournée de poignées de mains. Elle regardait dans les yeux chacune des personnes à qui elle donnait la politesse, mais elle appuya son regard quand elle dit bonjour a Paul, plus jeune des techniciens, un quadra suffisant et plutôt costaud. Il faudrait être aveugle, bête ou les deux pour ne pas se rendre compte qu’elle profite de sa position de femme fatale pour tenter de séduire cet homme. Cela m’agaçait, et je comptais bien lui faire passer l’envie de s’amuser comme ça.
— Trêve d’effusions. Sachez que si vous avez besoin de quoi que ce soit, Sophia sera installée dans le bureau attenant au mien. Je vous laisse donc retourner à vos occupations.
    Interrompant Sophia qui allait entamer la conversation, j’ajoutai d’un ton sec, mais faussement chaleureux :
— Sophia, dans mon bureau s’il vous plait.
    Elle m’interrogea du regard, étonnée de mon injonction. Elle dut penser que je voulais dès à présent ma dose de sexe, puisqu’elle m’a rejoint dans mon bureau avec un regard dont on pouvait extraire l’excitation à mains nues.
— Déjà en appétit Monsieur ? glissa-t-elle mielleusement.— Assise !
    Elle s’assit sans demander son reste, sûrement impressionnée par le ton dur dont j’avais fait preuve lors de mon injonction. Je devais lui faire passer un sale quart d’heure. Cette femme est à moi, et devra le rester. Si elle devait être partagée, ce serait de mon fait, et non du sien. J’aimais que les choses soient carrées, et surtout, qu’elles soient comme je le voulais. J’entrepris donc de reprendre une fois plus calme, mais tout aussi glaciale.
— Sophia, vous moqueriez-vous de moi ?— Pardon ?
— Pensez-vous que je n’ai pas vu votre sourire tentateur lors de votre poignée de main, étonnamment longue d’ailleurs, avec Paul ?
    Je la vis confuse. Elle avait rougi instantanément, comme une enfant prise sur le fait de voler des bonbons. Je n’aimais pas qu’on me prenne pour un idiot, et elle le comprit suffisamment vite pour ne pas le nier. Elle se tu alors, me laissant débiter mes réprimandes sans discontinuer.
— Sophia, nous avons signé les contrats à votre arrivée. Vous êtes donc l’assistante coquine que je cherchais n’est-ce pas ?— Oui Monsieur.— Bien, ce qui signifie que vous êtes mon assistante, et implicitement, votre corps est ma propriété. Comprenez-vous bien la situation Sophia ?— Oui je comprends, mais, si je remplis parfaitement mes fonctions envers vous, et que hors du temps où vous ne me sollicitez pas, un de vos employés… Me cherche. Ne serait-ce pas une bonne idée que de le satisfaire également ?
    Cette remarque me mit hors de moi. Cette petite garce comptait donc se faire enfiler par toute la société ? Hors de question ! Pour qui se prenait-elle ? Mes techniciens sont déjà suffisamment distraits ; ils n’ont pas besoin que Sophia les soulage sexuellement. Je la fusillais du regard. Elle avait baissé la tête, regardant ses chaussures au bout de ses jambes croisées. Ses jambes croisées. Elle est beaucoup trop sexy, elle m’énerve ! J’allais profiter de la situation. Sévir, mais profiter.
— Levez-vous.
    Je la fis poser les mains sur le bord du bureau se trouvant à un mètre devant elle, l’obligeant à se pencher en avant, m’offrant délicatement ses fesses rebondies. Je caressai son derrière bien ferme d’une main, lui tournant autour pour exercer sur elle une pression continue. Plus mes mains passaient sur l’endroit, le pressait, plus elle commençait à onduler le bassin. Le silence qui régnait dans le bureau me laissait percevoir sa respiration de plus en plus rapide.Soulevant sa jupe je glissai deux doigts entre ses cuisses légèrement écartées, sur sa culotte, afin d’en vérifier l’état.
— Déjà humide… C’est bien. Vous me faites bander. J’ai envie de défoncer ce magnifique cul.— Mmh.
    Son gémissement était un aveu de consentement et de désir. Mais elle devait comprendre la leçon. Je relevai sa jupe sur son dos afin de laisser ses fesses nues à ma portée et je me mis à côté d’elle. Mes doigts quittant sa chatte trempée, je m’apprêtais à cingler ses fesses d’une fessée qui je l’espère commencerait à lui faire comprendre ce que j’attendais d’elle.
— Je vous préviens Sophia. Un bruit, un cri, et vous êtes virée avant même d’avoir commencé.
    Et ma main s’abattit sur sa chair pâle qui rosit aussitôt. Mais Sophia s’était tu. Pas un son, si ce n’est un léger gémissement qu’elle avait étouffé entre ses dents ne s’était fait entendre.
— Bien Sophia. Je suis certain que nous ferons de vous une bonne petite chienne. Jamais plus vous ne flirterez avec un de mes employés. Jamais. Est-ce clair ?— Oui Monsieur, me répondit-elle dans un râle de désir.
    Ma main s’écrasa une nouvelle fois sur ses fesses dans un bruit de claquement sourd, la faisant gémir une fois encore. Puis une troisième fois. J’inspectai alors sa culotte afin de savoir si ma punition l’avait refroidie. Je fus à la fois contrarié et ravi que le résultat ne soit pas celui que j’attendais.
— Mais bon sang, mes fessées vous ont complètement inondée !— Oui Monsieur, vous pouvez continuer si vous le souhaitez, j’adore ça.
    Elle remuait ses hanches de gauche à droite, frottant son sexe sur mes doigts comme elle le pouvait pour se procurer du plaisir. J’écartai alors son string afin d’offrir pour la première fois à ma vue, sa vulve trempée et brillante de cyprine, dans laquelle j’enfonçai mon pouce sans ménagement. Elle en ouvrit la bouche de surprise, se délectant de la sensation de mon doigt remuant en elle. Je sorti mon doigt, rabaissa sa robe, et la fit se relever en la tenant par le menton, mon pouce mouillé de son jus dans sa bouche. À quelques centimètres, nous nous regardions silencieusement dans les yeux. La tenant toujours par la bouche, je la poussai pour la faire s’assoir à nouveau. J’ai tout simplement défait mon pantalon que j’ai laissé tomber sur mes chevilles, puis j’ai libéré mon sexe devant son visage.
— Sophia, j’ai beaucoup de travail, alors ne bougez pas, et regardez-moi. Voilà, comme ça, c’est bien… Ouvrez grand la bouche et taisez-vous.
    Je me suis masturbé frénétiquement devant ce joli visage de jeune femme. Elle me regardait de ses yeux profonds et clairs la bouche grande ouverte, attendant que je lui offre mon orgasme. Elle semblait en appétit et frottait ses cuisses l’une contre l’autre pour essayer de soulager l’excitation qui la gagnait rapidement. Son regard oscillait entre le mien et ma queue tendue à quelques centimètres de son visage. Il était indéniable qu’elle avait envie de me sucer, de me branler, ou même de s’empaler sur ma tige. Elle gémissait discrètement et je me branlais plus fort encore, jusqu’à sentir mon jus monter dans ma tige. Je ne fis aucun effort pour me retenir, et dans un râle profond, je laisse mon sperme s’étaler sur le visage de ma secrétaire, de son front à son menton. Son visage était strié de trois grandes trainées blanches.
— Mince, raté, ironisai-je.
    Je lui donnai ma queue à nettoyer, ce qu’elle s’empressa de faire consciencieusement. Comme si elle ne voulait laisser s’évaporer aucune particule de mon plaisir.
— Bien, partez maintenant, et bon sang, essuyez-vous le visage convenablement, vous en avez partout !
Diffuse en direct !
Regarder son live