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Aux enchères

Chapitre 4

Erotique
Depuis le premier instant, Sophia m’avait paru être une jeune femme intelligente et très attendrissante. Les premières impressions furent d’ailleurs les bonnes, mais il était évident qu’elle avait d’autres traits de caractère que je devais corriger. Durant sa première semaine de travail, je me suis donc contenté d’éduquer cette nymphe avec cœur, et elle y mettait une bonne volonté sincère. Elle était réactive, et au-delà même de mes envies sexuelles, semblait déjà efficace dans son rôle d’assistante de direction.
    Nous nous sourions sans arrêt, dès que nous nous croisions dans les couloirs, ou dans mon bureau. Ses airs chaleureux semblaient réellement sincères, tout comme les miens, et une complicité s’était installée dès les premiers jours de travail. Et plus je travaillais à rendre cette femme soumise et obéissante, plus elle me tombait facilement dans les bras. Régulièrement donc, je l’accueillais dans mon bureau afin de soulever sa jupe de tailleur ou de lui baisser son pantalon avec pour objectif de lui octroyer des fessées de plus en plus spectaculaires. Je n’avais pas besoin de réelles excuses, et la moindre petite erreur était un prétexte pour moi de lancer des jeux érotiques. J’attendais que l’agence soit le plus vide possible, que les techniciens soient partis chez les clients, pour me déchainer sur les petites fesses rondes de Sophia. D’autres fois encore, je déboutonnais son chemisier que j’écartais de son buste afin de libérer sa petite poitrine dont je pinçais les bouts des tétons de deux ou trois doigts. Elle gémissait autant de plaisir que de douleur. D’ailleurs, je savais que jamais je ne lui avais vraiment fait mal. Ce jeu n’était que l’expression de la position dominante ou soumise de chacun, mais en aucun cas du sadisme pur.
    Cependant, allonger Sophia sur mes genoux afin de la fesser n’était pas notre seul jeu. J’étais également attentionné avec elle, et je lui octroyais régulièrement des récompenses suite à ses bons services ou au travail qu’elle avait bien fait. J’aimais l’encourager à se dépasser, et plusieurs fois, je l’avais rejoint dans son bureau après qu’elle eut réalisé correctement un travail important afin de la féliciter à ma façon. La première fois, je m’étais présenté devant son bureau, et lui avais demandé de défaire son chemisier et de l’ouvrir afin de me présenter ses aréoles tendues. Choses à laquelle elle fut réticente au début, à cause d’un complexe sur sa magnifique petite poitrine. Je lui avais ensuite demandé de relever sa jupe, et de se masturber devant moi sur sa chaise de bureau, de plus en plus vite. Je me tenais debout devant elle, en la fixant sans pudeur, mon pantalon de costume tendu par mon érection et sans dire un mot. Et elle s’exécutait avec plaisir. Je lui avais alors ordonné de jouir immédiatement, ce à quoi son corps avait répondu par un violent orgasme.La fois suivante, après qu’elle ait rangé mon bureau de fond en comble – ce qui je dois l’avouer ne fait pas partie de son travail, je m’étais glissé derrière sa chaise et j’avais posé mes mains sur ses épaules, la caressant dans un faux massage destiné à l’exciter à mon contact et non à la détendre. J’avais alors glissé mes mains le long de son corps jusqu’à atteindre ses cuisses, mon visage tombant dans sa chevelure du brun sauvage qui me plait tant. J’embrassais et mordillais son cou alors que mes mains passaient de la peau fine et douce de ses cuisses à celle plus vive et humide de son sexe. Débusquant son bouton, je l’avais masturbé quelques instants auxquels elle tenta vainement de résister pour faire durer le plaisir, mais sans succès. Elle avait tendu le cou en arrière, paralysée par l’orgasme, et j’en avais profité pour lécher son oreille, alors que mes doigts ralentissaient. Je dois avouer qu’elle avait été particulièrement bruyante ce jour-là, et j’étais heureux que nous soyons seuls au travail.
    C’est donc ainsi qu’étaient rythmés nos quatre premiers jours. Elle travaillait, et au choix je la félicitais ou la punissais. Cela n’avait de toute manière pas grande importance, car Sophia aimait les deux notions, et je la soupçonnais même de se féliciter d’avoir mal travaillé. Nous trouvions tous les deux notre compte dans ce fonctionnement, et personne ne s’en plaignait. Je recevais des fellations et masturbations plusieurs fois par jour, et mon secrétariat était fait, quant à Sophia, elle était payée pour jouir autant que pour bosser. Comment pourrait-elle se plaindre ?Le vendredi, dernier jour avant le weekend, je convoquai Sophia afin de faire un bilan de la semaine qu’elle venait de passer.
— Asseyez-vous Sophia, je vous prie.— Bonjour Monsieur, répondit-elle souriante.
    Je m’étais installé en face d’elle dans mon confortable fauteuil de cuir, et je la fixai intensément. Elle était belle, elle était sexy, et vraiment, je me savais chanceux de l’avoir à mes côtés. Je repris.
— Comment s’est passée votre première semaine ?— Plutôt bien.
    Elle semblait presque embarrassée.
— Quelque chose vous tracasse ?— Eh bien… Je dois vous avouer que je ne suis pas totalement satisfaite…— Que se passe-t-il ? lui demandai-je étonné.— C’est délicat, Monsieur.— Voyez notre relation Sophia, est-ce si délicat que ça ?
— Non, vous avez raison… Cette semaine j’ai vécu les meilleurs jours de travail de ma vie. J’ai appris plus en faisant mon métier qu’à l’école, et il ne s’est pas passé un jour sans que vos mains, vos yeux ou votre simple présence ne me fasse jouir.— C’est donc un bilan plutôt positif non ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
    Elle sembla réfléchir un petit moment, ses yeux cherchant partout autour d’elle la meilleure façon de formuler la phrase qu’elle cherchait à me transmettre. Il allait bien falloir que ça sorte de toute façon, puisque cela semblait la travailler sincèrement. Elle dit tout simplement :
— Je veux que vous me fassiez l’amour. Vous avez joué avec mon corps, mais vous n’imaginez pas comment je suis frustrée. Je vous trouve beau et sexy, et chaque jour votre seule présence m’excite. Je donnerais tout pour vous sentir me caresser, m’embrasser, me pénétrer et plus encore.— Je comprends. Si ce n’est pas encore fait, c’est que j’aime procéder par étape. J’aime contrôler l’avancée des choses. Nous ferons cela prochainement Sophia, et plus encore comme vous dites.
    Elle sembla profondément déçue. Je pu lire dans son regard qu’elle ne s’attendait pas à cette réaction. Je suis un homme et par définition, elle sait les hommes faibles face aux charmes des femmes. Elle se disait sans doute qu’après m’avoir fait cette confidence, mon sexe serait plus emplit de sang que mon cerveau lui-même, et que je me jetterais sur elle pour la baiser sauvagement. Ce qui n’arriva pas bien entendu. J’aimerais sincèrement que les choses aillent doucement même si je crevais d’envie de parcourir tout le corps de ma jeune assistante de mes doigts et ma langue.
— Bien Monsieur, comme vous voudrez.— Bien. Si vous n’avez pas d’autres questions, je vais vous laisser partir en weekend.
    Il était en effet déjà dix-huit heures lorsque nous terminions notre entretien et la nuit était déjà tombée. Tout le monde avait déjà pris la poudre d’escampette et il ne restait plus que nous deux.
— A vrai dire, puis-je vous soulager avant de partir ? Votre queue dans ma bouche me manque déjà…— Voilà une bonne initiative.J’avais accompagné ma réponse du zip de ma braguette que j’étais en train de descendre.— Passez sous le bureau Sophia.
    Elle obéit alors en souriant d’appétit, et se laissa tomber sur ses genoux habillés de bas couture. Je reculai un peu ma chaise afin de voir arriver cette petite chienne affamée, et je lui donnai aussitôt ma queue à manger. Une main à la base de ma tige l’orientait vers sa bouche et l’autre me branlait, au même rythme que sa bouche s’enfonçant sur mon gland. Elle était sacrément douée, et ma queue se crispait dangereusement. De temps en temps elle sortait mon vit de sa bouche et me léchait des couilles jusqu’au gland en me regardant lascivement, avant de me branler et me sucer à nouveau. Sa langue roulant sur ma chair était le plus grand délice que j’eus connu jusqu’à ce moment. Sa fellation me rendait fou à tel point que je ne me contrôlais plus. J’avais passé ma main derrière son cou et j’appuyais sa tête sur mon sexe pour pénétrer sa bouche plus profondément encore.
    Sophia gémissait de plus en plus, et je la vis glisser sa main entre ses cuisses, relever sa jupe et commencer à caresser sa petite chatte épilée. Cette situation, ma petite chienne en train de m’avaler sous mon bureau m’excitait trop et je risquais de jouir si je ne faisais pas le nécessaire pour calmer les choses. Ce qui est d’ailleurs étonnant car quand un homme lambda se laissait jouir avec plaisir, moi j’aimais prolonger les situations.
    Je poussai alors sur mes jambes afin de faire rouler ma chaise en arrière, ôtant de la bouche de ma femelle ce sexe dur et long qu’elle appréciait tant dévorer, puis je lui tendis la main pour l’aider à se relever. Je me suis levé devant elle, mon visage à quelques centimètres du sien, ma queue tendue en entre nous qu’elle caressait d’ailleurs doucement, et je commençai à déboutonner langoureusement son chemisier blanc. Je libérais petit à petit ses seins, puis son ventre, et je fini par faire glisser tout ça derrière elle, sur mon bureau.
— Vous êtes une jeune femme surprenante, Sophia…— Ah vous pensez ? me dit-elle le souffle haché par le désir.
    Ne répondant pas, je fis glisser sa jupe lentement sur ses hanches et la laissa tomber à ses pieds. J’en fis autant avec son petit string noir. D’un geste ferme et fort, je la soulevai alors et l’assît sur mon bureau. Elle portait encore ses bas et ses chaussures, et je crois avoir décelé discrètement son air étonné lorsqu’elle comprit que je ne lui enlèverais pas. Je dois avouer que j’étais assez fétichistes des bas, des chaussures, des pieds, des jambes… Enfin, globalement, les jambes des femmes, habillées ou nues, des fesses aux orteils me rendaient complètement dingue. Et elle, elle avait vraiment, vraiment des jambes magnifiques. Je me rassis alors, j’approchai ma chaise du bureau et en même temps du sexe offert de la belle et sauvage Sophia, qui installa naturellement ses pieds sur les accoudoirs de mon siège.
    Ce qui prenait des airs d’examen gynécologique allait être un met exquis dont la vue me faisait d’ores et déjà saliver. Je pris d’une main son pied droit, et je déposai un baiser sur sa cheville. Très lentement, je répétai cette opération, déposant mes lèvres tous les centimètres, m’éloignant petit à petit de sa cheville pour approcher de l’intérieur de sa cuisse. Plus j’avançais, et plus je sentais sa jambe trembler. A hauteur de son sexe, je laissai ma lèvre inférieure toucher ses lèvres intimes sur lesquelles elle glissa facilement, et je repartis vers son autre cheville. Inlassablement, déposant les caresses buccales par dizaines. Depuis le début, elle me regardait, en appui sur ses coudes, mais à l’instant même où ma langue remonta sa jambe d’une traite jusqu’à son sexe, je balançai tout ce qu’il y avait sur mon bureau au sol d’un mouvement de bras, et elle se laissa tombée en arrière, le dos cambré et la chatte offerte.
    Son odeur était incroyable. Fruitée et enivrante, je la goûtai avidement, laissant ma langue glisser sur ses grandes lèvres, puis entre les petites, jouant doucement avec l’entrée de son vagin. Je ne disais rien et je me contentais juste de lécher cette vulve délicieuse et coulante aux arômes de fleurs. Cette femme était un cadeau du ciel, elle avait bon goût et jamais je n’aurai pu me lasser de la dévorer. Seuls ses gémissements de plus en plus bruyants emplissaient la pièce. Vraiment bruyant, et cela m’excitait tellement que de ma main qui ne caressait pas ses cuisses ou qui n’écartait pas sa vulve, je me branlais frénétiquement.
    Ma langue faisait de longs va-et-vient de son vagin à son clito, tantôt léchant entre les petites lèvres l’intérieur de sa vulve, tantôt lapait l’extérieur de ce fruit défendu, caressant dans un souffle chaud les chairs gorgées de désir de Sophia, léchant son aine et son mont de Vénus. Je trouvais d’ailleurs cette expression terriblement juste tant cette jeune femme était comparable à la déesse de la beauté et de l’amour à laquelle faisait référence la colline qui surplombait son sexe.
    Ses jambes tremblaient de plus en plus dangereusement, et j’étais certain, la voyant remuer son buste en tous sens sur mon bureau, se caressant les tétons qu’elle avait durs comme des pierres, que son orgasme allait arriver. J’abandonnai alors ma langue qui tournoyait rapidement sur le clitoris de mon amante juste à temps pour la couper dans son dernier gémissement pré-orgasmique, et je remontai pour embrasser son ventre, puis sa poitrine, son cou, pour finir sur sa bouche. Je lui fis gouter sa saveur sucrée dans ce qui était notre premier baiser. C’était fougueux, et ma main qui l’avait relevé maintenait sa tête pour que nos langues se trouvent.
    Le baiser se faisait de plus en plus passionné, presque parfait. Jamais une fille ne m’avait embrassé ainsi. Elle se tenait à mon cou, et je su par ses gémissements qu’elle aussi sentait ma queue dure toucher son sexe. Je profitai un dernier instant de ce baiser d’une sensualité sans égale, puis je m’enfonçai d’un coup en elle. Sophia se figea, garda sa bouche ouverte ce qui stoppa net notre baiser. Je regardais ses yeux s’écarquiller de plus en plus à chaque centimètre que ma queue investissait, jusqu’à en sentir le fond. Je m’arrêtai alors et la regarda avant de l’embrasser à nouveau lorsqu’elle en fut capable. Elle passait frénétiquement sa main dans mes cheveux, empêchant ma bouche de quitter la sienne. Elle enfermait mon corps de ses jambes qu’elle avait noué derrière mes fesses.
— Tu es merveilleuse Sophia…— Tu l’es plus encore… Me susurra-t-elle.
    Ces mots comblèrent mon ego, et flattèrent mon esprit, et je commençai à lui faire l’amour tendrement sur mon bureau. Mon sexe coulissait en elle avec lenteur, mais les mouvements étaient amples et forts, et mon gland la remplissait à chaque fois que je rentrais à nouveau. Dans un concert de cris et de gémissements, emmêlés comme deux amants animés d’une passion inégalable, nous faisions l’amour jusqu’à l’orgasme. Je me suis déversé en elle lorsque son vagin se contracta sur mon sexe, annonçant l’arrivée imminente de son orgasme. Elle jouit en criant sauvagement, les cheveux ébouriffés d’une manière atrocement sexy, et je finis de répandre en elle mon liquide chaud.
    Ce qu’il venait de se passé n’était pas anodin, je l’avais ressenti, et elle l’avait forcément ressenti aussi. Nous nous étions liés… Avec amour. Pas un amour commun, pas un amour stéréotypé. Un amour charnel, une sorte de compatibilité des corps, une osmose parfaite des sexes qui nous avait fait attendre un plaisir rarement décroché. Sophia est maintenant mienne. C’est ma femelle, ma soumise, ma chienne, ma secrétaire, mais c’était surtout dès lors, l’unique femme à laquelle je voulais me consacrer.
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