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aux urinoirs

Chapitre 1

Gay
Aux urinoirs
Je suis un homme marié de 32 ans. Il y a quelques temps je suis allé faire un footing dans un parc. Ayant une envie pressante, je me suis arrêté aux toilettes. Alors que j’étais aux urinoirs, un homme d’une soixantaine d’années est venu à côté de moi, au bout de quelques secondes il se décale et me dit « tu ne veux pas me la sucer ? ». Je regarde vers lui et vois son sexe en érection. Je ne sais que dire, il se dirige vers une cabine et me dit « suis-moi ». Je ne sais pas pourquoi mais je l’ai suivi dans la cabine, il a fermé la porte et m’a appuyé sur les épaule pour me faire agenouiller et a guidé sa bite dans ma bouche. Je l’ai sucé. Il guidait ma tête pour régler ma fellation, je le laissais faire, au bout de quelques minutes il a sorti son sexe et a éjaculé sur mon visage. Je ne bougeais pas, il s’est rhabillé et m’a dit merci en sortant. Quand je suis rentré chez moi j’étais troublé, je me suis masturbé sous ma douche en pensant à cet homme et à son sexe que j’avais sucé. Les jours qui ont suivi, les images défilaient dans ma tête, je repensais à ce qui s’était passé. Une semaine plus tard j’y suis retourné espérant le revoir. Alors que j’étais aux urinoirs c’est un jeune mec qui m’a fait la même proposition, il avait ouvert la porte de la cabine, je l’y ai rejoint. La encore, je me suis agenouillé pour sucer cette bite déjà raide. En quelques minutes il m’arrosait de son foutre. Avant de sortir, il m’a dit « je serai là après demain à la même heure, si t’es là » et il est sorti, me laissant seul le visage souillé une nouvelle fois de foutre. Je ne savais pas si je devais revenir, comme il me l’avait proposé, pourtant deux jours plus tard j’étais là. Il m’attendait, nous nous sommes enfermés dans la cabine, il m’a dit « fous- toi à poil », j’ai retiré mon tee-shirt, mon short et mon caleçon devant lui, j’étais nu alors qu’il était encore habillé, il m’a dit « vas-y sors ma bite et suce moi », je me suis agenouillé pour ouvrir son pantalon et sortir son sexe déjà raide, puis je l’ai pris en bouche, j’aimais sucer une bite, j’en avais envie, j’y avais pensé toute la journée. Il me tenait la tête et enfonçait parfois son gland un peu trop profondément, ce qui me donnait des hauts le cœur. Au bout de quelques minutes, il a sorti sa bite, je croyais qu’il allait jouir, mais il m’a fait relever, m’a retourné et fait pencher en avant. Il a sorti une capote qu’il a déroulée sur sa bite, il a ensuite craché sur mon anus, j’ai compris qu’il voulait m’enculer, j’ai pris peur, je lui ai dit « non je l’ai jamais fait » mais il m’a dit « laisse toi faire tu vas aimer ». Il a pointé son zob sur mon anus et a poussé doucement, j’ai eu mal lorsque son gland a forcé ma rondelle, il est resté sans bouger, il me tenait par les hanches, puis il a commencé à s’enfoncer, je me mordais les lèvres pour ne pas crier. Ses va et vient ont commencé, je sentais sa bite coulisser dans mon cul, je me suis rendu compte que j’aimais ça, ça ne me faisait plus mal. Il est allé de plus en plus vite en moi, en cinq minutes il a éjaculé dans sa capote, mais je sentais les contractions dans mon ventre. Il s’est retiré, a jeté sa capote et il est sorti. Je me suis rhabillé et suis sorti à mon tour, il était assis sur un banc et m’a fait signe de venir. Il m’a tendu un papier avec son n° de tel portable et m’a dit « j’ai aimé t’enculer mec, je crois que toi aussi t’as aimé ça, alors si ça te dit, tu m’appelles ». Je suis parti avec son n° dans ma poche, mon anus me brûlait un peu. Je me suis une nouvelle fois masturbé sous la douche. Deux jours plus tard, j’étais dans le parc espérant le revoir mais il n’était pas là. Je lui téléphonais le lendemain et nous nous sommes donné rendez vous dans un café du centre ville. Nous avons discuté, il avait 20 ans, était étudiant. Il aimait avoir des relations avec des hommes murs, surtout s’ils étaient mariés, ce qui est mon cas. Il m’a proposé que nous nous voyions dans son appart. J’ai pris une après midi pour le retrouver en fin de semaine. J’étais à 14h00 chez lui, il m’attendait et m’a fait entrer et asseoir sur son canapé. Rapidement il m’a embrassé, c’était la première fois, sa langue fouillait ma bouche, il a ouvert ma chemise pour caresser mon torse, ses doigts ont excité mes tétons qu’il a pincés. J’étais excité, je me laissais faire. Il m’a dit de me déshabiller, rapidement j’étais nu devant lui, il a caressé mon sexe qui ne bandait qu’à moitié. Il s’est à son tour mis nu, sa bite était raide, il s’est rassis à coté de moi, m’a pris par la nuque et guidé ma bouche vers son sexe en me disant « suce moi salope », j’ai été surpris mais très excité par ces mots et j’ai avalé son gland. J’enroulais ma langue autour, enfonçant sa colonne dans ma bouche, j’aimais sucer ce jeune mec, il tenait ma tête en gémissant. Après quelques minutes, il m’a dit « j’ai envie de t’enculer, tu veux ? » j’ai lâché sa bite et lui ai dit « oui ». On est allé dans sa chambre, il m’a fait mettre à 4 pattes sur son lit, il a enfilé une capote et a versé du lubrifiant sur mon anus, ses doigts ont dilaté mon cul, avant qu’il ne présente sa bite. C’est entré plus facilement que la première fois. Quand il a été complètement engagé, il m’a attrapé par les hanches et s’est mis à me ramoner, je sentais sa bite fouiller mon cul, je gémissais de plaisir et de douleur mêlée. Il me disait « ha salope il est bon ton cul, t’aimes ça, avoir ma bite dans ton cul, ça te change de baiser ta femme, t’es vraiment une bonne salope », je lui disais « oui c’est bon j’aime ça, vas y encule moi je suis ta salope, mon cul est à toi. » Au bout d’un moment il s’est retiré et m’a fait allonger sur le dos, il a posé mes jambes sur ses épaules et j’ai du écarter mes fesses, il est revenu dans mon cul. Il m’enculait en me regardant, ses doigts agaçaient mes tétons, il me les pinçait et ça me donnait des frissons de plaisir. Il m’a dit « branle-toi », j’ai pris mon zizi en main pour me branler pendant qu’il me défonçait, il se déchaînait dans mon cul, je sentais sa bite gonfler et vibrer, il a dit « ha, ça y est salope», je sentais son foutre gicler dans la capote, j’ai accéléré ma masturbation et j’ai inondé mon ventre de mon sperme. J’ai revu ce jeune mec plusieurs fois jusqu’à la fin de l’année scolaire. Il m’a même présenté un de ses copains qui comme lui aimait se taper des mecs murs. Ces fois là, j’avais une bite dans le cul, pendant que l’autre fouillait ma bouche, ils m’avaient montré des certificats médicaux et on pouvait baiser sans capote, j’aimais avaler leur foutre et le sentir gicler dans mon cul. Quand on baisait tous les trois, je devais leur dire que j’étais leur salope, que je préférais sucer leurs bites que de lécher la chatte de ma femme, que c’était meilleur de me faire enculer que de baiser mon épouse. Le fait que je sois marié excitait beaucoup ces jeunes mecs. On a passé de bons moments. Hélas, ils sont partis continuer leurs études dans une autre ville.Essai avec un homme
Je ne peux pas m’empêcher de fantasmer, de temps à autres, sur des relations sexuelles avec des hommes. Cela arrive parfois que quelque chose me déclenche dans le ventre de l’excitation à l’égard des hommes. Du coup, j’ai pris contact avec un homme sur un site de rencontre, il avait l’air sympa ; on n’a pas échangé de photos seulement des courriels. On a discuté et il m’a invité chez lui. Il me disait qu’il me ferait connaître de nouveaux plaisirs et que je n’avais qu’à venir à lui.Le week-end suivant, je me suis présenté à son domicile, un appartement sous les toits plutôt sympa. La porte était entrouverte, je frappai et j’entendis une voix me disant d’entrer et de fermer derrière moi.Une fois entré j’ai pu voir l’homme en question : pas plus grand que moi mais avec un ventre proéminent, sans être vraiment gros ; il devait avoir une bonne quarantaine. Il était assis sur un fauteuil à m’attendre et je me tenais debout dans l’entrée. Je me sentais tendu car tout portait à croire qu’il tentait de m’intimider, ce qui fonctionnait parfaitement. C’est lui qui brisa le silence :— Bonjour Marc. Es-tu prêt à vivre une expérience sans précédent dans ta vie ?— Oui.J’étais nerveux et tremblant de peur et d’excitation— Très bien. Afin de maximiser ton plaisir, tu dois dès à présent t’abandonner aux plaisirs et pulsions que tu ressentiras. Suis mes indications à la lettre et tu jouiras comme jamais.Encore plus nerveux mais décidé à vivre à fond cette expérience, je répondis.— OK— Et comme je vais t’apprendre les joies du sexe, tu m’appelleras Maître— (bref instant – j’ai souri à cette idée, et puis après tout…) Bien Maître— Parfait. Commence par te déshabillerSurpris par cette rapide mise en bouche, je réfléchis, mais finis par me soumettre à tout ce qu’il dirait. Déjà l’excitation était grande. Je me déshabillai dans un silence de mort, en tremblant et posai mes affaires.— Approche-toi— Approche-toi à quatre pattes.Nu, je m’agenouillai pour m’approcher de lui à quatre pattes et me plantai à genoux à ses pieds.— Lève-toiJe me levai et réalise à ma grande honte que je me tenais face à un homme, assis devant moi, avec mon pénis en érection. Mon sexe circoncis pointait tout droit vers lui.
— As-tu fait ce que je t’ai demandé avant de venir ici ?— Oui Maître— Laisse-moi vérifierAvant de venir, j’avais dû m’épiler les bourses. Avec sa main il écarta mes jambes et me palpa les boules. J’étais rouge de honte et d’excitation d’être inspecté et palpé de la sorte par un vieux pervers.— Voyons le reste, tourne-toi, penche-toi en avant les jambes tendues et écarte les fesses avec tes mains.A sa demande, j’avais pratiqué un lavement. J’étais plié, les fesses écartées et je sentis qu’il s’approchait. Il commença à me lécher puis m’introduisit son majeur dans l’anus. Affolé j’étais tout autant pétrifié et pour finir il me fit sucer son doigt pour m’assurer qu’il était propre. Enfin il se leva.— Excellent, redresse-toi. Agenouille-toi et défais mon pantalon !Ça allait vraiment commencer et j’étais décidé à faire ce qu’il me dirait. Je défis sa ceinture, le bouton, la braguette puis le pantalon. Sa queue pointait devant mon visage, de taille plus que correcte.— Suce-moi !J’approchai ma tête assez lentement, partagé entre l’excitation et la peur mais je finis par prendre son sexe dans ma bouche. Ne faisant rien, il fit des mouvements de va et vient dans ma bouche et naturellement je me mis à le sucer comme j’avais vu dans les films. Je commençais à m’enhardir quand il s’assit. A genoux entre ses jambes je me remis à le sucer et je pris du plaisir à lui lécher la hampe jusqu’au gland, et le regardant ou en savourant cet instant les yeux fermés. En même temps je lui massais les testicules. Je l’entendais gémir. Je me démenais sur sa queue avec de larges mouvements quand il se leva brusquement, me tint la tête et m’éjacula dans la bouche. Je sentais chaque giclée de sperme me frapper le palais et ça m’excitait encore plus à chaque fois. Moi à ses pieds, j’ai tété la queue pour finir et il faisait rouler son pénis sur mon visage et étalait le liquide séminal restant sur ma peau.— Pour une première fois, tu as été très bon.— Merci Maître— Tu as pris du plaisir ?— Oui maître, vous sucer m’a procuré du plaisir, je ne l’imaginais pas— Et tu as avalé mon sperme ?— Oui Maître, le plaisir de vous sucer m’a poussé à tout prendre de vous et à faire tout ce que vous alliez me demander, y compris avaler.A ce moment-là, je ne réfléchissais plus. Je faisais ce qu’il me demandait et je prenais ce qu’il me donnait, même son sperme. Je prenais du plaisir à me comporter comme la dernière des salopes. J’étais hypnotisé par cet homme, sa queue et le plaisir qu’elle me procurait. Le simple fait de la voir et de la caresser me faisait frissonner. Comme il me l’avait ordonné, je m’abandonnais au plaisir, ne faisant que suivre mes pulsions et j’en voulais plus. Il devait lire dans mes yeux qu’il avait gagné et que je ferais tout ce qu’il voudrait.Il m’ordonna de me lever, de me mettre à quatre pattes sur le canapé, les genoux sur le canapé et les mains sur le dossier. Il a posé sa main sur le bas de mes reins pour me faire cambrer et me faire écarter les fesses. Je savais ce qu’il allait se passer. Je le voulais.— Maintenant je vais te sodomiser. Pour ta 1ère fois, tu peux choisir du lubrifiant ou sentir la pénétration à fond.Je lui ai dit de faire comme il préférait. Je n’étais que partiellement conscient. Je voulais qu’il m’encule. Il a approché son gland de mon anus, il a poussé lentement pour le faire rentrer. Je mordais dans le canapé à cause de la douleur, lui continuait à me pénétrer doucement et ce jusqu’à ce que tout soit rentré en moi. Il s’est plaqué contre moi dans mon dos et m’a susurré des mots à la bouche :— C’est bien, je suis fier de toi. Tu es à moi maintenant— Oh oui MaîtreJe ne pensais presque plus à rien quand le plaisir commença à se faire sentir. Il s’est mis à bouger, sa queue frottait dans mon cul et plus il accélérait, plus je ressentais le plaisir m’irradier. Il faisait désormais de larges et rapides mouvements qui me ballottaient. Il m’a dit de m’exprimer à voix haute et de dire ce que je ressentais. Au début je résistais mais j’ai finalement hurlé mon plaisir— Oh c’est bon c’est tellement bon. Je sens votre bite tout au fond de moi— Tu veux que je continue ?— Oui, continuez— Bien petite chienne— Oui je suis à vous, je suis votre chienne, je suis une salopeJe perdais complètement les pédales et je hurlais de plaisir. Je me fichais qu’on puisse m’entendre ou de ce qu’on pourrait penser de moi. Plus rien ne comptait sauf ce pénis qui entrait et sortait de moi. Je ne sais pas trop combien de temps ça a duré, mais le vieux pervers a finalement joui en moi et je sentais les saccades de sperme au plus profond de moi. A ce moment-là j’ai également joui, sans m’être touché. Il s’est écroulé sur moi et moi sur le canapé, là où j’avais éjaculé et transpiré. Je sentais tout son poids sur moi. On est resté ainsi 10 minutes, je me sentais bien. J’avais l’impression d’avoir été une chienne que son maître avait saillie et au bout du compte c’était ça.Ensuite, il m’a levé et m’a emmené à la douche où il m’a dit de le laver. J’ai pris le savon et j’ai frotté toutes les parties de son corps telle une geisha. Je l’ai masturbé et j’en ai profité pour le sucer à nouveau.Une fois propre, il m’a indiqué la porte. Mais avant de partir, il a saisi ma bite à travers mon pantalon et m’a dit que je reviendrai vite pour recommencer. Et je l’ai fait.
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